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Auteur Fil de discussion: Taverne de l'Indomptable Neptune  (Lu 173843 fois)
Elisa
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« Répondre #375 le: 16 Septembre 2007 à 22:21:36 »

- alala... Mon cher "Agonie"... Je suis l'heureuse mère d'un petit garçon appelé William... Il va bientôt avoir un ans... Il est née sur un navire... Quel honneur pour un futur marin...

"Mad Ethel" rougi puis elle reprit soudainement la parole...

- Vous savez... Moi aussi quand j'étais avec Elisa je me disais toujours que jamais je ne serais mère... Et... Et je me suis bien trompée... Enfin... Quand on dors dans les bras d'une femme... On est persuadée que le lendemain sera pareille et que nous vivrions ainsi jusqu'�  la fin de notre vie... Mais... Les loas en décide autrement... Comme dirai l'autre hein... "Sacré Loas!" Je suis certaine que tu pourrais faire un bon père... Ha ha... Tu ne peu pas savoir �  quel point je suis heureuse de te voir... Alala... Mon ami... Quoi de neuf de votre coté? Moi je compterai bien m'aquérir un sloop mais... C'est tellement plaisant de travailler comme équipage, avec John bien sur, et puis comme sa, nous sommes plus proche l'un de l'autre...

Carole-Anne se retourna vers le comptoir, gueulant a pleine voix de lui apporté un verre de rhum...

-... Mais... Vous avez des problème en fait?...

Demande la femme avec un ton songeur...

- Dehors un bien impoli personnage ma bousculé.. Je trouve cela... Désagréable mais bon enfin... Voila quoi...  
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« Répondre #376 le: 17 Septembre 2007 à 19:07:07 »

-Un malotru qui cherchait noise �  une personne qui n'a pas daigné se dénoncer pour éviter une bagarre. Mais l'impatience du bougre a fini par le calmer et il est monté.
Agonie la Belle sorti de son long manteau deux cigare. Il en alluma un pour lui et tendit l'autre �  Mad Ethel. 
-Ainsi John Blow serait le père de ce petit William ? Toutes mes félicitations �  tous deux, vous faites un couple merveilleux j'en suis certain. Dans le temps j'ai connu une dame, une noble espagnole, fille d'un fonctionnaire très haut placé �  Cartagena. Elle m'avait séduite sur le champ, et je crois que notre relation au départ secrète a fini par être su par le gouverneur son père. Inutile de dire qu'il ne l'a pas très bien pris, et que malgrè les protestations de sa chère fille il était bien décidé �  me faire lyncher. Je l'ai revue il y a un mois de cela, je passais par Cartagena en compagnie de Rackman et Cayenne, et une fois encore son père nous a surpris. Et une fois encore moi et mes compagnons avons échappé �  la mort.
Ne pouvant s'empécher de rapporter sa vision des faits, Rackman glissa malicieusement:
-En vérité, Agonie a voulu précipiter notre départ quand son ex dulcinée lui a annoncé une heureuse nouvelle...
-Pour la dernière fois ferme ton clapet, vieux crouton!pesta Agonie.
-...qu'elle avait été enceinte de lui, et avait donné le jour �  une charmante petite fille, qui la dernère fois qu'on l'a vue avoisinnait les 17, 18 ans!
-Jack Rackman, tu ne sais donc pas tenir ta langue! siffla le pirate français en regardant venimeusement l'anglais. Tu crois que si je n'ai pas voulu la voir c'est pour t'entendre parler d'elle tout le temps ?!
-Evidemment, quand on a un problème de responsabilité comme le tien...
-Et puis qui a la preuve que c'est réellement ma fille ? grogna hargneusement Agonie.
-Moi j'en ai la preuve!lanca une voix forte.
La jeune femme auparavant assise au comptoir s'était levée et s'était postée derrière le pirate, qui s'était immobilisé lorsqu'elle avait parlé. Il se retourna lentement et son visage ravagé se décomposa quand il vit celui de l'adolescente. Il blanchit, puis rougit, et d'une voix paniquée, tout tremblant, il bégaya:
-Aurora...ma chè...ma chèrie! Mais comment as-tu..ta mère est au courant que tu es ici ?
-C'est elle qui m'a autorisé �  te rechercher, répondit Aurora d'un air méprisant. Tu croyais que j'allais te laisser partir de ma vie comme un vulgaire monte-en l'air ?
-Mais écoute, ma puce, je...enfin, il aurai mieux vallu pour ta mère qu'elle ne te parle pas de moi, vois-tu j'appartiens �  un milieu assez...malsain!
-Et macho, avec ca!répliqua la jeune fille. pirate c'est trop malsain pour une femme, c'est ca ? Et Elle, fit-elle en désignant Caroll-Ann, c'est une religieuse peut-être ?
Elle se pencha sur son père embarassé, et souffla sur son visage ridé:
-Je veux en être! Je veux que tu m'apprennes ce que tu sais....
-Sinon ta mère va me faire la peau c'est ca ? coupa Agonie.
-...sinon les autorités de cartagena et des iles alentours appartenant �  la couronne espagnole seront informées de ta présence illégale en ces lieux!
-Elle a l'étoffe d'une pirate en tout cas! fit Rackman, amusé.    
« Dernière édition: 17 Septembre 2007 à 19:45:15 par scar »
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« Répondre #377 le: 17 Septembre 2007 à 19:41:04 »

Plus loin dans la ville, les quatre poursuivant arrivèrent dans la place où Seth s'était tenu un peu plus tôt. Les trois chemins ils s'avaient où ils menaient mais se diviser pour chasser un ennemi très habile cela tenait de la débilité.

L'un deux vit une jeune femme se tenant assis sur une chaise sans doute, et accoudé �  un tonneau.
Ses cheveux bruns tombaient sur ses fines épaules, la roble plutot laide de couleur terne et large se salissait sur le sol
Les chasseurs allèrent al voir, l'un d'eux la reconnurent, il était maigre mais musclé, les yeux bleu et le crane ras, le visage fin et sale était orné d'une petite moustache..

- dis moi catin...
L'interpellé regarda l'homme, elle le reconnu. il avait été un client, il regarda par terre.
Trois d'entre eux courirent à elles et commencèrent à lui parler.- as tu vu un homme courir?
- non personne répondit la fille d'une voix tremblante en regardant le sol.

Un des marins l'attrapa au cou et lui fit lever les yeux, il posa sur la gorge un coutela. La fille pleurait et regardait le marin, l'expression du de ce dernier, ses yeux pleins de haine  visage fit faire �  la prostitué un geste. Elle leva le doigt en désignant une des ruelles.

Les poursuivants rièrent et tous reprirent la course, en pensant que soit leur adversaire était fatigué soit il fessait une pause.



La place resta déserte et san bruit druant au moins une minute, puis la fille se leva et d'une galipette Seth sortit de sous la robe de la femme. C'était lui le tabouret, elle s'était assis sur lui. Elle arreta de pleurer, la sensation d'une lame dans le dos, pouvant la tuer avait disparue.

Elle regardale bel inconnu, il souria puis commenca �  repartir quand cette dernière le rapella.


- Hé!! je suis peut être une idiote, une femme de joix mais je sais si tu es honnete ou pas. notre marchand je veux mon argent!!

Seth se retourna l'air un peu gêné en se gratant le cou.
- Ton argent je ne l'ai pas...
-Quoi!! je vais hur...

Seth l'empecha de crier, et lui attrapa un bras et la claqua contre le mur, elle ne pouvait rien faire. L'arabe planta son regard dans celui de la femme et murmura.

- Je n'ai aps l'argent maintenant mais je vais l'avoir et au lieux de dix pièces je t'en donnes quinze!
La femme brune arreta de bouger, seth recula, elle souria. Elle était magnifique, elle ressembalit �  une version européenne et plus jeune de celle qu'il avait aimé.

-Oui mais où tu vas me donner l'argent tu peux très bien disparaitre comme cela.
- non tu connais mon visage, tu n'as vue tu pourrais me vendre. Ecoutes on se donnes rendez vous �  l'auberge du Pau �  dont... non...n de l'indomptable port... non pas ca non plus
- poséidon??demanda amusé de voir l'inconnu chercher.
- Voila!!! merci si dans trois heures environ je ne serrait pas revenu tu peux me vendre, si je suis dénoncé avant je te tiendrais pour responsable et te tuerais!!

les deux personnes de la basse socièté restèrent un peu �  se regarder puis Seth jeta sa cape par terre, son vêtement léger rouge en dessous et son eternelle ceinture de tissus rouge n'avaient pas été vu, il sera moins soupsonné habillé ainsi.



ps: le rp c'est aussi de l'imagination de l'audacce... (le coup du je suis caché sous sa robe vous vous y attendiez pas...)  
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« Répondre #378 le: 17 Septembre 2007 à 21:43:23 »

Pendant que Mad Ethel et Agonie se remémorraient de vieux souvenirs, Cayenne était sorti pour profiter de la fraicheur nocturne et pour réflechir. Tout en déambulant dans les rues, il fit la liste des pires crapules, des voyous, des aventuriers sans fois ni lois ni paroles, les voyageurs que le trio pourrait évuentuellement recruter pour reformer un équipage. D'abord il y avait Trinita, qui tenait l'auberge de La Veuve Joyeuse �  la tortue; ensuite il y avait Le Barracuda touche-� -tout, le chef d'une bande de boucaniers créole qui sévissaient dans les environs de Marie-Galante; puis il y avait Paddy Postelwaite, un vieux marin irlandais qui avait échoué Dieu sait où; il avait encore en tête quelques noms, mais il voulait d'abord voir Trinita, malgrè ce que pensait Rackman pensait de lui.
Il souffla un nuage de fumée, et toussa un peu. Il gagna le enfin le port, et sentit le vent se lever. Il adorait ca. Il scruta les ténèbres du large, sortit sa longue-vue et sans chercher quelque chose en aprticulier, il observa. La lune percait les nuages de ses rayons qui éclairaient faiblement la surface de l'océan. Malgrè la brume, Cayenne distingua la proue d'un navire au loin, un galion. Il abaissa sa longue vue, se décidant �  retourner �  l'auberge pour presser Rackman et Agonie de mettre les voiles. Il se retourna mais son regard fut attiré par une lueur autre que celle d'un rayon lunaire, beaucoup plus loin dans les terres. Il la voyait monter dans le ciel sans arriver �  voir d'où elle partait, mais pour lui ca sentait le roussi, et cette lueur provenait surement d'un batiment en feu. "Des pirates", songea-t'il. Il ne voyait pas d'autres explications qui justifieraient qu'un village cotier soit incendié en plein nuit, sur une ile anglaise de surcroit. Il retourna en courant �  l'auberge, bousculant au apssage un étrange homme vétue de vêtements en tissus rouge et de type oriental qui semblait marcher lui aussi en direction de l'"Indomptable". Il ne prit pas le temps de s'excuser et bientot franchit le seuil de l'auberge.
Agonie la Belle semblait dans une position inconfortable face �  la belle jeune fille qu'il était pret �  parier comme étant sa fille d'après ce que Rackman sous-entendait sans cesse. Essouflé et paniqué, il débala précipitament:

-Ecoutez-moi les gars!...arhhh...heurrh...y a le feu..pffff....le feu �  un village voisin....c'est peut-être des collègues, plus nombreux et mieux armés et ils doivent maintenant se diriger ici...Faut pas rester plus longtemps!
L'adolescente �  la longue crinière noire bouclée sembla ne pas comprendre, et regarda �  nouveau Agonie pour lui cracher:
-Si c'est encore un de tes plans pour foutre le camp et me laisser en plan, cette fois ca ne marche pas!
Mais Agonie semblait s'nquieter d'autre chose que des protestations de lajeune fille. Il se leva effaré et dit:
-Ou alors c'est Le Barracuda! Il m'a retrouvé grace �  des espions, et veut me faire la peau définitivement!
-Encore ?! fit Rackman, presque outré par ce que disait le français. Je croyais qu'on s'était acquitté la dernière fois!
Il se leva également et saisit sa malle de marin, aidé par Cayenne, et tout deux sortirent sans plus attendre. Agonie se tourna vers l'adolescente et lui dit:
-Aurora, comment es-tu venue jusqu'ici ?
-En embarquant clandestinement, pardi!répondit-elle effrontément.
Agonie eut un sourire de dépit et lui posa la main sur la joue.
-Tu es bien la file de ton père! Bon, ma chérie tu viens avec nous, on reparlera de ton éducation plus tard, pour le moment y a plus urgent!
Il l'entraina par le bras vers la sortie quand elle demanda:
-C'est sur, tu m'apprendras ?
Il s'arreta, et prenant son air le plus grave fixa ses yeux ahuris dans ceux, grands et noirs, de sa fille et dit:
-Tu as ma parole, Aurora!
Il tira son couteau de sa ceinture et levant sa main droite près du visage de sa fille, fit glisser la lame dans sa paume. Lorsque le sang coula en abondance, il prit les deux mains d'Aurora et les entourant des siennes déclara:
-La parole d'un pirate. Le Hollandais et le Roi des Rois peuvent couler, notre serment pour l'éternité peut durer.
Et devant les yeux intrigués de sa fille, il alla vers Caroll-Ann et lui dit-:
-Et bien ma chère Mad Ethel, nos routes se séparent une fois de plus. Tu peux venir avec nous si tu le souhaites, tu es la bienvenue si tu n'as pas d'embarcation. Seulement nous pouvons pas attendre plus longtemps, alors!
Agonie la Belle empoigna une bouteille de wisky encore pleine, et l'envoya se biser sur une lanterne. Bientot l'alcool se répandit sur le sol, lequel prit feu. Le français entraina sa fille et Caroll-Ann dehors.
-A plus, ma grande! lanca t-il à Mad Etehl avec un clin d'oeil et un sourire de requin.
Avec sa fille il talonna Rackman et Cayenne qui avaient prit la route du port.
-Pourquoi t'as mis le feu à l'auberge, espèce de vieux fou ? lui demanda sa fille haletante.
-J'en sais trop rien, disons que je voulais partir sur une note théatrale, et que quand j'improvise dans ces moments l�  je mesure pas très bien ce que je fais. mais on discutera plus tard!
Et ils forcèrent l'allure vers le port. Arivés l� -bas ils virent les silhouetes de Rackman et Cayenne leur faisant signe. Ils avaient requisitionné une baleinière, la voile était déj�  hissée. Le père et la fille les rejoinrent, et Cayenne largua les amarres. Une fois l'eqsuiffe lancé, Rackman et Agonie sortirent des rames plutot innapropriées pour cette embarcation, et entreprirent de gagner de la vitesse en souquant. Au bout de 10 minutes , ils était suffisament éloignés. Agonie et Cayenne se détendirent un peu, totu en restant vigilant. Les trois hommes établirent des quarts de tours, et Rackman, par précaution, distribua des pistolets �  silex qu'il gardait dans sa vieille malle. Et petit �  petit, ils prirent le large.  
« Dernière édition: 17 Septembre 2007 à 21:53:44 par Capitaine »
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« Répondre #379 le: 18 Septembre 2007 à 16:58:16 »

Seth durant ce temps venait de recevoir l'argent de son travail... seulement cinquante pièces au lieux de soixante car la victime n'était pas morte tout de suite et qu'elle aurait pu parler un peu.
Un peu rageux mais content il retourna �  l'auberge. Il marchait quand il trouva sa compagne sur le chemin, elle lui fit un salut des plus respectueux et lui donna les quinze pièces d'or et lui offrit un bizoux qu'il avait acheté sur le chemin. Ils marchèrent tout d'eux, puis virent l'auberge en feu.


- *Y a vraiment des gens malhonnete* s'écria Scar!
la prostitué le regardai étonné sans comprendre ce qu'il racontait.


- Quel est ton nom?
- L'étrangers....  Ce nom te suffira.répondit Seth en regardant l'auberge en feu, puis ils s'écartèrent de l'incendie et allèrent sur le port. Bras dessus-dessous.
C'était pour elle le premeir homme qui l'a respectée vraiment, pour lui la perfection au feminin.
 
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