le jugement du roy.

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suite de la taverne du "bouc boucané"

Les trois hommes allèrent voir la place où serait jugé les pirates. la potence était déj�  construite, signe que la mort serait le seul échappatoire.
L'homme au bandage regarda la potence et dit.

- 11 bateaux.

Ils louèrent une chambre, dans une taverne, dans ce lieu le dénomme Syn devint un phénomène et on harcela ses compagnons de questions puis qu'il ne pouvaient y répondre lui même.

Le lendemain une petite estrade était montée au milieu d'une place pavé, qui dominait la baie du port. Le fort était sur le pied de guerre, près �  honorer ce mùoment de justice.
Sur la place de la potence, d'où son nom, dix gardes surveillaient l'arme de mort alors que le bourreau mettait la corde. Le gouverneur ne voulait en pendre qu'un �  la fois pour faire durer ce moment de rage chez le peuple et prolonger le moment horrible de l'attente de la mort pour les coupables.

Ils furent amenés du fort dans un chariot prison, une charrue tiré par deux chevaux, avec d"énorme barre de fer. On fit descendre les pirates attachés, liés deux �  deux.

des curieux et des hommes de savoir assistés �  l'exécution de la justice. il n'y avait aucun avocat, et contrairement �  la normale mais pour la politique d'éradiquation de la piraterie les coupables seraient pendus le jour même.

On autorisa au seul pirate anglais de traduire ce que disait le chef d'accusation et il fit office de traducteur ainsi qu'un riche marchand qui sous la demande du gouverneur allait remplir cette fonction.
Le gouverneur de la ville se tenait en personne, entant que témoin et spectateur. Sur la place il y a avait une foule de femme et d'hommes. Les enfants étaient venus voir les têtes des hommes que le prétendait démon puis étaient partis car le procé les ennuyés.

Trois hommes suivaient cela sans perdre un instant. Quentin et les pirates se savaient mort on les accusés d'un crime, dont nombreux n'étaient pas coupable, mais il y avait dix autres crimes ensuite.

- Au nom de sa Toute Puissante Majesté, en ce jour de grâce 7 septembre, et sous la bienveillance Lord Jones William Hopkins, Le jugement de onze marins accusés d'acte de piraterie. Le gouverneur se leva
- Je serais le juste représentant du roi et je veillerais �  un respect des lois de notre constitution.

Le procès se déroula et Quentin fut jugé coupable. Le temps passa et on innocenta pour deux crimes les hommes présent, la chaleur se faisait écrasante,on donna �  boire eux prisonnier mais rien �  manger, ils n'en avaient nullement besoin car mort dans la journée. Puis vint le tour des hommes du "Queen's Servant" Ce fut comme un boulet de canon; c'était le navire contre lequel ils s'étaient battus.

Contre ce chef d'accusation ils furent tous considéré coupable, même Scudamore qui aurait été juste mit en prison. Et on les envoya le l'heure même vers la potence sous un hurlement de rage et d'humiliation de la foule, on jetait des légumes pourries sur les onze homme.Les trois hommes suivirent le cortège curieux d'assiter au dernier moment des pirates.

On arrivait devant la corde qui pendait attendant un cou   

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L'échafaud devant les pirates, ils avaient décidés d'être fort de ne pas trembler, cela était inutile de montrer un signe de faiblesse devant une mort inévitable, juste rendre heureux les bourreaux.

Un homme se leva sur un tonneau une liste �  la main et on fit avancer les pirates les un après les autres devant la potence. Les hommes et les femmes hurlaient mais une voix se fit entendre.

- Sera pendu ce jour pour actes de piraterie multiple:
- Quentin Doriani, quartier maître de "La bousolle"

Ce dernier sous un vacarme repoussa les deux soldats et monta seul sur la potence souriant d'un sourire sadique et cruel, se montrant démon lui qui fut si pieux. Ce fut sa dernière provocation, il chuta dans le vide la corde au cou.

On retira le corps et le jeta dans une charrue. Puis les noms se succèdaient et les morts.
- Simon Houle
-Valentin Martin
Vint son frère après lui.
- Henri Martin
Ce fut le tour du chirurgien, il monta mais avait la volonté de ne pas trembler. Dans l'assistance il vit trois regards familiers, il eut un sourire et murmura.
- Vivez. La trappe s'ouvrit.
- Doigal N'Golo
- Howard Rules

Le trois hommes regardaient leur compagnons mourir- Jean De Gogne  Impuissant ils virerent l'un après l'autre les marins avec qui ils avaient vécus tomber. Mais tous sans trembler le regard sûr.
- Batiste Autome

Ce n'étaient pas des traites tenter quelque chose serait débilité.
-  Pierre Lahir

e fut le dernier, les trois hommes étaient abasourdis. On entassa les corps pour les mener près de la baie l�  où on les reprendrais pour montrer ce que devenait les pirates dans ce port.
La foule commença �  se disperser, satisfait de ce spectacle, le gouverneur remonta la rue en souriant.
un homme sorti un poignard.
- Non Seth! c'est inutile! ca ne les vengera pas, on y restera tous et je veux vivre. Dit Prais en attrapant le bras de Seth qui avait sorti sous sa cape une dague. Le gouverneur passa devant lui le regarda et dit.
- qui est ce malade?
- C'est un homme bien affligé par la vie
- c'est contagieux S'inquiéta t-il auprès de Tom.
- Non mon seigneur cela fait trois ans que nous sommes avec lui!

Le gouverneur reparti satisfait de la mort des pirates et particulièrement de Seth, qui lui avait laissé un souvenir cuisant de leur rencontre,  sans savoir qui venait de le voir et de lui parler et qu'il aurait pu mourir de sa main.

il fallait partir de la ville et vite.