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« le: 30 Mars 2009 à 05:14:41 » |
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3O Mars 1708.
Cap Français, St Domingue.
Celas fait maintenant plusieurs jours que j'ai débarqué � Saint Domingue en la ville de Cap Français, huit pour être exacte.
Et je me sent plus perdue que je ne l'était � Fecamp. Père et mère me manque et ma douce Nahalie plus encore. J'aire sens but réel dans les rues � la recherche d'une taverne ou je n'ai pas encore de dettes, que ne donnerais je pas pour un repas chaud, un toit et une paillasse.
J'ai garder par devers moi quelques rations, une pipe, du tabac, mon épée, un pistolet de marine et le matérielle nécessaire � leur entretien chaparder sur la Goélette qui ma amener ici. Il me reste pour toute fortune une pièce d'or, deux d'argent et cinq de cuivre.
A défaut j'ai élue domicile sous l'appentis d'un escalier dans une cour prés des docks. Caché par le bois qui y est entreposer, peu aurons l'idée de m'y chercher.
Je déséspaire de trouver � m'employer sur un navire.
Mais de tous se qui me ronge, le mal que j'éprouve de me savoir � jamais loin de ma douce et le pire, j'ai vider mes dernières réserves de rhum � tuer les fantômes de mon jeune passé.
Par l'enfer, je suis tombé bien bas me voilas vagabond, sens le sous, me lamentant et pleurant pour un peu d'alcool.
Pauvre journal, je te plain � être se soir le dépositaire de se qui semble bien être ma triste fin.
Et vous ma douce qui me manquez tant, dans ce triste exile. Apprendrez vous jamais se que furent mes dernières heures ?
Demain j'irais au docks en me gardent des soldats du gouverneur, je souhaite y trouver un emploie digne.
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