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GorRilLa
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« le: 27 Décembre 2008 à 15:17:57 » |
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Une partie de l'équipage du petit sloop entré dernièrement au port de Cayonne, "La Flèche", traversa les quartiers sombres de la petite colonie, la plus pauvre de l'île. Ils entrèrent dans une petite taverne, dont une lumière jaunâtre est sale jaillissait, rappelant le coucher du soleil. Ils entrèrent dans le lieu, assez fréquenté. Les voix graves des hommes se mêlaient aux cris des filles de joies, les tables dégoulinaient d'alcool renversé ci et l� . La douzaine de marins monta � l'étage, où la cacophonie régnait autant qu'en bas.
Un des hommes hurla au tavernier, pour essayer de se faire entendre : - "Six pichets d'bières et trois bouteilles de rhum ! Et du p'tit lait pour le mousse ! Hahaha !"
L'homme se retourna et regarda Mamoudou, leur mousse occasionnel, qui leur servait de vigie et de musicien, et qu'ils devaient amener � La Tortue pour quelques pièces d'or. L'enfant dévisagea d'abord d'un air méchant, avant de sortir de son veston une fiole de rhum, et de porter le goulot � sa bouche, le sourire aux lèvres. Les hommes se mirent � boire, chanter et raconter leur voyage � d'autres tablées. Quelques bouteilles et jurons volaient de temps en temps.
Puis, un homme aussi rouge que le vin de son pichet se leva en bas, et se mit � chanter ! Dans un silence presque religieux, les hommes se turent, puis se mirent � entonner le chant avec lui. Un homme demanda au petit pourquoi il ne chantait pas, puisqu'il était pourtant commun de faire chanter les mousses.
- "Le petit n'a plus de langue, regardes! (Il essaya d'ouvrir la bouche du gamin, qui lui mordit le doigt. L'homme se mit a rire) Mais il a encore ses dents le bougre! Il est très bon musicien aussi! (S'adressant au môme.) Vas-y petit accompagne nous!"
Le jeunôt attrapa de sous la table un étui, presque aussi grand que lui. Il en sorti un violon, de très bonne qualité, ce que chacun aurait pu dire en le voyant. Il se mit � accompagner les chants, et un � un, les hommes se taisaient en écoutant le son parfait de son violon. Il ne se fit entendre alors plus que lui, lorsqu'un homme � l'étage se leva et dit : - "Je veux ce mousse!"
Les compagnons du jeune homme dévisagèrent le personnage de mauvais oeil, jusqu'� ce qu'on les avertit :
- "Le capitaine Van Haasen! S'il veut avoir le mousse dans son équipage, il l'aura! Et c'est une bonne chose pour le p'tit! Cet homme est impitoyable avec ses ennemis, mais il est, d'après c'qu'on dit, un très bon meneur d'hommes!"
L'homme, de très grande taille, s'approcha alors de la table. Il enleva son chapeau qui recouvrait la majeure partie de son visage. Il laissa apparaitre un visage très dur et froid, et son regard n'était ni amical, ni hostile. Il s'approcha du petit enfant noir et lui sourit.
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« Dernière édition: 27 Décembre 2008 à 16:12:05 par GorRilLa »
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« Répondre #1 le: 27 Décembre 2008 à 16:54:47 » |
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L'homme massif regarda le petit sans lui adresser la parole. Ils échangeaient un regard en essayant de se cerner. L'homme était barbu, et avait les cheveux longs, son visage était celui d'un homme d'une trentaine d'années. Il avait un regard différent avec Sam, dont il ne connaissait rien, mais il semblait que le petit lui plut.
- "Alors petit, ça te dirait de voyager avec un capitaine comme moi? (L'enfant le regarde mais ne répond pas) Eh bien, t'as perdu ta langue? (L'homme sourit, le mousse lui rend son sourire, ouvre la bouche et lui montre sa langue, coupée) Je suis désolé petit. (En essayant de changer de sujet) Tu joues très bien, ça te dirait de t'engager comme vigie sur mon navire? (L'enfant sourit) Tu pourras même avoir un poste plus important si tu en as les capacités. Je suis le capitaine Van Haasen, ancien officier de la marine hollandaise, et chasseur de négrier."
En effet, on pouvait distinguer, � la table où il était assis juste avant, qu'un seul homme était blanc. Il y avait l� deux noirs et un indien. L'enfant supposa que ces hommes aient été libérés par Van Haasen et prit le geste du capitaine pour de la pitié. Il sorti un bout de papier et écrivit : "Je ne suis pas un esclave, et je ne me ferai pas engager par pitié sur votre bâtiment."
- "Il ne s'agit pas de pitié. J'ai besoin d'une vigie agile. Et de plus j'aime la musique. Mais si tu préfères rester ici, soit."
L'enfant fit un signe de la tête très spontané pour lui montrer qu'il était intéressé et qu'il ne voulait pas rester ici. Il écrivit : "Je serait vos yeux, à présent.". L'homme approuva d'un signe de tête, et serra la main d'un jeune homme. Il lui fit signer un papier déclarant son entrée dans l'équipage. Il remercia ses amis pour l'avoir amener jusqu'ici, paya son voyage et rejoint le capitaine Van Haasen et ses hommes qui sortaient de la taverne.
(HRP: suite � bord du Neptune, chébec du capitaine Van Haasen, au port de la colonie de Cayonne)
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« Dernière édition: 29 Décembre 2008 à 02:26:37 par GorRilLa »
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« Répondre #2 le: 28 Décembre 2008 à 01:05:54 » |
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Après avoir fait le tour de la ville et de quelques tavernes, le jeune Dorian se résigna � entrer dans une dernière devant la-quelle il était déj� passé, mais dont il se doutait qu'elle était la plus sordide � sa façade délabrée. Une fois � l'intérieur il vit que ses hommes respecté son ordre, ils avaient gardé la taverne la moin fréquentable pour la fin, ce qui le fit légèrement sourir. IL y avait tout de même une légère agitation, non pas une tention mais il cru sentir comme un air de festivité ici, et les tambourins abandonnés sur les tables le confirmaient. Il choisit une table de la-quelle il pourrait observer toutes les autres et ainsi répérer d'éventuels futurs membres du Neverland. Il s'assaya et ressentant une légère soif, il commanda donc 3 pintes de bières bien que déja légèrement attaqué par l'alcol ingurgité plus tôt et ressentant déj� l'envi animale de bagare le titiller, mais pour l'instant son instinct de conservation dominait, il savait qu'il n'avait que peut de chance � un combat � mains nues, quelques ématomes lui aidant � se le rappeler. Il prit la décision de rester assis et d'observer l'assembler, bien que de caractère proche de l'obssesion, un homme lui mit en un instant les nerfs a vif de par son arogance par la-quelle il jugeait et humilié les hommes présents dans la taverne. Encore trop sobre il prit la décision de l'ignorer le plus possible !
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« Répondre #3 le: 28 Décembre 2008 à 02:04:11 » |
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Le capitaine Achab entra dans la taverne avec quelques uns de ses solides gaillards, dans l'espoir de trouver un capitaine manquant d'hommes. Il s'installa et commanda � boire, tout en observant la foule de forbans amassés dans ce lieu. Il se prit même � chanter en maori en entendant le rythme de quelques pintes frappant les tables. Les quelques gaillards avec lui discutaient déj� , assez discrètement, du cas où Johnson avait alerté les troupes de Barbade, mettant ainsi les anglais sur la piste du baleinier. Mais le capitaine les ravisa et leur offrit une bouteille d'un très bon rhum, qu'ils burent avec respect.
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« Répondre #4 le: 28 Décembre 2008 à 02:17:43 » |
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JD, observant la scene de sa table, souriait � la vue de ces hommes qui semblait si joyeux et pourtant méfiants,n mais ses pensées furent troublées pour l'homme qui de nouveau, se plaisait avec ses camarades de boisson a médire de ces hommes et de leur capitaine a moitié sauvage qui pour lui ne pouvait être que le fisse dune geunon. Il n'eu pas fini de rire que l'ivresse l'ayant emportée sur la raison, le capitaine Dorian se jetée sur sans plus aucune retenue sur l'homme qui l'exaspérait depui plusieurs longues minutes. A peine lui avait-il fait perdre ses esprits que celui ci reprit le dessu sur le jeune homme et le repoussant d'une gifle sortie son arme et le mis en joue. _Diantre, saletés de pistolets, sont resté sur la tables ces cons ! S'exclama le menacé, à qui l'alcol avait un peu désorienté l'esprit.
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« Répondre #5 le: 28 Décembre 2008 à 02:28:05 » |
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Moi et mes hommes avions d'abord regardé la bagarre avec attention mais s'en avoir la moindre envie de s'y mêler, et de se faire remarquer si tôt sur l'île, ou du moins dans la taverne. Mais lorsque l'homme le plus ivre et le plus moqueur des deux sortit une arme et la pointa sur le second, mes hommes sortirent leurs pistolets qu'ils venaient � peine d'acheter, et je leur demandai de cerner l'individu armé. J'eus � peine le temps de prendre mon harpon que mes hommes avaient leurs pistolets pointés sur l'agitateur.
- "Eh bien mon gars, tu vas pas tirer sur un homme désarmé quand même? Tu serais incapable de le toucher, et en plus on te réduirait en passoire! Ola, reprends tes esprits!"
L'homme essaya d'analyser la situation, prit son arme puis déguerpit en jurant et en ordonnant � ses quelques amis de le suivre, ce qu'ils ne firent pas. Je retournais � ma table, alors que le second homme se relevait.
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« Dernière édition: 28 Décembre 2008 à 04:04:35 par GorRilLa »
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« Répondre #6 le: 28 Décembre 2008 à 03:56:31 » |
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Ne réalisant pas tout � fait ce qui venait de se passer, l'homme se retrouvait soudainement seul debout sans personne face � lui, lorsqu'il vit se rasseyant, celui qui était probablement l'homme qui lui avait évité un bonne correction.
- "Attends l'ami! Tavernier, envois quatre nouvelles pintes pour mon ami et moi! hurla-t-il. Cher ami, je crois que nous avons � parler ! Dorian, Capitaine Dorian, je ne m'y suis pas encore fait ! A quai avec mes hommes .... qui d'ailleurs devraient être l� ! Je pense te devoir une fière chandelle, ça me semblait plutôt mal engagé, mais je dois que je ne pensais pas qu'un autre capitaine me vienne en aide, serai-ce ton sang sauvage qui ta poussé � faire cela ? - A vrai dire, je n'aimais pas non plus la manière dont il nous dévisageait, mes hommes et moi. Laisses moi me présenter, Achab, capitaine du Pequod, baleinier tout juste arrivé de l'Europe.
(A moi même, en maori) * Enfin un homme blanc respectueux et assez poli pour se présenter*
- Dis moi Capitaine Dorian, je ne sais dans quelle activité tu exerces, mais n'aurais-tu pas besoin de marins expérimentés et solides comme les miens? - Baleiniers ! Soit tu ne connais pas grand chose aux baleines pour en chercher ici, soit tu es un piètre navigateur ! Où alors serait-il possible que la chasse � ces monstres marins te lasse ? - La chasse � la baleine a rendu fou mon père et l'a tué. Je suis déj� bien assez fou, et j'ai encore quelques années devant moi. Mes hommes sont forts et sont de bons marins, même s'ils ne combattent pas comme des soldats. Je te laisse réfléchir � tout cela, mais tu n'es peut-être pas le genre de capitaine que je recherche...
(Pour moi même, en maori) * Si c'est un pirate, il a de drôles de manière*
- Si tes hommes supportent la navigation des les mêmes eaux que les baleines, je pense sincèrement qu'ils peuvent s'avéraient être de joyeux gaillards sur les eaux d'ici ! Saches mon ami que j'ai justement posé le pied ici � la recherche de quelques hommes et � y réfléchir certains dans ton genre pourraient forts bien me convenir, cependant j'aurais une question avant tout, mon brave Achab ... - Yoho Dorian, excusez du retard ! gueula un homme tout juste arrivé dans la taverne, en compagnie d'une dizaine d'autres. - Capitaine Dorian, je t'ai déj� dit Kranik, de retour au navire t'ira dire bonjour a ma cabine ! (Se retournant vers moi) Mes hommes, ils n'ont pas encore tous saisis que depuis quelques jours ils ne sont plus mon égal ! Allez les pécords prenez des tables, littéralement et posez les a coté, apprenez a connaitre ces messieurs, il se peut que nous passions quelques journées ensembles sur l'eau ! - Eh bien posez votre question, hum, John, c'est bien ça?"
Le Capitaine Dorian me regarda d'un oeil étrange, puis sourit.
- "Certes, mais avant cela... Stringfelow, mes pistolets j'te prie ! - Tenez capitaine, rétorqua l'homme, en présentant les deux splendides pistolets. - Tu vois comme ils sont beaux, et bien c'est ce qui nous diffèrent tous les deux, de plus tu vois les hommes du monsieur et bien ce qui les diffèrent de vous tas de chiens galeux, c'est que eux ont de la discipline, quand je vous dit 3h c'est pas pour vous attendre 40 minutes de plus, sait-tu que par votre faute, et certes, un peu de la boisson, j'ai bien failli me retrouver avec une balle en lieu et place de glotte. Pourtant ce n'est pas grâce � vous si ce n'est pas le cas mais plutôt grâce � notre ami ici, dit-il en me désignant avec ses armes, que j'ai la vie sauve, monsieur qui bien qu'on ne ce soit jamais rencontré connait mon prénom! Il s'adressa à ses hommes. MON TAS DE CHIENS GALEUX ! EN JOUE ! "
Le capitaine Dorian et son équipage s'étaient levés et menaçaient de leurs armes les baleiniers encore attablés.
- Cher ami, n'auriez vous pas quelques explications ? Seriez vous devin en plus d'être un baleinier repenti ?
- L'explication du fait que je connaisse votre prénom alors que vous ne me l'avez pas dit? C'est simplement que l'homme chargé du registre au port l'a mentionné en parlant de votre navire, le Neverland si je me souviens. Pour tout vous expliquer (en prenant un ton plus bas) j'ai remarqué le drapeau noir près du grand mat de votre bateau. Et comment dire... je recherche des gens de votre accabit..."
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« Dernière édition: 28 Décembre 2008 à 04:09:31 par GorRilLa »
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« Répondre #7 le: 28 Décembre 2008 à 04:53:06 » |
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Essayant de cacher sa gène__Voila dès paroles bien savantes, je présume que vous n'avez pas été élévé parmis la tribut de votre parent sauvage ! Et bien mon cher (se rassayant) puisque nous sommes des hommes de l'accabit que vous recherchez, je dois avouer que vous me plaisez tous, et si cela ne vous dérange pas d'être traités comme les pécords que vous devez être du matin au soir, il y a de la place sur mon rafiot ! Mais avant cela, Capitaine, plus pour longtemps, Achab, veuillez répondre a ceci ...
_Capitaine êtes vous sur que c'est une bonne idée de leur faire confiance ?
_Légèrement agacé Mon brave Stringfelow, si moi je suis capitaine et toi maitre d'équipage c'est qu'il y a raison, et de plus cela implique plusieurs choses, dont une spécialement pour toi !
_ La-quelle capitaine ?
_Arrête de me couper quand je parle ou je te promet que la prochaine dont tu sera maître c'est des réserves de carcasses des ennemis tués depuis plus d'une semaine !
Ces paroles confortèrent Achab dans ses pensées, l'homme qu'il avait en face de lui était bien � la tête d'un navire pirate.
Après quelques secondes de réflexion _Trivette ! Tout est parait ?
_Oui capitaine quand vous voulez !
_Mon cher Achab si vous le voulez bien, partons deès � présent, je dois mener � bien une affaire dont je vous narrai les détails si vous désirez me suivre !
_Sachez avant tout une chose capitaine, c'est que mes hommes ne sont pas de simples marins stupides. Traitez les avec respect et ils feront preuve de discipline. Une autre chose, je ne tiens pas � passer simple matelot, et, si mes hommes et moi-même entrons dans votre équipage, je serais disposé � les commander plus facilement que vous, je demande donc � acceder au poste de second.
_Vous semblez plus proches de vos hommes que je ne le suis des miens, espèrons pour vous et bienôt pour moi aussi je l'èspere qu'ils seront d'un plus grand intélect que les miens ! Je ne promet rien rapport au respect envers vos vos hommes, mais je vais essayai, quand � votre poste vous devrait par avance me démontrer votre valeur...
_Et comment aurais-je l'occasion de le faire?
_Acceptez et ne vous en faites pas pour cela, si vous n'etes pas un simple d'esprit vous saurez vite le démontrer ! Pour l'heure que diriez vous de renvoyer notre équipage respectif � nos navires
_Je dois vendre mon navire dès l'aube, car la marine anglaise pourrait avoir été avertie de mes ambitions dans la piraterie, par un traitre de mon équipage, � Barbade. Et un baleinier est vite retrouvé... Surtout en ces eaux-ci.
_Certes maintenant partons !
Tous les hommes se levèrent et sortirent de la taverne qui bientôt fue presque vide, les ivrognes ayant préférés s'éclpiser devant l'imposante carrure des baleiniers ! Il ne restait plus que les deux capitaines, qui alors qu'ils s'appretaient � sortir eux aussi, Dorian posa sa main sur l'épaule du maori, plus haute que la sienne de quelques bons centimètre, et l'arreta.
_Capitaine Achab, veuillez maintenant que nous sommes seuls répondre � ceci, je souhaiterait savoir avant de confirmer mon offre. (D'un ton grave qui ne lui correspondait pas)_ Capitaine, avez-vous peur de la mort ?
Froidement, sans même réflechir, d'instinct, l'homme répondit : "Non", le regard lointain en direction de l'océan qu'on apercevait du pas de la porte. A ces mots, les deux hommes se sourirent. Dorian, donna la nuit pour que l'homme reflechisse, ils prirent rendez-vous le lendemain dans une maison de compagnie puis sortirent. Seul restait désormais, le maitre d'équipage Stringfelow, il terminait sa bière en regardant s'éloigner les deux capitaines dont les liens naissant ne lui plaisaient nullement. Il fini sa chope et le regard noir quitta � son tour la taverne.
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« Dernière édition: 28 Décembre 2008 à 05:16:45 par FrEeDoM »
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