l'invasion caraà¯be

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sous la douce lumière d'un quart de lune, s'avancait un horde proa de taille toute diffèrente. dedans ramant avec discretion se tient une énorme troup de Caraïbe. Pas un bruit chez eux juste le bruit d'un vent frai gonflant les voiles et des rames percant la couche de la mer calme et lègérement ondulée par le vent nord nord est.
Le ciel d'un dégradé bleu marin �  bleu argenté était couvert de lèger nuage sombre et lourd. La mer recevait les reflets argentées de la Lune et du ciel. au loin devant la ligne d'horizon une longue tache sombre s'agrandissait �  vue d'oeil. Il s'agissait d'Anguilla.
les caraîbes bien décidé �  reprendre leur île aux mains des visage pale! ces êtres cruels qui se battent entre eux comme si le sang des indiens ne leur suffisait pas �  calmer leur soif de sang
sans un bruit les indiens arrivèrent vers une plage très peu connue. Ils accostèrent sans bruit ni un temoin, juste les oiseaux noctanbule qui sèccèrent de chanter pour observer dans un silence l'activité humaine

ps: à suivre dans l'île d'Anguilla  

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Après l'invasion d'Anguilla, une partie des caraïbes partir vers Antigua.
L'art de la rapidité de leur proas leur permettrait d'arriver �  cette île en moins d'une journée.
En même temps un peu plus Nord, mais aussi avec la flotte caraïbe, une troupe d'indien Bravos, allait vers Antigua.
La flotte quittèrent leur positions au couché du soleil. La mer et le ciel jaune orangé, était plate pas de vent, calme plat. Celle la force des bras pouvait faire avancer des bateaux, or les avirons sont inexistant sur des gros bateaux. Les petits navire pouvait tenter de ce servir de leur voile pour gagner avec les rares brises, un peu de vitesse.
Les rames percaient la surface de l'eau de manière rythmique, la flotte s'avancait surement.