Les mines de Santa Colys.

[scar]

   Après avoir séjourné pendant plus d’une semaine Scar et le capitaine « La Mouche » avaient décidé de partir sans Kalgara pour le pillage…

Scar invita son partenaire sur le Rubis, son  sloop, certes pour La Mouche se navire semblait et était dérisoire par rapport au sien, plus armé et plus solide avec un meilleur tonnage. Mais « Le Rubis » était un navire, comme tout les sloops, plus rapides et très manoeuvrable.
Ils montèrent tout deux sur le navire �  quai, se dirigeant vers la poupe du navire où une cabine avait été installée. Une cabine de bois sans grand prestige, une copie ridicule des cabines des grands navires. Scar respira l’air pur de la mer puis ouvrit la porte et son habitacle et y invita poliment son ami �  y rentrer.

Les deux capitaines s’assirent sur des chaises autour de l’unique table centrale, où étaient disposées des cartes et une dague. Scar prit la dague et  pointa une petite île sur la carte.

-C’est ici que nous allons
-Ici mais i l y a rien c’est sans intérêt. Vous vous serez pas moqué de moi ? s'écria La Mouche
- Vous êts un fin observateur mon ami mais pas assez. Certes vous avez raison, l’île du pauvre est sans grande particularité �  par d’être �  moins d’une journée de voyage des cotes du nouveau continent. L�  où se situe notre proie, nous irons sur cette île, de l�  nous pouvons voir les cotes d’Amérique, et je vous expliquerez mieux mon plan.

Scar attendez les questions de Vendeloves. Il pique dans un bocal une fève de cacao, la suça lentement et en proposa une �  son ami qui accepta.
-C’est le trésor sans valeur de ces lieux, l’Europe ne sait pas ce que c’est ! s’exclama Scar. Quel est votre navire et combien d’homme avez vous ?
-Mon navire est le fend-la-brise….
Quoi ce bateau qui trempe au large, il est �  vous ? Coupa le chef du navire étonné et admiratif.
-Oui, c’est un bon bateau, bien armé avec un équipage au complet et de fer prêt �  mourir pour nos ordres.
Avec ce navire j’en ai parcouru des milles de mers et coulé des galions espagnols. Et j’ai bien envie de piller les espagnols et d’en tuer assez pour les rendre foux de rage.
- Je connais votre réputation, elle vous suit. Dit calmement Scar qui regardait le navire de la Mouche, sous son chapeau
-Moins que la votre, capitaine. Répondit poliment La Mouche renvoyant le compliment.

   Les préparatifs étant fini depuis plus de deux jours les deux capitaines décidèrent de partir le jour même. En plein après midi le Fends-la-brise suivait lentement toutes voiles le sloop qui le guiderait jusqu’�  l’or espagnol.
Levent était favorable et le voyage rapide, sans encombre. Les deux pirates rencontrèrent en route un bateau anglais mais ils ne l’attaquèrent pas, or de question de s’affaiblirent avant le pillage des mines de Santa Colys.  

[De_Vendeloves]

L'équipage du Capitaine La Mouche était pour le moins hétéroclite. On y voyait �  peu près toutes les races de la terre; bon nombre de mahometants, d'indiens d'orient, d'esclaves africains libérés,de grands blonds au regard bleu azur, et même quelques indiens caraïbes tout couverts de bijoux en or et de plumes de cacatoès...Un équipage bariolé qui répondait aux ordes de la manière la plus étrange. A signe de la main ou des bras du capitaine correspondait une serie d'ordres basiques compris par la majorité de l'équipage. A chaque mouvenment du doigt, les uns gréaient les voiles, les autres nettoyaient le pont...
Du haut de la dunette, le capitaine La Mouche ressemblait tout �  fait �  un chef d'orchestre dirigeant ces musiciens.
Un jour qu'il avait été invité �  diner par La Mouche, Scar pu observer ce singulier ballet.

-Dites- moi, avez vous déj�  songé au formidable potentiel de votre langage silencieux lors d'attaques qui necessitent la plus grande surprise???demandat-il

-Hummm...Nous, en effet je n'y avait pas songé...Mais voici une excelente idée...

les jours suivant le Capitaine La Mouche se mit en quête d'apprendre cela �  ses marins, non sans mal, et �  voir toute la patience dont il faisait preuve, les hommes de Scar eurent bien du mal �  croire que le pirate sanguinaire dont il avaient entendu parler et ce gentil capitaine patient avec ses marins était un seul homme.  

[scar]

          L’équipage de la Mouche était en effet plus nombreux et plus varié que celui de Scar. Le sien n’était composé surtout de Français nés en France ou aux caraïbes, certes il y avaient des étrangers espagnols, anglais, africains hollandais, un italien mais tous parlés français. Et c’était par rapport à l’équipage de la mouche des hommes plus coriace et habille en apparence.
Tandis que De Vendeloves s’occupa avec ses hommes. Les bâtiments glissaient toutes voiles sur l’eau. Il n’eut aucune difficulté sure le voyage pas de tempête, pas de navire de guerre ni même un navre marchand à piller. Rien aucun bateau ne fut croisé. Près deux semaines de route la vigie des deux navires s’écrièrent « Terre, terre ». Enfin ils touchaient à leur but, après avoir accosté, un petit campement fut bâti sur cette île. Elle était assez petite mais surtout avec un relief très hostile à tout construction d’une ville. Elle n’était pas très large et était composée d’une colline très rocailleuse où seul la petite végétation posait sur les flancs. La petite bande de sable qui séparait la mer de la jungle venait d’être occupé.
Scar invita, le soir, son ami à un briefing sur leur objectif. La mouche entra dans la tente où était  son compagnon, un fouillis partout, la table était couverte de papier le sol l’était presque.

Malgré tout Scar invita son ami à s’asseoir sur le lit de fortune tandis que lui debout lui montra une carte la mouche se leva et la regarda.
- Vous voyez ici, Dit car en pointant un bord de l’amèrique sur la carte. C’est une plage déserte trop petite et mal placée pour être habité ou même défendu, il n’y a aucune habitation à moins de six heures de marche de ce lieu d’après mes renseignements. Ainsi nous pouvons y débarquer une partie de nos hommes.
Car je vous explique nous nous diviserons en deux groupes, l’un attaquera la carrière l’autre après le premier assaut lui avec les navires attaquera le petit port. Ainsi nous sommes sur d’avoir de l’or car n’attaquer que les mines, peut-être que leur convoie serra déjà parti…
Et aussi si l’alarme est lancée le petit port ne pourra servir pour les navires espagnols.
- Normal, répondit La mouche, mais combien et comment le port est défendu.
- D’après mes sources non pas par un fortin mais une garnison d’environ cent hommes et huit canons assez pour me détruire si j’y étais allé seul s‘est pourquoi vous êtes ici.
- Mais cela ne serait pas plus simple de piller les navires qui font la vedette entre ce port et Carthagène ??  Il y aurait moins de risque même si je pense que ces navires sont escortés et que pour gagner autant que par le pillage il faudrait rester dans les environs au moins une semaine. Un risque de voir les voiles espagnoles. Je suppose q’on ne le fait pas parce que les navires sont trop rapide pour mon navire et que de ces deux ports il y a seulement trois jours. J’ai raison ?
Scar qui avait écouté son ami, approuva.
-Oui et même pour tous. C’est pourquoi il faut agir vite et faire cela, les deux pillages en moins d’une semaine chose très dur. afin d'éviter de croiser un navire vedette qui sont escortés.
Bon alors une parti de notre groupe guidé par vous ou moi descendra sur cette plage et devra se frayer un chemin jusque sur la route des mines de Santa colys au port et la devront faire le parcourt qui dure trois jours à vitesse de mulet en moins quarante heure et sans être répere. Donc nous les déposerons le matin il faudra que le lendemain soir il soit près des mines. Alors là au fois soit il attaque tout de suite mais risqué car la fatigue et le fait que les mines sont un peu fortifié non pas par des canons mais entouré d’une palissade et avec des soldats risquent de faire raté l’assaut. Mais bref il faut que le lendemain les mines soient prises d’assaut et pillées. En même temps les deux navires sous le commandement du deuxième capitaine retourneront sur les cotes de l’Amérique et se dirigeront vers la baie où se situe leur proie.
- Tout est bien réglé on dirait, il faudra pas se tromper et qu’aucun des deux ne rate son coup.
- Oui si l’un rate le deuxième n’a aucune chance…
Bon après cela ils attendront une journée, hors de vue du port et en restant discret le soir venu du lendemain donc le cinquième jour, les navires se mettront en position de combat et bien devant le port mais assez loin pour n’être pas repérés. Les hommes du pillage qui auront descendu le chemin leur feront un signal. Et là le combat commencera les bateau en premier le galion tira des boulets et le sloop serra rempli de presque tout les marins restant pour aborder le port. Si la stratégie marche bien, le galion devra faire assez de dégât à la caserne et surtout tous les soldats seront tournés vers la mer et là le deuxième groupe pourra attaquer de la terre…
Pas de pillage et massacre autre que celui de la caserne qui sert d’entrepôt pour les mines. Il faut qu’au levé du jour nous soyons déjà en route.
- Pas facile du tout, surtout pour celui qui attaquera les mines car deux combats avec entre les deux de longues marches rapide et surtout aucun moyen de s’enfuir sauf en prenant le port. Il va falloir du courage pour ma part et celle de mon équipage il est fournie et vous Scar ?
il fut étonné de la question, répondit :
C’est moi qui est planifié le pillage croyez vous que je faiblirais au moment de vérité, le courage et la rage de gagner moi aussi j’en ai.

Les deux hommes se firent l’accolade, puis Kember montra les différents points de leur stratégie sur la cote que l’on voyait à peine. Les préparatifs étaient bien débuté, les navires alléges les sloop fut libéré de tout ces cales afin d’y recevoir les pirates.
-Il nous faut au moins six heures pour aller de notre refuge à rivage, où et quand allons nous faire le partage du butin ?? Demande curieux de Vendeloves
-  Le jour même et ici
- Mais si il y a des recherches nous seront vite repérable.
- Non j’ai déjà utilisé cette île, une partie est marécageuse et un peu profonde assez pour y cacher le sloop. Or ca serra deux navires qu’il rechercheront pas un. Et vous, vous vous ferez passer pour un navire marchand, la nuit avec un navire assez loin, les hommes du port ne reconnaisseront pas votre bateau. Il chercheront pas bateau sous enseigne pirate fuyant au large pas un équipage mouillant près des cotes et de façon tranquille.

Dans deux jours nous partons.
   

[scar]

Ne voyant que son ami ne se décidait pas, il alla le voir
- Bon comme vous semblez pas savoir, j'irais sur terre attaquer les mines et le port, cette tache me revient de droit. C'est moi qui est tout planifié. Ce soir nous levons les voiles!
Je prendrais trente de mes meilleurs hommes, je vous en laisserais treize plus quinze autre. Donc j'aurais cinquante de mes hommes et il me faudrait environ une treintaine voire plus des votres.
- J'accepte, vous aurez vos hommes et qu'en a moi je guiderais votre navire.

Tout avait été pret, les navires étaient équipés. La nuit tombante, le sloop fit voile vers l'Amèrique. les deux hommes parlaient dans la "cabine".

- Je vous souhaites bonne chance mon ami. S'exclama le capitaine la mouche.
- Merci j'espère que vous n'aurez pas  de souci durant mon absence. Et moi aussi.
- Bon, le destin dépend de la mer. Si je ne peut attaquer le port...
- n'y pensons pas.

le sloop s'approchait des cotes, après une dure manoeuvre où "le Rubis" risqua de se brisser sur les recifs. Les pirates débarquèrent sur la plage. Tout un groupe d'homme armés, jusqu'aux dents, tous avec des armes �  feu, portant sur eux de quoi manger jusqu'aux mines. Les hommes, sans bruit, disparèrent dans la jungle. Seulement cinq marins restèrent sur la plage. Scar, son second et trois hommes cherchant du regard si il y avait des espion dans les éparages.
Scar cria au large.

-souhaitez moi bonne chance une fois de plus frères de la cote. Et bonne chance à vous aussi

De vendeloves remercia son ami, d'un signe de main puis prit le gouvernail du "Rubis" et reparti vers le refuge.  

[De_Vendeloves]

"La Mouche" se retrouvant seul se dirigeat comme convenu au large des mines, �  une distance suffisament grande pour ne pas être repéré.
Il avait pris le commandement du "Rubis", et avait laissé au commandement de "fends-la-brise" son second, un Anglais borgne, nommé Wilson, en qui il avait une parfaite confiance.
Fort heuresement, aucun navire ne fut croisé sur le trajet, et il put donc, non sans angoisse quant au bon déroulement de la part de mission laissée �  Scar, attendre patiement son signal.
Il placat le sloop accolé juste derriere son navire de sorte que si on le reperait de la terre malgrès ses précautions, on ne put voir qu'un seul bateau.
chaque homme attendais et tous avaient les yeux rivés vers les mines, espoir de richesse ou bien derniers instants de vie, tout dépendait �  present de scar.
la MOuche se glissat dans la "cabine du sloop, et y alluma sa jolie petite pipe, celle qu'il gardait pour les grands jours...
les minutes défilaient et le jour avancait.Bientot, dans quelques heures, la nuit tomberait et le destins guiderait ses actes.
   

[De_Vendeloves]

  les heures passaient calmes et sereines, et rien ne bougeait. La  nuit était tombée depuis longtemps, et, comme scar avait prévu, il n'y ait pas de lunes.
-pourvu qu'il ne leur soit rien arrivé,pensa La Mouche
une heure plus tard, apres avoir vidé une bonne bouteille de rhum, il décida d'intervenir malgrès l'absence de Scar; apres tout il commandait deux navires, et l'occasion était trop belle!!
Il leva l'ancre et se dirigeat vers le port.  

[scar]

L'avancé de Scar et des pirates se fit lentement mais surement. La densité de la jungle et lesmoustique ralentissaieent la marche.
Au bout d'une journée de marche sans faire de pose les hommes se reposèrent. Puis le lendemain les éclaireurs virent leur dirent que le chemin menant aux mines était �  mins de deux heures de marche. Ayant prit une pose et ayant mangé  et avec cette nouvelle les pirates marchèrent rapidemetn puis commencèrent �  longer le chemin en restant le plus silencieux possible pour éviter d'être reperé.
au bout de de deux jours de marche ils arrivèrent au  mines.

Sans faire de bruit il s'y approchèrent. Les mines sont protèges par un rempart de bois avec des tourelles. Aucun canons mais la fatigue et le manque de renseigenement empécha de l'attaquer le jour même. Il camprèent dans la forêt en attendant l'aube.  

[De_Vendeloves]

Le Capitaine La mouche s'approchat du port doucement, en donnant l'ordre �  son second, resté �  bord du Fends-la-brise d'attaquer par le sud, tandis que lui, au commandement du sloop de Scar attaquerait par le nord. Avec un peu de chance, la garnison de la ville croierait �  une attaque plus importante en procedant de la sorte..
Par chance la nuit sans lune ne les trahis pas en les maintenants invisibles.
Le Fends -la brise avait ordre te tirer le premier coup de canon.
Une fois les bateaux placés, une salve fut lancée sur la ville, Suivit d'une salve du Sloop. PUis ce fut un tonnerre de canons qui s'abbatit sur la ville
Par chance, l'artillerie du port etait située au sud, et elle fut touchée dès le début de l'attaque, un incendie s'y déclara, ce qui mobilisa une partie de la garnison qui tentait d'éteindre cet incendie qui serait pour eux sinonyme de défaite.
Le Sloop, de la sorte, ne subit que peu de résistances, quelques salevs tirées des cannons de la ville, dont une qui causa particulièrement du tort �  l'équipage, mais globalement il arriva sans grande encombre au rivage.
0 peine eut -il posé le pied �  terre, que le Capitaine la Mouche fut touché au bras gauche par l'un des tireurs de la ville. en tombant sur le sable il put voir que lui et ses hommes étaient tout de même en grande infériorité numérique, et surtout qu'ils laur fallait rejoindre les batiments au plus vite avant d'être tous tirés comme des lapins...
Puis il s'évanouit.
 

[De_Vendeloves]

le combat fut rude.Les hommes de La Mouche le transportèrent �  l'abris, juste derriere les murs d'une batisse.Il n'étaient plus que quinze braves pirates �  tenir debout, bléssés, appeurés devant la resistance de l'ennemi.Ils se retranchèrent derriere ces murs et empechaient quiconque d'approcher grace �  leurs carabines qui souvent visaient juste. mais ce repis ne fut que de brève durée. Les hommes de la ville se préparaient �  donner l'assaut final contre les derniers survivants du sloop.
Ils se rassemblèrent et s'apprétèrent �  charger quand soudain une violente explosion se fit entendre.
L'artillerie avait sauté.
Et avec elle tous les hommes qui s'afairaient �  éteindre le feu déclenché auparavant.
L'hesitation provoquée par la résistance citadine leur fut fatale. La Mouche ayant rouvert les yeux fut plus féroce que jamais. Il bondit sur les hommes comme un loup sur sa proie, ne leur laissant aucune chance, comme si le bruit de l'explosion l'avait réssucité.Il criait:VENEZ ICI FILS DE CHIENS VOUS AUREZ DE LA CHAIR!!et il étripait tout ce qui bougeait devant lui.
   

[scar]

Tandis ce tempssans savoir ce qui se passé dans le petit port, les pirates de Scar arrivèrent aux mines tant convoitées. elle n'était protègé que d'une petite palissade par chance mais aussi de soldats. Ils attendirent la nuit pour agir. Ce qui portaient des fusils se mirent sur le haut de la falaise où les mines sont creusé afin de pourvoir tirer sans trop de dommage. Tandis que le reste prenant couteau sabre avancxa douicement. La porte s'ouvrit sans bruit. Les deux sentinelles furent égorgées. Mais soudain un cris retenti coupé par le bruit d'une détonation de mousquet. Mais c'était trop tard.
Des dizaines de soladts et miniers sortirent de leur abris. Le combat faut rude tout les attauqants viderent leur armes �  feu sur les nouveaujx arrivant mais très vite d'autre suivirent.
Scar ordonna de se réfugier dans une mines. Car les ciinquante hommes eraient vite submergéspar la centaine de mineurs et de soldats.
Un combat de position soutenu par une vingtaine de moucheurs commenca  

[De_Vendeloves]

Les homme qui étaient resté �  bord de la frégate descendèrent dans des chaloupes afin de prêter main forte �  leur capitaine, �  présent que le bombardement était inutile.
Lorsqu'ils arrivèrent ils ne durent pas combatre; les hommes de la ville avaient compris que toute résistance était vaine. Ils déposèrent leur armes et espèrerent la clémence de leurs agresseurs. Pour se faire ils invoquaient la vierge marie et tous les saints, parfois connus uniquement des espagnols afin de fairer passer de bons sentiments parmi ces hommes étranges qui les avaient battus.
Le Capitaine La Mouche n'avait pas besoin de leurs prières pour être généreux. Ses hommes savaient bien que toute tentative de viol sur les femmes etait inutile et serait punie sévèrement par La Mouche qui ne cautionnait pas ces pratiques. Certains disaient que sa mère où sa soeur avaient du subir les assauts d'hommes et que depuis il haissait les violeurs.
Il fit donc regrouper tous les habitants dans l'Eglise et leur garantit qu'aucun mal ne leur serait fait.
Il s'approchat du gouverneur de la ville, le seul �  être �  peu pres bien habillé au sens du Capitaine, qui trouvait que toujours les espagnols en faisaient un peu trop.

-Donde esta el oro??
L'homme lui répondit, et tandis que certains hommes pillait es habitations, il partit entouré d'un dizaine d'autre vers le batiment où était entreposé l'or.
Il ouvrirent les portes et furent émmerveillés par la quantité.
La mouche rappela tous ces hommes et commença �  charger la frégate  

[De_Vendeloves]

Toute la nuit se passa �  décharger l'or, et �  piller les denrées utiles pour des pirate; médicaments, onguents, armes diverses. il fallait faire vite...
L'aube approchant, il quitèrent la ville pour retrouver Scar au point de rendez vous.  

[scar]

SCar déscendait la route avec ses hommes et ceux de de-vendeloves... Ils avaient massacrés en grande partie les mines et enfermaient ceux qu'ils n'avaient pas tué dans une des mines[. Malheuresement leur butin ne valait pas tous leur mort. que peut de lingot, car tous avaient été déj�  envoyé au port, où La Mouche les avait pillé.
Ils suivaient la route de terre battue �  travers la forêt. La chaleur et les moustiques les empéchèrent de tuer deux cavaliers qui en les voyant allèrent �  Carthagéne afin de prévernir la flotte. Scar et le spirates accélèrent le pas, car rester une semaine ici serait fatal. Dans deux jours ils seront au rendez vous/i]