La défense de Grenade

[Arthurius]

Mais tous remarquèrent que Lovecraft avait disparu, mais tous avaient une idée de l'endoit où ils pouvait etre...

En effet ils durent le tirer de la cale du navire, en train de boire le rhum des tonneau. Il fallut quatre homme pour hisser l'artilleur sur le pont, qui pleurait car il ne pouvait plus voir son rhum.  

[victormcbernick]

Lerequin fut gené
"Ne me remercie pas gamin, c'est normal...."
Ils se rendirent tous chez le capitaine Doriot, l'artilleur était toujours en cale, il ne fut pas facile �  déloger.
Lerequin commença �  parler
"Je ne sais pas ce que vous pensez, mais je propose de tous se replier dans le fort et de tendre des piéges dans l'île, ainsi nous aurons un avantage..."
Il s'assit, but un peu de rhum et attendit les réponses  

[rekans]

Tout en servant du rhum �  l'équipage et aux hommes présent, sauf a Lovecraft qui en avait déj�  trop but,Yohan prit la paroles

Oui c'est une bonne aider et disposer une parti des nos hommes en tirailleurs dans la villes pour diviser les forces ennemies et ainsi diminuer leurs pressions contre le fort.Mais ils faut aussi priez pour que les renforts fasse fuir les anglais dans le meilleurs de cas sinon ils vont nous assiéger et nous affamer.sans trop dé-fort Dit Yohan conscient qu'il avait toucher le point incertain de la défense de cet ville.je connait bien cet ville et on peut facilement faire des embuscades et repartir aussi vite.    

[victormcbernick]

tu aurais pu poster ici http://forum.ageofseadogs.com/index.php/topic,2944.msg83577.html#new
(message à effacer)  

[Magraen]

- Excusez ma franchise, mais se plan ne me plait pas. Il s'agirait de calfeutrer toute la population dans une fortification trop petite pour ca, d'abandonner a l'ennemi tout nos navires du port qu'ils pourraient couler si ils débarquent, et de laisser des hommes sur l'ile qui finiraient par se faire tuer, sous le nombre. 
- Que proposez vous en ce cas ?
- Et bien il va sans dire que l'attaque vient de la Barbade. Hors, la flotte de la Barbade n'est pas suffisante pour a la fois mener l'assaut et intercepter les renforts. Renforts que les Anglais doivent attendre. Or, en ce cas, le meilleur moyen pour eux de ce défendre de ces renforts et d'avoir déjà pied sur l'ile. Ainsi, leur flotte peut repartir intercepter les renforts et les combattre en mer, ou ces anglais auront invariablement le dessus, pendant que leur armée assiège le fort sans pertes, attendant que, étant en surnombre a l'intérieur, nous mourrions de faim.
- Quelle serait la solution ? Vous l'avez dit vous même, il est impensable de vaincre une flotte anglaise organisé, surtout qu'il n'y a que peu de bateaux digne de ce nom ici. Et il n'est pas imaginable qu'une bande de garde et de marins combattent en plein air une armée elle aussi organisée.
- La solution est pourtant simple. Il ne faut pas les laisser débarquer. Je m'explique : A l'exception du fort, il n'y a qu'un canon sur le port. C'est peu. Mais, si les "grands navires" se mettent en travers de l'entrée du port, sous le couvert du fort, l'accès au port sera impossible...
- Jusqu'à ce que nos bateaux soient coulés, bien sur... ce que je ne veux pas !
- Laissez moi finir. Soit vos navires se placent ainsi en défense et se battent, soit ils sont abandonnés aux anglais. A votre place, je préfèrerait tenter ma chance. Surtout que, les autres bâtiments, même plus petits, sont tout de même armés, non ? Or, si on défend le port de cette manière, tout leur armement ne servirait pas ! On peut donc le récupérer pour placer d'avantage de canons encore sur les digues et dans le forts, tout en en conservant pour les placer a des points stratégiques de la ville.
- Pourquoi en ville ?
- Il arrivera un moment ou les anglais débarquerons ailleurs, sur l'ile. Elle est trop vaste pour en défendre toutes les cotes. Cependant, la ville, elle est défendable. De plus, en combats de rues, avec des canons, nous auront l'avantage sur eux et pourrons les empêcher de rentrer, tout en leur infligeant de lourdes pertes. 
- Et qui manœuvrerait ainsi l'artillerie au sol ?
- Les équipages des bateaux a quai, sous le couvert des gardes. De plus, en nous battant ainsi, on peut tout de même abriter les femmes et les enfants dans le fort, tout en réquisitionnant les hommes pour la bataille. Si celle -ci tourne mal, on retomberas sur votre plan initial : les survivant se replient dans le fort et ceux qui n'y arrivent pas mènent la guérilla en ville, pendant que nos bateaux sont coulés ou livré a l'ennemi. Dans cette optique la, il ne faut pas que les anglais aient nos canons. Il faudra les détruire ou les envoyer a la mer.
- C'est risqué.
- Je préfère mourir au combat que coincé dans un fort bondé et mourir de faim, lâchement. Et si vous tenez vraiment a vos navires, vous me suivrez.

Satisfait d'avoir fait impression, Magraen les laissa méditer se plan en sirotant son rhum.  

[victormcbernick]

Le discours de Magraen avait provoqué un brouaha dans l'assemblée, Lerequin réfléchissait en faisant des ronds avec son verre de rhum, il se leva et pris la parole.
"Je suis d'accord avec Magraen, mon idée n'était pas très bonne, la sienne est meilleur, nous devrions avoir une bonne puissance de feu avec tout les navires de guerre présent dans le port, il faudrait en parler au capitaine de la garde..."
Il fit signe �  son second, Sprat, qui était resté monter la garde hors du bateau, il prit une feuille de papier et écrivit un mot, il le donna �  Sprat en lui disant d'aller voir le capitaine de la garde...
Magraen voyant cela lui demanda
"Vous savez écrire?
-Un petit peu, mes parents m'ont appris couramment, je sais aussi lire.
Lerequin se rassit et sirota son rhum  

[Magraen]

En attendant la réponse du capitaine de la garde, Magraen décida de faire plus ample connaissance avec ses camarades. Il décida donc de lier la conversation avec son premier soutient, le capitaine Lerequin.

Capitaine, vous me semblez fort instruit pour un marin commun. De plus, je remarque que d'autres personnes vous regardent souvent avec méfiance, ou peur. Je ne suis dans les Antilles que depuis peu, et ma question va vous sembler incongrue, mais, qui êtes vous au juste ?

Surpris par la question, alors que le vacarme continuait dans la salle, chacun discutant du plan du jeune officier, Lerequin ne répondit pas tout de suite. Il préféra siroter son rhum encore un peu, sous le regard intrigué de son interlocuteur.  

[alexislaurent]

Bonjour je viens en tant que civil �  votre assemblée et vous propose ce ci:
une division de la flotte de Grenade faite de navires rapides d'attendre derrière l'île.Dès que les anglais arrivent et que ceux ci ont tirés leurs premières salves sur les gros batiments cette division passe par derriere les anglais , tirent et grace a la furtivité des navires legers ,cette division tourne autour des anglais tout en tirant etet en evitant les tir anglais.
Qu'en pensez vous
   

[victormcbernick]

Lerequin était un peu gêné de la question, il prit une grande inspiration et se tourna vers magraen.
"Eh bien il y'a quelques temps j'ai eu une mission de routine, je devais escorter la fille d'un gouverneur Français, les choses ont mal tourné et elle est morte, depuis j'essaye d'avoir de bonne relation mais ce n'est pas facile, voila pourquoi les gens sont méfiant..."
Il s'assit et écouta un homme parler....
"Oui, ce n'est pas une mauvaise idée, fit Lerequin, mais qui vous a laissé passer?"  

[Magraen]

Une voix s'était élevé au dessus du vacarme pour proposer a son tour une idée, et le brouhaha repris de plus belle. Magraen, s'excusa auprès de Lerequin de ne pas écouter de suite l'histoire que ce dernier avait commencé a raconter et se leva pour reprendre la parole et répondre au nouvel arrivant, précédé de peu du capitaine.

- Grenade n'est guère petite. Cacher une division de vaisseau léger est envisageable, bien sur, mais il faut s'attendre a ce que les anglais débarquent en divers endroits. La diversion des vaisseaux légers serait bien sur utile pour alléger la pression sur le port, mais elle nous priverais de canons pour la défense de la ville. Hors, le fort est peu défendu, pour ainsi dire presque pas, les canons n'étant jamais arrivés. Nous avons besoin de ces canons sur terre.
Malgré tout, l'idée n'est pas mauvaise. Non pas pour occuper les anglais, qui peuvent tirer des bordées de bâbord et tribord en même temps, mais pour semer le chaos dans leur rangs.
Voyez plutôt : des navires de guerre anglais vont mitrailler le port et ces défenses pendant que d'autres vont débarquer les troupes anglaises ailleurs. Les navires de débarquement vont donc être en équipage réduit. Si nous en profitions pour nous emparer d'un de ces bâtiments ? Il suffirait d'une dizaine d'homme pour le manœuvrer, ce qui ne creuserait pas de trou énorme dans les défenses, et cela permettrais d'arriver avec un navire au cœur de la flotte britannique. Vous voyez ou je veux en venir ? Non ?
Et bien, si nous chargions se navire d'explosifs...
- Oui, je vois. Mais, qu'arriverait-il a la dizaine d'hommes a bord ?
- Une fois le navire lancé vers la flotte, ils pourraient sauter discrètement et revenir sur terre. Bien sur il faudra qu'ils sachent nager...

Le brouhaha repartant a nouveau, Magraen reparti vers Lerequin pour écouter son histoire.  

[victormcbernick]

Lerequin écouta Magraen parler, il alla parler �  l'homme qui venait de faire la proposition.
"Comment vous appellez-vous? je ne vous avais encore jamais vu ici...
Il se tourna vers Magraen
-Et vous, racontez moi votre histoire monsieur ?
-Magraen
-Racontez moi votre histoire monsieur Magraen...
Il fixa l'homme en attendant qu'il parle...  

[Arthurius]

Lovecraft venait de retrouver tout le monde, et cria:

-Objection! hip!

Il était évident que l'alcool fesait encore de l'effet, mais il parvient à parler.

-Pour commander une flotte capable d'assiéger Grenade, les anglais devrons obligatoirement avoir un navire amiral. Il suffirai de couler ce navire et ça serai la débandade parmis les troupes ennemies. Cependant ledit navire risque d'etre une forteresse flotante. C'est l�  où je veux en venir: un tel navire doit pouvoir disposer d'un important stock de poudre �  son bord, dans la Sainte-Barbe, pour maintenir sa cadence de tir. Un seul tir bien placé et le navire de leur amiral explose. C'est pourquoi il faut placer la meilleure pièce d'artillerie au point le plus haut de la digue, il me suffirait alors de me servir de ce canon.

Magraen riposta:

-Mais il faudrai ammener la flotte anglaise à portée...

Lovecraft trancha:

-Pour ça je compte sur vous. Ammenez moi ce navire �  portée, et je le coule d'un seul tir.

Mais l'alcool, en grande présence dans son organisme, eu raison de lui, et s'endormit, la tete appuyée contre un mur.  

[victormcbernick]

Lerequin se leva
"Je suis volontaire pour jouer le rôle d'appat, dites moi seulement par ou je dois les attirer et je le fais"
Il se rassit...  

[Magraen]

- En réalité tout ces plans sont réalisables, chacun ayant construit son plan sur ses certitudes. Sommes nous seulement aptes a juger objectivement du meilleur ? Chaque plan a ces faiblesses et ces avantages, mais chaque faiblesse met en péril tant nos vie que Grenade. Il faudrait un homme extérieur pour juger de cela. Il faudrait demander son avis au Gouverneur. N'es ce pas lui le responsable de cette ile ? Soumettons lui nos plans, il jugera. Voil�  mon opinion.
Chacun pourrait défendre bec et ongle ses idées, et ce débat pourrait durer jusqu'au débarquement des anglais. Il faut donc trancher, et vite, si nous voulons avoir le temps de nous préparer a tel ou tel plan. Que le Gouverneur soit juge !

Magraen se rassit dans un silence tout neuf. Puis les conversations reprirent a voix basse, et l'officier en profita pour conter ses aventures a Lerequin. Son départ de La Rochelle sur L'empereur, l'attaque des pirates, la vie sur l'ile déserte avec ses compagnons, le navire de fortune, le naufrage et son arrivée a Grenade.
   

[victormcbernick]

"Je propose d'aller discutez de cela avec le capitaine de la garde et le gouverneur, fit Lerequin, je vais chercher le gouverneur, retrouvons-nous dans le bureau du capitaine de la garde d'ici quelque heures..."
Lerequin sortit du navire, il vit Sprat courir vers lui...
"capitaine, Capitaine, venez vite"
Il le suivit jusqu'�  son bateau, cinq gardes se battaient aux poings contre ses matelots, Lerequin stoppa la bataille en tirant en l'air
"Que se passe-t-il?
-Ils voulaient voler nos canon, fit un de ses hommes
Le capitaine de la garde arriva
-Eh bien? que se passe-t-il?
-Je vous cherchais, nous avons pensé �  un plan de défense mais il faudrait en parler au gouverneur.
-Le gouverneur attend justement dans mon bureau, cela presse?
-Oui, attendez nous s'il vous plait...
Lerequin alla avertir les autres, une fois devant le gouverneur il s'avança
Nous avons pensé �  un plan de défense, mais nous avons jugé que vous étiez le mieux placé pour en parler, Magraen va vous expliquer...
N'ayant pas de chaise il resta debout les bras croisé et attendit que Magraen parle