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Auteur Fil de discussion: Le premier abordage  (Lu 16007 fois)
Samuel
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« le: 06 Juillet 2009 à 19:10:36 »

    
      Moi et mon équipage cherchèrent pendant deux nuits et une demie-journée
un navire ....Il y eu même une tempête ou nous perdons un vigie qui est tombée du mat, quel boulet,  la patience de l'équipage déborda et je demanda a Phil' :

       -Hé phil, tu peux distraire l'équipage ?  
« Dernière édition: 21 Juillet 2009 à 11:48:49 par Samuel »
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Kathovar
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« Répondre #1 le: 08 Juillet 2009 à 11:15:00 »

Philodendron s'éveilla en sursaut en entendant son nom. Une bouteille d'alcool roula sur le pont suite �  ce mouvement, lui ayant glissée entre les bras, mais il la vit et la rattrapa prestement.

-Les distraire Cap' ? Bah j'vais tenter quèque chose ouais...

Il réfléchit quelques minutes �  ses possibilités: un concours de tir aux mouettes avec une récompense (une bouteille par exemple) peut être ? En plus il était sûr de gagner, et ça débarrasserait le ciel de quelques unes de ces saloperies... Mais mieux valait ne pas gâcher les munitions.
Quoi d'autre... Raconter une histoire ?


-Bon les gars, du moins ceux qui bossent pas, v'nez par ici j'vais vous raconter une petite histoire. Et prenez quelques boutanches au passage !

Les marins qui n'étaient pas indispensables au maniement du navire s'approchèrent intrigués, et s'assirent comme ils le purent, tandis que les autres ouvrirent grand leurs oreilles.


-C'était quelques engagements avant celui l� , je me souviens plus trop; la paye ayant été bonne je l'ai comme qui dirait bue pendant un bon bout de temps.
Le capitaine était un bon bougre, malin, astucieux, courageux et surtout charismatique. On s'promenait en mer comme on le fait actuellement pour chercher un bateau �  piller. Le capitaine était vachement bon, et plusieurs bateaux militaires étaient �  nos trousses, mais on s'en fichait: on savait qu'on pouvait gagner contre eux.


Philodendron fit une petite pause pour se désaltérer grâce �  une nouvelle carafe d'alcool apportée par l'un des marins, puis repris:

-Un matin, 2 bateaux s'amènent, pavillon Anglais 'videmment. Ce salopards ratent jamais une occasion de me venir me casser les couilles. Le capitaine voit les voiles au loin, réfléchit un moment et me dit: "Phil, amène moi ma chemise rouge !".
Moi je pige pas trop, mais je fais ce qu'il dit, naturellement vu que c'est lui qui me paye. Les bateaux arrivent, canonnade, abordage, le capitaine et l'équipage se battent comme des lions et miracle ! on gagne.
Lors de la fête le soir sur un des bateaux ennemis qu'était presque neuf comparé au nôtre, je m'approche du capitaine qui regardait tout ça d'un oeil amusé, et j'lui demande: "pourquoi une chemise rouge cap' ?". Il me regarde et me dit:
"comme cela, si j'avais été blessé, le sang se serait répandu sur la chemise de la même couleur et les gars ne l'auraient pas vu, ils auraient continué �  se battre sans prendre peur."
J'le r'gardais avec des yeux énormes, épaté par son courage j'peux vous l'dire. J'me souviens pas du reste de la soirée, j'étais trop bourré.
Le lendemain, c'est 5 bateaux qui se ramènent ! Le cap'taine les fixe longuement comme l'autre jour. Puis il se tourne vers moi et me dit:
"Phil, amène moi mon pantalon marron !"

L'équipage éclata de rire, détendu. Ils continuèrent �  discuter pendant quelques minutes, avant de s'en repartir �  leurs tâches. Ils attendaient maintenant sereinement la future proie, calmés par ce moment convivial.

-Ça vous suffit Cap' ? demanda Philodendron à Samuel.  
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Samuel
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« Répondre #2 le: 10 Juillet 2009 à 18:43:44 »

  


-...


Samuel ne répondit point car il regardait avec sa lorgnette d'argent un navire marchand Anglais, qui était �  l' Ouest du navire, a peu prés �  500 bras .

C'était un navire �  deux mats qui faisait le double de notre navire, le nom était : "The Brothers", Samuel remarqua qu'il n'y avait aucun canon ! Alors il ne pouvait dire que ce n'était pas un navire de la marine Anglaise, plutôt marchand ...

Samuel donna les ordres :
 
"�  bas-bord toute ! Navire Anglais marchand ! ; monter les voiles ! Mettez le drapeaux amie ! Marie ! prépare les armes vers la droite du pont pour les vigies et le coq ! Bosco ! prends deux hommes et mets le �  l'eau quand je te le dirai ! On attaque le soir !! PHIL ! N'EN PROFITE PAS POUR TE SOULER TOI ET LES GARS !!! C'est APRÉS !

J'admirai le coucher de soleil, et Marie venait me voir .

Elle commença :

-C'est ton premier abordage, n'est ce pas ?
Je regardai Marie, étonné.
 -Comment le sais-tu ?
-Les femmes sent ce qui ce passe, répond Marie, avec un large sourire.

Moi et marie regardions la fin du coucher du Soleil ...

Le soir venue, je donne les ordres à Phil :


"Bon ! tu prends 7 hommes avec toi et tu vas embarqué dans la grande barque , et tu vas lancer les grappins sur le navire, et vous tuez quelques uns qui sont sur le pont, ainsi que le navigateur, toujours présent. Quand tous cela sera finie, tu feras un signaux, par exemples le feu, mais pas un boulet de canon sinon tu vas réveiller         toutes la meute d'accord ? Marie ! tu reste avec moi et tu donnes les armes �  tous l' équipage !


  
   
« Dernière édition: 17 Juillet 2009 à 10:02:42 par Samuel »
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Kathovar
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« Répondre #3 le: 19 Juillet 2009 à 22:38:44 »

Philodendron, heureux de piller un navire marchand -ils étaient souvent plein de rhum- et heureux de massacrer un navire anglais -ils étaient souvent plein d'Anglais- se mit au travail avec allégresse, et choisit ses 7 compagnons:

Yvan les-longues-dents
, surnommé ainsi parce qu'il adorait mordre ses victimes
José le manouche, qui n'était actif que la nuit -c'est pourquoi on l'appelait batmanouche-
Ronan le gitan, doué au couteau et à la guitare
Santo el toro, un espagnol de 2 mètres de haut et presque autant de largeur d'épaules
Moktar le barbare, un africain schizophrène, doux et prévenant dès lors que l'on ne prononçait pas le mot "saucisson", �  la suite de quoi il devenait enragé et impossible �  maîtriser jusqu'�  ce que l'on lui apporte du chocolat
Ulric le maléfique, un Hollandais vachement fort pour trouver les points sensibles de ses ennemis et appuyer dessus jusqu'�  ce que la victime s'effondre en implorant sa maman
et enfin
Flagorne le malpoli, pas très doué pour trouver des surnoms mais incroyable niveau vocabulaire pour tout ce qui touche �  l'insultant, le scabreux, bref, tout ce qui est, d'où son nom, malpoli, et �  cause de quoi il avait appris �  manipuler le tromblon, uniquement pour les deux sens que l'on pouvait donner �  cette phrase.


-Bon les gars, commença Philodendron, je vous connais tous plus ou moins et je sais ce que vous valez. Comme l'a demandé le capitaine, on va se glisser l�  bas et égorger quelques mecs puis lancer le signal.
-Chef, j'aimerais ne tuer personne si c'était possible, vous savez que je n'aime pas trop ça...
-T'en fais pas Moktar, t'es l�  que si ça tourne mal. Les gars, on ne prononcera le mot en "s" que si on est repérés, ou si le capitaine décide de zigouiller tout le monde.
Vous êtes tous doués pour le couteau, donc on ne fait pas de vagues ok ?


Quelques "oui chef" et un "on va fumer ces putains d'enculés" se firent entendre, puis ils embarquèrent et allèrent doucement, �  coups de rames, couverts par la nuit, vers le bateau ancré non loin.
Ils lancèrent les grappins sur la poupe du navire, afin d'avoir moins de chances de se faire repérer, et Philodendron envoya José repérer les lieux.
Ce dernier grimpa lestement, jeta un coup d'oeil et égorgea discrètement �  l'aide d'un poignard effilé le marin de garde affalé l�  en train de dormir tranquillement. Il observa un moment, compta 6 autres hommes de faction dont 3 endormis et 3 en train de jouer aux cartes, puis fit signe �  ses compagnons de monter.
Une fois les 8 pirates �  bord, Philodendron répartit les tâches �  voix basse:


-Les 3 types endormis sont pour Flagorne, José et Ronan. Vous approchez discrètement, leur faites leur affaire et vous vous tapissez dans l'ombre sans faire de bruits. Les autres, vous armez vos pistolets au cas où les joueurs se rendraient compte de quelque chose. Si on se fait griller, il va falloir se battre, alors tenez vous prêts.
Quand les pionceurs seront crevés, on avisera pour les joueurs.
Allez y les gars !


Les trois hommes hochèrent la tête et se dirigèrent �  pas de loups vers leurs cibles respectives. Des lames brillèrent un temps, mais seules les voix des joueurs continuèrent �  se faire entendre.


-Four of Aces ? You got a four of aces ?!? You're just a cheater, look at my cards, I got 3 aces !
-Yes, look at your cards too: you got 2 of clover, stupid.
-Oh. Ok, forgot it and play again. (HRP/traduction à la fin du message pour ceux qui en ont besoin, en (1)/HRP)

Philodendron expira, puis planifia la future action:

-Moktar et Yvan vous restez ici, on va s'occuper des 3 restants. Bon, vous voyez la lanterne qui les éclaire ? On peut se glisser derrière eux si on fait bien gaffe en utilisant les trucs qui trainent: tonneaux, caisses, cordes... Santo, je te vois mal te camoufler en rampant vu ta carrure donc tu vas t'occuper du gars le plus proche de nous en te planquant pas loin. Ulric, tu viens avec moi: on fait le tour et quand je sifflerai on attaque en même temps.

Le trio se déploya et chacun se plaça près de sa cible. Philodendron but une gorgée se sa flasque de rhum, puis émit un sifflement.

-What the fuck... ? (2) fit un des marins.


HRP/duels avec un des MJ pour voir si on y arrive ? Je les attends en tout cas, si je n'en reçois pas avant demain soir je continuerai pour ne pas trop faire attendre Samuel.

Traductions:

(1)
-Carré d'As ? Tu as un carré d'As ?!? T'es qu'un tricheur, regarde ma main, j'ai 3 As moi aussi !
-Oui, regarde tes cartes également: tu en as 2 de trèfle, imbécile.
-Oh. Ok, oublie ça et distribue.

(2)
-Mais qu'est ce que... ?/HRP
 
« Dernière édition: 19 Juillet 2009 à 22:43:21 par Kathovar »
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« Répondre #4 le: 21 Juillet 2009 à 11:13:16 »

HRP/ aucun duel �  l'horizon, j'ai laissé plus de temps qu'annoncé, je reprends donc comme j'en ai envie... /HRP


L'Anglais n'eut pas le temps de se rendre compte de ce qui se passait, la boisson et la fatigue ne lui ayant pas laissé de quoi émettre ne serait ce qu'un cri. Il s'effondra doucement tandis que Philodendron essuyait son poignard et que Santo étranglait sa victime. Sa seule arme était un long couperet qu'il n'osait pas manier lors d'une telle action de peur de blesser un de ses camarades, aussi fit il vite en brisant la nuque du soldat.

-Ulric, par pitié, on n'est pas là pour jouer... chuchota Philodendron.
-Deux secondes chef, j'essaye d'obtenir des infos.
-Mais depuis quand tu parles anglais ?
-Bah... Bon ok, laissons tomber les infos.

Il appuya férocement sur sa lame qu'il tenait auparavant enfoncée dans l'aine du dernier garde, juste assez pour que celui ci sache qu'il n'avait aucun intérêt �  crier, juste assez pour qu'il soit plié en deux en tentant d'éloigner son bassin de l'arme, juste assez pour que quelques larmes perlent �  ses yeux, et l'homme s'écroula dans une position grotesque.

-Bien joué les gars. Maintenant vous gardez vos pétoires �  portée de main et vous surveiller les accès au pont, un ou deux par entrée, et vous faites le moins de bruit possible. Je vais prévenir le capitaine.

Il sortit quelques objets de sa sacoche, puis s'en servit: il imbiba un foulard d'alcool, l'enroula autour d'un bout de bois et usa d'un briquet �  silex pour faire prendre la flamme. Le torchon s'embrasa, provoquant une vive lumière.

Il le hissa.
 
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Samuel
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« Répondre #5 le: 21 Juillet 2009 à 12:14:42 »


Samuel vit la torche se hissant, et tous l'équipage était sur le pont, prêt.

"Ne montrez pas votre rage en hurlant, montrez l�  quand vous seriez en train d' égorgée la gorge de l'ennemie, d' accord ?"

L'équipage montra leur volonté de tuer au capitaine en faisant des sourires, ou bien certain sortait leurs dagues.
Samuel se rapprocha de plus en plus du navire marchand, et dit :

"prenez les grappins, Marie, viens avec moi.

Samuel se dirigea vers le pont et ils prirent tous un grappins.

"À mon signal, lancez tous vos grappins."

"The Brothers" était �  a peine trois mètre environs,nous vîmes Philodendron sur le pont qui nous attendait.

"Lancez les grappins !"

Les grappins s' agrippa aux sabords du navire, ou bien sur la poupe.

"Tirez !", Hurla Samuel.

Le navire marchand se rapprocha d'une moitié d'un mètre du "Lyberty's Queen", qui était possible pour nous de sauter jusqu' au pont.

Tous l' équipage sautèrent, et il arrivèrent au pont :

Samuel vit deux pièces diamétralement opposés du pont, et Samuel continua :

"Faites deux groupes et explorer le navire, Phil, bien joué, tu seras récompensés.

   
« Dernière édition: 21 Juillet 2009 à 13:57:17 par Samuel »
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Samuel
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« Répondre #6 le: 25 Juillet 2009 à 18:06:18 »

"Bon ! les équipes ! :

Avec moi :

-Ronan, Moktar, Kafi , Roger, yvan, Pascal et aussi Mechticurturle suivez moi ! Marie, tu t'occupes du reste, �  au faite Moktar, saucisson !
dit Samuel.
Le visage de Moktar le barbare devint furieux, montrant ses dents, il se dirigea vers une des pièces,Samuel et l'équipe le suivirent.

Samuel prit une torche et se mit devant Moktar, ils descendent les escaliers et ils virent des grincement. de pavés ; quelqu' un se dirigea vers le groupe. L'allée était petite, et Samuel faisait signe �  l' équipage de ne plus bouger. Il éteignit la torche et sortie son couteau, les pas se rapprochèrent, et, une personne était l� , devant le groupe, avec une torche. Stupéfiées de peur, il recula, et tomba, �  cause d'une caisse. la torche ne s'éteignit pas . et Samuel marcha tranquillement, remet son couteau dans sa cache secrète, et marcha, il enjamba l' homme, toujours par terre, et dit :

"Tuez-le"

Yvan sautèrent sur la personne, munie d'un couteau, il prit la langue de l'homme et trancha , comme ça, il ne pouvait plus alerté ses compagnons.
Moktar, lui, se munie de ses dagues, et lui enleva ses yeux de ses orbites. Il y eu du sang partout. Kafi prit �  son tour son épée, (le seul qui avait une épée dans l'équipage),
et lui coupa les jambes. Un autre lui coupa les doigts. Enfin, �  cause d'une trop perte de sang, il mourra.
Samuel prit la torche, et continua l'allée.

Ils arrivèrent dans une salle ou il y a des ronflements, et des hamacs ; ils sont dans le dortoir.

Tous le monde se munie de leurs armes, et ils rugirent tous, mais pas Samuel. Bien sur, ça alerte l'équipage ennemie. Kafi découpa un hamac, Yvan donne un coup de dague dans le ventre de quelqu'un, et il mordit sa victime, du coté de Samuel, il prit son pistolet et visa une personne qui allai prendre un mousquet, sa balle lui traversa la tête.
Moktar sortie ses dagues et se mit �  découper les jambes de ses adversaires.
Roger était en train de se battre contre deux personnes ayant des sabres, pendant qu'il était en train de riposter un coup sur un des deux, que l'autre prit le temps de lui trancher la tête. Sa tête tomba entre les jambes de Mechticurtule, son meilleur ami.
Mechticurtule, regarda ses adversaires, il prit ses deux pistolet qu'il avait préparé avant l'abordage, et visa les deux dans un minimum de secondes. il tira, il eu un dans l' abdomen, mais l'autre l' évita et se posta derriere Mechticurtule, il allait le tuer, mais, tout �  coup, Samuel lui trancha la gorge grâce �  son couteau.

À la fin du combat, Samuel dit :

" Mes amis ! vous vous êtes bien battus, mais regardés cette homme,roger, qui a combattue �  vos côtés, mais qui est mort, regardez ce brave homme !

   
« Dernière édition: 25 Juillet 2009 à 18:20:21 par Samuel »
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Samuel
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« Répondre #7 le: 25 Juillet 2009 à 18:33:48 »

"bon les hommes ! vous allez voir cqu'é qu'une femme ! suivez moi ! "
Dit marie, en faisant son sourire.

Le deuxièmes groupe suivirent Marie.
Ils arrivèrent dans le couloir. Marie prit une torche et dit �  Philodendron :

"Tu vas devant, je ferme la marche"

Le groupe composés de Flangorne, Santo El Toro, Phil, Marie, de aussi José le manouche, de Sayarchekturmel (le frère de Mechticurtule), et de Paulo, descendirent les escaliers.

Ils arrivèrent dans la salle du coq, et il y avait de nombreuses portes, en tout 4.

"Bon ! On vas faire des équipes.

"-HAAAAAAA
--Qu'est-ce qu'il y a Paulo ?demande Marie
-Ya, Ya, Ya Ya Ya un un
-Un Quoi ?
-Un RAT !! répond Paulo
-Hé alors ? répond Santo, qu'est ce ça te fait ?
-chui Rastophobe.
-ça existe pas andouille ! maintenant tu vas la fermer et t'avance !"

Ils arrivèrent enfin �  une salle : la cuisine du coq.
Il y avait beaucoup de salles,en tout trois, et Marie donna les ordres

""Bon, on va faire des équipes de deux, Sayarchertruc, enfin saya, désolé de t' appelé comme ça mais c'est plus facile, avec moi, Paulo aussi. Les autres, faites vos équipes ...

Chaque équipe ce dirigèrent vers une porte, et Marie continue :

"On se retrouve là, surtout, ne mourez pas  Tire la langue"
 
   
« Dernière édition: 26 Juillet 2009 à 12:22:40 par Samuel »
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Kathovar
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« Répondre #8 le: 26 Juillet 2009 à 16:25:18 »

Une fois Marie entrée dans la salle qui lui était dédiée, Philodendron se permit un commentaire:

-Alors, z'avez bien vu de quoi les femmes sont capables les gars ? Impressionnant hein ? Me faire passer devant pendant que son joli p'tit cul reste bien protégé derrière nous tous ! Moi chuis époustouflé, qu'est ce qu'on f'rait sans elles...
Bon ça reste le second: mettez vous par équipes. Flagorne, tu viens avec moi on va aller par l� .


Philodendron et Flagorne attendirent que tous soient entrés dans une pièce, au cas où il y aurait quelques flemmards ou trouillards qui se seraient débinés, puis se préparèrent �  aller dans la leur.

-Tu crois qu'il y a quelques connards �  défoncer Phil ? J'ai vachement envie de cogner ces bâtards d'Anglais.
-On verra bien Flagorne, on verra bien. Et puis si tu pouvais arrêter un peu de jurer, ça me fait mal �  la tête �  force...
-Ben je vais faire de mon mieux pour éviter de t'emmerder.
-... Merci Flagorne.

Sabres au clair, pistolet �  la main, ils entrèrent.
Ils pénétrèrent en trombe dans la cabine du capitaine, qui, alerté par les bruits qui montaient dans le reste du navire, s'habillait précipitamment. Le temps s'arrêta quelques secondes, l'Anglais éberlué de voir ainsi deux hommes armés débarquer dans sa cabine, Philodendron et Flagorne révulsés par les manifestes hémorroïdes du chef adverse.
L'homme sortit le premier de sa torpeur, boucla son pantalon, s'empara d'une lame et s'écria:


-YOU'LL DIE, FUCKING BASTARDS ! (HRP/ça se passe de traduction je pense/HRP)

Il se fendit et porta d'emblée un coup d'estoc agressif �  l'encontre de Flagorne qui l'esquiva prestement mais dont la surprise et le mouvement firent se crisper les doigts et partir la balle du pistolet qui se perdit dans le sol de la cabine. Le Malpoli, en combattant émérite, le prit immédiatement par le canon et se prépara �  frapper avec la crosse le capitaine déséquilibré. Philodendron lui retint le bras, l'attira vers la porte et dit:

-Laisse le moi Flagorne. Je connais ce fils de pute, il était officier dans la marine anglaise lorsque j'étais bagnard �  Anguilla. C'est lui qui m'avait transféré, et je peux te dire que pendant le voyage il m'en a fait baver...
-Tu veux te farcir ce dindon tout seul ? Fais gaffe �  l'endroit ou tu places la farce, il a un trou vraiment dégueulasse, hahaha...

Flagorne se plaça en riant devant la porte pour empêcher le capitaine de sortir. Ce dernier observait �  présent Philodendron, les yeux exorbités, le reconnaissant. L'homme avait passé les 35 ans, et n'avait pas la trentaine au moment des faits, lorsque, jeune officier, il s'était laissé aller avec ses camarades �  un amusement courant, la torture des prisonniers Français.


-Toi, je connais, je souviens...
-Ouais, tu me connais Winter. Et moi aussi je me souviens. Comment se fait-il que tu ne sois maintenant que chef d'un navire marchand hein ? Ils t'ont reclassé, ils ont enfin vu que tu n'étais qu'un malade sadique ?
-Tu avoir tué English soldiers, toi un criminel ! s'exclamma le dénommé Winter.
-Et la liste de mes crimes va s'allonger un petit peu. Je vais te crever, en souvenir du bon vieux temps.

Philodendron rangea son pistolet encore chargé dans sa ceinture et leva son sabre, son adversaire faisant de même. Le sabre français et l'épée anglaise volèrent, le fer fit des étincelles, et le tout ne fut qu'une suite de mouvements rapides: taille, parade, revers, bottes, esquive...
Bien que commençant �  vieillir, les deux combattants restaient agiles et surtout expérimentés. La différence tenait dans le style: alors que l'Anglais était excellent mais restait très scolaire, Philodendron était un combattant de la rue, et il n'y avait pas de manuel, on frappait quand on pouvait, comme un lâche si possible, parce que le gars en face cherchait �  tuer, et qu'il fallait l'en empêcher.
Alors que le Winter tenta une nouvelle estocade, manoeuvre dangereuse mais meurtrière, Philodendron se décala de quelques centimètres, coinça le bras adverse avec le sien et décocha un coup de boule dans le nez de son adversaire qu'il relâcha aussitôt pour ne pas avoir �  subir de contre.
L'homme recula, la figure en sang et le regard affolé, se ressaisit et repassa �  l'attaque. La danse terrible recommença, mais la douleur de Winter avait doublé sa force et un coup de taille puissant que Phil para difficilement parvint, en forçant encore un peu, �  toucher sa peau. L'Anglais, un sourire carnassier aux lèvres, ramena vivement son arme vers lui, laissant une longue et profonde entaille dans le bras de son ennemi.
Philodendron grimaça mais ne flancha pas: le coup avait été porté �  son bras gauche, et il était droitier. Il continua donc le combat.
Flagorne lançait quelques encouragements, �  sa manière tels:


-Tu vas l'enculer avec des graviers Phil ! Ma grand mère éclopée baise mieux que tu ne te bats, le rosbif !

Ou encore, le fameux, long, inspiré et poétique:

-Ta mère n'est pas digne d'être une pute, elle ne se fait même pas payer pour être la connasse de trainée sur laquelle on est tous un jour passés, parfois plusieurs en même temps ! C'est d'elle que tu tiens ce trou du cul pas vrai ? Elle se l'est tellement fait agrandir et abimer que ça se transmet maintenant de génération en génération hein ? Et toi tu perpétues la tradition �  ce que je vois, l'enculage c'est un peu votre passe temps dans la famille Winter non ?

Entre ces quelques intermèdes chatoyants, le combat se poursuivait, mais �  un rythme maintenant moins effréné, les adversaires s'épuisant peu �  peu. En un dernier sursaut d'énergie, Winter se projeta sur un Flagorne occupé �  chercher sa future insulte, l'épée en avant, afin de fuir. Philodendron n'hésita pas, sortit son pistolet et d'un geste fluide tira, atteignant son opposant dans la nuque.
L'homme entrainé par son mouvement s'écroula de tout son long, l'épée auparavant tendue poursuivant sa course en une courbe maintenant descendante, pour finir plantée dans la porte, entre les jambes de Flagorne.


-Bah putain de bordel de merde, merci Phil tu m'as sauvé les joyeuses.
-Avec plaisir Flagorne, fit un Philodendron essoufflé. J'aurais aimé l'avoir �  la loyale, mais c'est lui qui s'est débiné en premier j'ai pas eu l'choix...
-Et j'en suis bien content, j'y tiens moi �  mes bijoux de famille, et toutes les femmes du monde aussi, lança Flagorne avec un rire gras. Bon voyons un peu ce que notre capitaine cachait comme trucs précieux...

Philodendron s'affala, pensif. Et enfin vengé.  
« Dernière édition: 26 Juillet 2009 à 16:39:40 par Kathovar »
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Samuel
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« Répondre #9 le: 29 Juillet 2009 à 14:25:48 »

Du côté de Marie, tout ce passa normalement, ils se trouvêrent dans une salle, remplie de sabre, épée, il y avait de la poudre, beaucoup de poudre, et des mousquets.

Saya , voyant cela, dit :

"-Hé Bé, c'est quoi cette artimmaille ? 'Ya un bateau de marchand ou de guerre ?!
-ça doit être un bateau de munitions pour la marine Anglaise ...répond Marie"

un petit bruit coururent les pavés de bois devant le groupe et Marie brandit la torche.
Ce bruit est en faite en provenance d' un ...

"RAT !!!, hurla Paulo."

Le rat s'enfuit et Paulo sortit son pistolet �  silex, il suivit le rat, qui se cacha loin de Marie dans une petite masse de poudre.

"Meure petit r... petit mammifère !
Attends !dit marie, en brandent son bras.

Paulo n' entendit pas,Marie et Saya se cacha derrière une table que Saya fit tomber, et Paulo tira.

     Pan     BAAAAAAOUUUUUUM

Un membre tomba entre les jambes de Saya qui vomit en voyant cette horreur.
Marie regarda, elle vit que la poudre a fait exploser une partit de la pièce, ou il y avait de l'eau ; le bateau commençai �  couler. Une Sueur dégoulinait le front de Marie, et il regarda Saya, qui lui était tétanisé. Elle eu un sourire mesquin, et lui donna deux belles baffes dans les joues de Saya, et elle dit :

"Haaa, ça fait du bien de donner des baffes �  un homme, j'aurais préféré donné des baffes �  Philodendron je crois qu'il m'aime pas. Bon ce n'est pas tout Saya, On coule !

Saya regardit Marie l'aire écoeuré, qui était bouche bée. Il se dirigea vers les mousquets et en prendit scinq au moins ... Marie fit du même et se dirigea vers la sortie ...

Ils courrurent et ils virent Philodendron, en sueur.
Marie dit �  Philodendron :

"Désolé on dirait que tu est fatiguée d'un chien qui a besoin d'eau, bein ya de l'eau en bas, HAHA, enfin bref, "ON COULE !"

   
« Dernière édition: 04 Août 2009 à 11:39:42 par Samuel »
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« Répondre #10 le: 30 Juillet 2009 à 16:37:35 »

Du coté de Samuel, tous se passait normalement ...
À un problème prés ; Moktar  n'avait pas de chocolat et il commençait �  regarder tous le monde du mauvais oeil, car il avait toujours pas du chocolat ... Tout le monde ne s'en méfie pas, car ils fouillaient la pièce ...


"Tueeerr"dit moktar.

"Tous le regardèrent, étonnés...

"Ha je sais, il n'a pas eu son chocolat ! dit Kofi, Quelqu'un en a ?"

Tous le regardèrent, bouche bée, ils eurent le teint mat, et c'était la panique ; ils poussèrent des cris qui, même un sourd entendra les hurlements . Cela énerva Moktar, donc ils se calmèrent et se regroupèrent dans un coin de la pièce, tandis que Samuel continue de fouiller les morts, n' hésitant pas de couper les doigts des victimes ayant des dagues.

"'Doit bien avoir un autre moyen de le calmer ... chuchota Yvan aux autres.
-Oui mais quoi ?répondit Pascal, Ha je sais !
-Quoi donc ? dit tous en même temps le groupe."
 
    Pascal ne répondit pas . Moktar grinça le mur avec ses ongles et ses dents, et Pascal se dirigea vers lui, Moktar le vit et sortit ses dagues.

"Tu vas arrêter de faire le con petit puceau de merde Huh? hurla Pascal, et il lui donnent une baffe qui claqua sur sa joue.
"HIIIIIcria Mechticurtule, les yeux exorbités fixant la main de Pascal.

Moktar baissa la tête, la mine sombre. Peu de temps après, il releva la tête et montra ses dents a Pascal, qui lui vit que Moktar avait encore la marque rouge sur sa joue ... Pascal commença �  avoir peur et il recula, et se réfugie vers le groupe .  

"-ça marcha pas, continue pascale.
-c'était �  prévoir,répond mechticurtule. mmm, je crois que j'ai une idée ..."

Mechticurtule se dirigea vers Moktar, prés �  tout de ce qu'il peut se passer ... il regarda un dernier coup d' oeil vers le groupe, en faisant un sourire où ils virent ses dents noires et une dent en or, beaucoup pensèrent qu'ils pouvaient peut-être récupérés sa dent dans son corps ... Moktar était l� , debout, et il était en train de lécher sa dague pleine de sang qui dégoulinait j'usqu�  sa bouche . Il prit une bouffée d'air et il hurla :

"COUCHÉE SULTAN !!"


D'un bon, Moktar se mit �  plat ventre, l'air terrorisé ...
Les autres firent au début un sourire, puis ils acclamèrent Mechticurtule, et Samuel fit un soupire. Il se dirigea vers le groupe qui étaient en train de porter Mechticurtule qui lui, était aux anges, a parts un qui voulait avoir sa dent en or ... Il dit :


"Bon, vous avez finies vos conneries les enfants, et toi Moktar au lieu de faire le con, prends ce chocolat,(Moktar l'avala rapidement, et il redevenue un schizophrène.) -Alors j'ai risqué ma vie pour rien ? tu fais chier de gacher mon plaisir !
-Ferme la ! encore un mot et je t'envoie illicoe sur une île déserte et tu veras plus ta maman que je t'entends rêver d'elle le soir.

"Mechticurtule eu très peur, il avait de la morvelle qui sortait de son nez .
Tous le groupe continuèrent les fouilles mais pas Moktar, qui, lui, vomit en voyant tous ses morts ...


 

   
« Dernière édition: 04 Août 2009 à 11:42:24 par Samuel »
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« Répondre #11 le: 02 Août 2009 à 21:21:57 »

Alarmé par l'explosion, Philodendron exhortait Flagorne, toujours occupé �  fouiner, �  sortir de la cabine pour voir ce qui se passait:

-Flagorne, on se tire, c'est un ordre !
-Mais putain de merde Phil, tu vas pas laisser tout ça ici... C'était qu'une petite déflagration de rien du tout, probablement un des gars qui s'est amusé avec un canon.
-"De rien du tout" ? Tu te fous de moi, il doit manquer la moitié du navire, on se barre j'te dis !
-Laisse moi au moins... OUAH PUTEBORGNE, matte moi c'te bague, elle doit valoir un paquet !
-Embarque la et suis moi, vite !
-Ouais, ouais, j'arri... Mais vise moi un peu ça, une bourse pleine ! Héhé ton pote devait se faire des couilles en or avec ce job, il est sacrément prolo l'enfoiré...
-PUTAIN DE MERDE, FLAGORNE !

Ce fut sur ce dialogue de sourds que surgit Marie, passablement affolée, qui lança d'une voix nerveuse:


-Désolée, on dirait que tu es fatigué comme un chien qui a besoin d'eau... Ben ya de l'eau en bas, HAHA, enfin bref, ON COULE !
-Sache jeune fille que le pirate qui verra Philodendron boire de l'eau n'est pas né. Donc j'te suis, et SI FLAGORNE VEUT CREVER NOYÉ QU'IL LE FASSE, fit il en haussant le ton �  l'adresse de son compagnon.

Celui ci reçut le message, et ils partirent tous les trois, croisant ça et l�  quelques uns de leurs camarades hésitant entre le pillage et la fuite. Philodendron vit les armes dans la pièce visitée auparavant par Marie, et lui non plus ne résista pas: il prit un mousquet dans chaque main, quelques balles et sachets de poudre qu'il se fourra dans les poches tandis que Flagorne choisissait avec soin un unique tromblon et des munitions.
Ils repartirent en vitesse, le bateau se mettant �  pencher de plus en plus.


-Mais tu sais qu'avec tes conneries on va tous se crever Flagorne ? fit un Philodendron haletant. Si t'avais pas cherché toutes tes bagouzes, on se serait taillés �  temps, mais l�  on va y passer ! Et puis qu'est ce que tu fous, c'est pas le moment de charger ton engin !
-Hahaha Phil, je savais que t'étais aussi vulgaire que moi ! rigola Flagorne tout en remplissant sa nouvelle arme de poudre.

Bien lui en prit, car �  l'instant ou ils virent la sortie la porte pivota sur ses gonds et se referma en claquant suite �  une secousse du bateau, les faisant prisonniers.
Flagorne brandit son arme, et dit d'une voix forte:


-Regardez tous comment Flagorne le Malpoli sait utiliser son tromblon pour défoncer tout ce qui passe !

Il tira sur le côté où se trouvaient les charnières et la porte vola en éclats, leur permettant de fuir vers leur navire qu'ils firent s'éloigner un peu de l'épave, tout en laissant les cordages attachés pour que Samuel et les autres puissent revenir... Si ils en avaient le temps.  
« Dernière édition: 03 Août 2009 à 10:07:20 par Kathovar »
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« Répondre #12 le: 04 Août 2009 à 11:59:47 »

Samuel et leurs compagnons entendirent le bruit désastreux qui résonna dans toute les salles du navires ... tout le groupe, même Samuel, arrêtèrent de fouiller les corps des cadavres gisant dans le sol .
Mechticurtule, affolé,tremblant et nauséeux dit :


"-Qu'est-ce que c'est que ce bruit ?
-J'en sais rien,répondit Samuel, mais vas falloir de se bouger le cul les gars !
-il doit avoir un problème avec les autres ...continua Kofi, interromptant le moment ou il prit les sabres dans la salle �  coté ...
"Bon les gars, on vat sur le pont pour voir ce qui se passe, et on se casse de là."

Certains était dégoutés de ne pas continuer le pillage, il prirent tous les objets de valeur des malheureux mort ou leurs armes ; dagues, anneaux, bracelet,chapeaux ...
 
Il suivirent  leur capitaine qui marcher rapidement j'usquau pont, en disant des jurons �  tous les trois pas ...

Arrivés au pont, le groupe vit Philodendron et Marie qui attendait Samuel.
Marie commença a parler �  vive voie :

"Cap' ! enfin je t'attendais ! Cette putin de Paulo �  tiré sur le stock de munitions et on coule ! Ya Phil' qui �  descendu le cap, et l� , j'attends tes ordres ..."  

Samuel eu une veine bleu sur son front et il prit son sabre qui coupa en deux le cigare qu'était en train d'allumer Kofi,  et le remis dans son fourneau.
 Le bateau était en train de plus en plus pencher et Samuel nu le temps de réfléchir, d'un ordre bref, il hurla �  l'équipage :

"Prenez tous le pillage en un minimum de temps ! laissez les vivres si vous avez pas le temps !"


   
« Dernière édition: 26 Août 2009 à 20:27:01 par Samuel »
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« Répondre #13 le: 29 Août 2009 à 12:50:37 »

Soudain, d'un bond de trois mètres, Samuel sauta sur son navire et atterrit sur le pont en faisant une roulade avant .
Il aida �  Marie de prendre deux mousquets et il le mit avec d'autres armes située dans une pièce où était rangés les canons, pas trés loin du pont.

Il se dirigea ensuite vers le gouvernail et contempla si tous se passait comme prévue.
Aprés que l'équipage ont mis le butin la cave,et que le bateau de munition Anglais soit coulé, Samuel vit alors une dispute située au pont, entre Philodendron et Flagorne.

Il descendit rapidement et fit bousculer son équipage qui les entourées .
Dés qu'il les virent,
il hurla :


"TOUS LE MONDE À SES QUARTIERS !!Marie,Philodendron et Flagorne, vous restez içi !

Tous le monde s'éxectutèrent rapidement et Samuel continua d'un ton plus calme :

-Qu'est-ce qu'il se passe Marie ?Dit-t-il en soupirant
-Bein ...
-Ce puceau de merde veut me prendre ma bague je vais l'encul... !intervient Flagorne
-Ta gueule !,hurle Samuel, se reprenant, il dit d'un ton calme :

Bon et bien mon petit Flagorne, tu vas faire un duel contre phil' �  celui qui tira le plus de mouettes avec un pistolet ou bien un mousquet ... Si tu gagnes, elle est �  toi, et si tu perds ...
-O putin ! tu sais bien que cette tête de noeud est un pervers auprés des mouettes et tous le monde sait que il tire dessus s'il en voie une ! ce fada de mes deux que je me branle chaque nuit...
"Tu préfères être sur une île déserte ?intervient Marie, ayant tous écoutés.

Flagorne ravala sa salive et ne dit plus rien ...
Philodendron prépara ses armes et Flagorne aussi ...
Le duel allait bientôt commençé
 
« Dernière édition: 01 Septembre 2009 à 14:24:48 par Samuel »
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« Répondre #14 le: 04 Septembre 2009 à 17:43:15 »

-Tu sais que t'as aucune chance Flagorne, t'es bon avec ton tromblon mais ça sert �  rien contre ces volatiles... Et au mousquet je suis nettement meilleur. T'es sûr que tu veux pas lâcher la bague tout de suite ?
-Va te faire foutre Phil, c'est ma putain de bague et tu l'auras pas comme ça.

Malgré sa tentative de diplomatie, Philodendron était heureux: non seulement il détestait les mouettes et en tuerait quelques unes, mais aussi il pourrait montrer �  l'équipage l'étendue de ses talents, ce qui est toujours un bon moyen de se faire respecter.
Il prit l'un des mousquets qu'il avait embarqué lors de la fuite du navire "The Brothers", son favori: fusil �  silex, d'excellente facture et superbement ciselé, c'était une bonne arme. Nul doute qu'elle ferait des ravages dans les rangs des "monstres hurlants", comme il les désignait.
Flagorne prit un pistolet, qu'il maniait bien mieux comme gourdin que comme arme �  distance.


-Disons 3 tirs chacun, �  tour de rôle, celui qui en abat le plus gagne la bague. T'as tout ton temps pour viser, et si on fait égalité j'te la laisse. Ça te va ?
-Va te fai... tente Flagorne.
-Fantastique, à toi l'honneur, l'interrompit Philodendron.

Pistolet chargé, Flagorne attendit patiemment qu'une mouette se tienne immobile sur l'une des bômes, visa soigneusement et tira. Il fit mouche, et la mouette déchiquetée vacilla, tombant sur le pont dans une volée de plumes et une flaque de sang.

-Et un à zéro, fit un Flagorne fier et rasséréné pendant qu'un marin dégouté jetait le cadavre �  la mer.

Il déchanta cependant très vite, Philodendron mettant en joue un oiseau tournoyant autour de la vigie, qui ne faisait pas la fière.


-Fais gaffe Phil, j'ai pas envie de me prendre une bastos ! Hurla cette dernière d'une voix tremblotante.
-T'inquiète pas mon gars, j'ai jamais raté ma cible... répondit le bosco �  voix basse.

Il suivit encore sa cible quelques secondes, puis anticipa sa trajectoire et tira. On vit l'animal décrire une longue courbe puis finir sa course dans l'eau.


-Et un partout l'ami, fit Philodendron, calme et commençant �  recharger son arme.

Flagorne, rageur, tenta lui aussi de viser une cible mouvante: il jeta son dévolu sur une mouette affolée par les salves pour re-hausser le niveau, ajusta son tir sur l'animal paniqué et tira, le ratant.


-T'es trop stressé Flagorne, prends ton temps, calme toi... C'est pas bon d'avoir les nerfs, ton bras tremble.
-J'ai pas besoin de tes conseils, fit Flagorne en se tournant vers lui, juste �  temps pour le voir décocher un coup sur la cible qu'il venait de louper.

-Il me semble que ça fait deux �  un. Tu peux encore gagner, il faut juste que tu réussisses ce coup et que je rate le mien. Assure, cherche pas �  faire de l'épate.

Tout en grommelant des insultes et malgré sa précédente assertion, Le Malpoli écouta son ami et pour l'instant rival, qui était un tireur d'élite reconnu. Armé d'une idée et affichant un sourire goguenard, il visa une nouvelle cible, presque �  la verticale, se reposant sur l'espar le plus proche, vida ses poumons et l'abattit. La mouette tomba aux pieds de Philodendron, qui surpris et révulsé, fit un bond vif et nerveux, faisant taper son arme contre le bastingage et partir la balle.

-T'es vraiment qu'un enfoiré, tu sais que je déteste ces sales bestioles !
-Trois tirs chacun Phil, ça fait deux partout et j'ai gagné, fit un Flagorne triomphant devant le visage décomposé de son adversaire.
-Non, je proteste c'est de la triche, t'es qu'un sale fumier, je veux mon troisiè...
-Oh putain Phil, t'es vraiment magique ! Si je connaissais pas aussi bien, je jurerais que tu l'as pas fait exprès celui l�  ! leur lança Yvan les longues dents. Il poussait du pied une carcasse ensanglantée d'oiseau. Non vraiment, le dernier c'était un tir d'école ! Pratiquement sans viser et tout...

-Héhé... Trois à deux mon petit Flagorne, exulta Philodendron en tapotant l'épaule du malchanceux médusé. Merci pour la bague, ce fut un plaisir !


HRP/Duels réalisés entre moi et Samuel (qui représentait Flagorne) pour un résultat de 202 �  72, si on ajoute ma qualité de "bon tireur" ça donne du 277 �  72... Victoire nette donc./HRP  
« Dernière édition: 04 Septembre 2009 à 17:45:31 par Kathovar »
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