Basse-Terre

[cedlenoir]

Cedric se dirigea vers le petit village de Basse-Terre.  De la il comptait, avec l'aide de son ami, acheter un petit bateau qu'ils pourraient manoeuvrer avec une trentaine d'hommes, qu'ils recruteraient un peut partout dans les environs.  Arriver au chantier naval.  Ils y trouvèrent un petit flûte.  Il n'était pas en très bonne état, mais John (c'était le nom de l'ami de Cedric) avait un minimum de talent en charpenterie.

-Alors ?  On le prend ce flûte John ?

John regarda le navire.

-Il n'est pas en très bonne état, et je vais devoir traviller dessus quelques jours, mais c'est tout ce que nous pouvons nous acheter avec notre argent.  Surtout si on veut l'armée et acheter des vivres après...

-Alors on le prend.

Pendant que John effectuait la transaction et faisait les réparations,  Cedric se dirigea vers la ville pour y trouver un équipage et des vivres.  

[scar]

l'armateur du navire regarda les deux hommes...

- Si vous pensez qu'un flûte est un bateau barque vous vosu trompez. Il possède un pont et �  besion d'environ minimum quarante personne spour le manoeuvrer correctement et peut en acceuillir jusqu'�  deux cents.
Ce'st un navire de commerce vous pouvez y mettre seulement  dix canons par bord et deux de chasse...

le prix sera très onéreux.



ps: et oui les navires sont loin d'être ceux du jeu... la fl^^ute était un navire commun donc assez puissant
Scar  

[cedlenoir]

John regarda le gars qui se trouvait devant lui d'un aire incrédule.

-Hola !!!  Il faut croire qu'on n'y connait rien malgré plus de 10 ans en mers...  Alors quel ,avire pourrions nous nous procurer, tout équipé, pour 250 pièce d'or ?  

[scar]

L'armateur ria puis leur montra une barque...

- Ceci... je suis désolé mais  pour si peux vous n'aurais rien.

Puis il réfléchissa et rajouta

-Ou venez! il les ammena devant un petit schonner en partie en ruine, dont les termites mangé la quille.
- Ceci!! vous ne l'aurais pas, je vous le loue évidemment les frais de réparation sont pour vous...
vous m'êtes s'impatique donc je vous le loue disons les 250 pièces d'or, sans canon bien sur, un canon coute en moyenne, deux fois plus que ce que vous m'offrez.
Bien sur je réclame un tiers de vos butins...  et n'essayez pas de m'arnaquer, après chaque pillage vous viendrez ici et vous me donnerez une tiers après vous vous partagerais comme voulez le reste entre vous.
si durant un mois je ne vous vois pas ici, je préviens les autorités et vous serez considéré comme pirate...

alors vous tentez?  Bien sur els frais de répartaions s'élèvent �  environ pour la quille, le plus grave et les mats environ mille pièces de huit �  moins que vous préférez faire celaz vous même.
Mais attention �  la quille, si elle se brisse adieu le schonner.


hrp: Et oui si vous pensez qu'un bateau coute 10 dollars et s'achete comme un paquet de chips...  

[cedlenoir]

Pendant que l'armateur montrai le schonner, Cedric alla voir plus loin.  John regarda l'armateur un moment.

-Attendons, mon ami Cedric devrais revenir pour voir ou nous en somme avec se bateau...  Il a surement un peut de pièce d'or suplémentaire.  Il est du genre �  ne pas avoir gaspiller un sous depuis dix ans.

Cedric arriva dix minutes plus tard.

-Alors ce schonner?
-Il ya un petit problème. dit John.  Pour les 50 pièces que tu m'avais laisser et mes 200 pièces on peut s'acheter le schonner.
-Lequel ?
-Celui-la... Et en plus il nous le loue pour ce prix et on lui donne le tière de nos pillages.

John lui désigna le petit bateau que l'armateur lui avait montré.  Cedirc le regarda un moment.

-On doit le réparer ?
-Oui et pour les cannons, oublit tout de suite, il en demande 500 pièces d'or pour un.

Cedric sortit de sous son menteau une bourse.

-Dedans il y a 300 pièce et je m'en garde 50 pièce la dessus.

John retourna voir l'armateur, un peut décourager

-Et si je vous offre 500 pièce d'or ?  Qu'est-ce que vous m'offrez ?  

[scar]

- La même chose...
excusez moi mais si vous pensez que je fais d'énorme gain en vendant un navire meêm de petite taille �  plus de mille pièces... vous vous trompez cela nous coute des centaine de pièce d'ors de construire le plus petite navire et plusieur milliers voire dizaine de millier de pièce d'or de faire un deux ponts.
c'est pour cela que je peux en demander la construction.

Ecoutez pour cette somme je peux vous faire sans frais la réparation de la quille et du grand mat ainsi que lègérement de la coque du shonner.
Il ne restera qu'�  réparer le mat de beaupré et de l'équiper de canon, quoi que cela n'est pas vital, les mers sont plus sûr de nos jours, et vous aurez un navire de course intacte.  

[cedlenoir]

Cedric le fixa un moment.

-Si on vous l'achète 500 pièces d'or vous nous réparez la quille et le grand mat.  Pour le reste combien vous pensez que ça va nous couter ?  Il ne nous reste plus que 50 pièces d'or.

l'armateur observa son bateau. Puis conta dans sa tête.

- environ cents pièces d'or, le mat de beaupré n'est pas totalement en ruine, mais cela peut se réparer plus tard juste que vous n'aurez pas la mailleur vitesse ni manoeuvrabilité que ce genre de vaisseaux peut vous donner.
Affaire conclu?  

[cedlenoir]

-Affaire conclu.

John remit les 500 pièces d'or �  l'armateur.  Cedric alla dans une taverne où il afficha une une proposition pour tout marin voulant embarquer dans son équipage.  Il demandait environ deux pièce d'or pour toute personnes voulant faire partie de l'aventure.  Trois semaines plus tard  John revint au chantier naval pour voir où en était les réparations sur le schonner.  

[scar]

le naviren avait été mis à l'eau. réparé du mieux que possible.

ps: désolé pour ce poste sans interet mais bon je suis un peu fatigué et j'ai pas trop le temps  

[cedlenoir]

Entre temps, Cedric avait réussi �  convaincre 43 personnes de joindre son équipage.  Tous, avaient donner les 2 pièces d'or demandées ce qui permit les réparations finale pour le schonner.  Encore une semaine suivit et le nouvel équipage travaillait sans relâche pour finir les réparations.  Quand tout fut enfin fini, le bateau avait pratiquement l'aire neuf.

-Sais-tu piloter cet engin John ?
-Bien, je supose que oui...
-Parfait, tu sera donc le pilote.

C'est ainsi que le schonner quitta le port.  Cedric observa la carte et décida de commencer son aventure �  La Jamaïque.  

[Guyde]

Un brick était en vue de basse-terre, mais il ne semblait avancer que très lentement malgrès le vent fort de cette fin de journée.
Les marins vétérans qui regardaient le coucher de soleil en jouant au dès sur le port comprirent rapidement que le navire était sérieusement endommagé. Des paris s'engagèrent aussitôt entre plusieurs d'entre eux sur l'étendue des dégats et l'origine possible de ces dégats. Le vieux Ben se chargea de récolter les mises en les paris et mit l'argent dans un compartiment de sa jambe de bois rivetée de fer.

Les parieurs durent attendre longtemps avant qu'enfin le navire ne fut �  quai et qu'ils puissent vérifier ce qu'il s'était passé. Même les plus blasés d'entre eux ne purent réprimer un frisson en voyant l'étendue des dégats, mais surtout les traces de sang que l'on apercevait encore en certains endroits le long de la coque retapée �  la va-vite du brick. Le combat avait du être dur.
Peu d'hommes descendirent du navire, eu égard au nombre de marins qu'un tel bâtiment comporte d'ordinaire. L'un des plus remarqué était un homme très fin, presque maigrichon, au teint très pâle et �  la mise stricte mais plutôt luxueuse. Tous ceux qui le croisaient restaient fascinés quelques instants par son regard d'un bleu froid qui semblait ne pas vous voir mais vous sonder l'âme.
La plupart des marins se dirigèrent vers les quelques tavernes près du port, suivis par les parieurs du port qui sentaient qu'une histoire finirait par être racontée. Leur capitaine pâlichon se dirigea quant �  lui vers la capitainerie, avant de se diriger �  son tour vrs le Rat qui pette, tout en demandant �  la plupart de gens qu'il croisa où trouver un marchand de bois de marine...  

[Bones]

La brigantine arriva enfin en vue de la Tortue. Sur la peinture écaillée de sa coque on pouvait déchiffrer le nom de Hollandais Volant. Vanderdecken monta sur le pont. Il était satisfait. En vue de cette terre depuis longtemps désirée après ce long mois passé �  chasser en mer, pas un marin ne manifesta sa joie. ce n'était pas pour se reposer qu'ils venaient...

Vanderdecken donna les derniers ordres �  son second et retourna dans sa cabine. Il s'assit �  sa table et ferma les yeux. Malgré le roulis du navire et la petitesse relative de celui-ci, il avait bon espoir de son succès. Il se pencha sur le livre grand ouvert posé sur la table.

Il maudit les cieux de ne pas vouloir le laisser avancer, et l'ange descendit sur le Hollandais Volant et parla �  son capitaine : puisque tu pense ton but plus grand que les autres projets du seigneur, tu vas le pourchasser �  jamais, la tempête autant aux portes de ton navire que dans ton coeur, pour l'éternité. Puis l'ange disparut, et la nuit commença...

Vanderdecken sourit mélancoliquement. Il aimait ce passage. L'équipage avait bronché quand il avait fait savoir son désir d'appeller la brigantine du même nom que le célèbre vaisseaux hanté qui terrifiait les rêves des marins. Mais il aimait cette idée. Ce n'était pas son équipage qui devait le craindre, mais ces ennemis...

La brigantine fut parcourue d'une secousse. Le capitaine grogna et se leva. Il traîna sa jambe boiteuse sur le pont. Il bouscula le pauvre marin qui tenait maladroitement la barre et s'en empara. le port n'était plus qu'�  deux bonnes centaines de mètres. Ils seraient �  distance dans peu de temps. Il hurla le branle-bas de combat et fit signe au maître d'équipage de réduire la voilure. Le navire s'immobilisa enfin �  une centaine du mètre du port de Basse-Terre. Vanderdecken laissa dériver son regard sur les maisons qui se chevauchaient sur le flanc de la montagne. Autrefois il avait connu ces rues. Autrefois...

Il n'eut qu'�  prononcer un mot, et aussitôt le pont trembla sous la puissance des canons qui se mirent �  cracher la mort...

Edit: bienvenu petit mais avant de te lancer dans le hollandais volant il y a une chartre �  lire et �  signer (et respecter cela va de soit...) et si tu voulais juste poster une petite histoier fait le dans contes et légendes.
Scar  

[Guyde]

L'Or Félin arriva enfin en vue de Basse-Terre. Le brick mouilla �  l'abri de la rade de La Tortue et presque tout l'équipage descendit �  terre pour profiter de leur nouvelle et sans doute éphémère fortune. Bientôt dans la petite ville ce ne fut plus que festins et comportement outrancier des pirates qui dilapidaient leur or durement acquis.

Guyde, quant �  lui, organisa, avec Sangredios et une petite équipe, le carénage du navire. L'équipage avait bien mérité de se reposer et de faire la fête, mais le brick, malgrès toutes les améliorations qui lui avaient été faites, commençait �  être plus lent �  cause des bernicles et de la barbe d'algues qui s'accrochait �  sa quille. Aussi, Guyde, Sangredios et quelques hommes retardaient leurs libations pour trouver des hommes compétents prêts �  caréner leur navire contre monnaie sonnante et trébuchante provenant du trésor commun du brick.

Quelques heures plu tard, toutes les dispositions avaient été prises avec "Le vieux", un ancien flibustier que tous respectaient. Guyde et les autres pouvaient enfin se diriger vers les tavernes de la ville l'esprit libre et les bourses pleines.  

[mortderire]

Le chevalier des mers arriva enfin �  La tortue .L'équipage étaient loin d'avoir regretté sa décision concernant l'étranger s'il prenait ne seraissent qu'un négrier il pourrais partir en retraite pour des mois avec l'argent du butin mais il fallait encore autre chose pour assurer cette retraite et Loïc et les officiers allait s'en chargé pour prendre un négrier avec une corvette il fallait être très malin.Le second qui dirige toujours les manoeuvres d'accostage donna les dernier ordres avant de descendre vers une taverne.  

[Eric_le_jeune]

*Raphaël vit plusieurs hommes entrer vers une taverne.

Il ne pouvait plus rester dans la baie aux chèvres avec les autres. il devait changer d'air. Olaf et lui vinrent donc en chaloupe dans le premier coin civilisé de l'île. Ces hommes avaient l'air étrange, ils devaient avoir débarqués il y a tres peu de temps. Il décida de les suivre dans la taverne*