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« Répondre #15 le: 12 Novembre 2007 à 19:37:25 » |
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Totus regarda le second, appela un homme et donna quelque ordres, avant de reporter � nouveau son attention sur le second. -OK! donné moi juste le temps de réparer le plus urgent et je vous suis! mais je doit mettre quel cap?
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« Répondre #16 le: 13 Novembre 2007 à 17:39:06 » |
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Le second indiqua le cap. Le lendemain le temps de remettre l'équipage et le navire du combat, les deux navires étaient en direction de Hispaniola.
le voyage fut difficil dû au manque de marin mais pas dangereux. On s'ennnuyait mais cela était apprecié après avoir combatu dans un enfer. Au bout que quelque jours les cotes de la grande île apparurent � l'horizon.
les deux navires firent voiles, ils accostèrent dans le premier port francais.
Le second remercia Totus de son aide et quant � Seth il prit congé du navire considèrant que son travail était fait. Il prit sa part du butin directement sans attendre celle du gouverneur qu'il demanda au second, devenu capitaine sous l'accord de l'équipage, de donner cette part � la famille de son ancien matelot. Le second lui donna tout de même la part et lui indiqua que la famille de son compagnon mort se trouvait dans le sprofonderus de Hispaniola.
Seth s'enfonca dans les profondeurs de l'île.
ps: désolé pour ce rp médiocre et très rapide mais voila. la suite � la taverne du flibustier et le procè.
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Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã� dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
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« Répondre #17 le: 05 Janvier 2008 à 18:28:12 » |
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sur le cotre... suite de mon royaume pour un bateau
Le cotre filait sur l'eau lentement, le vent était calme et la chaleur presque insupportable. Seth qui avait vécu toute sa vie dans les régions chaude supportait cela facilement même si son corps était couvert de sueur comme de nombreux marin dont les années aux caraïbes les avaient endurcies.
Le navrie avait quitté il ya deux jours l'île de la Tortue et voguait vers une petite île. L'équipage dans lequel étaiet tombé Seth était bien loin de ce qu'il attendait. Il s'agissait surtout de jeune marin mais aussi de vieux loup de mer tous amis, un véritable esprit de camaraderie et malgrè qu'ils étaient plus interessés par l'or que par des idéaux d'égalité et autre ils partageaient tout entre eux. Seth qui était maitre d'équipage se fit une place rapidement. ayant longtemps était capitaine sur des navires de ce type, seth n'eut aucun soucis � ordonner les manouvrer et � maitriser le navire. l'équipage était assez réduit mais compétent et prêt � tout, chose importante pour des pirates.
Seth était sur la dunette surveillant l'évolution des sjeunes mateot dans el gréement aidé par les gabiers.
- allez plus vite! Dans les combats sous la pluie de mitraille, de balle et de boulet vous n'aurez pas tout ce temps pour monter par les haubans et vous serez des cibles facile!! - Maitre d'équipage? - Oui... a capitaine!! appelez moi Seth ou l'étrangers... -merci de votre confiance on dit que vous en donnez presque jamais votre nom et pourais je connaitre votre nom de famille? Seth souria et dégaigna son arme. - Pour cela il faudrait me tuer... Car seul dans els caraïbes celui qui tuera l'Ultime Guerrier en combat loyal pourra connaitre le vrai nom de celui ci. - Je suis pas si curieux finalement... Répondit le capitaine en regardant la terrible lame. Seth ria et retourna aux ordres, le capitaine revint après avoir regardé le large desert de tout navire. - Dites moi Pourrez vous me remplacer au quart cette nuit - Sans souci mais pourquoi vous serez pas l� ? - Tutoyons nous... Le capitaine regarda le petit gréement. Nous n'avons aucun pilote et je vais devoir essayer de travailler notre route. L� où nous allons il y a pas mal de petite île donc de recif. - Sans problème... tant que vous en tentez pas de profiter de votre statu de chef... - Jamais ici on est tous égeaux tous dans la même gloir et même merde. Mais tu aura double ration de rhum et de ragout ce soir. - Merci cap...
La fin de la journée et la nuit ce déroula sans souci, le soir le vent s'était levé une bonne brise qui n'iquieta personne et qui projetta le navire sur les vagues et le fit filer sous une bonne allure.
Le matin une voie réveilla l'équipage.
- Navire de guerre!!! A babord a environ quatre milles!! Tout le monde debout navire de guerre!!
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« Répondre #18 le: 06 Janvier 2008 à 14:31:04 » |
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L'équipage se réveilla � la hate. La capitaine sorti de sa petite cabine et grimpa sur la dunette avec sa longue vue. Il observa le navire. Seth lui se réveilla difficilement ayant travaillé plus de douze heure de suite � veiller et surveillé les autres marins.
Il s'arma et monta sur la dunette. Il n'y avait aucune activité, un peu anxieux les marins attendaient les ordres. Le second rejoigna le capitaine.
- Alors cap? - c'est au moins un quarante canons.. on a aucune chance. Le capitaine mouilla son doigt et observa d'où venait le vent. - Merde grogna t-il. Le vent est un grand large, c'est pas notre meilleur allure et le navire espagnol possède un gréement idéal pour ce type de vitesse. - Il faut fuir. - Oui. Le capitaine alla sur le tillac et hurla les ordres.
Toute voile dehors! le timonier vire tribord de manière � ce que nous ayons le vent en bon prè!!
- Capitaine ne navire changes de cap il a l'air de s'einteresser � nous.
Le capitaine se figea en entendant cela. Il se retouna vers le maitre canonnier. L'échange fut bref et rapide. - Armes les canons! - boulet ramé? pour couper les mats. - Non mitraille! il faut rester cahcher le plus longtemps possible et n'agir que s'il vient. - et si nous utilisons nos boulet pour couper les mats on risque d'être dans leur angle de tir et leur riposte sera ravageante... continua le maitre canonnier en souriant non pas de la situation mais content de s'y connaitre en cannonnade, mais son sourire était plus une grimace.
Il couru � son poste.
au bout d'une demi heure, les canons furent rechargés, cachés par des baches et des cordes. Les voiles toute dehors sous la meilleur allure du cotre, le navire fila. au bout d'une heure, la flute vira de bord et abandonna l'espoir de pouvoir aborder le vaisseau. d'ailleurs le capitaine espagnol esperait juste tomber sur un navire de pêche pour lui confisquer ou payer celon la nationalité le produit de sa pêche car il manquait de nourriture fraiche. Devant la fuite du cotre il compris qu'il s'agissait d'un navire d'une autre nationalité et qu'il devait être francais, car ils étaient en guerre, et cette homme ne voulait pas tuer des pecheurs ou d'innoncent marin.
Sur "la Boussole" se fut un soulagement, on boucha la lumière des canons pour éviter que leur poudfre soit mouillé. Le navire reprit sa route.
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« Répondre #19 le: 07 Janvier 2008 à 19:25:46 » |
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Le cotre arriva enfin � destination.
La voilure fut réduite car il falait progresser lentement � cause de certain recif.
Les marins étaient nerveux, peu savaient nager et mourir noyé était plus stupide et inutil qu'un mort au combat ou � la pendaison. Tous étaient les yeux fixés sur la mer de peur qu'un recif échappa aux yeux de la vigie. Le vent changeait sans secce dans cette region.
Thibeaut et Seth devaient rester � l'affut de tout les élèments de la mer pour donner les ordres de manoeuvre. Le vent, le courant de la mer, les recifs étaient des facteurs important.
C'est dans ce genre de situation que l'on voit tout l'art des marins et que l'on peut diffèrencier un bon officier d'un mauvais.
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« Répondre #20 le: 15 Février 2008 à 16:26:08 » |
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suite d'une grande île déserte.
Le cotre filait sur la mer, un vent de bon pré et de bonne brise gonflait les voiles du navire. La mer était teinté d'orange avec des reflets brillant comme de l'argent.
les mains s'étaient réveillés. Ils se tenaient tous debout sur le tillac silencieux. Seth était assis sur le bastinguage la tête baissée. Le capitaine fit un mémorial pour les marins qui étaient morts et qui avaient tous étaient amené sur le navire.
Après une prière breve et un amen générale même de Seth on lanca les corps � la mer. Seth demanda que l'on découse le branle qui contenait le corps de Colins. Il regarda une dernière fois le visage de cet homme ivrogne avait qui il avait été heureux. il se rappela les concour de cracha, beuvrie, concour d'historie et bataille fai ensemble. Seth avait veillé sur cette homme la nuit, attendant qu'il meurt et lui apportant tout l'alcool qu'il avait pu prendre pour la donner � cette ivrogne.
L'arabe posa sur le corps un pistolet, appartenant � colins puis d'une voix ferme demanda que l'on jete le corps du marin. Seth se leva sur le bastinguage pour voir les corps couler, suivit par plusieurs marins. En l'honneur de Colins il ouvrit une bouteille et but de longue et longue gorgée comme le faissait cette homme aux joues rouges. Certain marins firent de même.
tout le monde savait que Colins et Seth éternel ennemi étaient en réalité les deux hommes les plus proche du navire, toujours � discuter ensemble � vouloir connnaitre le monde d'où venait l'autre et lui apprendre le sien. Il savait que la mort de Colins était un choc pour Seth comme l'avait été celle de Adwinhamed.
seth sous l'effet de la fatigue, de l'émotion et de l'alcool fut mou durant toute la journée.
Le navire continua sa route, le capitaine préféra que cette journée soit seul d'un dueil sous le signe du repos. Tous étaient exténués d'avoir navigué de nuit et combattu avant. Il y avait de nombreux blessé et seul dix hommes étaient totalement sain, même le capitaine n'y faissait pas parti.
La voilure fit réduite et l'on garda que le grand foc et la bringantine.
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« Répondre #21 le: 16 Février 2008 à 13:45:08 » |
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- Cap sur Tobago... Ce fut trois mots. Trois mots du capitaine de la "boussole" qui réveillèrent tout l'équipage.
L'activité repris son cour � toute vitesse. On vira de bord, les bras de vuerge du grand hunier furent inclinés dans la meilleur allure possible. Le cotre glissa sur les crètes des vagues d'un coup et s'écrasa dans un creux soulevant des germes d'écumes. Le vent était fort la mer assez agité mais rien de dangereuse seul les terriens pouvaient s'inquieter.
Le navire progressa sans aucune rencontre, l'après midi tout l'équipage s'était regroupé sur le tillac, la chaleur montée et les vagues se faisaient plus petite, leur hauteur avait diminué d'au moins dix centimètres.
- On fait du dix noeuds capitaine! Cette nouvelle du mousse ravit les coeurs.
- Capitaine! Hurla un homme assez musclé quand allons nous ouvrir se maudit coffre! - il a raison on aimerais savoit pourquoi on a risqué nos peaux! Les matelots commencaent � s'agiter. Le capitaine n'avait pas voulu que le coffre soit ouvert avant de faire une escale mais devant cette agitation il préféra faire amener le coffre sur le tillac. Une mutinerie peut très vite arriver.
Seth qui mangait sans rien dire se leva et ordonna le silence, comme les autres il voulait savoir combien de pièce d'or il pourra faire couler dans ses mains et dépenser mais il voulait de l'ordre. Devant les insultes et les cris le calme revint.
Le coffe en bois épais renforcé d'énorme barre de fer avec un cadena fut présenté au capitaine.
- Monsieur Firtoch... -Tenez capitaine. L'homme donna au capitaine qui se tenait fier et droit devant le coffre, son mousquet de boucanier. Le capitaine épaula l'arme visa et tira. On entendit quelque chose sauter dans le coffre, le second poussa le haut du coffre. il était ouvert.
Plusieurs marins se précipitèrent pour observer le contenu mais le secodn tira son sabre suivit de seth.
-Reculez mes braves pas de précipitations bande de molusque tout le monde aura sa part! Cria le second. Il était nerveux il savait que le contenu du coffre pourrait provoquer des ravages sur le navires. Ils arrivaient, deux hommes sortirent des pistolets. Deux chacun, c'était prévu. Seth s'avanca et les ordonna de les ranger il recut pour réponse un coup dans le dos suivit d'un autre dans le flanc. Seth tomba � terre. Un autre homme, un noir de forte stature aux cheveux tressés, surgit avec dans sa main un tromblon et une massue.
- Ecartez vous du coffre! et vite. Le second obéissa. Thibeaut sorti le pistolet d'un autre hommes et menaca celui qui sembalit être le chef.
les autres mains se savaient que faire quel parti prendre.
- qui est satisfait du capitaine Thibeaut? Demanda l'homme à la barbe et à la cicatrice d'une voix moqueuse. qui ets content de ses erreurs? de nous avoir presque tous envoyés au massacre? - Pauvre crétin! Range ton arme ou je te tue. - tu me rejoindra et toi reste � terre par les vierges de Dieu! cria t-il pour Seth qui reçut un coup de pied, le noir l'immobilisa. seth commenca � crier et menacer.
Les nouvelles recrues qui n'osaient rien faire étaient visiblement de l'avis des mutins. Le massacre avait été pour eux une aubaine � leur cause.
- Qui nous rejoind recevra le double de sa part!
Alors que l'on pensa la situation perdu, plusieurs marins s'étaient levés et mis du coté des mutins, ce n'était que des étrangers sauf le chirurgien. ils étaient armés et dangereux. comme Ils le demendaient, tout les autres furent placés au fond du tillac, Seth lui était toujours tenu par le noir et le capitaine était sur le tillac menacant le chef des révoltés. il y avait que autre réel mutin, dotn un qui venait de se faire ennemi de Thibeaut, les autres le savaient rejoind par peur. Les quatre hommes dominaient la situation et meanca les autres sous les armes. soudain comme inexpliqualement le chirurgien fit un signe au capitaine et s'avanca.
D'un coup il attrapa l'homme � la barbe par le dos, passant ses bras devant lui et lui écarta les armes. - C'est quoi ce merdier!?
Le chirurgien très rapidement après avoir écratez les armes il appuya sur la détente d'uen d'entre elle, la balle sorti et rentir dans le bras du nouveau mutin. Ce dernier cria de douleur et lacha son arme. Le capitaine fit feu sur son ennemi qui reçut la balle en pleine tête. Seth � se moment profita d'un moment de relachement du noir pour q'écarter de lui et lui sauter au cou. Levant son genou jusqu'au menton du noir il lui fit éclater deux dents. Puis rapidement il lui attrape le bras armé et lui expédia un coup de pied en plein dans les testicules. L'homme lacha son arme.
le derniers mutins braqua son pistolet et tira en touchant � la jambe le capitaine et alla tirer le chrirgien quand une autre détonation retenti, seul d'un des marins qui avaient réussi � garder son pistolet. la balle traversa le poumon et il tmba mort.
Seth d'un seul mouvement ramasse la masse et passa sur le dos de son ennemi qui se redressait. Le noir eut un coup � la nuque presque mortel, il perdit le controle de son corps. il tomba sur le sol.
le mutin blessé ramassa une arme � deux et menaca le capitaine.
Cette fois c'est la vengeance de Robert! Tu vas crever sale rat.
Le capitaine senti sa dernière heure venu. L'homme braqua son arme visa sur Thibeaut qui était presque immobil. Seth commenca � courir mais s'était trop tard. Un sourir se désina sur les lèvres du tireur puis il écrata les yeux de surprise et posa son regard sur sa poitrine. Il vit jaillire de son ventre une lame. Un filet de sang sorti de sa bouche et il tomba mort, derière lui surgit le mousse espagnol, le plus agé qui sorti la rapière du corps avant de la replanter dans le dos du mutin.
Cette instant fut un moment de joix, l'enfant était accepté dans l'équipage et ne fut plus concidéré comme mousse mais marin. Ceux qui avaient rejoind les mutins ne furent pas punis car souvent étrangers, ils avaient tous avis par peur, sauf Robert qui s'était rallié � eux pour se venger du capitaine.
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« Dernière édition: 17 Février 2008 à 12:04:37 par scar »
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« Répondre #22 le: 16 Février 2008 à 15:48:58 » |
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Edit: poste d'Eric le jeune mal placé par une erreur de ma part (blocage du topic)
*Raphaël était en mer � la recherche d'un cotre avec � son bord au moins un pirate arabe, "Autant chercher une aiguille dans une meule de foin" se dit-il quand Franz l'interpella*
_Hola mon ami! Tu as l'air soucieux! _Comment ne pas l'etre? Nous avons traversé les îles du vent et RIEN! Cela fait un bout de temps que nous sommes a la recherche de ce foutu cotre et toujours RIEN! _Il fallait s'y attendre. Tu sais rien ne nous empeche de rester un peu ici et de nous rabattre ensuite sur une île civilisées comme Anguilla, elle n'est qu'� quelques jours de mer il me semble, d'ailleurs Olaf m'a fait savoir que nous avions un minimum de vivres. Nous ne pourrons pas tenir 6 mois en mer. Quelques semaines tout au plus. Pour l'instant nous ne faisons pas de rations trop sévères pour ne pas décourager l'équipage mais si dans 2 semaines nous sommes toujours en mer il faudra y repenser. _Oui je sais. Nous resterons une semaine et quelques jours de plus en mer dans les environs ensuite nous nous dirigerons vers la civilisation et enfin...
*Soudain un beuglement se fit entendre de la hune de la vigie, c'était en hollandais et Raphaël dut attendre que Franz fasse la traduction* _La chance nous souris mon ami. Tomäs vient de voir un petit batiment par babord a quelques emcablures. Il file vite mais avec un peu de chance si nous nous aidon des courants nous pouvons croiser sa route. _A t-il un pavillon?
*Plusieurs séries de phrases furent échangées entre tomäs, la vigie et Franz le capitaine. Il se retourna vers le second français* _Il n'arrive pas a voir, la brise le rabat sur le mat. _Bien. Hissez la flamme des parlementaires, chargez les canons babord mais gardez les sabords fermés! C'est une mesure de prévention nous ne les attaquons pas! *Il insista sur ce point*. Ce batiment aura deux réactions en nous voyant, nous sommes un brick de course armé, ce navire ralentira ou au contraire essaiera de nous échapper cela voudra dire qu'il ne tient a croiser la route de personne mais nous ferons tout notre possible pour l'intercepter. S'il ralenti ce qu'il fera j'espere je veux que tout soit fait pour qu'il sache que nous sommes un batiment de commerce et que nous n'allons pas les attaquer!! Ce n'est aucunement notre intention. Ils foncent toute voile dehors cela ne m'étonnerait pas qu'ils soient poursuivis... Bien lancez la chasse.
*Franz s'éxécuta et alla vers la dunette, Raphaël s'étonna, lui le second avait intimé un ordre a son capitaine! Mais apres tout c'était sa course, sa quete et sa chasse. il était a bord d'un brick de course, ils parviendraient peut-etre a les rattraper ou au moins a les suivre. Au pire ils tirerait un coup de semonce pour les stopper.
Raphaël alla au bastingage babord ou il distingua une voile du petit navire repéré par la vigie. Il sourît; vu la taille de la voile il y avait de fortes chances pour que le navire soit un cotre et peut-etre y avait-il a son bord l'homme qu'il recherchait presque désespérément.*
(hrp: il se peut que a partir de maintenant je ne répondes pas tous les jours car étant en vacances je n'aurais peut-etre plus l'occasion d'aller sur internet régulierement (acitivités familiales oblige) je préfere prévenir /hrp)
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« Répondre #23 le: 16 Février 2008 à 16:00:09 » |
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L'après midi se passa dans une énorme activité, le noir fut juger pour trahison, le procé n'était qu'une proccédure morale pour le pendre. Seul Seth jean, le second et le capitaine avait droit aux armes durant ce procé qui se déroula sur le tillac, les autres furent fouillés afin d'éviter les meutres.
On ne laissa pas � l'accusé la possibilité de s'exprimer, on lui liassa plusieur fois la parôle mais la rage des marins couvraient ses mots, le capitaine et les deux derniers officiers du navire, tout trois haissant le noir, ne tentèrent rien pour entendre l'accusé. il fut pendu haut et cour sur le mat de beaupré, une fosi mort on détacha la corde et laissa le corps tomber � la mer.
- Il ne vaut même pas la corde qui le pend! Dit le second en crachant dans la mer. Le coffre fut enfermé dans la chambre du capitaine et un conseil fut organisé pour savoir que faire des ralliés des mutisn et du trésor. Le conseil venait � peine de commencer qu'une soudaine agitation se fit entendre sur le tillac.
Les marins montèrent sur l'entrepont et virent un brick. Ce dernier fit une salve de somation. La tension était grandissante sur le navire, l'équipage était trop affaibli pour combattre mais il ne voulait en rien se laisser faire.
- Il faut fuir! Se battre c'est mourir! - Nous devons virer sur tribord � 40 degré je pense que c'est le mieux! - Mais nous nous éloignerons de notre destination! protesta le capitaine. - Pas trop grave Rajouta Seth qui n'avair rien dit. on a eut assez de mort pour que nos vivres nous permettent de tenir deux semaines de plus.
le capitaine se retourna. - Vous avez raison! Dressez toute la voilure on va virer à 40 degré! Simon vire la barre à 40 degrè!! Le timonier du quart s'executa. Frêler le grand foc et chargez les canons de boulet ramés!
La fuite commenca. - On est trop de blessé pour nous battre capitaine! Protesta le chirurgien rejoind par un gabier Dalim, le des premiers hommes � avoir navigué avec Thibeaut. - Je sais c'est pour cela que la mitraille ne sera pas donnée.
ps: pour me rattraper 5 duel de navigation si tu gagnes tu nous rattrape sinon tu vous vois partir au loin eric....
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« Dernière édition: 17 Février 2008 à 12:02:24 par scar »
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Eric_le_jeune
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Invité
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« Répondre #24 le: 16 Février 2008 à 18:40:09 » |
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[hrp: j'ai gagné 3-2 j'ai donc mis du temps avant de vous rattraper /hrp]
*Enfin, apres une course poursuite halletante le brick "Francesca" de Franz et Raphaël avait rattrapé le cotre grace a des vents capricieux et un courant favorable. Ils s'étaient positionnés a babord de celui-ci et ils étaient maintenant assez pres pour distinguer l'équipage sans pour autant pouvoir les voir en détails. Raphaël scrutait le navire depuis la dunette a la recherche du pirate arabe. Franz et Olaf s'approchèrent, Olaf tenait un porte-voix qu'il donna a Rapahël, Franz prit la parole*
_Apres le coup de semonce j'ai donné l'ordre de garder les sabords fermés mais quelques hommes se tiennent prets a charger les canons tribord au cas-ou. Que vas-tu faire? Les aborder pour voir si ton homme est parmi eux? Tu ne veux pas les attaquer mais cela resterait un abordage. On ne voit pas grand-monde et outre le fait que ce soit un petit batiment je trouve cela étrange, soit ils préparent un piège pour se sauver soit il s'est passé quelque chose sur ce rafiot.
*Raphaël restait songeur comme s'il n'avait pas entendu ce que Franz venait de dire et il prit le porte-voix et apostropha l'équipage du cotre*
_Hola du navire!! Je m'apelle Raphaël je suis le second français de ce batiment! Nous sommes un navire marchand qui faisons voile a votre recherche depuis Santiago de Cuba, je suis a la recherche d'un marin arabe qui se dit corsaire du Roy de France! On m'as dit qu'il s'était entretenu avec un officier français: Eric Lejeune dont je suis a la recherche. Nos intentions ne sont en aucun cas d'engager le combat, nous ne sommes aps au service d'un quelquonque seigneur et j'aimerais que cet homme s'il est ici veuille-le bien discuter quelques minutes avec le capitaine et moi-même. Vous pouvez lui donner une escorte si vous le voulez et si vous le souhaitez vous pouvez venir sur ce batiment. Si vous refusez de me dire quoique ce soit vous me verrez dans l'obligation de lancer un abordage de force. Et si vous me dites que l'homme que je cherche ne fait pas partie de l'équipage nous vérifierons en inspectant ce batiment.
*Raphaël laissa un moment a l'équipage du cotre pour qu'il puisse décider. Franz l'aborda*
_T'y vas pas un peu fort? _Non je ne pense pas. Je leur laisse le choix. Soit il se montre et tout se passe pacifiquement soit il n'est pas dans ce navire et au cas-ou je l'inspecte pour vérifier leur bonne-foi. S'il est la il peut décider ou il veut me parler. S'ils coopèrent tout ira bien, je ne vois pas pourquoi ils opposeraient une résistance dans tous les cas. Soit il n'est pas la et tout va bien pour eux soit ils ne répondent pas ou tentent de fuir ou d'engager le combat et ca ira mal pour eux. Nous sommes a mon avis plus nombreux et nous avons 9 canons qui ne demandent qu'a cracher la mort. Et puis qu'est-ce qu'il risque?? Je ne suis plus officier je ne pourrais donc pas l'arreter et de toute facon je n'en ai pas envie. _Mouais... je suis pas sur! POur moi ca fait quand meme un peu "Soit vous vous laissez-faire soit on vous tue" _Non je pense qu'il a raison. *Intervint Olaf* Ce n'est pas dans leur interet de résister et s'ils veulent nous cacher des choses il suffira a cet arabe de venir sur NOTRE batiment. Et de toute facon nous avons un avantage. Nous aurions pu leur proposer ce marché apres avoir dévasté leur pont. Je trouve ce marché honnête. _Tu vois! *renchérit Raphaël*
*Il reprit le porte-voix, le brick se rapprocha du cotre et il parla a nouveau*
_Alors que décidez-vous?! Si aucune réponse ne nous parvient nous ouvrirons le feu. Nous n'avons pas d'intentions hostiles mais nous sommes prets a tous pour obtenir ce que nous voulons et vous n'etes pas en position de force. Je vous ai proposé un maché honnête. Laissez-moi parler avec ce marin pendant un peu de temps, sur mon navire *Franz failli l'injurier et le frapper mais Olaf le retint* ou sur le votre. Si je viens sur le votre je veux avoir le droit d'une petite escorte. Je répète que nous voulons juste quelques informations sur un homme et ensuite nous pourrons surement vous aider en quelquechose si vous avez besoin de vivres par exemple ou de tissu ou de bois. Je répète que nous n'avons pas l'intention d'engager le combat alors? Que dites-vous???
[hrp: dernier message pour aujourd'hui. désolé scar /hrp]
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« Répondre #25 le: 16 Février 2008 à 20:57:03 » |
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Le capitaine était desespéré. Seth alla le voir la peur se lisait dans les yeux de tout les hommes.
- que te veulent ils? - J'en sais rien mais vous ne mourirez pas pour moi! - un sentiment de sacrifié ta vie au nom du groupe, héroïque... Dit un marin enriant passant derrière eux. - Non bien sur puisqu'ils ne me veulent aucun mal je risque rien.
Faites réduire toute la voilure!! Hurla le capitaine, qui monta sur les haubans et hurla.
Nous acceptons que notre compagnon discute avec vous! Mais � une seule condition que c'est vous qui montiez sur le navire, armé et avec dix hommes si vous le voulaient mais aucun de mes hommes ne montra sur votre navire! - Ca serait pas judicié de se battre car s'ils tiennent � toi ils peuvent te tuer d'un coup de mitraille ou de mousquet se serait stupide. D'ailleurs ils sont des canons.. J'ai pu le voir par dessus leur bastinguage. Rajouta le capitaine en redescendant sur le tillac.
- Bordal! On n'a même pas de mitraille Murmura un marin.
Le cotre n'était plus que porté par son erre, tous étaient armés de pistolet et sabre prêt � un combat espèrant que ce dernier n'aurait jamais lieu.
Seth se tenait seul sur le tillac arme au point en cas de duel. il regarda le tillac rempli de cordages soyeusement enroulés sur eux même pour qu'ils ne gènenet personne. Il attendait. Le brick était libre de les aborder sans soucis.
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Journalisée
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Eric_le_jeune
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« Répondre #26 le: 17 Février 2008 à 17:46:47 » |
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*Sur le brick la satisfaction se lisait sur le visage des officiers et des autres membres d'équipage. Franz ordonna a ses hommes d'aborder le cotre le plus doucement possible. Les matelots s'attelèrent a la tache et bien vite les deux navires se retrouvèrent bord a bord. Aidés par les hommes d'équipage du cotre une petite passerelle fut mise en place pour permettre a Raphaël et son escorte de passer sur le cotre comme convenu. Avant de changer de navire Raphaël s'adressa a Franz:*
_J'ai besoin de 8 hommes bien armés et Olaf? Peux-tu m'accompagner? _Si tu veux mais pourquoi? Répondit Olaf _Ta carrure est impressionante cela dissuadera surement l'autre bord de tenter quoi que ce soit. Maintenant Franz il vaut mieux que tu restes ici. Dis a un groupe d'hommes d'aller charger discretement des mousquets a la cale et si possible charge les canons je ne veux prendre aucun risque. Je pense que nous nous isolerons pour parler...Si dans une heure non deux heures nous ne donnons pas signe de vie...lance l'abordage dabord et ensuite si tu y es obligé...fais tirer les canons. _Comme tu voudras. Bien je vais chercher les hommes Olaf arme-toi et vas-y en premier
*Olaf s'éxécuta et une fois les hommes armés rassemblés ils monterent sur le pont du cotre. Raphaël s'approcha de l'arabe:*
_Tu dois etre le marin que je recherche je m'apelle Raphaël et je cherche un officier français Eric Lejeune. A Santiago on m'as dit que tu t'étais entretenu avec lui... j'aimerais que tu me racontes les détails de cette entrevue et ensuite j'ai une ou deux question a te poser. Discuterons-nous ici sur le pont ou irons-nous autre part?? En tout cas je ne me séparerai pas d'Olaf mon bosco ce n'est aucunement une marque d'agressivité mais je prefere assurer mes arrières et je t'avoue que je ne te fais pas vraiment confiance...sans vouloir te vexer.
*Ca y est Raphaël pouvait glaner quelques renseignements sur Eric et il pourrait peut-etre enfin le retrouver et alors... Raphaël bouillonait d'excitation mais il fesait son possible pour ne rien montrer. Il était encore tres jeune; la fougue et l'empressement de la jeunesse brulaient en lui comme le feu ardent du foyer des Enfers d'Hadès.*
[hrp: je prefere autant ne pas commencer les mp maintenant car je n'ai pas énormément de temps a consacrer a internet pour l'instant mais fais selon ton bon-vouloir ^^ /hrp]
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« Répondre #27 le: 18 Février 2008 à 11:21:56 » |
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Seth salua les marins, et ria en son fort intèrieure. il s'assit ent ailleur sur le tillac du navire puis dit d'un ton sec .
- On discutera ici. Seth posa son cimeterer, arme au trancahnt ravageur mais décoré et tailleur d'or. Une merveille d'arme de combat d'une résistance d'un équilibre, d'une allure et d'une tranche exeptionnel. Il respira un bon coup et regarda les cordages du gréement.
Dans l'entrepont tout le monde attendait, on s'occupait des blessés et discutait jouant pour certain d'autre vérifiant leur armes.
- Je connais pas votre homme.
Raphaël insista en décrivant son homme et en lui parlant de leur rencontre. seth réfléchissa un peu puis dit. - Eric le jeune? Un gars un peu jeune vous dites... Un officier de marine? Attendez je crois avoir un souvenir un gars jeune tolèrant mais un peu grande gueule? si je me souvien bien... - C'est cela! Clama Olaf qui recut sur le pied un coup de la part d'un marin. Les interlocuteurs étaient accrochés aux lèvres de seth. - J'en sais rien. Il a tenu � faire route avec nous mais disons que la prèsence d'un officier du roi dans nos activités de corsaires nous géné un peu donc on l'a laissé sur l'île. il a dut prendre la mer puisque vous l'avez pas vu sur l'île. Mais où? j'en sais rien.
-Vous n'avez pas une petite idée? Demanda Olaf. Seth ria un peu plus dit lentement. - J'ai parlé dix minutes avec et homme y a presque un mois c'ets un miracle que je me souvienne de lui ne m'en demandez pas trop. L'immensité de la mer peu cacher n'importe quel navire n'importe où. Si vous voulez savoir où se trouve votre compagnon trouvez sur quel navire il vogue et questionnez les chefs de chantiers et maitre de quai ils seront peu être où le navire se trouve ou fait voile.
Seth ètrangers venu depuis quatre ans aux caraïbe commencait � bien connaitre la disposition géographique de l'archipel, pouvez reconnaitre les grandes cotes des île smais ne connaissent rien de l'intèrieure des îles, � part certaine un peu, comme beaucoup de marin. il était donc incapable de savoir où pouvait aller un navire.
C'est tout ce que j'ai à vous dire. Clama Seth en se levant d'un ton sec et grave. ses cheveux volaient dans la bonne brise de la mer. Il regardait l'immensité de la mer, tout autour de l'horizon que de l'eau, d'un bleu clair brillant au somment des lègéres vagues faites par le vent. Cet endroit était l'un des plus beaux du monde pensa l'arbe, qui voyait en son exile la possibilité de découvrir un monde plus beau que les autres. -Regardez tout cela. nous en sommes qu'une tache dans la mer. Recherchez dans les îles se sont des oasis dans un désert d'eau. des endroit vitaux et important.
C'est tout ce que j'ia � vous dire.
ps: comme dans la réalité j'ai dit ce dont je me souvien � l'instant de l'affaire j'ai peut être faut mais bon seth � vu ton homme y a plus de trois semaines donc se souvien de rien.
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Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã� dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
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Eric_le_jeune
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« Répondre #28 le: 18 Février 2008 à 14:35:38 » |
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*Olaf se pencha vers son second et lui chuchota a l'oreille:*
_M'est avis qu'il ne nous dit pas tout ce qu'il sait. _Et moi je pense le contraire. De toute facon cela m'étonnerait qu'il m'en dise plus. En tout cas Eric est bel et bien passé par Santiago et il a bien répondu aux questions sur les traits physique et de caractere d'Eric. Je lui fait confiance. _Mouais. C'est vous qui voyez. C'est votre recherche apres tout. _Exactement. répondit Raphaël plus sechement qu'il ne l'aurait voulu
*Il se tourna vers Seth en pleine contemplation. Raphaël se surpris a admirer lui aussi la magnificience et le l'immensité bleue du monde. Il parla a Seth et parvint un peu a détacher son regard de l'horizon ou le bleu du ciel rejoignait le bleu marin*
_En effet eric a toujours été grande geule. Ce qu'il pense il le dit et il est franc surtout envers les hommes qui selon lui méritent son respect. C'est un homme bon et de grand talent. S'il a été franc avec vous quelque part vous pouvez en etre honoré. Et c'est vrai qu'il est officier du roy mais il est plus a son propre compte, il ne pourchasse que les pirates qui lui ont fait du tort ou qui sont moralement condamnables. Il n'aime pas trop les anglais et encore moins les espagnols pour une raison qui lui est propre et malgré son inconstante insubordination aucun gouverneur français n'a jamais eu a se plaindre de lui. Je comprends que vous n'ayez pas voulu faire route avec lui mais a mon avis vous auriez du dans mon interet premier et aussi dans le votre accepter sa proposition pour quelque temps. Son navire aurait été une bonne protection, tout comme pourrait l'etre le mien *il insista sur ces mots* et quelque chose me dit d'apres l'état de vos hommes qu'un soutien n'aurait pas été de refus. Si vous le désirez je peux vous procurer du matériel pour soigner vos blessés, réparer vos avaries et vous fournir un peu de vivres. Qu'en dites-vous??
*Olaf eut l'air outrée mais il se retint quanq il croisa le regard de Raphaël. Celui-ci avait toujours été généreux de nature et maintenant qu'il n'était plus officier du roy il pouvait venir en aide a quiconque en avait besoin.*
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« Répondre #29 le: 18 Février 2008 à 19:15:47 » |
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- Ca c'est pas à moi d'en décider. Dit Seth après avoir écouté le capitaine. Il allait � la lumière de l'entrepont et appela son capitaine. Il y eut de nombreux bruits dans le navire puis le capitaine monta suivit de cinqs hommes armées. Sous le tillac tout le monde commencait � devenir nerveux, deux hommes montèrent sur le tillac et commencèrent � s'étirer.
Les deux capitaines discutèrent un peu, il ne leur fallait rien mais juste un barille d'eau douce pour les blessés. Ce dernier leur fut offert assez rapidement. Scudamore monta � son tour et salua les francais, les mains tachées d'un sang écaillé.
Les pirates las d'attendre commencèrent � monter et � reprendre leur activité. Seth rejoignit un groupe de marin et leur expliqua quelque finesse du bordage de voile, ces hommes étant pas des gabiers ils n'étaient jamais montés sur le gréement. L'arabe profita de l'immobilité du navire, porté juste sur son erre � une vitesse de trois noeuds, pour initier ceux qui restaient sur le tillac au gréement.
seth monta rapidement sur le senflêchures suivit par les autres qui grimpèrent facilement. Garder l'équilibre et travailler en même temps furent pour eux une autre histoire.
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