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Auteur Fil de discussion: Armando de Madeira  (Lu 3979 fois)
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« le: 30 Août 2007 à 16:53:13 »

  


Armando de Madeira
Physique : Grand, Brun, cheveux courts, musclé.

Habillement : Vetu d'une plaque de cuir au torse et d'un pantalon de cuir noir, plaqué argent aux molets, avec des étuis à couteaux

Avantages :
agilité des fauves
tireur d'exeption
très beau
ambidextre
insensible à la douleur
oeil de lynx
capitaine

Défaults:
Borgne
ultra violent
poursuivit par la justice anglaise

Armando est né à Madeire, une île de l'océan Atlantique appartenant au Portugal. Son père, un riche marchand, possédait une belle villa sur la côte. Il vécut une enfance sans histoire jusqu'au jour où son père fut contraint de s'exiler, victime d'un coup monté de ses concurents. Le jour de la convocation au tribunal,  Armando et ses parents embarquère sur une goélette et partirent pour la Floride.

   Les conditions de voyage étaient insupportables. La nourriture était infecte et rationée, l'hygiène quasi-absente et les marins brutaux. Ceux qui tentait de s'en plaindre était immédiatement battu et mis aux fers. La mère d'Armando tomba gravement malade pendant le voyage. Elle passait ses journées allongée dans un vieux hamac miteux que le médecin de bord avait mis à disposition. Elle mourut quelques jours plus tards des suites de cette maladie inconue. Plusieurs passagers  étaient déjà morts et la majorité de ceux qui restaient agonisaient.

   Quelques jours plus tard, le capitaine donna l'ordre de faire escale à Antigua. Là, ils mirent des chaînes aux passagers et les firent débarquer. Ils les alignèrent sur les quais. Certains passants les examinaient, les palpaient, avant de décreter qu'ils étaient trop faibles pour faire quoi que soit. C'est à ce moment là qu'Armando compris qu'ils allaient les vendre comme esclave. Un homme s'approcha de lui et l'examina de la même manière que les autres. Il appella d'un coup le capitaine.
"-Un article vous intéresse monsieur ? demanda le capitaine
-Oui, répondit l'homme, je prend celui-ci, dit-il en designant Armando. Combien coûte-t-il ?
-100 pièces d'or.
-Conclu."

   L'homme amena Armando dans sa résidence. Au vu de la taille de la villa, Armando conclut qu'il devait s'agir du gouverneur de l'île. A peine eu-t-il franchit la porte que des gardes se saisissaient de lui, lui retirèrent ses chaînes et l'emmenèrent dans le labyrinte de couloir de la maison. Ils ouvrirent une porte et le jetèrent à l'intérieur de la pièce. Armando se releva avec lenteur. La pièce avait beau être sombre, il était évident qu'il n'était pas seul.

"-Tu es esclave, aussi ?"

La voix, surgit de nul part, fit sursauter Armando

"-Qui êtes vous ? demanda-t-il.
-Comme toi, et comme nous tous ici. Un esclave de ce chien de gouverneur.

Armando vit des dizaines d'ombres se dresser autour de lui.

-Vous avez l'air nombreux, pourquoi n'avez-vous jamais tentez de vous rebeller ?
-Nombre d'entre nous sont trop faibles pour ça, et ceux qui sont assez forts n'ont pas le courage de s'opposer au gouverneur.
-Nous sommes pourtant plus nombreux qu'eux. Ce n'est pas sans risque, mais c'est faisable.
-Tu sais que les hommes ont besoin d'un chef, de quelqu'un en qui croire. Mais aucun n'a voulu endosser ce rôle. Je te propose un marché. Si tu prend la tête de nos maigres forces et si tu nous conduits à la victoire, nous te suivront dans n'importe lequel de tes projets. Nous vons caché des armes depuis longtemps, mais nous n'osions pas nous en servir.
-Prenez-les, nous nous échappons ce soir.

Cette déclaration fut accueuilli avec plaisir de la part des esclaves.

-Au fait, comment t'appelle-tu ?
-Armando, et toi ?
-Aldrick."

   La nuit tombée, Armando et les rebelles enfoncèrent la porte de leur prison et commencèrent à massacrer tout les gardes L'alerte étant donné, ils n'avaient pas beaucoup de temps. Il se tourna vers Aldrick.

"-Guide moi jusqu'a la chambre du gouverneur.
-Pourquoi ?
-Si nous voulons quitter cette île, il nous faudra de l'argent. Conduit moi à sa chambre. Prenons Une vingtaine d'hommes avec nous."

Armando suivit Aldrick dans le dédalle de couloir jusqu'a la chambre du gouverneur. A l'entrée de celle-ci se trouvait une dizaines de gardes, encadrant le gouverneur. Les esclaves se ruèrent à l'attaque. Bien que les gardes soient bien entraîné, les esclaves avait l'avantage du nombre. Armando perdit un oeil dans la bataille et une dizaine d'esclave furent tués. Les pillards prirent tous les objets de valeur et prirent la fuite par une fenêtre. Une fois arrivé au quai, ils achetèrent un sloop et partirent sans plus atendre. Ils furent poursuivit par la marine anglaise quelques temps avant de réussir à les semer

Edit: personnage accepté
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« Dernière édition: 03 Septembre 2007 à 16:44:27 par Bike »
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« Répondre #1 le: 14 Octobre 2007 à 13:52:18 »

La poursuit avait littéralement épuisé Armando et ses hommes. Aucun d'entre eux était marin, et manier un navire représentait une tâche colossale. Le navire qu'ils avait volés au gouverneur errait depuis plusieurs semaines tel un navire fantôme. Aucun signe d'activité n'était visible. Soudain, un autre navire, battant pavillon français, s'approcha du navire errant. Les hommes montèrent �  bord du navire inactif et virent tous les hommes étendus sur le pont, déshydratés. Les évadés et Armando montèrent �  bord du navire, qui les conduisit tout droit dans le port de Martinique. Une fois arrivé, Armando et Aldrick furent conduits au palais du gouverneur. Une audience leur fut accordée :

-D'ou venez-vous ? Leur demanda le gouverneur.
-D'Antigua. Nous nous sommes échappés.
-Pourquoi ?
-Nous étions esclaves.
-J'ai une propositions �  vous faire. Etes vous prêts �  travailler pour la couronne Française ?
-De quoi s'agit-il ?
-Je peut vous procurer un navire et un équipag valable. Un officier vous formera aux rudiments de la marine. En retour, vous devrez effectuer quelques missions. Vous serez bien entendu rémunéré en fonction de vos services.
-C'est d'accord.
-Bien.

Le gouverneur leur tendit une lettre de marque.

-Prenez ceci. Cela vous permettra de recevoir des missions dans tous les ports Français.

Armando et Aldrick sortirent. sur un accord commun, ils avaient convenus avec l'équipage d'évadés qu'ils se quitteraient dès l'arrivée dans un port, quel qu'il soit. Ils avaient rendez-vous avec l'officier sur les quais. Ils se dirigèrent donc dans cette direction.  
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