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OLantoine
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« Répondre #1 le: 23 Février 2006 à 16:48:40 » |
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Continuant, nous allâmes vers le port de Coro, qui nous racheta nous esclaves � haut prix. Après avoir rempli l"équipage, je me rendais vraiment compte de ma richesse. S"élevant � près de 48 000 pièces d"or, et la grande quantité de lingots d"argent en stock dans les cales de mon navire, je décidai d"acheter des terres. J"obtins ainsi 400 hectares pour 100 pièces d"or/chaque. Repartant avec 8 000 pièces, j"accostais finalemenyt dans un port qui m"acheta les 12 lingots d"argent que j"avais pillés � 1333, 3 pièces d"or chaque. Je me mettais alors en quête d"un meilleur navire. Naviguant de port en port, ayant effectué plusieurs séjours � la Tortue, je trouvai finalement un Galion dans le port de Guadeloupe. Après l"avoir acheté, je recrutai encore 80 hommes et rachetai 30 canons. Avec un navire pareil, je pouvais maintenant relever d"hautes missions. Après avoir mené une longue série de pillages pour la Couronne Hollandaise, on me confia l"importante mission de piller Antigua. Je devais donc avoir au moins une brigantine pour relever le défi. Mais ma folle nature insouciante me dictai d"accepter. Je me mettai donc en quête d"un bon navire et préférablement d"un manowar. Après 8 mois de stagnation dans Belize, j"appris qu"en manowar était en vente � La Vega, un port Espagnol. Je me précipitai sur le pont et hurlai des ordres. Rapidement, le beau galion se mit en route pour son ultime voyage avec moi. Arrivé au quai de La Vega, je bradais mes marchandises et faisais l"acquisition du "Tyran des Mers". J"échouais tout de même dans ma tentative de pillage. Voguant incessament, je finis par trouver une mission: Piller Antigua � nouveau!!! Recrutant le mieux que je pus, flanqué d"officiers � 3 étoiles, je voguais inquiet vers le port. Mais je finis par me rendre compte que j"étais privé de ma force majeure, ma puissance de feu. Malgré cela, mes officiers impétueux me pressaient d"attaquer. Nous finîmes donc par attaquer, un beau 4 Mai, le forteresse du gouverneur, défendue par ses 150 soldats. 400 pirates déchaînés se ruaient sur le ville. Après avoir eu l"avantage numérique et de la surprise, le bataille s"équilibrait. Un terrible combat de rue s"engageait et les gardes reculaient peu � peu. Mais c"était sans compter l"ingéniusité des lieutenants anglais, qui réussirent � m"encercler. Je tentai de faire une sortie en direction du quai, mais les gardes soutirent le choc. Réduits � une soixantaine d"hommes, il n"étaient pas moins un grand danger. Sachant que notre défaite était proche (il ne me restait que 150 hommes), je rassemblai mes troupes et fis une charge en direction du général. Soudain, je me trouvai face � face avec lui.N"hésitant pas un millième de seconde, je dégainai mon épée et lui tranchai la gorge. La nouvelle destabilisa soudain les gardes, qui furent prêts de défaillir, et je rassemblai mes troupes pour la charge de la dernière éspérance. Malheureusement, lorsque nous fûmes sur le point de détruire une décurie, un feu nourrit tomba sur nous. Voyant mes compagnons exténués, et voyant que nous n"étions plus qu"une centaine, je décidai de me rendre. C"était la deuxième défaite de ma vie. Mais je n"avais perdu aucune de mes facultés et j"étais toujours aussi bien portant. De physique bien élancé, je gardai une petite cicatrice près de l"oeil, entre la joue et la cavité. M"étant défendu avec éloquence, le juge décida de me restituer mon manowar et de libérer les 100 survivants. Je pris donc 20 jours de taverne � Saint-Eustache, et notre nombre s"éleva � 160 hommes. Je décidai de reprendre une mission et je voguai vers Coro pour le piller. Entre-temps, nous abordâmes une petite pinasse qui se rendit sans condition, sans même tirer un coup de feu. Mais, lâchement, leur capitaine dégaina ses trois pistolets et trucida 3 de mes compagnons les plus chers. Je décidai de rendre une sentence exemplaire: je le pendais 2 heures par les pieds, puis lui coupai les pieds, les mains, le nez et lui crevai les yeux. Je le rendis � Coro, mutilé, 5 jours plus tard, anonymement. Quand aux autres, je leur accordai une petite chaloupe et des provisions. Qu"ils profitent � un autre navire!!!Je comptai le montant de notre pillage: 2 lingots d"argent pour 3 hommes morts. Rentable!!! Nous abôrdames ensuite une goélette Hollandaise. Je décidai finalement de l"aborder: n"avais-je pas rendu de grands services � une couronne qui ne m"avait récompensé plus qu"ingratement? Et n"étais-je point Gallois? Mais, par bienveillance � ma patrie d"adoption, je reccomandai les survivants � leur capitaine et leur rendis leur bateau (quoiqu"amoché mais légèrement réparé par mes hommes), vidé de leurs lingots d"argent et de ses esclaves. Comme j"avais hissé la pavillon noir, ils ne risquaient pas de recconaître le Corsaire au service de la Couronne Hollandaise qui était en moi. Je recomptai le butin: 3 lingots + 2 esclaves, 6 hommes avaient péri lors des coups de feu et 10 autres lors de l"abordage. Je pensais � ces Hollandais qui se défendaient loyalement, et � ces chiens d"Espagnols et de Français qui attaquaient les plus faibles. J"accostais donc � Coro. Après m"y être arrêté, je dépensais les 8 jours restants en taverne.
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