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Auteur Fil de discussion: l'ombre de la religion  (Lu 13246 fois)
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« le: 21 Janvier 2009 à 20:01:38 »

suite de http://forum.ageofseadogs.com/index.php/topic,2393.0.html

Le Black shark avait put entrer dans Brest, passer la rade fortifié par deux fortins. Le navire étant de grand tirant d'eau devait rester au milieu du port pour jeter l'ancre. Il y avait l�  une foret de mat de toute tailles et de gréement variés, porté par des navires. Beaucoup de petite embarcation, sur un des quais, des flûtes et des frégates au mouillage au milieu du port.

Les mouettes volaient dans ces toiles de cordages et voilures. L'activité de la ville était comme toujours vif sans être extrêmement vivante. 

Black fit mettre une annexe �  l'eau et alla avec le quartier maitre ainsi que Dorian Beppelier qui lui demandait d'être déposer �  terre.

Black devait signaler son navire et la cause de son mouillage; durant le voyage le dénommé Dorian avait intéressé le capitaine au sujet de son église protestante. Black voulait rencontrer les membres de Brest afin de connaitre leur avit sur la contre réforme et mieux la comprendre. DE toute manière Dorian ne devait pas se trouver sur le navire pour ne pas être déclarer passager, black ne voulait pas prendre ce risque.

Dorian monta sur le quai de pierre, salua d'une poignet de main dorian et pénétra dans les rues de la ville, dont beaucoup n'était pas pavé.

Black fit sa déclaration sans soucis, le comissaire du port le fit présenter le chef du fort qui se trouvait l� . 



   
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Elisa
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« Répondre #1 le: 23 Janvier 2009 à 10:39:21 »

Non loin de l� , une femme aux cheveux blanc-gris, avec en main une bouteille de cognac, moitié pleine moitié vide... Elle paraissait un peu pompette, mais sans plus. Elle chantonnait quelque chose en Allemand, une petite chansonnette paiarde.
Au loin, elle aperçu un gars, ce gars avait l'air d'être...

- Black!?... Hé hoooo!!! Et j'crois que je te connais toi!? Burb

Elisa s’avança de plus en plus vite, elle accéléra le pas.

- Ho ho! Mais que peut-il bien faire ici?

Puis elle remarqua qu'ils était deux, non trois! Les deux derniers étaient habillé avec des vêtement beau et propre. Ils devaient être des haut gradé!
Elisa s'en méfiait mais... Pas plus, elle arriva �  la hauteur de son ami...

- Et! Et! Tu me reconnais!? Et! Et!  
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Black
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« Répondre #2 le: 24 Janvier 2009 à 15:31:03 »

   Jéricho était surpris par l'arrivé soudaine de la jeune femme. Dorian et Jack, qui l'accompagnaient, s'étaient arrêté aussi. Jéricho la regarda.

- Desolé mademoiselle, mais vous devez faire erreur. Au revoir.

   Jéricho passa avec ses amis, tandis que Jack se retourna une dernière fois, intrigué. En marchant, Jéricho tenta de se rappelé qui pouvait être la jeune femme. Il savait qu'il l'avait déj�  vu quelque part, mais il ne sait plus où.  
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« Répondre #3 le: 24 Janvier 2009 à 20:29:23 »

Dorian retrouva Black, après une heure.

- Juste pour vous dire que les vrai croyants acceptent de vous voir mais que dans deux jours, ca sera le jour d'une réunion de certain théologien protestant de la ville. Notre venu sera quelque chose de rare il faut emmener les capitaines protestant de la ville.

Sans laisser le temps �  son interlocuteur de parler il s'en alla rapidement. Black laissa aux plus anciens de ses marins l'escale pour se reposer. Jéricho ne croisa plus Elisa, qui avait mise une soirée dans les cellules le temps qu'elle désoule.
Les deux jours commençaient �  se dérouler, black profitait de ses temps libre pour relire la Bible, tenter de cerner les passages pouvant parler de l'établissement de L'Eglise dans l'institution chrétienne.

Après deux jours, il descendit en annexe avec deux marins. La nuit était pas couverte mais froide, l'annexe avait lentement poussait par les rames qui perçaient doucement la couche de l'eau. L'embarcation glissa sur l'eau entre deux navires jusqu'�  arriver �  un quai, bien plus haut que le niveau de la mer �  cause des fortes marrés de l'océan atlantique, laissant ainsi des murs de pierres recouverte d'algues. L'embarcation se déposa sur le sable devant le mur, Black déposa ses bottes sur le sable mouillé. Il monta le mur par une échelle suivit des deux marins.

Les trois hommes entrèrent dans une petite taverne, dont une lumière sortait de la seule fenêtre du rez de chaussé. Il donna congé �  ses marins et retrouva dorian dehors.

Les deux hommes se saluèrent.   
 
- Pas la peine de vous cacher le chemin j'ai confiance en vous! Et votre intégration dans la communautée ne pourra se faire qu'avec une confiance mutuelle.

Ils marchèrent dans la nuit froide un bout de temps, évitant toute les grandes rues, ne prenant que des chemins éclairés parfois par la lumière d'une fenêtre non fermée ou une flambeau devant une porte. On pouvait sentir l'odeur de la mer mais pas le bruit de cette dernière quand ils arrivèrent devant une maison.
Dorian frappa �  la porte deux coups, puis attendit un moment et refrappa mais trois coups. La porte s'ouvrit dorian fit signe �  Black de rentrer, ils pénétrèrent dans la maison. La porte se referma dans leur dos, l'homme tourna la clef et verrouilla ainsi la porte.

dans la salle, au mur et parquet de pierre, recouvert d'un épais tapis au sol, il y avait plus d'une quinzaine de personne. La lumière venait des bougies installés sur tout les meubles, mais pas de la cheminée où il ne régnait aucun feu. La seule chaleur provenait d'une brasero.


- On allume aucun feu avant d'éviter qu'on puisse soupçonner une activité en ce moment ici. Explique l'homme qui se tenait derrière Dorian. c'était un homme bien battit, mais avec une seule jambe.
les personnes se tenant dans la salle était tous de hommes hormis deux femmes, il y avait beaucoup de personne �  la barbe et aux cheveux gris, la peau qui commençait �  se rider et la calvitie �  s'épanouir. Mais aussi quelques solides gaillards, en minorités. Tous étaient �  en voir leur costume issu de la bourgeoisie ou de la noblesse; il est vrai que le tiers état ce soucis peu de théologie préfère continué �  croire qu'�  se poser des questions.

On salua black, les personnes l'invitèrent �  boire du vin et on discuta théologie mais aussi politique durant un moment, Jéricho lui se contentait de suivre dorian qui lui présenté certaines personnes.

- Quel est votre avis sur l'Edit de Nantes? demanda un homme qui semblait être le chef de cérémonie, tout le monde se tut et souriant attendait la réponse.

   Jéricho sourrit, s'attendant �  cette question.

- Honnêtement, et bien je trouve cet décision ridicule. Elle va complètement �  l'encontre de mon idéologie. Et je tiens �  vous dire que je vous soutien dans votre combat pour la Liberté de croyance, et que je vous admire pour le courage dont faîte preuve en résistant de la sorte au Roi.

-Mais n'êtes vous pas un serviteur du roi? demanda un homme, qui �  la vue de ses vêtements était un capitaine, portant de nombreuses bagues, dont des chevalières.
- Je me présente De Montvure, capitaine tout comme vous...
- c'est vrai ? Dit un homme blond, le visage aux traits gras portant une petite barbe, le regard pétillant quand il apprit la nouvelle.
- A part vous tout le monde le savait que notre invité est un corsaire du roy!
- J'étais occupé Mademoiselle Iréne Jaquevil Dit il poliment à l'égard de la femme. Puis se tournant vers Jéricho il dit.
- avec ce soutient ne vous opposez vous pas �  votre protecteur ?

- Oh que oui. Cependant, je suis autant idéaliste que patriotique. J'aime mon pays, j'aime la France. Cependant il m'arrive d'être en désaccord avec lui, comme dans ce cas. Cependant, il est vrai que ma présence ici risquerai de compromettre mes relations avec la France. Heureusement, j'ai des amis au placé et en 20 ans j'ai pu me faire respecté pour mes idées

- que dieu bénisse les relations Dit en riant l'homme.
- Et maudit la corruption! grogna le chef de cérémonie qui est souvent un synonyme.

On discuta, Jéricho dû comme souvent raconter ses aventures, mais c'était surtout ses relations avec les grands de la cour qui intéresses son auditoire et on lui fit mettre sous silence ses aventures des Antilles. La beauté de ces lieux paradisiaque les faisait trop rêvé et cette nuit n'était pas aux rêves.

Le capitaine se mit �  l'aise on lui débarrassa son manteau et discuta. Après plusieurs heures, que les bougies diminuées en provoquant de longue larme de cire puis des robe de cire sur le bois des meubles. Tout le monde fut d'accord d'accueillir Jéricho dans la communauté quand il le voudra s'il est protestant bien sûr.

On informa le capitaine qu'il était pour lui de parler. L'homme blond était parti durant la soirée il devait remplir un devoir de la communauté celui de "veiller".
 
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Black
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« Répondre #4 le: 24 Janvier 2009 à 20:37:01 »

   Jéricho était heureux de sa soirée. Il avait eu droit �  un bon repas, et les protestant qui composaient l'assemblé semblaient mettre en lui une grande confiance, et voir en lui une aide précieuse. Il avait était touché par la proposition qu'on lui avait faite d'entrer dans la communauté. Jéricho avait expliqué qu'il n'était pas croyant mais qu'il accepterai de les aider, dans le seul but de remplir l'une de ses plus grande qualité ; celle d'être fidèle �  lui même et �  ses idée, ses idée sur la LIberté.  
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« Répondre #5 le: 25 Janvier 2009 à 16:18:24 »

Les deux hommes marchèrent dans les rues, dorian ne disait rien il était soulagé de la soirée mais il semblait nerveux.

Après quelque minutes de marche, Dorian s'arrêta.


- Écoutez une patrouille! Ici c'est pas banale! il nous faut que je marche devant, laissez moi de l'avance! comptez jusqu'�  cinquante si vous savez le faire!

En effet on pouvait entendre, venant d'une rue sans doute parallèle des bruits de bottes. Black attendit, voyant dorian partir �  toute jambe. Après avoir fait ce qu'on lui demandé, alors que les bruits de bottes s'étaient évanouit dans le silence de la nuit, le capitaine reprit sa route.

Il marcha quelque instants avant d'entendre un appel au secour. Sans hésiter il sortit sa rapière de son fourreau et courut dans les rues, vers le cris.
Il arriva mais trop tard, un homme s'enfuyait au loin dans les ténèbres. sur le sol du sang était répandu, ainsi qu'un homme dont les rares cheveux étaient blanc, avec un bouc taillé en pointe. la bouche entre ouverte les yeux vides, un poignard dans la poitrine et une main en sang.
Jéricho se pencha sur le coprs un instant pour voir si l'homme était bien mort, avant de se relever pour poursuivre le fuyard. A peine s'était il relevé qu'il entendit une voix derrière lui.   


- Bouge pas! Sale faquin!

Il entendit le chien de deux fusils s'armer.
- Dépose ton arme! Le capitaine obtempéra il n'avait rien �  se reprocher.

Il laissa �  terre ses armes et se retourna, il vit devant lui deux soldats et un chef de patrouille tenant dans sa main une épée.
Ce dernier ramassa la rapière et ordonna �  Jéricho de s'écarter sur le mur.

ils virent le corps inerte, couvert de sang du vieillard.

- Parbleu! c'était donc vrai!
- quoi? s'inquiéta Jéricho.
- Tais toi assassin! ennemi de dieu!
Jéricho fut étonné, il ne comprenait pas.
- Je suis innocent, cette arme n'est pas à moi.

Le soldat pour toute réponse ria et lui envoya son poing dans le ventre avant de le poser sur le mur, au choc un objet tomba de la poche du manteau de Jéricho, un objet bien connu de lui mais pas �  lui: un fourreau pour couteau.
- Et ca c'est el diable qui te l'a mis là?

Jéricho ne savait pas quoi répondre, on l'avait trompé. Inutile de fuir surtout que les soldats avaient une envie de le tuer il fallait pas leur donner une raison.

On le conduisit le soir même dans la prison du fort, où il fut enfermé dans une cellule.
Il espérait que tout allait s'arranger. On l'avait trahit mais qui et pourquoi?
 
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« Répondre #6 le: 25 Janvier 2009 à 18:54:56 »

   On enferma Jéricho dans un une petite cellule, faiblement éclairé. A vrai dire, la seul lumière était celle de la une au dehors. Alors qu'il était perdu dans ses pensé, allongé dans la paille, des bruit de pas et de clé se firent entendre, puis de lumière arriva. Jéricho se leva.

- C'est ici. Je vous laisse la lampe. dit un soldat à un hommes.
- Merci.
- Achille !

   Même sans le voir, Jéricho avait reconnu la voix de son amis et second. Achille leva la porte et Jéricho aperçu Achille, Hayes, Rolland, Jack, Valentin, Hans, Yann, Enrique sans oublier Sabrina. En bref, tous ces officiers étaient l� .

- Qu'est ce que t'as encore foutu ? demanda Hayes.
- Rien. Je revenai de soirée avec un amis, quand il est parti en courant. Quand je suis repartis j'ai trouvé un mec assassiné �  coup dague. Les soldats son arrivés et comme par magie le fourreau était dans mon manteau.
- A ma connaissance, tu n'as pas de dague. s'étonna Jack, le quartier-maître.
- Non, je desteste cette arme. Je préfère le sabre.
- A quoi ressemblait le fourreau ? demanda Achille.
- Classique, noir, en cuir simple.
- Tu ne l'as jamais vu auparavant ? demanda Jack.
- Jamais. A ce propos JAck, en cas de besoin ce sera toi mon avocat, si jamais on me laisse le droit d'en avoir un.
- Pas de problème. Compte sur moi.
- Merci mon vieux. Retourner sur le navire maintenant. Achille, tu en devient provisoirement le capitaine.
- A vos ordre, capitaine.

   Jéricho resta accroché �  la grille, tandis que les officiers partitirent lentement. Sabrina resta encore un moment, tandis que Achille l'attenid aussi.

- Tu vas t'en sortir, hein ? Dis ?
- Mais oui. Ils se rendront compte de leur erreur et on pourra bientôt repartir. T'en fait pas.
- Fais pas le con Jéri. J'ai déj�  perdu mon père, je ne veux pa perdre en plus mon parrain.

   Sabrina avait les yeux rouge. Malgré que Jéricho tentait de la rassurer, elle savait qu'il avait peu de chance de s'en, tirer. Elle embrassa son parrain et s'en alla. Achille commenca �  partir aussi, mais Jéricho le rapella.

- Achille. Tu sais sans doute que je suis quasiment foutu. J'aimerai que tu me rende un service.
- Je t'écoute.
- Quand Alexandre est mort, il m'a confié une mission. Celle de former Sabrina �  devenir capitaine du Black Shark. Autrement dit, elle en est le propriétère légitime. Mais en temsp que parrain, Alexandre m'avait confié les affaires jusqu'a ce qu'elle puisse le faire.
- Je comprend.
- J'aimerai que tu fasse de même. Je te confie Sabrina, et qu'en elle sera prête, tu lui rend son bien.
- Le Black Shark.
- Oui. En attendant, tu attend à bord les nouvelles.  Je te teins au courant.
- D'accord Jéricho.
- Alors vas-y.
- A vos ordres.

   Achille quitta Jéricho et ce-dernier vit la lampe s'éloigner de plus en plus, jusqu'a disparaitre, le laissant dans le noir.  
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Black
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« Répondre #7 le: 27 Janvier 2009 à 19:51:19 »

   Le lendemain Jéricho fut conduit devant le chef des gens d'arme. Il se tenait dans une salle au meublier réduit au minimum: une table et deux chaises.  Sur sa table, le poignard et un insigne en fer, pas plus gros qu'une pièce.
- Alors vous les protestant refusez donc la loi du tout puissant !
- Je ne suis pas protestant.
- C'est ce qu'ils tous disent tous! c'est pour cela que vous portiez sur vous l'insigne de reconnaissance des réunions protestantes! Celui là! Dit il en prenant le petit objet: une croix en bois avec cependant deux autres branches en bas.
- Et c'est pour cela qu'on vous a arrêté sur les lieux du meurtre, celui d'un de nos plus grand prêtre. Un catholique dont plusieurs protestants avaient promis la mort après qu'il fit condamné son homologue protestant.

   Il sourit, le genre de sourire nerveux plein de colère et de sadisme. Jéricho conservait son calme. Il savait qu'il n'avait rien fait et espérait que son interlocuteur se montre un peu moins bornée et naïf.

- Je ne connaissait pas cet homme et je regrette sa mort. Je suis arrivé à Brest hier seulement, pour preuve, le rapport de l'écrivain du Roi placé à bord de mon vaisseau corsaire. Il pourra également vous confirmer que je n'ai jamais mis les pieds ici.

  En temps que représentant du Roi, l'écrivain, Charles, était présent. Le chef des hommes d'arme le regarda et l'écrivain affirma d'un signe de la tête. Sur ceux, il se leva et déclara.

- Monsieur, je comprend que vous vouliez que justice soit faîtes, tous comme moi et comme le capitaine Black. Cependant, en temps que représentant du Roi à bord du navire du capitaine Black, je me permet de vous signaler la fidélité et l'honnêteté du capitaine Black, tous comme j'ajouterai que le capitaine n'est pas croyant.
- Raison de plus ignorant ! Un homme détaché de la religion, est sans moral c'est un ennemi parfait. Il tuerais et repartirait, dommage pour lui qu'on l'a prit sur le fait ! Son navire a été mis sous le contrôle du fort.
- Un ennemi pour les ennemis de la France, monsieur. A savoir si vous êtes un serviteur de Louis XIV ou du Clergé. De plus je vous interdit de m'insulter d'ignorant, à moins que vous ne vouliez que je vous fasse poursuivre en justice pour insulte envers un représentant de la Courrone Royale.
- Ecoutez je suis un représentant du roi. Louis XIV est un chrétien et si vous connaissez vos lois ! Seul le christianisme est toléré sur les terres du Roy !
- Certes. Mais le capitaine Black est chrétien par naissance. Il n'est pas pratiquant mais est chrétiens. Mais si vous persistez à considérer le capitaine Black comme protestant, alors il quittera le royaume et la France se passera d'un de ses meilleurs corsaire. Mais, pour en revenir au meurtre dont vous l'inculpez, je ne pense pas que le fait qu'il soit chrétien ou protestant puisse être un si bon mobile. Il vous faut des preuves, et la seul que vous avez et l'arme du crime. Qu'est ce qui vous prouve que c'est la capitaine Black qui l'a utilisé ?
- Les témoins, trois gardes qui disent l'avoir vu sur le corps, le sang sur les mains et le fourreau dans la poche. Vous savez un assassin ce moque de la religion ou autre, il a tué un homme et semble mêle au protestant. Oserez vous nier la parole de trois hommes et les évidences?
- Il est vrai que les fait son contre le capitaine Black, mais avant de l'accuser, laissez le faire sa déclaration.

   Les deux hommes regardèrent Jéricho qui jusque là avait écouté attentivement.

- Allez-y jéricho, parlez sans risque et justice sera faites. déclara Charles.
- Bien. Nous somme venu à Brest dans le but de déposé un passagé. Arrivé à Brest, ce passager m'invita à une soirée. Ce n'est que plus tard que j'ai compris que cet hommes était un protestant qui m'avait invité à une soirée protestante. Comme je suis poli, je suis resté. Quand la soirée se termina il me raccompagna. Puis soudain on entendis des bruit de botte. Alors il parti en courant. Me retrouvant seul, je continua à marcher jusqu'a mon navire. Puis j'entendis un appel à l'aide. Alors je sors mon sabre et cour répondre à l'appel, quand je suis arrivé, j'ai vu un homme fuir, et un homme à terre. Je me précipite vers l'homme à terre et retire le poignard de son corps, d'où le sang sur mes mains. Quand je constate que l'homme est mort, je me relève pour allez prévenir les autorité, seulement, vos soldat sont arrivé et mon pris pour le meurtrier. Quand vos soldat mon fouillez ils ont trouvé le fourreau du poignard et cette croix protestante, avant de me jeté en prison.
- J'aimerais bien croire mais dur à avaler ! vous pouvez pas le nier dit il à Charles

   Charles soupirat. Il savait Jéricho innocent, Jéricho se savait innocent, l'homme d'arme se doutait de l'innocence de Jéricho mais ne pouvait rien faire. Jéricho fut reconduit dans sa cellule, pour attendre la fin de l'enquête.
 
« Dernière édition: 28 Janvier 2009 à 18:43:40 par Black »
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« Répondre #8 le: 30 Janvier 2009 à 19:24:57 »

   Jéricho fut reconduit dans sa cellule. Charles était resté pour lui parler, tandis que le garde verrouillais la porte pour retourner dans la salle de garde, situé au bout du couloir.

- Je suis désolé. J'ai fait ce que j'ai pu.
- Je sais. Le seul moyen de prouver mon inocence et de démanteler le complot.
- Vous avez des soupsons ?
- Oui. Dorian et le premier. Je ne l'ai pas revus depuis et je commence �  me poser des questions. L'autre est un marin, un officier, le capitaine De Montvure, il était �  la réunion et m'a paru peux sympathique.
- Bien, je commencerai par là.
- Merci beaucoup, mais je ne sait pas si vous aurez le temps de me sauver. L'Eglise poussera �  ce qu'on m'exécute.
- Nous verrons bien, ce qui est sur, c'est que vous ne mourrez pas ici.
- Pourquoi ?
- Avant de vous suivre jusqu'ici, je suis resté un peu avec le chef des militaires. Il m'a dit que vous seriez bientôt tranféré �  Rennes pour y être jugé.
- Quand cela ?
- Dans quelque jours. Trois, quatre.
- Vous avez des nouvelles de l'équipage ?
- Il a été  conditionné �  bord. On crain une révolte. D'après ce qu'on m'a dit, il sera affecté de force sur différent navires. Le Black Shark �  été dématé pour évité une évasion.
- Que son devenu les officiers ? Achille, Rolland, Enrique, Hayes,... et Sabrina ?
- Ils vont bien.
- Où sont-ils ?

   Charles ne répondis pas. Il se contenta de se redresser, regardant Jéricho de travers.

- Où sont-ils, Deblau !?

   L'écrivain ne broncha pas et laissa Jéricho seul, accroché au barreau de sa cellule.  
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« Répondre #9 le: 31 Janvier 2009 à 17:55:00 »

Jéricho resta trois jours sans nouvelles de Charles, sans nouvelles du monde extérieure, sans contact avec des hommes hormis le rire moqueur et le regard cruel du garde quand il lui donnait son quotidien, fait d'une bouillie de blé et de légume.

A l'aube du troisième jours on le tira de sa cellule, son vêtement sale et couvert de paille et une barbe longue et grattante.
Sans lui laisser le temps de faire toilette on le plaqua dans un fourgon �  la porte de fr, avec comme seule lumière une petite lucarne avec des barreaux en fer sur la porte.

Le cocher donna le fouet et le fourgon se mouva. Parcourant les rues de Brest lentement, avec deux cavaliers derrière pour protéger et surveiller.
Jéricho pouvait voir les deux cavaliers se tenant fier et méfiant.

Puis le convoi quitta Brest, il pouvait voir les derrière maisons de la ville, puis les champs.

le convoi passa dans un village, �  entendre les voix, il y avait d'autre hommes que le cocher sur le fourgon. jéricho se plaça au fond du convoi, désespéré.

Ils quittèrent sans s'arrêter le village et passèrent dans une forêt.

Soudain plusieurs détonations, Jéricho se leva et courut �  la porte. Il vit les deux cavaliers sortirent leur fusil et tirer avant de s'écrouler atteint par plusieurs balles.

Jéricho était anxieux, sa situation était désespéré mais s'il tombait sur des brigands mal leur en prendrait de voir qu'ils ont attaqués et tué pour un vulgaire prisonnier. Mais ca serait sa chance.

Il entendit la clef dans la serrure puis la lourde porte s'ouvrir. Il eut du mal �  voir la personne devant lui se tenant devant le soleil, il avait pas vu la lumière depuis l'aube. L'homme parla, jéricho eut un sourire et se détendit. 

- Benawa Hayes, j'y crois �  peine.
- Et pourtant c'est vrai dit un autre homme.
- Yann! Cria de joix Jéricho au maitre gabier.

Leur capitaine sortit de sa prison sur roue, il put voir les cinq hommes morts allongés avec quelques hommes se tenaient silencieux autour d'eux, priant pour leur âme. Jéricho put voir que l'embuscade fut faite devant le regard de dieu: une croix en granite, recouverte �  sa base de lier. L'endroit était une route de terre encadré d'une forêt dense, peu d'arbre grand mais de nombreux petit arbres touffus et buissons.

Jéricho regarda l'endroit qui pour lui était magique, le soleil perçait les feuillages dans des raies clair de lumière. Il vit que le canonnier n'était pas présent. Il y avait que dix hommes. Le second ria et appela, des hommes sortirent des buissons plus d'une trentaine de pirates, aucun avec des armes �  feux. Ils étaient l�  pour attaquer en cas de combat.

Il y avait pas mal d'officiers, sauf le canonnier, l'officier d'intérim et le maitre charpentier plus plusieurs autres marins. 
 
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« Répondre #10 le: 31 Janvier 2009 à 18:36:31 »

   Jéricho regarda son équipage s'avancer, l'arme �  la main, la plupart étant d'ancien esclave noir, libéré par Jéricho. Il sourit et déclara :

- A vous tous je vous dit merci.
- Il n'y a pas que nous que tu dois remercier. Tu devrai remercier Charles. déclra Achille, le second.
- Qu'a t-il fait ?
- Il s'est arranger pour qu'on puisse sortir. Sans lui, on n'aurai pas pu être l� . répondis Hayes.
- Jespère qu'il ne lui arrivera rien.
- Rien a craindre por ça senor, s'écria Enrique. Il nous a fait sortit légalementé. L'embuscade, c'est nous et nous solomente. rassura Enrique, le chirurgien.
- Où sont Rolland et Sabrina ? Et Carl, le charpentier ?
- Les français voulaient placer Sabrina dans un couvent. Rolland et Carl sont parti avec elle. répondis sinistrement Yann.
- Je préfère les asavoir en sécurité que ici. Où vont-ils exactement ?
- Dans un monastère près de Paris. informa Achille. Rassure-toi, tout ira bien pour eux.
- Capitaine, il faut quitter la France ! s'écria Jack.
- Je sais. Hors-mis l'état-majors qui est presque au complet. Que nous reste-t-il comme effectifs ?
- A part le charpentier, tous lesartisans sont l� . Et parmis les matelots, ils n'en reste que 35 exactements.
- On est plus de 40 au final. Je ne sais pas si on trouvera un navire capable de nous prendre tous.
- Je sais. Mais ce sont ceux qui ont voulu venir. Les autre on soit été affecté de force sur d'autre navire, les autres ont filé.
- Qu'avez vous pu récupéré du navire ?
- Le journal de bord, le cahier des effectifs, et la moitier du butin. L'autre moitié �  été prise. répondis Achille.
- On aura surement pas assez d'argent pour s'acheter un navire. affirma Hayes.
- Mais rassure-toi. commença Yann. Nous avons hier rencontré un homme qui a accepté de nous prendre. Un homme qui a une dette envers toi.
- Qui ?
- Le capitaine Erwan Torik, alias leTruant. annonça fièrement Hans.
- Quoi ? Mais il est fou !
- Nous avons rencontré son second �  Brest. Ils ont eu des ennuis en mer et était venu cherché un peu de bois, avec une pinasse. Nous avons pu rencontrer Erwan, il sera près de côte ce soir �  minuit.
- Alors il n'y a pas une minutes a perdre. En route.

   Jéricho s'était caché dans le forgons, tandis que Hans et Achille enfilèrent les deux uniformes et prirent les cheveaux. Les marins noirs se firent passé pour des prisonniers et firent attaché par des chaînes, non verrouillé, au fourgons, tandis que les autres marins, certain vêtu d'uniforme volé, jouaient le rôle des geôlliers. Rapidement préparé, la troupe commença �  se mettre en route vers le point de rendez-vous, sur la côte, au sud de la Bretagne.  
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« Répondre #11 le: 01 Février 2009 à 12:43:50 »

   Le convoi marcha toute la journée vers le sud. Afin d'éviter les ennuis, la ville de Quimper fut contourné. Comme le convoi n'était pas censé arrivé avant la soirée et que les corps furent enterré et caché, l'évasion de Jéricho n'était pas encore signalé. La nuit tomba et s'installa tandis que le convoi arriva sur la côte. Celui-ci, afin d'éviter d'être dérangé, profitaient de la marée basse pour se caché sur la plage, en bas de la falaise, et des guetteur avaient été installé.

   Le nuit avançait. Jéricho ignorait si l'alerte avaitété donné, mais il était quasiment sur que les recherches commenceraient demain. Minuit approcha. La nuit était calme et le ciel couvert. Avec l'obscurité, on ne voyaient rien au large. Minuit arriva. Jéricho s'approcha de Achille, qui discutait avec son grand amis Enrique.


- Commen avez-vous prévus de le retrouver ?
- Tu verra. répondis Achille.
- Attention avez vos signaux limineux, j'ai pas envis qu'ils alarment les patrouilles.
- Rassuré-toi Jéricho, il n'y aura pa dé signaux loumineux. rassura Enrique
- Alors comment allez vous faire ?
- On attend notre contact. informa finalement Achille.
- Quel contact ?

   Achille fit signe �  Jéricho de se taire. Des hommes approchaient. Les matelots du Black Shark prirent leurs armes et attendèrent de voir qui approchaient. Soudain, trois hommes sortirent des ténèbres.

- Heureux de voir que vosu avez pu arrivé jusque là. déclara l'un de.
- Elvis Tolson, dit le Cancrelat. répondis Achille rassuré.

   Cancrelat été un homme rabougris, avec un nez cassé, l'oeil droit preque fermé et une machoire de travers. Il se tourna vers Jéricho et sourit.

- Capitaine Black, heureux de vous revoir.
- Et moi donc. merci d'être venu. Où est le navire ?
- Un instant je vous pris.

   Cancrelat se rapprocha de la falaise, fit face �  la mer, alluma une torche et l'agita en l'air.

- Et maintenant ?
- Patience, capitaine Black, patience.

   Après quelque minutes, 6 chaloupes sortirent de l'obscurité et virent s'arrêter sur le bord de l'eau. De chaque chaloupe, deux marins sortirent. L'un d'entre eux s'avanca vers son second, Cancrelat.

- Hi sir !
- Hi Will, good work. Capitiane Black, ramenez vos sentinelles et montez sur les chaloupes, vite.
- Bien. Achille, occupe-toi de charger les petites affaires, Hayes prend quelques hommes et va chercher les sentinelles, vite.

   Les ordres furent exécuter. Le coffre renfermant ce qu'il restait du butin du Black Shark fut monté sur une chaloupe, dans laquelle montèrent Cancrelat, Jérichi, Achille et Enrique, ainsi que plusieur marins anglais. Quand tous le monde fut prêt a partir, Cancrelat donna ses ordres.

- Forward !(En avant)

   Les 6 chaloupes quittèrent la plage. Après quelque minutes sur une mer très calme, une frégate se distingua. Les chaloupes furent rapidement hissé �  bord. Jéricho suivit Cancrelat.

- Voici le capitaine Black, capitaine Torik.
- Merci, Cancrelat. Occupe-toi de la manoeuvre. répondis le capitaine
- Erwan, heureux de te revoir.
- Moi aussi Jéricho. T'as eu chaud on dirait.
- Où allons nous ? demanda Cancrelat.
- Jéricho ?
- Casa Blanca.
- Compris. répondis Cancrelat, en tournant des talons.

   Peu après, Jéricho et Erwan allèrent dans le gaillard arrière. Les hommes des Jéricho furent casé ensemble sous le gaillard avant. Peu après, le navire d'Erwan leva l'ancre et fit routeau sud-ouest, afin de s'éloigner le plus possible de la côte.

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« Dernière édition: 01 Février 2009 à 14:32:08 par Black »
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