De Valoy et Doroit: En route vers l'Espagne

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Un matin d'Avril 2 mois après avoir libérer Nantes et être envoyer en Espagne
De Valoy et Doroit partirent vers le port de Cadix pour surveiller les flottes espagnols et anglaises avec qui les relations de la France ont baissés.


Le port de Cadix abriter une dixaines de galions espagnols de guerre et des navires marchands.Les français étaient trop peu pour lancer une attaque, alors en cas d'agression il fallait rusé avec a nature comme allié


-restons un peu a distance du port chaquer les vergues dit De Valoy a ses marins

-Nous nous allons hissez le pavillon espagnol pour rentrer dans le port et a la nuit tombé on empeche les espagnols de sortir de la baie dit Doroit a ses marins.

Doroit hissa le pavillon espagnol et entra dans la baie en parlant espagnol a certains marins.

La nuit tombé les hommes de Doroit sabotent la chaine du gouvernail et brule les voiles qui étaient dans les cales.
Les 8 frégates se préparèrent a faire feu mais trop tard ils furent reperer et un combat,en faveur des espagnols , s'engagea.


-TOUS A VOS PIECES D'ARTILLERIE cria De Valoy.

Les salves de boulets endommagèrent les navires,la bataille fit rage.

   

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L'un des boulets anglais toucha un groupe de 4 marins et les tuèrent,le navire français se rapprocha du navire ennemis,l'abrodage fut ordonné,Doroit donna quelque coup d'épée pour massacrer quelques anglais,le capitaine du navire du navire galion espagnol engagea le combat avec le capitaine du Magnifique.
Le combat fut rude car les deux était de bon épéiste et il esquivé les coups,soudain après avoir taper la jmbe droite de l'espagnol Doroit enfonça son épée dans le coeur du caitaine espagnol.
  Pendant ce temps la sur "Le Saint Antoine",les soldats préparèrent les canons,le bruit des canons retentit l'un des marins espagnol fut privé de sa jambe droite a cause de ce même boulet ,les boulet du Saint Antoine détruisèrent les canons de l'un des galions puis il finit par après un tir lui perdre 15 marins car une salve de boulet touche le pont supérieur du navire.


-Le galion espagnol va perdre son mât,augmenter la voilure que l'on sorte de la baie du port avant que le fort nous nvoie par le fond avec ses pièces d'artillerie dit De Valoy  

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Les navires partirent et allèrent vers Barcelone,mais une tempete se déclancha et les navires fut mal ménné par les creux des vagues et les roulis,le vent déchira l'une des vergues tellemnt qu'il était fort et puissant.
C'est a Ibiza que des corvettes espagnol les prirent en chasse quelque encablure les s&rapere maintenant,mais après 10 minutes il firent a 30 mètre d'écartles corvettes sortirent les avirons et les canons.


-Il vont nous rattraper il nous faut un plan dit De Valoy
Préparons nous aussi les canons et hissons les voiles dit le second de De Valoy.


"Le Saint Antoine" hissa toutes ses voiles , il se raprocha des cotes espagnols pour y trouver de l'aide,mais  les corvettes sont tout pret ,


Continuez comme ça avec les avirons,hissez le pavillon de guerre espagnol et préparer vous a faire feu,nous allons emprunter de force ces navires dit le capitaine espagnol
On ne pourrait pas juste leur faire peur,pour qu'il fuit d'Espagne?dit l'un des marins espagnols
Vous ne comprenez rien !C'est plus facile d'obtenir ce qu'on veut des gens lorsqu'ils sont morts



Les corvettes se rapprochèrent de plus en plus des navires français la seule chose a faire était de lancer un combat sans merci et perdu d'avance pour les français a moins qu'il est une stratégie qui les fasse gagner,le capitaine Doroit et sa frégate "Le Magnifique" prit babord,se séparant du reste de la flotte.

-On prend babord et vous prenez tribord on fera deux groupes de 2 navires cria Doroit a De Valoy.

La flotte se sépara et comme prévu les corvette les suivirent mais leur nombre fut divisé se qui leur permetter de pouvoir combattre.
Les 2frégates française preparèent leur canons et virèrent de brod pour aller cannoner les corvettes espagnols

   

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Tous à son poste ! ordanna De Valoy aux marins qui se trouvaient sur le bateau, la bataille va être dure !

Les 2 frégates françaises se rapprochèrent de plus en plus des corvettes espagnols.

Les canons sont prêts à faire feu monsieur dit un marin en s'adressant au capitaine.
Très bien ! Préparez-vous à faire feu à mon signal!!cria le capitaine à ses cannoniers.
Feu!!!!!!!!!!!!!!!cria le capitaine.

Tous les boulets partirent en même temps sur les corvettes espagnols.

Monsieur, les voiles et le mât sont fortement endommagés. Nous ne pouvons pas prendre le risque de combattre avec un navire dans cet étât-l� . Nous sommes obligés de nous replier dit un marin espagnol au capitaine espagnol.

C'est moi qui donne les ordres sur ce bateau et je donne l'ordre de continuer �  attaquer dit le capitaine espagnol

Les corvettes espagnols fonçèrent droit sur les 2 frégates françaises. Le vent déricha les voiles,abima le mât qui était prêt �  lacher, les marins reculèrent de force au fond du bateau tirés par le vent mais le capitaine décida quand de continuer. Ils n'étaient plus qu'�  10 mètres les uns des autres. Après quelques secondes les corvettes espagnols vinrent se coller aux deux frégates espagnols pour se lançer �  l'abordage et ne laisser aucun survivant. Les espagnols commencèrent alors �  monter sur les frégates françaises. Au bout de quelques minutes, les bateaux espagnols étaient vide et les frégates françaises étaient pleines �  craquer. En plus des adversaires les marins avaient un autre obstacle : le vent qui les déstabilisaient. La bataille fut très rude et très longue. Pendant plus de queques heures les marins espagnols et les marins français se battèrent �  l'épée. Quelques heures plus tard, tous les marins espagnols se retrouvèrent �  terre et les français eurent perdu plus des trois quarts de leur équipage. Les marins français voguèrent de nouveau sur la mer toujours avec la tempête et retournèrent sur la côte française annoncer cette nouvelle �  tous les autres!!!