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Auteur Fil de discussion: Pille… pille pas… mais ne restons pas là…  (Lu 22673 fois)
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« Répondre #15 le: 04 Août 2007 à 12:57:23 »

Le shonner sur lequel Seth se trouvait filait à toute allure.

- Vent de large, beaufort quatre!!
C'est puissant faut pas mollir, tirer les voiles!!
Hurla le second sur le tillac.

En effet un fort vent poussait le navire vers sa proie, en le soulevant �  chaque vague avant qu'il ne s'écrase sur la mer en soulevant des trombes d'eau dans un bruit fort.
Seth tenait une manoeuvre, tirant de toute ses forces il fit un noeud du chien. Puis déscendit dans l'entrepont pour prendre se saffaires dans son vieux sac de cuir tané. Il y sortit ses duex cimeterres et sa cape, il remonta sur le navire. Il regarda le gréement.
Ce dernier craquait un peu sous la force du vent, les voiles gonflaient et tout les cordes tiraient au maximum.
Il se posa tranquillement quand le maitre d'équipage le remit au travail.


- Debout faignant!! va bosser!
- mon quart est finie depuis plus d'une heure je me prépare au combat.
- Bon ok mais géne pas els manoeuvres!

dans dix minutes ils y seront arrivés  
« Dernière édition: 04 Août 2007 à 13:04:10 par scar »
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« Répondre #16 le: 04 Août 2007 à 22:18:29 »

La vigie du capitaine Trystan hurla du haut du mat principale, la jeune Rhéléna leva son visage pour tenter d'apercevoir, éblouie par le soleil, l'homme criant les information, celle-ci inquiétait, peu certes, mais quand même la jeune femme... Que voulait dire cela, deux autre navires...

La femme se tourna, faisant voler sa chevelure rousse emporté par le vent, pour tenter d'apercevoir la chose en question, ses yeux slalomèrent alors, passa au del�  de la belle Penia et des tête ambulante des marins exécutant les différente tache sur l'imposant manowar, deux voile blanche comme la neige faisait direction sur les trois navires amarré l'un �  l'autre...

- Mmmmm... Mauvais signe...

Murmura la jeune femme, toujours le visage tourné vers l'infini horizon briser de deux tache blanche, au loin, presque invisible, qui se reflétait grâce �  la lumière rayonnante du soleil...

"Mais, revenons �  nos mouton", la jeune Rhéléna, tenant dans ses main son magnifique chapeau de feutre embelli par l'énorme plume de paon sur le coté droit, qu'elle avait alors enlever une fois de plus de son crâne, celle-ci se retourna �  nouveau vers l'interlocuteur de marque... Malheur... "Mais que regarde l'homme la!?... Il essaye de prendre ma proie l�  ou quoi!?"... La rousse paniqua alors, pour il lui fallait un plan et d'urgence, elle tenta de distraire le capitaine de Notterrach de... Ses vue sur la belle Penia, du mieux qu'elle pu, comme si elle se bâtai pour sauver son âme ou la chose la plus chère �  ses yeux... La femme se décala, franchement, pour mieux se faire remarquer, vers la belle capitaine au cheveux noir corbeau ...

- Enchantée monsieur... Je suis Rhéléna... Rhéléna von Hardenberg...

Ces parole était dite sur un ton froid et vif... Comme si... Comme si l'homme en question gênait la jeune femme a la grande chevelure rousse...

Il fallait absolument que sa proie ne s'envole pas... Mais... Pourquoi tenait elle tan �  cette femme... Il y en a bien d'autre, même beaucoup dans cette vaste région des caraïbe mais... "Elle... Elle est si belle... Non!... Pourquoi mon coeur s'emballe t il coment cela... Pourquoi suis je froide avec cet homme... Suis en train de tombée... Amoureuse?..."

La jeune femme semblai être dans ses profonde pensée, de temps en temps, elle jeta quelque coup d'oeil �  la femme se tenant �  coté d'elle... Tout en poussant un profond soupire, elle lui souris mais rougi aussi vite...

Sur le sloop de la jeune Rhéléna, l'équipage se regardai abêti du pourquoi n'avaient ils pas encore piller, ni massacré ... Jean aurait il raison?! Rhéléna serait elle.... "Tribade"... Cela devenu un des principale sujet de l'équipage, plus personne ne se préoccupait plus de plier ni de se mutiné, cette femme devenait de jours en jours fascinante, mais cet "supposition" rendait bien aussi méfiant d'autre personnes... Comme Jean par exemple...

- Bien... La salope �  encore une touche ou quoi la?... Putain! Fait chier! Les filles comme elle devrait toute finir au bûcher! Mais pourquoi le gouvernement ne bouge pas ses couilles! Merde... Elle ne sont pas normale, les femmes doivent être dans les bras d'un homme, tout comme un sodomite... Non même pas... Tous doivent aller en enfers voila la seule solution...

Les Affrosité que crachai "John" de minutes en minutes commençait �  agacer l'équipage, un de ceux ci brandis son sabre hurlant de toute ses forces...

- Ta gueule fils de pute! Jamais nous n'oserions insulté notre capitaine de Salope!

Cet homme étai un très grand admirateur de la femme... Il en était même amoureux malgré la rumeur se propageant, ainsi se révélant du probabilisme tribadisme de la capitaine...

- Elle aurait du te trancher la gorge au lieu de te laisser en vie maraud! Tu pisse dans ton froque comme une fillette et tu ose encore l'insulter!

Jean prit un poignard et sans hésiter l'enfonça dans le coeur de l'homme...

- C'est toi qui mérite de mourir... Maintenant, c'est moi le capitaine de ce navire... "Ceinture d'Orion 2"... Quel infeste nom... Il devrai s'appeler �  la place... "La muse"... Il lui va beaucoup mieux hé hé... Quelqu'un d'autre �  t il quelque chose �  dire sur... Mon commandement...

L'équipage n'osa point bouger, ni parlé, un jeune mouss poussa les deux marins qui lui bloquai le passage, en pleur, il brandis une dague...

- Salaud! Vous n'avez pas le droit de dire ça de notre capitaine...

Jean l'esquiva avec une facilitée déconcertante ...

- Petit... Voyons voyons... Tu es trop jeune pour mourir... Et je sais aussi... Que tu es trop jeune pour comprendre ce qui se passe ici même... Ainsi que... L'étrange comportement de notre capitaine n'es ce pas?...

- Notre capitaine?... Non je l'ignore ...


Fit le jeune homme... �  peine âgé de quatorze ans... Il rougi puis se releva avec difficulté, oui, car il avait un problème �  sa jambe gauche, mais avait été quand même recueilli par le bon coeur de Rhéléna... "John" se rapprocha de lui, lui tendant la main, shootant dans sa dague pour qu'il ne puisse pas retourné sa chemise, ensuite, il colla sa bouche contre son oreille...

- Ta capitaine tu l'aime?...

- Oui...


Fit il, des larmes commencèrent à couler sur ses joues joufflue ...

- Mais c'est plus n'es ce pas?...

- Oui...


Le jeune homme répondant au nom de "Gracius" du �  son air efféminé éclata en sanglot...

- Et bein tu peux l'oublier pour deux chose... Car... Plus jamais tu ne la révéra et puis... S'ais tu qu'es ce que une tribade?...

- Non, monsieur... Je ne sais pas...

- C'est dommage de l'apprendre ainsi... Que t'a capitaine ne pourra jamais t'aimer...


Jean serra plus fort sa mais qui tenais le bras du garçon en pleur...

- Elle n'aime que les femmes... Dommage...

- Non!!! c'est faux!!! Je ne vous croit pas... Ce... Ce n'est que des rumeur!

Hurla t il...

- Non bien sur que non que se ne sont pas des rumeur... Juste la réalitée...

- Non!!!

Les parole de Jean contrastait avec la tristesse de "Gracius", son ton était calme et serin tendis que le mouss étai en larmes...
Une bagarre s'apprêtait sur le pont du petit sloop, le cadavre du pauvre homme n'avait toujours pas été jeté �  la mer... Mais Rhéléna n'en savait rien... Elle étai toujours occupée �  regardé Pénia, avec des yeux rêveur puis lança un regard plus noir et glacial �  trystan...

(la j'ai pas floodé Très souriant Très souriant Très souriant )  
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« Répondre #17 le: 04 Août 2007 à 22:33:05 »

Le shooner vint se rapprocher de sa proie. Mais de nombreux anvrie était amarré �  cette dernière.
les sabords n'étaient pas levés, trop d'ennemi, les canons ne serviront �  rien, la puissance de feu enemi était supèrieure.
De la dunette de le capitaine appela sur l'un des navires afin de demander l'autorisation de monter dessus. Sa demande était appuyé par une lettre d'un gouvereur.
Le marin �  qui il demandait cela ne put lui en empecher l'autorisation. Le capitaine et une treintaine de marins montèrent sur le tillac de leur proie sans montrer leur intention parmi eux Seth qui avancait lentement, la cape sur ses épaules et le capuchon relevé sur la tête. Des ses yeux noire il observait la scène.

au loin se rapprochait au vaisseau de guerre, dont l'équipage était tendue, vu le nombre de navire autour de leur proie.


- Puis je parler au capitaine de ce navire. On dit que c'ets une femme Ordonna d'une voix lègére le capitaine de "l'étranger".
Seth vit Carole-Anne sur le navire. Il se retourna mit sa main sur l'un de ses cimeterres attachés �  sa ceinture de tissus rouge. Il observa le cial bleu clair taché de nuage blanc fin et long qui volaient au dessus de leur tête. Il regarda ces nuages en revant un peu et d'une main il dégagea son capuchon et se caressa ses sombres cheveux long qui dansiaent au vent.
 
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« Répondre #18 le: 06 Août 2007 à 12:43:53 »

- Trystan de Notterrach, enchantée de faire votre connaissance, je vous présente la capitaine Hardenberg, du sloop. Femme radicale, mais de bel parole en bouche. Pour ma part, je suis Penia Tavaril, capitaine du Richard’s II.

Pendant que nous étions tous présent, �  faire plus ou moins du charme et des courbettes, un grand cri venant de la vigie.

Deux voiles !! Deux voiles Capitaine !!

Le bateau arriva tellement vite, que nous n’avons pas eu la chance de faire quoique ce soit. Même pas abaisser nos couleurs, tout trois sous celle de la piraterie. Je regarde la femme �  mes cotés, et je lui dis :

- Tiens, de la visite, nous serons beaucoup trop dans un même coin. Couleur Français en plus. Il… fait quoi l�  Huh??

- MAIS IL ACCOSTE MON GALION…. IL EST SUICIDAIRE Huh?

Je pouvais voir l’embarquement �  bord et je suis rester sans bouger. Des questions plein la tête, des français, sur mon navire, j’ai fais quoi encore ? Je révise dans ma tête les derniers pillages que nous avions fait et visiblement, aucun navire Français. MAIS, j’ai voler la robe de marier de la fille d’un gouverneur Français. J’en voulais une, je voulais moi aussi porter une robe et celle-ci, d’une beauté rare, paré sur son corsage de diamant, de la soie parfaite, brodée de fil d’OR. Une merveille. Dure �  croire que les guignols de Français est envoyé un bateau juste pour une robe. Je sens tout le monde me lancer des couteaux de leur yeux et franchement, je ne peu que faire la seule réplique que je connais en cas de coup foireux.

- J’ai rien fais.. C’est pas moi, je ne les connais pas.

Pour donner du poids �  mes dires, je feins l’ignorance. Pas pour longtemps, de plus en plus bizarre la chose. Je m’approche et je leur lance :

- Besoin d’aide ? Voyez pas que nous sommes en famille ? Vous pouvez passer votre route, nous n’avons rien pour vous !!!

Il y a comme un odeur de brûlé, mes ailes commence �  prendre une teinte de noir. Plus jamais, je n’attaquerais un rafiot de Français, ils sont trop susceptible. Les hollandais, n’en font pas tout un plat. Un de mes hommes d’équipage, me cri :

- Ils cherchent une fille. 

Ils me cherchent, bien bravo. Encore une fois, je vais devoir m’en sortir sans me faire couper la tête.

- Nous l’avons larguer sur une île, j’ai pris son galion et nous l’avons abandonnés sans eau et nourriture, elle est morte. Désolée, maintenant allez faire le message au Français, elle est morte la fille…

Je me retourne vers les deux capitaines et sans même prendre des gants blanc :

- Un mot… un seul mot et je vous tranche la gorge, et croyez moi, je le ferais. Pas aujourd’hui que je vais laisser les Français me couper la tête ou même me coucher sur un bûcher.

Le vent souffle une brise et je défais la boucle de mes longs cheveux noir et passe mes mains dedans, je ressemble �  une lionne prête �  l’attaque. Mes yeux noir comme le charbon de l’enfer, scrute ce qui se passe sur mon navire et je prie que mes hommes restent fidèles. Je réajuste mes vêtements, mes cuissard sont remonter sur le haut de mes cuisses, je serre un peu plus mon ceinturon et je sens mes armes plaquer sur mes hanches, prête aussi �  l’emploi. Mon pantalon, presque cousu sur moi, pour avoir de mouvement plus fluide en cas d’attaque, ma chemise d’un blanc grisâtre, fait ombre dans le tableau, mais bon laver son linge �  l’eau de mer, ne le rend pas vraiment blanc. Je sens que je suis paré pour me battre, j’ai confiance en moi. Un bref regard encore une fois aux eux capitaines.

- Vous faite quoi ? Notterrach, vos hommes n’ont pas besoin d’un bon combat ? Et vous, Hardenberg, au lieu de me regarder comme si j’étais une apparition, faite donc signe �  vos hommes, nous sommes trois, plus nombreux, une simple attaque de votre part et ADIOS les Français.


   
« Dernière édition: 06 Août 2007 à 12:46:51 par Penia »
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« Répondre #19 le: 06 Août 2007 à 12:58:59 »

De manière discrete totu l'équipage sauf quelque hommes étaient montés sur le gaion. Seth s'étaient éclispé de son groupe et se mit derrière les deux troupes. Dans les cales du sloop se tenait le maitre canonier avec un bout-feux dans les mains et regardant les cales remplie de nourriture mais surtout de poudre et de mitraille. Les deux navires collés les dégates seraient énorme.

- Vous l'avez laissé mourir.. Ceci est un crime qui peut justifié votre tête sur une pique ma chère. pas de chichi on est l�  pour quelque chose de précis donnez le nous ou personne ne quittera ce bateau! Je ne veux aucun mal �  vosu et �  vos laquais. Je ne vous connais pas, je suis en mesure de vous juger mais ej sais que j'ai été payé pour ramener une robe et la personne qui l'a volée! Donnez moi ces deux choses et vous pourrez partir libre.

Je dirais même si cela vous arrange que je vous ai coulé, comme cela vous serez plus sereine pour vivre.

Le capitaine était nerveux il n'aimait pas avoir �  faire �  une femme. Seth marcha calmement jusqu'�  carole-anne mais il ne se dévoilla pas. Il s'adossa aux grand mat, pret �  intervenir en plein dans la melée, le massacre sera simple et rapide. Le capitaine enleva son chapeau pour montrer qu'il était pret �  négocier qu'il ne voulait pas voir le sang coulé mais pas repartir les maons vide.
Tout le monde en oublié le deux ponts qui s'approchait lentement car il réduisé l'allure.
 
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« Répondre #20 le: 06 Août 2007 à 19:24:46 »

la belle avait des yeux de feu,et l'autre capîtaine la regardais avec le meme ere de veau qui bave que moi.
(ok mon gar,reprend toi )
-je deteste la marine francais,ils m'en ont assez fait baver quand j'etais a leur service entre la Rocheel et Quebec.Mon bateau, mes hommes et moi meme,sommes a votre service gente demoiselle.
La belle se retourne vers le beau capitaine avec des yeux de braise.
-Couille molle....tout le monde a son poste...Ouvrez les ecoutilles et chargez les canons...si ca ne les fait pas feflechir, ils risquent de gouter a la poudre.
-Oui capitaine. a vos ordres.
La belle me regarde toujours de ces yeux sombres,l'autre capitaine au chapeu a plume et a la criniere rousseparrait sous le charme elle aussi.
-Permettez mademoiselle,peut etre serais t'il interessant de nous expliquer qu'elle est cette robe......Beaucoup d'hommes sont venus sur ces voiles francaises...Pour une robe cela parrais etonnant.  
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Elisa
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« Répondre #21 le: 07 Août 2007 à 20:19:28 »

- Bien madame...

Fit Rhéléna à la femme avec un ton timide et gênée...

- Je vais prévenir mon équipage...

Répondit la femme sur un ton sec, en fixant toujours, par dessus son épaule l'homme sous le charme de sa proie...

Sur le bord tribord du navire, la femme se pencha, sans faire attention aux Français présent, ni �  Seth... Rhéléna ne le dit pas mais... Ce n'était pas son vrai nom... Elle s'appelait en fait Carole-Anne... Carole-Anne Del Pero... Seth, un arabe était un très grand ami de celle-ci, mais le problème, c'est que c'était le seul des trois navires �  savoir qui elle étai et pire encore... Il connaissait son terrible secret qui étai en train de se révéler �  tout son équipage... Un terrible secret qui pourrait bien lui couter... La mort!
Carole-Anne regardait ce qui se tramai �  bord de son navire et comme une flèche en plein coeur, ce fut un choc, "Edward" errait au sol, inerte et absent de vie, l'homme qui venait d'être tué par "John"...

- Edward! Non! Mais?... Mais que c'est il passé!!!?... Mon dieu!...

Sans crier gars! Rhéléna sauta par dessus bord du manowar...

- Je reviens tout de suite la belle!!!

Cria t elle �  Penia, avec un voix douce et sensuelle, affichant un dernier sourire a la femme, elle disparu sur son sloop...

- Bon dieu! Mais que c'est t il passé putain de merde! Bande de sodomite �  barre! Expliquez vous! Et sur le champs!!! Jean! Ici!...

Sur l'immense navire du capitaine de Notterrach, on pouvait entendre les cri de colère de Von Hardenberg, gueulant sur ses homme...

- Je vous jure que celui qui a fait ça... Il va y passé de ma lame!!!... Jean... Que c'est t il passé?...

- Hé hé... Madame... Ce mouss ici présent... Viens de tuer votre ami...

Fit il en montrant son sabre...

- Madame, il m'a volé mon sabre pour tuer cet homme innocent et sans défense... Petit merdeux...

Jean frappa le garçon qui s'écroula à terre...

- Non... Non, je ne vous croit pas... Jeté le pauvre homme �  la mer, rendons le la d'où il vien... De la mer, de la nature...

Carole-Anne retira son chapeau de plume et le mit sur son coeur en regardant Edward jeter �  l'eau, la femme ne pleura point, car elle �  apprit �  ne plus pleurer les mort...

- Nous tirerons trois coup de cannons quand nous serons repartit mes ami...

Sur ce mot... Ce mot, ami... Il y avait un ton amère, elle fixai Jean... Elle avait un doute... cet homme n'était pas claire... "Gracius" était toujours �  terre et Rhéléna savait que ce n'était pas lui... Trop doux et... Incapable de faire du mal...

- Jean... Venez avec moi sur le manowar... C'est un ordre...

- Non madame!


Von Hardenberg se retourna, net. Elle qui étai déj�  face �  l'échelle fusilla "John"... ce dernier savait que c'était perdu pour la mutinerie... Enfin... Non, il y avait toujours moyen de tuer la femme au cheveux roux et de lui voler son navire... En plus, ça fera peut-être plaisir a l'autre femme capitaine de se débarrasser de cette parasite de tribade...

- Vous allez monter avec moi!... Tout de suite! Passé premier, je vous rejoins!

Poussant un grognement, l'homme s'exécuta, le femme, elle resta sur le pont, passant un message �  son équipage ...

- Bon... Peu importe celui qui a tué Edward, je sais que c'est jean?... N'es ce pas?...

Aucun bruit ne se fit entendre... Personne n'osa lever la voix, ils avaient trop peur du mutineur...

- Bien... Ce n'est pas grave... Mais... Messieur... Préparez vous �  l'abordage, mais ne touchez en aucun cas a la fille... Es ce bien claire?...

Tous firent un oui de la tête, mais restaient tous muet comme une carpe...

- Avant de s'en prendre au galion... On s'en prendra aux français, je ne veux point qu'ils touchent �  mon trésor en danger de mort... La femme...

Sur ses parole, la femme s'était déj�  retournée, �  l'échelle, elle rejoins Jean déj�  sur le pont du manowar, grognant toujours contre sa capitaine...

- Bien... Allons voir cette Penia... Je ne comprend vraiment pas pourquoi elle se vend la pauvre... Si j'ai bien comprit... C'est elle qui a tué la fille du... Gouverneur?...

- elle vous plaît, c'est pour cela que vous êtes ici?...

- Ta gueule Jean!... Tu sais très bien que les francais recherche activement les femme comme moi... Et je sais que tu as tout a fait deviné mon secret... Je ne le ferait pas mais... Je devrait t'éliminer pour ça!...


Carole-Anne parlait avec un ton sec et agressif �  l'homme, elle sorti son épée et regarda la bien étrange scène qui se tramai entre les français et Penia...
"Bon dieu quel beautée"... Pensa la femme... Elle étai totalemnt... Béguine...

(waw... J'ai de l'inspi moi^^)  
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Penia
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« Répondre #22 le: 09 Août 2007 à 13:58:53 »

Tout se passe vite, autant dans ma tête que dans les faits. Je dois donner la réponse qui va convenir �  tous, sans pour autant dire la vérité. J’ai quand même mon honneur de pirate et leur faire voir que je suis un être frivole devant les beaux vêtements, risque de me causer de la riser.

- Pour répondre �  votre question, oui, j’ai volée une robe. Elle appartient �  la fille d’un gouverneur Français. Lorsque je fis une courte escale dans le port, je me suis rendue faire quelques achats pour des vivres, je suis passer près de la boutique d’un marchand de tissus et je l’ai vue, cette robe sertie sur son corsage de diamant et brodé d’or, la soie est d’un blanc plus que blanc, le voile est brodé �  même un diadème,  elle devait servire pour le mariage de la fille du gouverneur. Rien de moins, rien de plus.

Je reprend un peu de mon souffle et je balance tout bonnement :

- Je l’ai prise pour la vendre en de meilleur marché, j’attends, je ne suis pas presser de m’en départir. Elle est cachée et personne d’autre que moi la trouvera, et je ne le dirai jamais, même sous la torture.

Cette robe est la perle blanche sur un océan noir, je naviguerais des mois et des mois, et même pour l’éternité, mais elle m’appartient et elle reste �  moi. Mes compagnons d’infortune ne doivent pas savoir que je suis la plus coquette des pirates. Et je souhaite que par une nuit, des présages en ma faveur m’ouvre le chemin, je ne resterais pas pauvre et j’aurais ma maison bourgeoise et mes belles robes. Sauf que, des cauchemars hantent mes rêves de richesse et de gloire. Toujours prise entre le bien et le mal. Rien de plus grand que l’océan, veuillez ne pas le croire, ma soif d’or et d’argent est encore plus grande.

Ma prochaine étape,  est de m’enfuire, sans les Français �  mes trousses. Nous ne pouvions pas voir le deuxièeme bateau, mais il est l� , tout près de nous. Le prédateur approche sa victime et nous sommes tous dans la même chasse. Les équipages des différents navires s’actives, en silence et furtivement. Tout d’un coup, la capitaine, dans son langage des jours sombres, hurle, elle s’élance même sur son navire, je ne comprend pas tellement le fait, mais c’est peut-être sa façon de prévenir ses hommes qu’il y aura de la bagarre. Les miens restent calme, comme je le désire.

HE HO LES FRANÇAIS, JE VOUS DIS QUE LA FILLE N’EST PAS SUR MON BATEAU, ENCORE MOINS DES ROBES, NOUS L’AVONS LAISSER SUR UNE ÎLE, FAITE COMME BON VOUS SEMBLE, MAIS JE N’AI RIEN POUR VOUS. ET DEPUIS QUAND LA MARINE FRANCAISE PAIE SES HOMMES POUR…. CHERCHER DES ROBES…

La tentation est trop forte, je nargue. J’éclate de rire et mes matelos en font autant. Jouons le jeu, ne pas laisser les Français croirent que nous avons ce qu’ils cherchent.
 
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« Répondre #23 le: 09 Août 2007 à 16:00:30 »

Le capitaine ria et pointa son pistolet sur Penia, il tendit son autre main. Il parla d'une voix calme.

- Donnez moi cette robe!! j'ai tous ce que je veux ici! la personne dotn je suis payé pour la ramené est la voleuse, c'est vous! Vous pensez que vos hommes vont accepté de mourir pour un plaisir que n'ets que votre et qu'ils ne peuvent avoir. Votre égoisme vous a mise au bord d'une falaise et vous pouvez que sauter.

Tout les marins étaient tendus. Seth posa ses deux mains sur les poignes de ses cimeterres et se glissa entre un groupe de marin potientellement ennemi.
Le vent se calme lègérement.

L'énorme deux ponts vira de babord et réduisi la toile pour afin d'attendre le bon moment.


- Ne soyez pas égoïste, ne donnez pas la vie de vos marins pour une robe!!
Jamais vous en direz où elle se trouves docn personne ne la trouvera. si elle ne doit pas être �  sa vrai propriétaire elle sera perdu. le capitaine arme le chien de son pistyolet, il était tendu.  
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« Répondre #24 le: 09 Août 2007 à 16:23:48 »

Carole-Anne, avec colère et impuissance assistai au triste spectacle se produisant sur le pont, le capitaine menaçai la femme... "Devrai je dire mon secret pour que ces maraud de francai s'occupe de moi au lieu de cette femme?... Elle pourrait alors s'enfuir sans problème" ... Pensa "Mad Ethel" avec inquiétude ... La femme leva son épée comme pour passer �  l'assaut mais quel guêpe l'eut piqué!?... Serait elle folle... Si elle dévoile son secret, la femme pourrait s'en sortir vivante... Mais elle peut-être pas... Tendis que si elle fait rien... C'est la mort assuré pour cette sirène ... Maudit soit ce jour...

D'un pas volontaire et décidé, Rhéléna alias Carole-Anne, s'avança vers le capitaine Français...

- Monsieur... Puis je vous permettre de vous interrompre... Mais cette femme y est pour rien!... Cette robe vient de moi, je lui ait offert pour... Pour... heum... comme ça... Cette robe ne s'est jamais trouver au main d'un père gouverneur, ni de sa fille d'ailleurs... Si vous voulez vous en prendre �  quelqu'un... C'est �  moi qu'il faut s'y prendre... Pas �  cette pauvre femme...

Sur le gaillard arrière, Jean riait, un rire gras et méchant... Souriant en coin, Rhéléna est en danger... Personne ne lui viendra en aide... Parfais pour lui prendre sa place de capitaine... Oui... Tête brûlée, elle ne s'en sortira point vivante de cette affaire...
Jetant un léger coup d'oeil �  bâbord, le sloop toujours présent et ses occupant, sabre, poignard en main attendirent avec impatience non pas les ordres de Carole-Anne mais... De Jean...

Pendant ce temps, que Rhéléna tentai désespérément de sortir Penia d'une sale affaire, risquant sa vie pour une autre, le calme c'était abattu sur le navire... Un calme qui donnai une pression intenable, le stress gagnai le coeur de tout les marins présent... Sauf pour les plus courageux qui attendaient avec impatience la goutte qui allai faire déborder le vase... Carole-Anne fusilla le capitaine en attendant une réponse, mais une réponse bien mauvaise dont tout le monde s'y attendraient, son chapeau �  plume de paon toujours pas remis sur sa tête...  
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« Répondre #25 le: 09 Août 2007 à 16:28:59 »

- Vous mentez ma chère. Elle vient de me dire le crontraire il y a un instant. et de plus je pense pas qu'un gouverneur irait chercher des corsaires pour une robe offerte, et j'insiste biens ru ce point.
Je suis pas icid e bonté de coeur, c'est l'argent qui m'interesse alros ua moins que vous avez mieux �  me proposer je devrais revenir avec la robe, et la personne responsable de tout cela pour y gagner encore plus.
Je ne veux pas que du sang coule ici pour le plaisir égoïste d'une femme. Alros soit je vous considère comme complice et vous êtres mon ennemi, soti je vous considère comme ennemi pour avoir la robe, mais cela est faux. soit comme une alliée qui m'aiderez �  avoir la robe soit comme une folle.
choississez votre camp.  
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Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã�  dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
totofqc
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« Répondre #26 le: 11 Août 2007 à 14:55:43 »

la tournure des evenements ne plaisais pas du tout au capitaine de Notterrach.
(esque la belle est vraiment une voleuse......esque ca vos la peine de mettre en jeux la vie de mon equipage...merde....)
-Mademoiselle,les francais veulent de l,or et votre bateau regorge de pillage,pourquoi ne pas leurs donnee ce qu'ils veulent.....
la belle me regarde avec des yeux en furie.
(Pas sur qu'elle est envie de partager quoi que ce soit avec ces francais de malheur)
Mon equipage se tiens pret mais mon second , couille de loup commence a avoir le regard fuyant,ca va mal mais homme attende mes ordres et je ne sais pas quoi leurs dire.
-alors mademoiselle quesque vous decider......  
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Elisa
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« Répondre #27 le: 11 Août 2007 à 17:08:22 »

Rhéléna ne dit rien, elle se contentait de fusilier du regard le français, son mensonge n'avait point marché, que faire... Persévéré, offrir sa vie pour celle de la femme?... "L'amour rend t il fou?" pensa la jeune femme... "Oui, peut-être... Mais que pense-je! Moi amoureuse, non!"... La jeune femme se ressaisi, fixant le français de son regard le plus noir...

- Je vous demande pardon, mais ce n'es guerre moi la menteuse mais cette femme... Elle, elle se met dans des situation impossible la petite...

Carole-Anne remit son chapeau aux grande plumes de paon sur sa crinières rouse... Elle en profita de se coller a Penia, elles deux étaient cote �  cote, tenant leur sabre le plus fort qu'elles l'auraient pu... Rhéléna ne savait pas si la femme �  ses coté appréciait sa présence presque corps a corps, mais en tout cas, c'était une bonne occasion pour... Se rapprocher encore plus d'elle... Et pourquoi pas rendre jaloux Trystan...

- Monsieur, jamais je ne m'allierai a la couronne française et retenez le bien... Car je ne le répéterai pas... Alors laissé cette fille, elle n'est pour rien, elle doit encore être immature pour dire de tel idioties, cherchez l'aventure peu coûter cher et, non moi, mais quelqu'un qui m'étais cher en ma personne est morte en faisant ces même connerie... Je ne vous dit que la vérité capitaine... Je suis l'unique responsable de ce qu'il se passe ici...

Rhéléna sourit, un sourire nerveux et de désespoir... Cet homme connaissait il sa véritable identité?... Connaissait il son passé?... Tan de question traversait l'esprit de la jeune femme... Rhéléna... Alias Carole-Anne Del Pero...

- Arrêtez de me regardez ainsi vous!...

Aboya la fille au capitaine de Notterrach...

- Vous m'agacez... Jean?!...

Carole-Anne se retourna...

- Jean! Viens j'aurai besoin de toi... Appelle quelque hommes d'équipage...

- Pffff...


- Putain! tu y va ou merde!?... Ou tu veux que j'achève ce que j'ai commencé? ... Je peu toujours t'expédier en enfer!...

L'homme regarda le femme, aboyant avec folie et colère contre sa personne, c'était le bon moment pour se mutiner... A moins que non... Laissons Carole-Anne piller le galion et le manowar, aussi suicidaire que cela puisse être... Elle moura... Et si elle survit, il tuera la femme pour pouvoir s'emparer du butin a sa place...

- Bien madame...

Grogna "John"... Ainsi, il s'exécuta, appelant les quelque meilleur marins du vieux sloop qui flottai encore que par habitude. La petite poignée d'équipage montèrent, sabre, dague et tout autre armes en bouche... Rhéléna avait elle un plant?... Allait elle dévoiler son secret si les chose tournai mal?...
La femme lança un dernier regard nerveux �  Seth... Tout se collant encore plus �  Penia... Elle se vendait, sans s'en rendre compte... Elle faisait une terrible bêtise en essayant de séduire la femme devant tan de monde...  
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Penia
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« Répondre #28 le: 14 Août 2007 à 10:17:35 »

Avec quelques plumes de paon qui me flotte dans le visage, je sens la femme prendre la place. Et le discours du représentant Français, ne me dis rien. Il désire de l’argent. Nous en désirons tous, autant nous faire moine pour faire vœux de pauvreté. Mais tel n’est pas notre cas.

- De l’argent !

Je réplique, en prononçant un peu plus sur le mot argent…

- Je dois vous dire que mon équipage est prêt �  mourir pour moi et moi de même. Restons calme, voyez dans quel pétrin nous sommes tous. Votre bateau, accrocher au mien, le mien �  celui de la dame et elle, accrocher au Manowar. Si l’un de nous essaie de lancer les boulets sur les autres, nous finirons par tous couler. Je suis certaine que, vous ne désirez pas la mort de vos hommes, pas plus que moi je désire voir les miens morts.

Je regarde le capitaine du Manowar.  Cherchant �  lui faire comprendre que nous devons faire plus, que de donnez ce que le Capitaine Français demande.

- Sire Notterrach, votre invitation sur votre navire tient toujours ? Quoique nous y sommes déj� , pourriez pas faire invitation auprès du Capitaine Français, nous pourrions prendre un repas et boire un coup, tout en négociant comment nous allons faire pour nous sortir de ce bourbier. Autant certaine qu’il ne refusera pas.

En fixant mes yeux sur lui, je relance la demande.

- Nous ne savons pas votre nom, si nous devons tous mourir aujourd’hui, serez bien de savoir par qui. Et au lieu de faire grabuge, prenons le temps de voir ce que nous pouvons tiré de tout ceci, sans perdre, sans mettre �  mort tout le monde. Accepter de venir vous asseoir avec nous, j’insiste. Je baisse mes armes, vous les votres et le cuistot du Capitaine Notterrach nous fera un repas digne de votre rang.

Ma main touche celle de la femme, sans que personne ne voit, j’espère qu’elle restera calme la FURIE, dans ma tête, je me dis que nous ne devons faire aucun sacrifice. Usons de notre intelligence. Elle doit se calmer, elle est encore plus terrible que les tempêtes des caraïbes la donzelle. Et moi qui croyais faire partie des pires… Y’a pire que moi….

- Pour faire preuve de ma bonne foi, je vous demande de prendre place �  la table près de moi, vous pourrez surveillez mes moindres gestes.

Je m’élance vers lui, sans provocation, je guette tout de même les réactions des autres, nous devons obligatoirement désamorcé la bombe, quatre navires accoster ensemble, est un risque en cas de bataille.

   
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Elisa
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« Répondre #29 le: 15 Août 2007 à 16:31:56 »

Quand Rhéléna senti, la main de Penia se poser sur la sienne, elle ferma les yeux et ne dit plus rien, ainsi que le néant traversait son esprit, puis elle souriait, un sourire qui pouvait la trahir elle et... Penia...

- Vous voulez de l'argent?... Mais pourquoi donc?... N'es te vous pas heureux de votre carrière, vous voulez un supplément, c'est cela mon cher?...

Ainsi, Carole-Anne en profita pour mètre saisir la main de la femme, elle mit alors sa paume contre la sienne et la serra très fort...

- Vous savez... Ma chère Penia...

Murmura Rhéléna toujours tenant la main de la femme, elle prit une voix anxieuse et nerveuse...

- En aucun cas, je ne laisserai cet homme vous faire du mal... Certainement pas à vous...

En s'approchant encore plus de l'oreille de la femme, sa voix tremblante...

- Je leurs délivrai ma véritable identité ... Et oui, je ne m'appelle pas Rhéléna von Hardenberg... Ce n'est qu'un vulgaire nom pour cacher ma véritable identité ... Mise a prix par les Français...

Carole-Anne lui fit un clin d'oeil, dans son coin, Jean, quand �  lui, regardai la scène d'un air amusé, la catastrophe allai être inévitable du par le faite de la non Prudence de sa capitaine... Mais... Quand il vit Carole-Anne saisir la main de la fille, il cracha �  terre par méprit.

- Qu'elles aient au diable toute les deux...

Les quelque hommes précédant "John", regardai également la scène mais... Beaucoup moins amusé et bien plus tendu que la plupart des personne présente sur le manowar, un matelo mort de trouille, rongeai ses ongles.

- Ne voulez vous pas un... Pour parler mon capitaine?...

S'écria Rhéléna au capitaine Français...  
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