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Auteur Fil de discussion: L'embuscade  (Lu 13529 fois)
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« Répondre #15 le: 26 Novembre 2008 à 20:00:19 »

- Je fais ce que je peux! Hurla Manuce que je peux! Ce répeta t-il pour lui même.

Il ferma un œil et visa lentement. Le capitaine ennemi se déplaçait trop vite.
Les deux groupes étaient bloqués, l'un devait passer �  l'assaut mais cela risquait d'être fatal. donc les deux attendaient que l'autre le fasse.
Manu se concentra oubliant le monde extérieure; un moment le bon! Il tira mais ce fut un echec la balle fit mouche dans le bois du bastingage.

Le capitaine ordonna aux hommes de se positionner; ils avaient leur tillac alors que les pirates étaient surtout réfugiés dans l'entrepont. Les chasseurs de pirates pouvaient avoir accès, tout en restant en sécurité �  leur canons. La situation devenait dangereuse. 
Lanvers alla voir le capitaine avec une bouteille.

- Tête de pioche c'est pas le moment de boire!  Lui dit un des marin.
- c'est pas de l'eau de vie d'dans! Mais le contraire de la poudre de mort! Dit il fier de son esprit. En effet c'était une grenade très artisanal mais simple �  faire.
- Capitaine servons nous de ça pour leur faire un coup dur! Sinon on va s'y éterniser!

au loins �  par quelque tirs par mousquet par moment rien n'indiquait que les deux navires étaient en abordage. aucun bruit de combat; juste l'activité sur un des tillacs.
Manu était fin prêt �  nouveau.
 
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« Répondre #16 le: 01 Décembre 2008 à 11:55:41 »

   L’idée des grenades artisanales de Lanver était bonne. Lancées juste avant un assaut, elles pouvaient semer la panique chez l’adversaire et donner un sérieux avantage aux pirates. Mais avant il fallait en fabriquer rapidement au moins une bonne douzaine pour que l’effet de surprise soit total. Simon allait s’en charger pendant que Bélénos, redescendu �  l’entrepont, expliquait en détail �  ses hommes le plan de la nouvelle offensive. Celle-ci devra être déterminante pour que l’ennemi capitule rapidement. Il est tant que cette situation se débloque enfin et qu’on en finisse une fois pour toute.
_Bien, vous m’avez tous compris ? A mon premier signal vous allumez, au deuxième vous lancez et au troisième on charge. Si vous ne respectez pas dans l’ordre, on coure �  la catastrophe !
_On a bien compris cap’taine ! Répond avec détermination un marin.
_Et on n’aimerait pas qu’ces machins nous pètent à la figure ! Dit un autre.
_Tu parles ! Ca t’ferait p’t être pas d’mal à toi ! Tu vu ta tronche ? lance son voisin en rigolant.
_Quoi ? Qu’est-ce qu’elle a ma tronche ? T’as pas vu la tienne ?
_C’est bon, c’est bon les gars ! Puisque tout le monde a compris, on se met en place et baissez la tête en sortant !

   Dehors les tirs avaient repris pour couvrir la sortie des hommes, le temps qu’ils se mettent en place pour l’offensive. Mais la riposte ne s’est pas faite attendre et cette fois-ci Manu et Sanglebouc étaient pris pour cible.
   
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« Répondre #17 le: 05 Décembre 2008 à 14:47:19 »

Après un court moment, les grenades étaient en nombre suffisant. Il fallait faire vite, les corsaires étaient entrain de charger leur pièces et il fallait �  tout prit agir avant d'être exterminer comme des lapins dans une cage.

Tout était prêt, on retenait son souffle et alluma avec un boutefeux les grenades. En un éclair elles furent lancées sur le tillac ennemi; mais le manque de visibilité rendu leur efficacité moindre. Deux étaient tombées �  la mer et une autre explosa  prêt de la voilure faisant éclater les voiles et les haubans du navire corsaire. L'équipage pirate, en plus grand nombre, sorti telle une ruée de l'entrepont profitant de l'effet de surprise des grenades, qui avaient causé aucun mort mais détruit plusieurs canons et blessés pas mal de marins; mais surtout qui avait crée la pagaille sur l'équipage ennemi.

La mêlée recommença de meilleur; les pirates avaient cette fois l'avantage c'était sûr. La violence inouit des abordages ne fit pas exception ici; le sang et les morts se répandirent sur le tillac.
Les coups de feu retentirent comme une pluie qui s'écrase lourdement sur une plaque de métal et les balles volèrent dans les deux sens. Elles causèrent des dommages impressionnant, peu de mort mais de nombreux hommes percé par un bout de plomb, ceux que la vie avait quitté s'écroulait le corps percés de plueirus balles, les vêtements gonflés de sang.

L'indien qui dominait tout le monde d'une tête avait par chance était épargné des balles qui aurait du le toucher. Se frayant un chemin dans la mêlée �  coup de masse et de poing, allait vers le capitaine ennemi.

Mais un coup de feux retentit ce dernier s'écroula, son chapeau vola dans els airs avant de lentement tomber sur la mer, qui virait aux rouges sang.
Les corsaires voyant leur chef tomber et le combat virer �  leur défaveur, se replièrent �  la dunette. Les plus blessés demandèrent pitié, ce qui leur fut pas toujours ouvert dans la violence du moment.

La trentaine de corsaire, encore bien armé, et en forme demandait la fin du combat.   


- Se battre ne même plus �  rien pour nous! Accepté notre reddition et laissez nous la vie sauve! supplia celui qui semblait être le second, se tenant devant ses compagnons le sabre �  la main mais la pointe sur le tillac, posée.

- On aurait quoi à y gagner? On les tues? Demanda Lorage, l'arme encore dégoulinant de sang.
- Non la paix nous est offerte acceptons la! Répliqua Marc.

- Capitaine on fait quoi? Demanda Gros pied �  Bélénos, qui lui regardait le second ennemi le fixant droit dans les yeux.  
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« Répondre #18 le: 10 Décembre 2008 à 16:19:16 »

_Nous devrions faire ce qu’on fait d’habitude à des crapules comme eux. Répond Bélénos tout en soutenant d’un regard plein de haine et de mépris son adversaire vaincu.
   On sentait en lui toute la colère de s’être fait surprendre et d’avoir sous estimé son ennemi. Mais l’intervention de Marc et la présence de Belford le faisait réfléchir. Le capitaine tué lui donnait en partie satisfaction, ses compagnons morts au combat étaient suffisamment vengés.

   Il se tourne vers Belfort et lui demande :

_ Qu’ils déposent leurs armes maintenant et ils auront la vie sauve.
Belfort, stoïque et toujours aussi imposant bien que légèrement blessé �  l’épaule par un coup de lame, s’exécute dans un anglais parfait s’adressant �  tout l’équipage sans distinction de grade.
   Une fois toutes les armes au sol, des ovations de victoire et des cris de joie retentissent chez les pirates. Les survivants de l’équipage anglais sont regroupés au pied du Grand mât et mis sous bonne garde. Le pillage peut enfin commencer.

   
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« Répondre #19 le: 10 Décembre 2008 à 19:11:15 »

Les pirates étaient soulagés de ne plus �  avoir �  combattre et risquer encore leur vie.

"Jaguar courant" alla serrer dans ses bras son capitaine, fier de voir son compagnon savoir faire preuve de pitié et ne pas abuser de force dans cette situation comme le font certains capitaines.
Il quitta son ami après un regard, mais sans rien dire, son regard en disait loin "toi être un homme! toi savoir quand vie ne doit pas être perdu." Il alla ainsi que de nombreux blessés sur son navire pour se faire soigner; laissant passer les blessés grave aux nombres de huit passé en priorité.
Le médecin corsaire qui avait survécu, proposa son aide en échange de quoi il pourrait avec notre coq-medecin soigner ses confrères. Marc usa de son pouvoir de quartier maitre et accepta la proposition: se montrer humain et nos des démons étaient sa politique. Montrer que l'on été des guerriers des mers et non des brigands, ce qui était en parti faut: l'or était la motivation de tous, lui semblait un point important.

Une troupe de trois hommes, dont Ulrick descendirent dans les cales. CE fuit une grande deception et surprise.

ils déboulaient les escaliers de bois du navire pour arriver dans les cales; qu'une lanterne éclairé faiblement projetant de longue ombres et une lueur orangé sur les bois humides du lieux. Des voix les appelèrent et arme aux poings ils virent que le navire contenait non pas des cales de marchandises mais une prison. Ulrick sortit son pistolet une main l'arreta.


Tire pas! On peut se servir de ca pour y mettre les britishs!
- Par la barbe du diable! Manu tu es un génie!

Ils remontèrent laissant les sept hommes dans leur prison. Il fallait trouver la clef et prévenir Bélénos, sans oublier savoir qui étaient les prisonniers.
   
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« Répondre #20 le: 19 Décembre 2008 à 17:05:34 »

Sur le tillac, on s'occupait �  jeter �  la mer les corsaires et pirates morts après que Marc eut dit une prière et recommandé leur âmes �  dieu. Il dut faire une extreme onction �  deux marins protestants, le seul péché de regrettait le pirate ce fut d'avoir abandonné sa femme, et l'autre prit tellement de temps �  se confesser que le corsaire qui agonisait n'eut pas le temps de se laver de ses nombreux péchés.
Il y avait pour ce combat pas tant de mort que cela, même peu pour un combat de cette violence, pas plus d'une vingtaine au total mais beaucoup des blessés, plus d'une quarantaine pour les deux camps pour des blessures légères sérieuse voir très grave, sans parler des égratignés. Le camps qui avait subit le plus de mort fut le navire abordé.

Dans la cuisine les deux medecins opéraient, le maitre coq s'occupait des cas importants alors que le corsaire soignait les blessures plus légères, ou aidait les marins �  calmer leur douleur avant d'être opéré.  Il était sous la surveillance de Simon dont la blessure avait été soigné et l'esprit calmé par un punch. La table était entre chaque blessés recouverte de sang, on y jeté rapidement un seau d'eau salée et un coup de chiffon, car le sel n'arrangerait pas les blessures. Il faisait une chaleur dans la pièce, car le foyer était allumé afin de chauffer les fers �  blanc si besoin et permettre aux blessés d'être au chaud, car la mort est froide même sous les tropiques.

 Sur le navire capturé, les corsaires avaient été désarmés et retenu dans le gaillard avant, surveillé par que quelque pirates mais dont la puissance de feu était impressionnante, avec Olympe et toute ses armes, et  surtout avec une des couleuvrine qui avait été chargé lors du combat, on l'avait fait pivoté sur le pont et pointé sur le tillac, en brisant ses roues afin de la rendre seulement dangereuse que sur cette angle de tir.

Le second, un anglais du nom de Tim Kwelton, cet homme d'origine bourgeoise sans doute avait une certaine prestance et manière de se tenir très droite et digne, meêm si certain de ses marins pensent qu'il est d'origine paysanne...
Il était interrogé par Bélénos et Sullivan dans la cabine des officiers. un endroit étroit, encombré par une table rempli de carte, où était posé le couteau de l'écossais. Bélénos regardait la mer �  travers les fenêtres de verre que le capitaine avait fait installé.   


- donc vous avez que cette bourse d'or.
- * Oui nous avions que peu de ressource nous allions �  St Kiit l�  où on a reçût notre lettre de comission pour toucher une prime pour la capture du "Chien-Loup ".
- Il dit qu'il devait avoir de l'argent pour la capture du "chien loup"
- Capture? un navire pirate? Sullivan reposa la question en anglais et avec l'intonation qui laisse peu de place �  la réponse. Il regarda son capitaine et dit.
- C'est un chasseur de pirate, ils avaient prit un autre français avant nous!

A ce moment ulrik et ses compagnons qui venaient enfin de savoir où était leur capitaine arrivèrent.
- Y a des prisonniers cap dans les cales pas de marchandises de valeurs!
- sur idiot c'est un chasseur de pirate! pas un navire de compagnie marchande grogna Ulrick en rajoutant une claque sur le haut du crâne; l'autre marin le regard d'un regard sombre sans pourtant montrer un signe de colère, plus un énervement de passer pour un idiot.
- C'est des pirates! liberez les Dit calmement Bélénos.

Les pirates obligèrent Tim �  leur donner les clefs et descendirent �  la prison ils ouvrirent la prote aux hommes qui semblaient plus qu'impatiente de ressentir le vent de la liberté.
Tous sortirent joyeux l'un hurla en passant.

- Tu avais raison! tu portes pouasse mais tu t'en sors toujours mon gars! il ria ainsi que les autres et montèrent sans attendre avec les pirates. La plaisanterie était destiné �  un autre détenu, qui ne s'était pas levé.

assis dans la prison, écoutant le bois grinçait des virures de fond et du bordage de franc bord (c'est �  dire de celui composant la parti arrondie des œuvres vives).  il respirait lentement, se remémorant la plaisanterie sans méchanceté mais elle le détruisait.

Si elle était vrai? seulement vrai? Tout ses compagnons sont passés par de l�  l'horizon pour beaucoup dans les mers des morts. Il restait l�  silencieux, dans la pénombre, regardant ses pieds, la tête dans les épaules les cheveux, long noir et gras, masquant son visage. il réfléchissait quand une voix l'appela celle d'un des mousses.   


- Bah alors gars! tu préfères moisir ici? L'homme releva la tête et regarda la jeune et frêle silhouette qui se tenait devant la porte. Lentement il se releva et passa devant le jeune marin qui le regarda d'en dessous, dépassé par plus d'une tête, plus d'un pied de hauteur. L'homme était imposant, froid et mystérieux. Ca il connaissait déj�  avec "Jaguar courant" mais l'ombre du milieu lui donnait un air de démon ainsi que ca manière de se tenir. Il lui indiqua la lumière, voulant surtout sortir d'ici.  
« Dernière édition: 19 Décembre 2008 à 17:17:48 par scar »
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« Répondre #21 le: 24 Décembre 2008 à 13:22:00 »

Hobbs était assis avec les blessés légers, sous la garde du médein-corsaire. Son épaule le lançait, mais sans détourner son attention des prisonniers libérés sur ordre de Bélenos. Un tel geste, même si il s'agissait de venir en aide �  des confrêres, était la preuve d'une âme noble et charitable, intraitable sur les droits humains mais surement impitoyable avec les exploiteurs, quels qu'ils soient. C'était quelque chose que les anglais comprenaient bien, et qui expliquait que peu d'entre eux se tournaient vers la piraterie, préferant mettre leurs talents et leur bravoure au service de l'honneur national. Comme quoi, il y avait pirate et pirate.
Mais une telle inclinaison �  la miséricorde pouvait s'averrer risqué. Les hommes qui venaient d'être libérés étaient néanmoins des flibustiers, des gens qui avaient probablement commis des crimes ou s'étaient enrichi avec autant de cruauté que les chasseurs de primes qui les avaient capturés. Les loups ne se mangent pas entre eux tant qu'il reste de la viande en réserve, mais ils retsent des prédateurs. Belford Hobbs en gardait un souvenir doux/amer.

Il y a 7 ans de cela, quand lui et les survivants de son équipage s'étaient faits jeter dans les câles d'un amiral espagnol, Belford avait cultivé avec l'aide de Goldman et Hardings, �  ses yeux les deux pires ordures �  avoir navigué sous l'Union Jack, un plan desespéré pour échapper �  la peine de mort. Mais le bâtiment sur lequel ils étaient fut abordé par un français, qui remporta la victoire et libéra la petite dizaine de britanniques qui croupissait dans les câles espagnoles. Les prisonniers se répandirent en remerciements auprès de leurs sauveurs, et une fois la nuit tombée, liquidèrent les français qui montaient la garde pour s'enfuirent en canots.

Mais maintenant Belford ne savait que penser. Deux choix se présentait �  lui: rester avec Bélenos et entamer une vie de flibustier, pour le peu de temps qui lui restait �  vivre, ou bien, puisqu'il avait honoré sa parole et participé �  l'abordage, reprendre la route de son côté ?
Il décida, pour le moment, de laisser le français et l'indien disposer de la suite des évenements. Après la bataille, il était passablement fatigué.
 
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« Répondre #22 le: 24 Décembre 2008 à 14:12:40 »

Le dernier prisonnier sortit enfin du navire et monta sur le tillac. L�  il se déploya de toute sa taille, respira l'air frais de la mer et regarda le ciel bleu clair. Il dut froncer ses épais sourcils pour protéger ses yeux de la lumière du soleil, qui �  ces latitudes montre toute sa puissance. Cela faisait plus de cinq jours que lui et ses compagnons vivaient dans la pénombre de la cale.

Certain marins le regardèrent, il était vêtu seulement d'un pantalon large, déchiré �  de nombreux endroits, en toile de jean devenu marron par la crasse et la boue; ainsi qu'une ceinture en étoffe rouge. Rien d'autre, il était torse nue laissant voir sa musculature fine mais puissante et toutes ses marques, blessures et cicatrices. Ses cheveux noir et long flottèrent dans la brise autour de son visage, caché par une petite barbe fournie.
On pouvait facilement voir qu'il n'était pas européen, même dans les caraïbes où les hommes blancs finissent bronzés ou cuit par le soleil. 

Un sourire vint enfin �  se visage inexpressif et calma, quand il regarda l'horizon.
Ses compagnons furent appelés par le second pour le dire qu'ils étaient recrutés de force sur ce navire; cela ne les choqua pas, c'était le moindre des services qu'ils pouvaient rendre au navire qu'ils leur avaient sauvés la vie et puis la mer et la piraterie étaient toute leur vie.

L'un d'entre eux alla rejoindre, celui qui restait en arrière, se tenant au bastingage, les mains sur le ratelier.   


- Tu es rêveur! Pourtant nous sommes libre, c'est une chance! une providence! Dit il de sa voix puissante mais légère en passant une main dans sa barbe à pointe.
- Je ne crains plus la mort...
- Te sens tu immortel? ca serait une erreur de le croire! coupa son compagnon.
- Non henry. j'ai juste l'impression qu'un être au dessus se joue de moi! Si c'est Allah, alors il est grand car je l'ai renié et il me protège encore.
- C'est vrai l'étranger que tu en as vécut des choses et que tu t'es toujours redressés. Mais profite on nous donne encore une chance de mourir le sabre �  la main ou de couler des jours heureux. Dit henry en riant presque, posant sa main sur l'épaule de son ami et parti le laissant �  ses songes.

* Pourquoi? si vous attendez quelque chose de moi dites le moi! suis je aveugle et sourd �  vos messages? Pensa le marin posant sa tête dans ses mains et regardant, le regard vide, le monde et sa grandeur. il semblait être étranger �  l'activité sur le navire.

Simon remonta sur l'autre navire annonçant �  Bélénos que seulement deux autres frères de la côtes étaient mort, il quitta la cabine et vit sur le tillac ce prisonnier rêvant. Aucun doute, il demanda �  l'un des anciens prisonnier comment s'appelait celui qui restait seul.
Quand il eut la réponse il sourit et alla le voir. Se tenant un mètre derrière l'homme. 


- Toujours en vie l'étranger! Maitre des lames! Danseur de la mort comme je t'appelais. L'appelé se retourna lentement, une marque d'étonnement contenue sur son visage, les yeux croisèrent ceux de simon.
- peut être que tu te souviens pas de moi! Mais je t'ai connu sur le clipptron II, navire du grand Taranis.
Taranis se nom évoquait pour l'étranger comme pour les autres le nom d'un pirate redoutable, d'une légende mais aussi d'un homme qui avait sur lui pardonner et l'aider �  se faire une place ici. Un grand homme de gloire, qui comme lui a cherché toute sa vie la raison de sa condition, mais avant de mourir Taranis l'avait trouvé, l'étranger la cherche encore.

Il alla vers Simon et lui fit une accolade.

- Jamais j'aurais pensé te revoir! le monde est petit! Dit il avec un accent arabe caché par une voix grave mais gutturale.
- Moi de même! ca fait bizarre, c'est comme revoir les anciens! Te savoir envie ca laisse un espoir aux légendes de vivre encore! Et toit aussi tu en es une. J'ai un peu raconté ta manière de combattre �  certain du navire ils ont jamais voulu me croire!
Ces deux hommes vivaient tout les deux, pour des raisons différentes, dans le passés l'un dans les vieilles légendes pleine de gloire et de rêve, l'autre dans son histoire pour se comprendre enfin et fuir son avenir.
- Allez je vais te présenter au capitaine!

Chose dit chose faite, Simon mena l'étranger devant le capitaine Bélénos.
- Capitaine! Je vous présente une fine lame la meilleur qu'y a ici, et par la barbe du diable que c'est vrai! Voici l'étranger.
ce dernier s'avanca et salua Bélénos, qui le regarda, vit qu'il était musulman.  
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« Répondre #23 le: 29 Décembre 2008 à 12:59:47 »

Les deux hommes discutèrent calmement. Bélénos était heureux de rencontrer un homme dont on prétend tant dans les combats et Seth était soulagé de reprendre la mer et non de finir ce voyage au bout d'une corde.

Il alla revoir ses compagnons qui discutaient calmement et joyeusement avec certain marins.   

- Tu vois Henry nous avons bien fait de ne pas tenir notre promesse.
- oui combattre jusqu'�  la mort! comme quoi le destin sourit même au lâche!

Durant ce temps le plus vieux des prisonniers, âgé seulement de trente sept ans, voulu raconter �  ses nouveaux compagnons leur aventures, mais, le second vint mettre fin �  ce début de fête.

- voué commenciez la pillage!
- Barbe tout les diables il a raison! Hurla un marin à la barbe brune bien fournie.
- Toi Niles va mettre les prizonniers en cage!

La troupe se dispersa bien vite, on fit sortir les survivants et on les alignea sur le tillac, devant le reste des pirates. Les chasseurs pensèrent leur dernière heure venue. Dupoil, le quartier maitre s'avança et déclara sur un ton fort et neutre, avec par moment des envolés enflammées.

- Nous ne sommes pas l�  pour vous juger! Vous vous êtes battus au service de votre roy qui se cache derrière VOS vie pour défendre SES intérêts. Nous n'allons pas vous juger. le choix est simple rejoignez nous, vous connaitrez une vie difficile, mais en tant que marin et combattant vous connaissez cela. Avec nous vous aurez la satisfaction de savoir qu'un tiers voire les deux tiers de votre butin ne partira pas pour des hauts qui se pensent supérieures �  vos! Vous profiterez pleinement et équitablement de l'or gagné au combat, sans parlé parfois de la part du diable...
 Nous vous promettons que deux choses l'aventure et l'or et nous vous assurons une autre chose: vos droits équitables avec le reste de l'équipage, vous pourrez vous faire entendre et défendre comme tout les autres membres du navire, n'importe leur postes. Car ici c'est pas un grade mais un poste qu'on a bien voulu donner!

Cette dernière phrase était en partie fausse; le navire appartenait �  Bélénos et c'était pour cela qu'il ené tait le capitaine, mais s'il l'était c'était aussi parce que Bélénos est un bon capitaine dont personne n'eut �  se plaindre: mise �  part peut être en tant qu'homme lors de jeu d'argent ou au sujet de femmes mais jamais sur sa fonction.
Le discours continua un peu, trois hommes se détachèrent de la troupe et rejoignit les pirates sous le regard plein de haine des autres. angmar fit un tour des blessés et prisonniers chasseurs de pirates. Aucun n'était digne d'être prit de force, les meilleurs étaient mort ou blessés et il pouvait pas juger leur savoir. On fit mettre tout le reste en cellule, bien fermée avec toujours la surveillance de Manu.

Après une heure de fouille du navire on ne put dégoutter que peu de pièces par rapport �  ce que l'interrogatoire avait apporté. il fallait se mettre �  l'évidence: c'était bien un chasseur de pirate et sa dernière prise n'avait elle aussi rien dans ses cales. L'étranger put en témoigner.

On cloua les canons et ouvrit la prison, ordonnant aux marins d'attendre la cloche avant de remonter sur le navire sinon c'était la mort. Quand lle vint, les marins remontèrent lentement, tremblant de peur d'être tombé dans un piège. Mais rien.

le navire pirate redonnait de la voile et commencait �  repartir, en saluant un peu ironiquement son ennemi d'un coup de canon �  blanc et de nombreux hourra. Les anciens prisonniers et chasseurs de pirates restèrent plus longtemps sur la dunette �  se moquer de leur ancien navire.
Les chasseurs de pirates restèrent digne et silencieux, ils avaient respectés leur promesse et parole d'honneur.

puis ils décidèrent de prendre le large aussi.

sur le "Jaguar" on déposa sur un table �  la dunette tout le butin et on commença �  faire les parts. Les nouveaux venus avaient le droit �  une demie part en signe de bienvenue, elles étaient bien maigre, car il fallait indemniser les blessés, très nombreux dans ce combat, �  telle point qu'il ne restait rien du butin pour les sains. Mais aucun pirate ne s'en plaignait, c'était pas un navire marchand mais bien une arme de guerre contre lequel ils avaient combattus et ca c'était la gloire! 



hrp: fin de l'embuscade plus aucun poste n'est faisable... suite dans voyage de seth  
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