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Auteur Fil de discussion: L'histoire du capitaine Cedric  (Lu 5512 fois)
cedlenoir
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« le: 12 Juillet 2007 à 05:19:28 »

La vie du capitaine Cedric
Chapitre 1 : Le commencement

Ceci est une histoire que nous pouvons entendre tout les soirs dans les tavernes des cartiers malfamés de Londres…  C’est une histoire, ou plutôt une rumeur �  propos d’un jeune officier de l’armée royal…


Un jour un petit garçon est né sur un navire menant vers la Nouvelle-Angleterre.  Le père de ce jeune homme était le capitaine du New-Orlean, une frégate de la marine Anglaise.  Le navire se dirigeait vers le port de Charlestown pour aller prêter main forte aux militaires du nouveau monde face �  la menace grandissante des Espagnols, au sud du pays.  Après trois longs mois de haute mer, le capitaine ne fut pas mécontent d’entendre la vigie crier :


-Rivage à l’horizon mon cap’taine !

Tout l’équipage se précipita vers les côté du navire pour voir enfin la côte du continent.  Le capitaine regarda sa femme qui tenait son jeune fils Cedric dans ses bras et lui dit :

-Enfin, nous y sommes arrivés.  Le nouveau monde…

Comme la plus grande partie des membres de son équipage, c’était la première fois que le capitaine voyait le nouveau continent.  Par mal chance, quand ils furent enfin assez près de la côte pour voir les installations portuaires, un spectacle horrible attendait l’équipage du New-Orlean.  Le port était en feu, 3 Manowars Espagnols étaient en train de bombarder le fort de Charlestown, mais les installations militaires tenaient le coup et les canons répondaient avec autant de puissance que ses assaillants.  Sans plus de réflexion le capitaine de la frégate cria �  son équipage :

-SORTEZ LES CANONS DE TRIBOR ET ENVOYEZ MOI CES CHIENS AU FOND DES OCÉANS !!!  Il se retourna vers sa femme, allez-vous mettre �  l’abri dans mes appartements, les choses risques de mal tourner…


HRP: Désoler mais je vais demander quelque chose au lecteur.  Est-ce que vous désirez savoir la suite ou je suis mieux de m'arrêter immédiatement parceque mon histoire est nul?  Merci d'être franc...  
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cedlenoir
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« Répondre #1 le: 12 Juillet 2007 à 19:53:27 »

La femme s’exécuta sans argumenter.  Le second du capitaine alla �  sa rencontre et lui dit :

-Cap’taine les canons sont prêts que faisons-nous ?
-OUVREZ LE FEU !!! cria le capitaine.
-OUVREZ LE FEU !!! répéta le maître artilleur �  partir du second pont.

Le bruit des canons retenti dans tous les environs.  67 boulets atteignirent leur cible, ce qui mena le premier manowar a sa destruction, puisqu’il était pratiquement coulé par les tirent du fort.  Un des deux manowars restant se tourna en direction du New-Orlean.  Quand le capitaine vit la bouche des cent canons, il comprit qu’il n’avait aucune chance.  Mais il avait aussi remarqué que la plus part des marins des bateaux étaient débarqués pour prendre d’assaut les fortifications.  Il décida donc de foncer vers l’ennemi. 

-ON LEUR FONCE DESSUS, NOUS SOMMES PLUS NOMBREUX ON VA PASSER À L’ABORDAGE !!! cria-t-il.
-Vous êtes fou !!! lui répondit son second.
-Non, il son moins nombreux que nous…
-Ils vont nous couler avant même que nous puissions les approcher.
-EN AVANT…

Il ignora les conseilles de sont second et fit foncer la frégate droit vers le Manowar qui le bombardait…  Par miracle, la frégate avança assez vite pour ne pas se faire coulé.

-SOYEZ PRÊT À L’ABORDAGE MOUSAILLONS.

L’horreur s’empara du capitaine quand il vit qu’une volé de boulets ramés venait de s’abattre sur le navire en brisant les trois mâts et que maintenant l’équipage du manowar faisait feu avec des mitrailles.  Plus de 60 des 260 membres d’équipage restant fut pulvérisés par les centaines de boulets de mitrailles qui s’abattirent sur le navire.

-SORTEZ LES SABRE D’ABORDAGE !!!

Tout l’équipage s’exécuta et le combat commença…  
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cedlenoir
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« Répondre #2 le: 13 Juillet 2007 à 16:15:28 »

Le capitaine sortie son fusil et envoya une balle droit entre les yeux de son adversaire.  Le combat faisait rage tout autour de lui et les bateaux continuaient �  se canarder.  Les 150 membres d’équipage qui avaient pris le Manowar d’assaut se battaient comme des bêtes.  Bien qu’il ne restait que 100 militaires �  bord du Manowar, les Espagnols offraient une résistance incroyable aux Anglais.  Quand le capitaine du New-Orlean se retourna pour trouver son second, il le vit étendu part terre avec un poignard dans le ventre.

-OÙ EST LE CHIRURGIEN !!! cria le capitaine.
-Il est mort… Il a reçu un boulet de mitraille en pleine tête. lui répondit le maître d’équipage qui se battait a quelques mêtres de lui.

L’équipage du New-Orlean eu raison des Espagnols, mais ils n’étaient pas au bout de leurs peine.  Le capitaine du dernier Manowar décida d’abandonner le bombardement du fort et de se retourner vers le Manowar pris sous contrôle par l’équipage Anglais, qui ne comptait maintenant que 100 passagers.  La vigie s’écria :

-ILS VONT NOUS TIREZ DESSUS CAP’TAINE
-TOUT LE MONDE AU CANONS ON VA LEUR RÉPONDRE.

Bien entendu le fort continuait de bombarder la côte sans tenir compte qu’un des Manowars était maintenant sous leur contrôle.     
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cedlenoir
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« Répondre #3 le: 15 Juillet 2007 à 04:43:42 »

Le dernier Manowar Espagnol commença �  ouvrir le feu sur les survivants du New-Orlean.  Les 2 bateaux continuaient de se bombarder, mais en même temps ils se rapprochaient l’un de l’autre.  Des dizaines de soldats des 2 équipages moururent suite au tires des canons.  Juste avant que les 2 Manowars soient assez près l’un de l’autre un boulet de mitraille toucha le capitaine en plein ventre.  Le capitaine s’écroula au sol et mourut.  L’équipage Espagnol pris d’assaut le bateau sous contrôle de l’équipage du New-Orlean.  Mais l’équipage du New-Orlean ignorait une chose, c’était que le gouverneur de Charlestown avaient, 20 jours plutôt, envoyé un messager �  Jamestown pour quérir de l’aide parce que des pêcheurs avait cru voir des vaisseaux Espagnol se diriger vers la ville.  C’est pourquoi, quelques heures après que les 2 équipages aient commencé le combat au corps �  corps, 6 Brigantine portant l’étendard Anglais arrivèrent en renfort.  Cette journée plus de 200 soldats Espagnols furent faits prisonniers et plus de 800 hommes, des 2 nations, étaient morts lors de ce combat.  Il ne restait plus que 30 passagers du New-Orlean dont la femme du capitaine et sont fils Cedric qui furent retrouver dans les calles du Manowar.  On lui annonça que sont marie étaient mort, en héro…  
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cedlenoir
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« Répondre #4 le: 15 Juillet 2007 à 05:45:31 »

Chapitre 2 : Un nouveau monde

Suite �  la bataille qui eu lieu 10 ans plutôt �  Charlestown le jeune Cedric était, pour ceux qui ne savent pas calculer, âgé de 10 ans.  Le gouverneur de Charlestown avait aidé la mère de Cedric, suite �  la mort de son mari.  Cedric a bénéficié, dès l’âge de 6 ans, d’un entrainement militaire intensif, pour qu’il puisse un jour devenir un homme aussi brillant que son père.  Il vivait avec sa mère dans la demeure du gouverneur et celui-ci traitait Cedric comme son propre fils, bien qu’il en avait déj�  3.  Depuis le début de sa vie Cedric entendait parler des exploits de son père et du grand homme qu’il était.  Tout ce baratins lui était légèrement monté �  la tête.  Lors des entrainements avec les autres garçons de son âge, il n’hésitait pas �  rappeler �  ses camarades �  quel point son père était le plus grand et qu’ils lui devaient respect et admiration.  Tous ceci commençaient �  lui causer des ennuis puisque personne ne voulait être son ami, ce qui fit de lui un garçon plutôt renfermé sur lui-même.  Un jour, lors d’un exercice au sabre d’entrainement avec un autre garçon, nommé John, Cedric recommença son blabla habituel :

-Tu sais, moi mon père c’est le plus grand capitaine que le monde n’ai jamais connus.  Un jour, il a sauvé �  lui seul…
-OK. LA J’EN AI MA CLAQUE. le coupa l’autre garçon. On a compris. Ça fait 4 ans que tu nous raconte les fabuleux exploits de ton père.  IL EST MORT, M-O-R-T, MORT.

Cedric le regarda complètement abasourdit, il ne comprenait pas pourquoi ce garçons n’admirait pas un homme aussi grand que son père.  En même temps le fait que celui-ci est osé lui parler sur ce ton…  Dans ça tête c’était inacceptable. 

-Comment oses-tu me parler sur ce ton ? dit Cedric avec les larmes sur le bord des yeux.
-Je m’excuse, dit John en voyant qu’il venait de toucher une corde sensible, je ne voulais pas te parler comme ça, tu comprends, tu n’arrêtes pas de dire que ton père est le plus grand, le plus fort, etc.  Une fois c’est bon, mais une fois par jour pendant quatre ans… On a comprit.
-Je…  Je ne m’en étais pas rendu compte…
-Ce n’est pas grave, mais la prochaine fois pense avant de parler.

À la fin de l’entrainement de la journée, John invita Cedric �  venir manger chez lui.  Bien entendu Cedric accepta sans même réfléchir, puisque c’était la première fois qu’on l’invitait.  
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cedlenoir
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« Répondre #5 le: 15 Juillet 2007 à 21:18:21 »

Le soir, quand il revient chez lui, sa mère l’attendait dans le hall d’entrée. 

-Qu’est-ce que tu fais la maman ?
-Je t’ai attendu toute la soirée.  Où étais-tu ?
-Chez John Klint…
-Qui est-ce !?!?!?
-Un gars de l’académie.
-As-tu mangé ?
-Oui.

La mère était folle de joie d’apprendre que son fils avait enfin un ami.  Cedric et John continuèrent de s’entrainer ensemble et ils devinrent les meilleurs amis.  
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« Répondre #6 le: 15 Juillet 2007 à 21:54:22 »

Chapitre 3 : Les promotions


Cinq ans s’écoulèrent, John et Cedric étaient toujours de très bons amis…  Les 2 garçons avaient développé des aptitudes au combat.  John était un escrimeur hors pair, alors que Cedric était le meilleur tireur de toute sa promotion.  C’est pour cette raison que pour ses 15 ans le gouverneur lui fit cadeau de 2 magnifiques pistolets doubles canons ainsi que d’un mousquet fait sur mesure pour le jeune garçon.  Sa mère quand �  elle lui donna le sabre de son père.  Apparemment ce serait toujours les mêmes armes que Cedric porte sur lui…  Quelque mois plus tard les 2 garçons furent enrôlés dans l’armée de Charlestown.  Quelques 4 ans plus tard, le général des troupes Anglaises de la Nouvelle-Angleterre vint rendre visite aux troupes de Charlestown.  Il demanda au responsable des troupes lequel de ses soldats c’était le plus démarqué.  Cedric était sur d’être choisi, il venait de passer les 4 dernières années de sa vie �  suivre les ordres �  la lettre.  Comme vous devez-vous en douter, ce ne fut pas Cedric qui a été choisi.  En effet, ce fut l’idiot de fils d’un capitaine connus dans le port qui eu la place…     
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cedlenoir
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« Répondre #7 le: 17 Juillet 2007 à 01:20:59 »

Quelques semaines plus tard Cedric alla rendre visite �  sa mère comme il le faisait tout les deuxièmes Dimanche du mois.  Quand il arriva �  la demeure du gouverneur, une division militaire montait la garde.  Cedric ce précipita vers l’entrée, deux gardes portant les symboles de la marine royale l’interceptèrent.

-Hola! Qui es-tu demanda le plus grand des deux.
-Je suis Cedric, soldat de la garnison de Charlestown.  Que faite vous ici ?
-Nous sommes venus arrêter le gouverneur ainsi que touts les habitants de la maisonnée.
-Et pour quel raison ?  Demanda Cedric sous le choc.
-Ils sont accusés d’avoir aidé des pirates �  échapper aux poursuites lancées par le roi.

Cedric resta muet pendant un bon moment quand il vit le gouverneur, ainsi que sa mère et quatre femmes de ménage sortir de la maison menottes aux poignets.  Cedric décida que le seul moyen de les aider serai de ne pas ce faire mettre en prison.  Il resta donc immobile et regarda les prisonniers passer.  Une fois qu’ils furent partis, Cedric rebroussa chemin et réfléchit �  quel serai le meilleur moyen de les sortir de se leurs prison.  
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