|
|
« le: 28 Juin 2007 à 18:24:33 » |
|
Ici, tout le monde poura poster des Poème... Voici une de mes création speciale dédicasse a leboboss : Au coucher du soleil, l'ange s'envolera Dans l'ombre du feu éternelle, l'hadès sombrera...
Chante Belzebut Ris le diable Des gens pitoyable Aux âme qui se sont tuent
Ades dieu des enfer fit régner les abysse l'ange sorti des mers ami de la justice
Chante Belzebut Ris le diable Des gens pitoyable Aux âme qui se sont tuent
l'ange et le démon le démon et l'ange titan et lion rage et patience
Après une nuit de colère Abysse et paradis éteins Ne laissant qu'un désert Dans le coeur des béguin
Chante Belzebut Ris le diable Des gens pitoyable Aux âme qui se sont tuentElisa Novalis et capitaine Dark..
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
|
« Répondre #1 le: 29 Juin 2007 à 15:45:53 » |
|
Pas mal ton poème. Allez +1 for you.
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
|
« Répondre #2 le: 30 Juin 2007 à 14:47:27 » |
|
Joli + 1 aussi
|
|
|
Journalisée
|
Un des joueurs les plus anciens encore en activité !
Autoproclamé pire cauchemar des joueurs de la communauté : � MTS�
|
|
|
|
|
« Répondre #3 le: 30 Juin 2007 à 15:38:56 » |
|
Hey j'ai un poème en tête que j'adore, il me transmet énormément de choses, j'espère que vous aimerez! Alors....hum hum...... Pigeon, oiseau � la grise robe, dans l'enfer des villes, � mon regard tu te dérobes, tu es vraiment le plus agile.pfffou....houa! C'est fort!
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
|
« Répondre #4 le: 30 Juin 2007 à 16:27:37 » |
|
Moi, je vais vous raconter une petite comptine ( qui me vient d'un grand connard , mais bon) : C'était il y a très très longtemps, les hommes n'existaient pas encore, la Terre était alors, peuplée d'éléphants. Il y en avait des noirs et des blancs. Mais ils se battaient entre eux, les noirs n'aimaient pas les blancs et les blancs n'aimaient pas les noirs... Ils se detestaient tellement, qu'ils ont fini par tous s'entretuer... Il restait seulement un petit éléphant noir et un petit éléphant blanc, et comme ils étaient amoureux, ils ont eu des bébés... Et depuis, sur Terre, il n'y a que des éléphants gris...
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
|
« Répondre #5 le: 30 Juin 2007 à 16:32:26 » |
|
c'est joli!
si on transpose ça � l'humanité, est-ce que ça veut dire que Mickael Jackson est un précurseur de la paix internationale?............... ..........
..........
..........
..........
désolé.......
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
|
« Répondre #6 le: 30 Juin 2007 à 16:36:57 » |
|
Bah d'une certaine façon faut croire... Pourquoi tu pourris mon truc comme ça, hein? Tu n'as donc pas de coeur? tu es comme tous les autres, un grand méchant.
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
|
« Répondre #7 le: 30 Juin 2007 à 16:48:20 » |
|
Bah je te l'ai pas pourri ta comptine.......... ha on me fait signe que si! J'en suis navré........ Mais j'ai vraiment apprécié, ça rattrape? Et puis un grand méchant, tout est relatif, j'ai un petit coeur qui bat derrière cette carapace de maladresse est d'humour (utilisée comme un réflexe défensif d'ailleurs, comme Chandler dans Friends, tout pareil! haha c'est mon héros ce mec!)
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
|
« Répondre #8 le: 30 Juin 2007 à 16:51:37 » |
|
ha ha tu parles d'un héros! enfin il en faut bien un pour tout le monde... c'est mieux que d'idolatrer Chuck Norris... Je t'en veux pas, comment pourrais je t'en vouloir? Mais bon vaut meiux arreter l� , on va pourrir le topic d'Elisa, consacré aux poemes... ps= moi j'aime bien Phoebe, elle chante bien, des vraies chansons engagées!
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
|
« Répondre #9 le: 30 Juin 2007 à 16:59:48 » |
|
Attends, t'imagines même pas � quel point Chandler est un repère pour la plupart des personnes de la gent masculine!
Les filles, regardez toutes Chandler et vous nous comprendrez mieux! Je vous jure!
Bon, pour rattraper le post:
Parfum exotique, Charles Baudelaire
"Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne, Je respire l'odeur de ton sein chaleureux, Je vois se dérouler des rivages heureux Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone;
Une île paresseuse où la nature donne Des arbres singuliers et des fruits savoureux ; Des hommes dont le corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'œil par sa franchise étonne.
Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine,
Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers."
Voil� les images qui tapissent mon imaginaire quand au coucher du soleil je pense � toi, mon tendre amour, Shinlei.
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
|
« Répondre #10 le: 01 Juillet 2007 à 02:39:53 » |
|
AhhhhHHHHH le traumatisme, j'était tombé dessus au bac français!!!! Bon faut dire que c'est un beau poème, mais le découvrir au moment de l'épreuve n'est pas un tres bon souvenir... Bon moi je vais mettre un poème d'un poète( poët) que j'ai découvert il y a peu; Isaac de Benserade, du 17 ème siecle..
CONTRE UNE LAIDE STANCES
Bien que nous soyons seuls vôtre crainte est frivole, Fiez-vous-en � mon respect: Ne tremblez point, cruelle, & que je vous cajole Sans que mon feu vous soit suspect.
Vous n'êtes pas trop laide & nature un peu chiche Vous a traitée honnêtement. Mais avec tout cela, si vous n'étiez point riche, Où trouveriez-vous un amant?
Vos yeux au gré des miens, ont une foible amorce, Et ne versent qu'un jour obscur ; Je pense toutefois qu'ils ont beaucoup de force, Mais c'est que je suis un peu dur.
Que sçait-on si jamais vous n'allumez de flâmes, Et ne plaisez � d'autres goûts ; Cependant je m'accorde avec toutes les femmes, Et je tiens mon coeur contre vous.
Vôtre bouche en riant fait que mon nez rechigne Du noir desordre de vos dents, Sans que je leur impute une vapeur maligne Qui vient peut-être du dedans.
J'aime sur vôtre front cette guerriere audace Où l'on voit l'amour en courroux, Et ce poil tout brûlé vous sert de bonne grace, Puisqu'il vous sert sans être � vous.
Parmy vos agrémens nature desavouë Une fi gluante splendeur ; Et ce rouge acheté, qui dessus vôtre jouë Fait l'office de la pudeur.
Vous n'avez bras ni mains, teint, ou lévres vermeilles, De gorge il ne s'en parle point ; On se mocque chez vous de ces riches merveilles, Et de jeunesse & d'embonpoint.
Aussi tant de beauté n'est pas un avantage Qui serve d'un grand ornement ; Si vous êtes pas belle, au moins êtes-vous sage, Ou la serez incessamment.
Une belle se damne, on la presse, on l'enflâme, On fait contre elle cent efforts : Afin de vous sauver, le Ciel a mis vôtre ame En sureté dans vôtre corps.
Ce sera pour vos biens si l'on vous importune ; Et si quelqu'un vous aime un jour, Afin de le blesser il faut que la fortune Dérobe des traits � l'amour.
Si le coeur vous en dit, & si vôtre ame goûte Les appas d'un si doux peché, Achetez un galand ; quelque cher qu'il vous coûte, Vous aurez toûjours bon marché.
Vous le verrez tout bas demandant son salaire, Soûpirer d'un ton obligeant : Quelque chetif qu'il soit, s'il travaille � vous plaire, Il gagnera bien son argent.
Qu'il sera malheureux s'il faut qu'il se propose D'acquerir l'esprit par le corps! L'amour qu'on vous témoigne est une étrange chose, Quand le respect en est dehors.
Quelques voeux qu'en secret un amoureux vous offre, Encore qu'il vous presse bien, Prenez garde � la bourse, & fermez vôtre coffre, Aprés cela ne craignez rien.
|
|
|
Journalisée
|
La pitié peut s'éprouver, mais non s'accepter.
|
|
|
|
|
« Répondre #11 le: 01 Juillet 2007 à 10:49:37 » |
|
oua , j'adore allez , plus un de karma !
|
|
|
Journalisée
|
-Cap'tain ? -Oui moussaillon ? -Non rien.
|
|
|
|
|
« Répondre #12 le: 01 Juillet 2007 à 15:59:28 » |
|
Bon moi je vais mettre une poesie de Rimbaud. Je suis pas poesie, mais celle l� , je l'aime bien, parce que c'est vraiment une "poesie des sens" Au Cabaret-Vertcinq heures du soir
Depuis huit jours, j'avais déchiré mes bottines Aux cailloux des chemins. J'entrais � Charleroi. − Au Cabaret-Vert : je demandai des tartines De beurre et du jambon qui fût � moitié froid.
Bienheureux, j'allongeai les jambes sous la table Verte : je contemplai les sujets très naïfs De la tapisserie. − Et ce fut adorable, Quand la fille aux tétons énormes, aux yeux vifs,
− Celle-l� , ce n'est pas un baiser qui l'épeure ! − Rieuse, m'apporta des tartines de beurre, Du jambon tiède, dans un plat colorié,
Du jambon rose et blanc parfumé d'une gousse D'ail, − et m'emplit la chope immense, avec sa mousse Que dorait un rayon de soleil arriéré.Et sinon, de la poesie qui est plus mon style, car avec une image et que pour moi l'image est aussi interessante que les mots:
C'est Vincent de Tim Burton. Je l'ai dej� mis dans la partie ciné donc... Regardez bien, il y a des rimes aussi...
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
|
« Répondre #13 le: 02 Juillet 2007 à 16:05:39 » |
|
Blague à part : Sur dailymotion, vous avez la vidéo de Sarko bouré au G8 !!!!
|
|
|
Journalisée
|
Un des joueurs les plus anciens encore en activité !
Autoproclamé pire cauchemar des joueurs de la communauté : � MTS�
|
|
|
|
|
« Répondre #14 le: 02 Juillet 2007 à 16:12:47 » |
|
Bon moi je vais mettre une poesie de Rimbaud. Je suis pas poesie, mais celle l� , je l'aime bien, parce que c'est vraiment une "poesie des sens" Tu sais ma cher Shinlei... Le cabaret vers... C'était un cabaret situer � Charleroi (ma ville natale en plus ) parce que Rimbaud est aller � Charleroi... Dingue non... Ha oui et "poesie des sens", le terme scientifique c'est Synesthésie (bon ça va, j'arrête de faire l'intello : )
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|