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Auteur Fil de discussion: Corsaires des Antilles I : Le mystère de l'Atoll de la Mort  (Lu 12206 fois)
Black
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« le: 13 Septembre 2008 à 16:51:41 »



Prologue

     Par un frais matin de février 1687, au large des côte sud de la Jamaïque, un navire vogue paisiblement. En haut du grand mât flotte une flamme blanche parcemé de fleur de lys, couleur de la Marine Royale de France. Le navire est une corvette de 30 canons baptisé Neptune. Le Neptune filait �  7 noeuds sur une mer calme et reposante.
     Dans l'entrepont, les hors-quarts dormaient. Sur le pont, les hommes de quart tenait la maintenance. Le timonier, un jeune homme de 14 ans, tenait fermement la barre. Le jeune homme était mesurait dans les 1m70 et était plutôt maigrichon, avec un visage aigü et des cheveux châtins foncés en bataille. Il portait une simple chemise bleu claire, un pantalon noir et des bottes marron foncé. Tout était calme.
     Alors que le calme reignait, la vigie poussa un cri.


- Par tribord !
- Qui a-t-il ? demanda l'officier de quart à la vigie.
- J'ai vu une silhouète !
- Vous êtes sur ?
- Oui monsieur !
- Branle-bas de combat !

    L'équipage s'activa. Tous le monde se reveilla et monta �  son poste. Canon, hunes, tillac, on se préparait. Le capitaine du navire, le capitaine de corvette Charles Algori, monta sur le pont.

- Qu'est ce que c'est enseigne Leroi ?
- Un navire monsieur, la vigie �  vu une silhouète par tribord.

    Algori déplia sa longue vue et chercha la silhouète. Il chercha un moment et ne vi rien. L'équipage avait le regard porté sur tribord. Soudain un cri retenti.

- Par l'arrière !

    C'était le timonier. Il se coucha et fut imité par les autres. Deux boulets vinrent violement frappé le bastingage de poupe. Un combat s'engait.  
« Dernière édition: 31 Août 2009 à 16:39:24 par Black »
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« Répondre #1 le: 14 Septembre 2008 à 17:34:59 »

Le timonier se releva un peu intimidé. Quand il se retourna, il vu sortir de la brume un navire. Un grand trois-mât fin et majestueux. Sa coque était d'un noir splendide et ses voile était pareil. Sous le mât de beaupré, l'éfigie de proe représentait une tête de requin en or pur. Le navire filait droit sur le Neptune.

- Chargez les pièces en boulet ! Paré à au combat ! hurla le capitaine.

Le tillac s'activa. Les pièces furent chargé. Le capitaine monta sur la dunette et s'adressa au timonier.

- Torik, virer à 5° babord.
- A vos ordre capitaine.

Torik, le timonier, fit virer légèrement le navire sur babord. Ensuite sur orde de son capitaine il remit la barre au centre. Suite �  la manouevre, le navire noir avait gardé sons cap.

- Quel est ce navire Capitaine ? demanda Torik.
- C'est un corsaire anglais, le Black Shark.

Torik paru effrayé devant ce nom. En regardant le navire, il pus voir son nom, ainsi que les couleurs anglaises.

- Tribord paré à la mitraille ! ordonna le capitaine.

Le chargement des canons s'effectua sous les ordres du canonnier. Quand les pièces furent prête, le capitaine donna ses ordres.

- Barre à tribord toutes ! Brassez les vergues !

Le Neptune vira sur tribord et fit demi-tour. Comme il voguait en largue, il vogua désormais au plus près, ce qui le ralentis brusquement. Pendant ce temps, le Black Shark, surpris par la manoeuvre, ne vira pas et concerva son cap. Les deux navires était bord �  bord séparé par une faible distance.

- Feu à volonté ! hurla le capitaine.

Les 2 navires firent feu. Le tir de mitraille du Neptune causa de lourde perte �  l'équipage du Black Shark, mais celui-ci, tirant aussi en mitraille, causa un véritable carnage. Les matelots et servant sur le tillac furent fortement touché. Près de la moitié s'écroulèrent. Les gabiers, eux, se faisaient tiré dessus par les moucheurs anglais.
Torik observa depus la dunnette le massacre. Soudain, un tir de mousquet lui passa près du bras. Il leva la tête vers la hunes d'artimon du Black Shark et vit quelque moucheur le viser. Il eux a peine le temps de se mettre �  couvert derrière la barre que plusieurs tirs lui passèrent très près.


- Torik ! Virer à bâbord ! Vite ! hurla le capitaine. Il fit un pas et une balle lui traversa le crâne. Il s'éfondra lourdement, raide mort.
- Le capitaine est mort ! Le capitaine est mort ! crièrent les matelots.

Des grappins s'accrochèrent aux bastingage et aux vergues. La panique commençait �  monter.  
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« Répondre #2 le: 14 Septembre 2008 à 17:59:06 »

   L'équipage du Neptune était désemparé. Son capitaine était mort, le second était à l'infirmerie, le cannonier avait été tué aussi, ainsi que plusieurs officiers. Le seul officer restant était l'aspirant Torik.

- Lieutenant ! Quels sont vos ordres ! cria un matelot à Torik.
- Défendez le bâtiment ! hurla Torik en levant son sabre.

   De nombreux anglais sautèrent sur le pont du Neptune. S'échangea ensuite plusiuers coup de feu. Puis, le corp à corp commença. Sabres, hache, massue à la main, les pirates anglais s'élancèrent. L'équipage du Neptune avait saisis des piques et tentait de retenir son ennemi. La mêlée sanguinaire s'en suivie. Torik sotta dedans un commença à frapper, frapper, frapper, tuant tout ennemi sur son passage. Après un combat dur et sanguinaire, les pirates du Black Shark s'enfuirent, laissant sur le Neptune une vingtaine de survivant.

- Ils sont en fuites ! Contre-attaquons ! ordonna Torik.

   Poussé par la vengeance et la victoire, les marins du Neptunes abordèrent le Black Shark. Une quinzaine de pirates s'étaient réfugié dans le gaillard arrière. Les marins du Neptune commencèrent alors une fusillade avec eux.


- Courage, on les tiens ! cria Torik a ses compagnons.
- Continuez de tirer ! s'écria un matelot brun au cheveux court et au corp baraqué. Alors aspirant Alexandre Torik, ça fait quoi de commander ?
- Ca fait que si je me plante c'est moi qui trinque, Jéricho.

   Les tirs s'ensuivirent. Soudain, Jéricho fit feu, et des cris s'ensuivirent chez les pirates. Les marins cessèrent le tir.

- On est foutue, le capitaine est mort ! hurla une voix depuis le gaillard arrière.

   La porte du gaillard s'ouvrit et un chiffon blanc fut hissé au bout d'un sabre. Un dizaine de marins sortirent, jettant leur armes et levant les mains. Les marins du Neptunes crièrent victoire, félicitant leur jeune officier qu'était Alexandre Torik, dernier officier vivant du Neptune.

   Le jeune officier Alexandre Torik conta la prise dans le journal de bord du Neptune et livra les corps des morts à la mer. Depuis le Black Shark, on traina le Neptune, plus léger. Malheuresement, une tempête fit coulé la corvette corsaire française Neptune.
   Alexandre Torik fut élut capitaine du Black Shark par son petit équipage qui se composait de la douzaine de survivant français, dont Jéricho, et des 10 derniers pirates anglais, dont Alexandre promis la vie si ils s'engageaient.
   En plus de corsaire pour la Couronne de France, Alexandre se livra à des actes de pirateries afin de combattre l'esclavage.
 
« Dernière édition: 14 Septembre 2008 à 18:01:15 par Black »
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« Répondre #3 le: 02 Janvier 2009 à 17:21:17 »

Chapitre I : Le combat dans la brume

   Alexandre se tenait fermement sur la dunette. Par ce matin du 7 septembre 1687, le brouillard était fort intense et frai. Alexandre veillait �  la manoeuvre, observant ses hommes et la mâture. Avancant �  9 noeuds et porté par un vent de travers tribord amurres, le Black Shark voguait vers l'ouest au sud d'Hispaniola. Tous était calme, quand soudain le calme fut rompus.

- Par babord-avant !

   L'éauipage se leva, regarda et vit une goélette �  moins d'un mille venir dans la direction opposer. Alexandre ne pu voir les couleur de la goélette, �  cause de la voilure.

- Branle-bas de combat ! hurla-t-il.

   L'équipage s'activa. Les servants de canons armèrent leur pièce, les gabiers grimpèrent dans les hunes, les moucheurs prirent des fusils dans la salle d'arme et se postèrent dans les hunes.

- Armez les pièces en boulet ! Préparé vous à virer à babord !

   Les deux navires se croisèrent, séparé par �  peine 20 yards. Jéricho s'était posté sur le gaillard avant et hurla :

- Un angais ! C'est un anglais !
- moucheru feu à volonté ! ordonna Alexandre.

   Les moucheurs déj�  en place firent feu sur le pont du navire, tuant plusieurs marins britanniques. Le combat s'engageait.  
« Dernière édition: 03 Mai 2009 à 18:19:45 par Black »
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« Répondre #4 le: 03 Janvier 2009 à 20:01:47 »

   Les deux navires se croisèrent. Tout aussi surpris, la goélette ne tira pas de bordée. Les seul tirs étaient ceux des moucheurs du Black Shark. Puis, quand la moitié du Black Shark eu fini de croiser la goélette, Alexandre cria :

- Barre à babord toutes ! Canonnier babord paré à tirer en visant la coque !
- Barre à babord capitaine ! répéta le timonier, qui était aussi le quartier-maître.
- Préparez vous pour les boute-feu ! Chef de pièce pointez sur la coque ! hurla le canonnier depuis le grand panneau.
- Brassez les vergues ! Bordez les écoutes et hissez les bergues d'artimon ! Hissez la corne et bordez la brigantine ! ordonna Jéricho depuis le tillac, préparant le navire au changement d'amurre.

   Le Black Shark vira �  babord. Le navire qui donnait de la gîte �  babord se redressa en virant. Puis, quand le pavillon indiqua que le Black Shark avait le vent en poupe, Alexandre attendis encore un peu, et quand son navire naviguait grand largue babord amurre, il rétablis la barre �  0, tandis que Jéricho s'occupait d'adapter le gréement �  la nouvelle allure. Puis, après quelque seconde, Alexandre qui avait le regard vers la goélette en étant penché par dessus le bastingage :

- Batterie babord, feu à volonté !
- FEU ! hurla le canonnier

   Les vingt pièces de babord du Black Shark firent feu. La coque de la goélette fut frappé de plein foué, causant des dégâts conséquent. Alexnadre avait tiré sa longue-vue pour observer les dégâts. La plupart des boulets avait atteind leur cible, criblant de trous la coque.

- Bien joué les enfants ! Rechargez les pièce a blanc en attendant les ordres. dit le canonnier �  aux servants de canons encore perdu dans la fumée mais heureux de leur coup !
- Rechargez en boulet ramé ! Paré pour démâter ! ordonna Alexandre. Timoner barre à babord !
- Rechargez en boulet ramé puis pointé sur le gréement ! hurla le canonnier aux servants.
Barre à babors capitaine ! confirma le timonier.

   Alexandre remit le navire la barre �  0 quand il fut parallèle �  la goélette. Jéricho avait fait adapter le gréement pour un vent de travers babord amurre. Avec le vent, le Black Shark donnait de la gîte �  tribord. La goélette continuait de filer, plus rapidement, son gréement étant mieux adapté au vent de travers.
   
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« Répondre #5 le: 04 Janvier 2009 à 16:02:58 »

   La goélette gagnait un peu de terrain. Après deux minutes, elle était �  150 yard du Black Shark.

- Pièce de babord paré ! cria le canonnier à Alexandre.
- Barre à 10° tribord ! cria Alexandre
- A vos ordre, barre à tribord 10° ! confirma le timonier.

   le navire vira. Alexandre fit rétablir la barre au centre, et :

- Babord, FEU ! hurla le Capitaine.
- FEU ! hurla le canonnier.

   Les chef de pièce allumèrent mirent le feu �  la lumière, et les pièce de babord firent feu sur le gréement de la goélette. La partie babord du tillac était dans la fumée, mais elle se disipa vite. Dans l'entrepont, on y voyant rien. La fumée avait du mal �  sortir et patout on toussait. Alexandre regarda les dégât �  la longue-vue. les voile de la goélette, bien exposées, avaient soufferts. Le mât de misaine tomba �  la mer, empotant avec lui plusieur gabiers. Des cris de joie retentir du Black Shark.

- Les armes sur le pont ! Moucheurs tenez-vous prêt ! Paré pour l'abordage ! hurla le jeune capitaine.

   Alexandre fit orienter le Black Shark sur la goélette, quasiment immobile. Quelque matelots montèrent sur le pont grappins, sabres, épées, pistolets, haches et autres armes, afin d'aborder l'anglais.  
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« Répondre #6 le: 15 Février 2009 à 19:50:52 »

   Les armes furent distribué �  l'équipage. Ceux qui avaient les leurs allèrent rapidement les cherchers, ou les avaient déj� . Alexandre dégaina son sabre et son pistolet, tandis que Jéricho fit de même.

- Lancez les grappins ! A l'abordage ! hurla le jeune capitaine.

   Des grappins allèrent s'agriper dans le gréement anglais, et les hommes s'élancèrent. Les anglais firent feu, dans l'espoir de repousser l'aissaillant. Alexandre s'élanca et atterrie sur la dunette. Un anglais se retourna, mais Alexandre fit feu, et il se prit une balle dans le torax. Un ennemi arriva par la droit, Alexandre tourna rapidement son arme, tira, et regarda l'anglais dégringoler l'escalier. Puis, il dégaina son second sabre, et sauta dans la mêlée. Tous le monde faisait de même ; frapper, frapper, frapper. Alexandre décapita un anglais, puis en empala un autre, puis assoma un autre pour l'acheter, avant d'entailler sévèrement un dernier. Pendant ce temps, Jéricho était en duel avec un officier, qu'il désarma avant de pointer le bout de son sabre près de sa gorge. Profitant d'un moment de répis, Alexandre hurla :

- Arrêtez ! Ca suffit !

   Les pirates, en nombre beaucoup plus important cessèrent le combat, tout en tenant les anglais en respect. Alexandre regarda la vingtaine d'anglais, appeurer entre les pirates et le bastingage.

- Kill us if you want, we do not fear death ! déclara un officier anglais.
- Qu'a-t-il dit ? demanda Alexandre.
Un pirate imposant répondis.

- Il a dit qu'il n'avait pas peur de la mort et qu'il était disposer �  mourrir.
- Merci matelot. Répond que ceux qui veulent se rendre le peuvent et que je jure devant la Sainte Marie qu'il seront relacher au prochain port.
Our captain offers to those who want to surrender. It swear to Mary that healthy life will be spared and would be released at the next port. déclara pirate à ses compatriote anglais.
- Rajoute que les autre peuvent également choisir de sauter �  la mer, ou de continuer le combat et de mourir. ordonna Alexandre à son pirates.
- The captain said he allows others to jump into the sea or to continue the fight and die. répéta le pirate en anglais.
   Les pirates rirent devant la proposition honnête de leur capitaine, tout en montrant aux anglais un air agressif et sanguinaire. Les anglais quand �  eux, était sur le point de pisser dans leur pantalon.

- Go to see you ! cria l'officier anglais.
   ALexandre ne compris rien, amsi les autre anglais comprirent, et lachèrent leur armes. L'officier, tenant encore son sabre, jura contre se hommes. Alexandre claqua des doigts et les les pirates commencèrent �  se rapprocher. L'officier, courageux mais pas fou, préféra sauter �  la mer. Alexandre et ses hommes se rapprochèrent du bastingage pour le regarder en rian nager vers l'horizon.


- Continuez tous droit, vers le nord ! Vous arriverez peut-être à Hispaniola ! cria Alexandre.
- Sauf si les requins vous invite pour dîner ! se moqua Jéricho.

   Tandis que l'officier anglais continuait de nager, Alexandre donna ses ordres.

- Beau travail messieurs. Remontez �  bord du navire pour vous reposer, soigner vos blessures ou retrouver un amis blessé. Les hommes de quart reste avec le lieutenant Balstad pour piller le navire.

   La plupart des hommes retournèrent sur le Black Shark, tandis que certain restaient avec Jéricho. Alexandre retourna sur son navire voir le chirurgien.  
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« Répondre #7 le: 21 Février 2009 à 19:15:25 »

   Alexandre descendis sous le grans panneau, afin de retrouver le chirurgien. L� , il y avait plusieur blessé. Quelque matelot aidait le chirurgien, enlevant les morts et ramenant les blessés. Le chirurgien était occupé �  extraire une balle du flanc droit d'un marin.

- Alors, doc ? Comment ça c'est passé ici ?
- Pour l'amour dé Allah, cessez por favor dé m'apéllé doc !
- D'accord... Enrique. Et sinon ?
- Les perté sont légères. On a qué houit muerté y trenta blessé. Diez solémenté dévrons allé a l'isoloir, los otros pourrons servirent por los manoeuvré.
- Donc, huit morts et dix blessés incapable de travailler sur trente au final. répéta Alexandre qui avait eu du mal à comprendre parfaitement le chirurgien espagnol.
- Si. confirma le chirurgien.
- Ok. Merci beaucoup doc, euh... Enrique.

   Alexandre remonta sur le pont. Jéricho s'occupait de transborder les marchandises. Alexandre alla voir son amis.

- Alors Jéri, il y avait quoi à bord ? interrogea celui-ci.
- Un peu de coton, du maïs et des épices, mais surtout une trentaine d'esclave.
- C'est fils de putes de négriers, bien fait pout eux. répondis le jeune second.
- C'est clair. J'espère que les requins s'amuseront avec l'autre crétin.
- Tu sais ce qu'il est advenus du capitaine ?
- Non, c'est sans doute celui qui s'est barré. Le matelot Achille Parcker s'est chargé de les conduire dans les cellules.
- Combien sont-ils ?
- Les prisonniers ? Treize.
- Ca fait six ou sept par cellules, parfait. Il y avait des blessé parmis eux ou les esclaves ? demanda Alexandre.
- Non, on a fait un tour parmis les hommes �  terre, on a retrouvé personne de vivant. Quand au esclaves, je les ai envoyé dans le gaillard pour se restauré un peu avant que notre cher toubib aille les examiner.
- Parfait. Une fois cela terminé, occupe-toi de saborder cette goélette. ordonna Alexandre.
- Comme tu veux. Je prend quel cap ensuite ?
- Prend vers le sud. On va gagner Aruba.
- Compris.

   Alexandre s'éloigna et se dirigea vers le gaillard arrière. En chemin, il retrouva le chirurgien qui allait aussi dans le gaillard.  
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« Répondre #8 le: 07 Mars 2009 à 19:35:08 »

   Alexandre et Enrique entrèrent ensemble dans le gaillard arrière. Il passèrent dans un petit couloir, ayant deux portes de chaque côté et une double au fond. Les deux homme entrèrent dans celle-ci. L� , il y avait la douzaine d'esclave, assis sur les sièges situé le long du mur om sur des chaise près de la table. Le coq, un viel homme grand et barbu laur distibuait du potage. Enrique posa sur la table sa valise et se présenta.

- Buenos dias senior. Yé m'appel Enqiue Pablo Rosa y yé souis le chirourgien dou bord. Yé vé vous examiner por savoir si vous dévez êtré soigné.

   Enrique examina les esclaves noirs tour �  tour. Pendant ce temps, Alexandre discutait avec le coq.

- Alors Armand, ils ont aimé ta soupe ?
- Ils avaient l'air. On aurai dit qu'il n'avait pas mangé depuis une semaine. répondis le viel hommes.
- C'est la cas.
- Je sais. C'est malheureux. Que va tu faire d'eux ?
- Ce qui voudrons rester pourrons. Ils seront en sécurité des autorités. Les autre, je les débarquerais dans le prochain port, après les avoirs abolies. Ils seront protégés des boulets, mais pas des négriers.
- Oui, mais certain ne peuvent rester.
- Malheuresement. déclara Alexandre en regardant une mère avec son bébé.

   Alexandre allait reprendre quand un homme entra brutalement dans la grand'chambre :

- Capitaine ! Une flotte de 4 frégates nous arrive dessus. Il marche vite et ont le vent pour eux.
- Nom de Dieu !

   
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« Répondre #9 le: 05 Avril 2009 à 12:40:35 »

   Alexandre, sortis rapidement du gaillard et monta sur le gaillard avant, faiblement élevé. Il tira sa longue vue et observa les 4 frégates qui venaient par l'avant babord.

- Nom de Dieu, ces fumiers de rosbeef. Ils a falu qu'il ramènent leurs sales culs ici. Jéricho ! Où en est le tranbordement ?
- On a pu ramener que quelque ballots de coton !
- Autrement dit, rien du tout. Bah, on a sauvé le plus important, les esclaves. Fais moi peter cette saleté, Jéricho !
- Ok. Tous le monde sur le Shark, vite !

   Les pirates sur la goélette s'empressèrent de regagner leur navire, tandis que Jéricho s'occupa d'intaller une mèche. Pendant ce temps, sur le Shark, Alexandre s'occupait de l'appareillage.

- Parez �  hisser les vergues ! Parez �  border les voiles ! Parez aux drisses et aux bras de vergues !

   Les marins s'activèrent. Tandis que lesanglais n'étaient plus qu'a 2 milles de l� , Jéricho sauta sur le Black Shark.

- On peux y aller, ça va péter d'ici 5 minutes.
- OK, répondis Alexandre, Hissez les vergues et le focs ! Bordez les voiles ! Larguez les amarres !

   Les marins ne pirent pas longtemps �  obéir. Les cabesta tourna et le grande vergues se hissa, tandis que les gabiers déferlaient les voiles pour que les matelots puissent les border. D'autre matelots coupèrent les manoeuvres qui reliaient le Black Shark �  la goélette.
   Le Black Shark vira et se placa grand largue tribord amurre. Peu après, la goélette explosa, et alors que les frégates de Sa Majesté entamèrent la poursuite, a l'exeption d'une petite qui mis en panne pour receuillir les marchands abandonné dans les chaloupes, les autres se mirent en chasse, tandis que le navire pirate fuyait �  toute vitesse telle une bête traquée.
 
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« Répondre #10 le: 03 Mai 2009 à 18:18:10 »

Chapitre II : La poursuite infernale

   La journée s'écoule et la nuit tomba. Débuta alors une violente tempête. Le Black Shark tanguait de tous le côté et plusieurs marins avaient l'estomac retourné. Sur la dunette, le timonier avait du mal a tenir la barre et avait fait appel �  2 autre matelots.
   Alexandre était de quart �  ce moment. On n'y voyait rien. Entre la nuit, le pluie, et la mer agité, la visibilité était nule. De violent éclair illuminait de temps �  autre la scène et on pouvait ainsi voir les 4 frégates anglaises qui étaient également très secoué.
   Afin de supporté la tempête, le Black Shark ne voguait qu'avec les huniers et la brigantine, tans le vent était fort. Quelque focs étaient également hissés. La voilure noir du Black Shark le rendaient très difficile �  voir, et des volet avaient été installé au fenêtre du gaillard arrière. Ainsi, le navire pirate était invisible.
   Tandis qu'Alexandre se tenait �  la barre, un matelot monta sur la dunette et s'écria :


- Capitaine ! Le la drisse du clinfoc est en train de lâcher ! Il faut la rentré, vite !
- Ferlez vite le clin-foc avant qu'il ne s'envole !
- A vos ordre !

   Le marin disparu et le clin-foc fut ferlé. Le maître voilier alla voir l'empleur des dégâts. Soudain, une lame inonda la dunette. Alexandre eu le temps de se préparer, mais un des matelot qui tenait la barre lâcha prise et alla cogner contre un canon de fuite.

- Appelez le médecin ! cria un autre.

   Un des matelots alla relever son compagnon, en mauvaise état. Avec l'aide de deux autre venu aider, ils le descendirent et l'emmenèrent près du chirurgien.

- Pouquoi on ne virent pas capitaine ? s'écria le timonier. Ils ne peuvent pas nous voir !
- Si on vire de bord on aura le vent de travers et pour ne pas se coucher il faudrai enlever presque toute la toile, et ils nous fonceraient dessus sans même nous voir ! On est déj�  quasiment en vent arrière ! s'écria Alexandre.

   Le Black Shark continua sa route dans le déluge. Soudain un éclair illumina la mer dans un vacarme immense. Mais de la lumière continua d'élairer. Lorsqu'Alexandre de retourna, il vit l'une des frégate en feu. L'éclair était tombé sur le grand-mât et les voiles avaient pris feu. Des gabiers en manoeuvre, désespéré, sautèrent �  la mer plutôt que de resté et bruler. Le reste de l'équipage commença �  mettre les canot �  la mer. Heuresement, l'une des frégate restante alla leur porter secours.

- Ca va nous aider. Plus que deux �  présent. J'espère quand même qu'ils s'en sortiront.

   Le Black Shark filait rapidement, toujours poursuivit. Au bout d'un moment ,le frégate en feu avait fini par sombrer. Avec la distance et la houle, on ne pouvait voir ce que faisait la frégate resté pour aider.  
« Dernière édition: 03 Mai 2009 à 18:20:06 par Black »
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« Répondre #11 le: 17 Mai 2009 à 17:23:18 »

   Le lendemain, la mer était toujours aussi agité. A cause de la tempête, le Black Shark n'avait pu mettre pleine allure et le terrain entre lui et les anglais était le même. Il pleuvait toujours averse et le ciel était très gris. Alexandre, debout sur le dunette, fixait les frégates anglaises. A moins de 3 miles, on voyait les deux premières, tandis que la troisième se trouvait loin derrière. Un homme monta rapidement sur la dunnette et s'écria :

- Alors capitaine ! On fait quoi ? On attend de se faire ratrapper ?

   Le nouvel arrivant était un homme de taille moyenne, mais assez imposant. Il était vétu d'un pantalon marron, de bottes noires et d'une chemise blanche, avec un bandeau rouge autour de la taille, tenant un sabre et un pistolet. Il avait les yeux gris, une petite bouche, de cours cheveux noirs et avait le visage serré.
   Alexandre abaissa sa longue vue et répondis calmement :


- Monsieur Brand. Pour votre information sachez que si l'on vire de bord, nous serions ralentis et ils n'auraient qu'a couper notre trajectoire pour nous rattraper.
- Alors on na fait rien ? s'énerva Brand.
- On attend de pouvoir mettre pleine voile.
- C'est inadmissible !
- Brand, vous êtes peut-être un exellent officier canonniers, cela ne vous autorise pas pour autant a discuter mes ordres.

   La rage au coeur, l'officier descendis sur le tillac, laissant Alexandre seul sur la dunette, perplexe.  
« Dernière édition: 17 Mai 2009 à 17:30:11 par Black »
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« Répondre #12 le: 29 Juillet 2009 à 16:56:07 »

   Toute la journée se ressembla. Pluie, vent, anglais. Le Black Shark filait suivit par les 3 frégates de Sa Majesté. Le moment du dîner arriva enfin. Le coq servit aux officiers un potage, avant de sortir ses marmite sur le tillac.

- Je ne sais pas ce que la plupart de vous en pense, mais je ne sais pas si ce que l'on fait est le mieux. Commença Brand.
- Que voulez-vous dire, Brand ? demanda un officier.
- Que je suis en désaccord avec le choix du capitaine quand �  notre route.
- Et que propose le grand marin que vous prétendez être, maître Brand ? demanda Alexandre.
- Virez de bord, mettez le navire en grand largue et on laisse ces sale rouget sur leur cul !
- Pour faire cela il faudrai pratiquement foncé sur l'ennemi. réagit Jéricho
- On serre le vent depuis deux jour et on se fait remonter, si on continue comme ça se fera avoir !
- Mais si on vire, ils nous rattraperons encore plus vite, et nous serions incappable de nous battre ! s'énerva Alexandre. Vous n'avez peut-être pas remarqué mais nous n'avons que 20 pièce de 12 par bordés et eux ils en ont autant, mais sont 3 !
- Alors on fait quoi ?
- On attend que le vent soit de notre côté, et si ils approchent de trop on leur balancera quelques boulets ramés.
- J'espère que vous savez ce que vous faîtes, capitaine.
- C'est une menace ?

   Le deux hommes se regardèrent, se lancant de sombres regards. Voulant détendre l'atmosphère, Enrique commença :

- Au fait, yé soigné les esclavé quien en avaient bésoin.
- Merci Enrique. Demain nous procèderons �  leur libération, et ceux qui le souhaiterons rejoindrons l'équipage. répondit Alexandre.
- Où comptez-vous débarquer les autres ? demanda un autre officiers.
- Nous verrons quand nous en aurons fini avec les anglais, mais je pense que nous irons �  l'Hôpital*. L�  ils seront en sécurité.

* : L'Hôpital : Il s'agit de nom de l'emplacement actuel de Port au Prince, en Haïti. A l'époque, les pirates, principalement français, avaient construit un hôpital, leur permettant de s'aventurer entre Cuba et les côte de Floride. Abandonné des colons depuis longtemps et plus ou moins toléré par la Courrone de France, les pirates ont ici un lieu de relative tranquilité.  
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« Répondre #13 le: 30 Août 2009 à 19:49:30 »

Chapitre III : Uryta le sage

   Le dîner terminé, la grande chambre se vida rapidement. Alexandre se retrouva rapidement seul avec son amis Jéricho.

- Que penses-tu de tous cela ? Demanda Alexandre.
- Je ne sais pas. C'est une situation peu confortable.
- Je crains toutefois que certain ne le comprennent pas.
- Tu parle de Brand ?
- Par exemple.
- Brand pense que tu est aussi bon capitaine que lui n'est hussard. Il ne nous fait pas confiance.
- C'est sur, je pensais qu'il faudra le surveiller. Ca m'ennui de devoir me méfier d'un de mes hommes, surtout quand celui-ci est un excellent officier.
- Bah, dans quelque temps il verra ce qu'on vaut et il se calmera.
- Je l'espère. Je te sert �  boire ?
- Volontiers.

Alexandre se leva et entra dans sa cabine, puis en ressorti avec une bouteille �  la main. Il prit deux verres dans l'armoire et servit Jéricho, avant de se servire.

- Qu'est ce ? Demanda Jéricho.
- De la liqueur. Je l'ai acheté lorsqu'on a fait escale �  Aruba.
- Ah, oui. Juste avant qu'on vienne dans ce coin.
- Oui, si j'avais su. Qui est de quart �  cette heure ?
- Jean-Etienne.
- Jean-Etienne... Perlac ?
- C'est ça. Confirma Jéricho.
- Un Breton, comme nous.
- Et un bon officier. Il se débrouille bien dans son poste de bosco.
- Oui, j'ai bien fait de le prendre. En plus, c'est gars qui semble ne pas sous-estimer ses chefs.
- Tant mieux.

   Alexandre et Jéricho burent ensemble une gorgé quand on frappa �  la porte. Alexandre autorisa l'entrée du venant.  
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