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Auteur Fil de discussion: Un ilà´t apparement désert  (Lu 8850 fois)
Guyde
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« le: 03 Septembre 2007 à 13:00:33 »

L'ilot du vieil arbre semblait déser vu du large en ce matin brumeux. Il était encore tôt et de l'Or Félin on apercevait que les côtes et la silhouette de la végétation. Les cartes maritimes, que Guyde avait acquis �  grand frais �  Grenade avant de quiter l'Europe, indiquaient que cet ilôt disposait d'une source d'eau douce, or cela faisait deux jours que les hommes en étaient réduis �  boire de l'eau de mer après l'avoir ébouillantée, ou même, pour certains, leur urine.
Sur le gaillard d'avant, Guyde observait l'ilôt �  la lunette. Plusieurs hommes tordus par la soif tentaient vainement de perçer le brouillard afin d'apercevoir cette eau. Sangredios, le quartier-maître vint voir Guyde:
"Capitaine, les hommes crèvent de soif, il fait assez jour maintenant pour envoyer une chaloupe, alors qu'attendons-nous?
"Hum, je préfèrerais attendre un peu afin que l'on distingue mieux ce qui se passe sur l'île..."
"Mais voyons capitaine, nous n'allons pas l'envahir, juste prendre de l'eau qui nous est absolument nécessaire. Les hommes ont si soif qu'il va être dur de les retenir..."
"Oui, tu as raison. Fais préparer les chaloupes et essaye de faire durer, je n'aimeris pas aller sur cette île avant de l'avoir un peu étudié de loin".

Mais sitôt les ordres donnés, les hommes s'agitèrent comme des damnés et les tonneuax furent chargés et arimés aux canots en un tmps record. De plus, un très grand nombre de volontaires voulaient participer �  l'expédition.
"Capitain, il va être compliqué de les faire attendre..."
"Bon sang! Et bien allons-y, nous verrons bien sur place. Sélectionne moi les plus en forme, tu prendras le commandement ici penant que je serais sur l'île. Mets des hommes �  la bordée tribord, on ne sait jamais, vous aurez peut-être �  nous couvrir..."

Rapidement, les hommes �  bout de force propulsèrent les chaloupes vers le rivage que l'on aperevait. Le brouillard se levait rapidement et dans quelques heures la chaleur serait harassante, il fallait absolument ramener de l'eau...
 
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Guyde
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« Répondre #1 le: 16 Septembre 2007 à 19:35:11 »

Les trois canots se dirigeaient lentement vers l'îlot, surchargés de tonneaux vides, si bien qu'ils embarquaient beaucoup d'eau malgrès la mer calme.

Arrivés sur la plage, les hommes exténués soufflèrent quelques minutes. Puis le capitaine envoya cinq duos d'éclaireurs �  la recherche d'une source, pendant que le reste des rameurs installaient un petit bivouac. Au bout de vingt minutes un éclaireur revint en disant qu'il avait trouvé un petit ruisseau d'eau douce qui se jettait dans la mer. Deux hommes restèrent garder les chaloupes et les autres se dirigèrent cahin cahan vers le ruisseau avec les tonneaux, en longant la plage.
 
Arrivés au ruisseau les hommes s'y jettèrent et se désaltérèrent tout leur saoul.
Cependant, tout �  coup un coup de feu retentit dans la forêt vierge qui recouvrait l'île. Les hommes affolés commencèrent �  remplir les tonneaux pendant que Guyde et trois hommes montaient la garde et qu'un autre courut jusqu'aux chaloupes pour aller voir si les autres éclaireurs étaient revenus au bivouac, afin de rapporter des nouvelles.
 
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Guyde
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« Répondre #2 le: 17 Septembre 2007 à 13:47:08 »

   Vingt minutes plus tard, l'homme envoyé aux chaloupes revint essouflé et annonça que presque tous les éclaireurs étaient revenus sauf un groupe de deux hommes qui s'était enfoncé dans la forêt recouvrant l'^lot. Guyde se tourna alors vers les hommes qui, groupés autour du ruisseau et des tonneaux qui n'étaient pas encore pleins s'adressa �  ses hommes:

"Messieurs, deux de nos compagnons sont peut-être en danger ou mort, ne nous pouvons les laisser seuls dans cette forêt si elle est hostile. Nous avons assez d'eau pour rallier un port si le vent ne nous laisse pas tomber. aussi certains d'entre vous vont rentrer au navire avec les tonneaux pleins, tandis que des volontaires vont m'accompagner �  la recherche de nos compagnons. Cette forêt est petite mais touffue, aussi il nous faudra être sur nos gardes. Allons en route maintenant, que ceux qui le veulent m'accompagne �  la recherche de nos frères."

Sur ces mots, guyde dégaina son pistolet et, tout en le chargeant, s'enfonça dans la forêt dans la direction approximative du coup de feu entendu trente minutes auparavant, suivi par quatre hommes serrant convulsivement leur mousquet, tandis que les autres ralliaient les chaloupe en faisant rouller les tonneaux.
Les cinq hommes s'enfonçaient dans la forêt, celle-ci était si dense qu'une continuelle pénombre entourait les valeureux pirates. Seules, parfois, quelques épées de lumières traversaient la frondaison des arbres pour éclairer le sol d'un rayon de lumière semblant un doigt de Dieu. Les cinq hommes étaient nerveux. Le silence qui régnait dans la forêt semblait irréel, aucun son ne venait troubler le bruit le bruit léger du souffle du vent dans les hautes futaies.
Soudain, ils découvrirent le corp ensanglanté d'un de leur compagnon, celui-ci avait la tête presque arrachée du corps et une très profonde et longue entaille dans le dos. Un peu plus loin, ils aperçurent le corps de leur deuxième compagnon, transpercé par une longue lance entièrement en bois. Le sang de ces hommes innondait le sol de cette vieille forêt et inspira �  Guyde un profond sentiment de souillure. Les cinq hommes ramassèrent les corps de leurs compagnons et, la tête basse, ils retournèrent vers la plage où ils avaient débarqués. Guyde ne voulait pas chercher vengeance, cette forêt était trop touffue et ténébreuse pour espérer surprendre ou dénicher un guerrier qui avait réussi �  surprendre deux des meilleurs éclaireurs de l'équiage.
En route, ils se sentaient épiés, mais, �  chaque fois qu'ils se retournaient en espérant trouver une paire d'yeux ils ne voyaient rien d'autre que la sombre forêt et les gouttelettes de sang laissées par le cadavres de leurs compagnons qu'ils ramenaient. Tout �  coup, alors qu'ils n'apercevaient pas encore la lumière de la plage, ils entendirent un coup de canon. Courant alors vers la plage, au risque de trébucher sur une racine, ils atteignirent rapidement la plage où les attendait la dernière chaloupe de l'Or Félin. Aux vergues du navires étaient fixés des pavillos de communication:
"Navire en vue".
Alors que ses compagnon pénaient sur les avirons, Guyde se demandait quel pouvait être le navire qui approchait �  l'horizon et qui avait inquiété Sangredios au point qu'il tire un coup d'alarme.
 
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Guyde
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« Répondre #3 le: 11 Octobre 2007 à 01:56:11 »

Les chaloupes avaient été remontées sur le pont du brick et Guyde se tenait sur le château arrière observant �  la longue-vue l'approche du navire inconnu qui avait alarmé Sangredios. Pendant que Des Scaliburno, le second de l'Or Félin, donnait les ordres nécessaires �  l'appareillage, et que Sangredios �  la barre faisait tout ce qu'il pouvait pour faciliter la manoeuvre en contribuant �  mettre l'Or Félin dans le vent, Guyde étudiait les lignes de la coque du navire qui inlassablement approchait.
Ancien ingénieur naval, Guyde pouvait rapidement se faire une idée juste sur les qualités, défauts et armement d'un navire. En l'espèce, il semblait bien que le navire approchant était un navire de guerre, �  priori une petite frégate bien armée. LE fait que le navire n'arborait aucun pavillon n'était pas pour réconforter le capitaine de l'Or Félin. Même les pirates n'agissaient pas de la sorte.
Toutefois, Guyde s'aperçut que la frégate évoluait sans doute avec un mat de misaine de fortune, ce qui devrait permettre au brick de pouvoir l'observer de loin et de fuir en cas de problème.

L'or Félin voguait désormais tous les sabords ouverts et sous pavillon français, dans la même sens que la frégate, montrant sa poupe �  la proue de la frégate qui, de minutes en minutes, se faisait plus menaçante. Les voiles de l'Or Félin n'étaient pas toutes déployées. Guyde voulait se laisser rattraper pour savoir de quoi il retournait, et fuir en larguant toutes les voiles en cas de problème.
Bientôt la frégate fut assez proche pour que Guyde se fasse une idée de la situation, elle semblait assez amochée, mais encore suffisamment forte pour réduire l'Or Félin en petit bois. Guyde n'arrivait pas �  déterminer quels étaient les marins qui la manoeuvraient, pirates, soldats, ou pire... Toutefois, dès que les canons de chasse de la frégate ouvrirent le feu et que deux gerbes d'eau encadrèrent la poupe de l'Or Félin, Guyde décida qu'il n'était pas d'humeur �  faire la lumière sur ce mystère et fit larguer toutes les voiles, en espérant que cela suffirait �  semer le navire de guerre.
Mais la frégate lança la chasse. Bientôt les ordres pleuvaient du château arrière de l’Or Félin pour que le navire sorte de la ligne de tir de la frégate. Les hommes peinaient sur les boots et dans la voilure pour permettre �  l’Or Félin de se mettre rapidement en vent arrière afin d’échapper �  son poursuivant. Cependant l’équipage de la frégate en l’entendait pas ainsi. Les deux équipages se livraient une véritable course de rapidité, le premier navire �  manœuvrer pourrait semer l’autre
 
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Guyde
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« Répondre #4 le: 13 Octobre 2007 à 02:43:41 »

L'Or Félin tenta de virer de bord pour prendre un peu de distance et pouvoir se mettre en vent arrière, Mais le brick était un navire �  voiles carrées, il ne pouvait facilement virer de bord, il lui fallait éxécuter une manoeuvre complexe consistant �  effectuer une rotation de près de 300 dégrés, ce qui pouvait prendre beaucoup de temps. Guyde espérait que son équipage parviendrait tout de même �  surpasser celui de la frégatte. A la barre Sangredios faisait son possible pour faciliter la manoeuvre, mais il ne comprenait pas ce que tentait son capitaine:

"Captaine, on risque de se trouver �  portée de leurs canons si nous ne virons pas rapidement!"

"Je le sais bien bougre d'âne, mais si nous virons avant qu'ils ne soient sur nous, nous pourrons prendre suffisement le large pour nous mettre en vent arrière et fuir tranquillement, ce brick est sans doute le navire le plus rapide de l'océan sous cette amure. Alors au lieu de geindre comme une bonne femme, fais ton travail comme un homme!"

Le brick virait sec, le pont était plus penché que le toit d'une église. S'agrippant �  un hauban, Guyde voulait braquer sa lunette sur la frégate. Mais ce qu'il vit le fit frissonner, la frégate, malgrès ses avaries, gagnaent très rapidement sur le brick, et sans doute serait-elle �  portée avant que le navire pirate ne puisse s'éclipser.

"Foutre dieu! Cannoniers �  vos pièces, que le diable guide vos gestes! Messieurs je sais que la peur noue les tripes de nombre d'entre nous, mais nous n'avons affaire qu'�  un navire endommagé, sans doute ne pourront-ils pas mettre en batterie toutes leurs pièces, nous ne sommes pas finis et si nous faisons front votre courage ne sera pas vain, il ne sera pas dit que l'Or Félin tomba entre les pattes de quelque frégate mal en point! Hardi mes frères, montrons �  ces larves ce qu'il en coûte de nous chercher noise. Chargez la batterie babord �  boulets ramés, visez haut, il faut éviter qu'il puisse nous poursuivre plus longtemps!"

L'Or Félin allait terminer sa manoeuvre, mais la frégate avait elle aussi viré de bord et était presque �  portée. Les deux navire allaient bientôt se retrouver parallèles et leurs bouches �  feu cracheraient la mort...
La puissance de feu de la frégate risquait de réduire le frêle brick en miette, toutefois Guyde espérait que ce navire inconnu n'était pas servi par d'habiles cannoniers.
 
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« Répondre #5 le: 13 Octobre 2007 à 12:44:35 »

Les deux navries se trouvèrent bord contre bord, la frègate en partie endommagé fit surgir de ses sabords vingt deux pièces de 18.

Les bouche �  feux sombre et froide comme le regard avant la mort fixèrent le navire.

dans les deux navires la tension était �  son comble. Le vent était de bon près les navires n'avancaient plus vraiment, leur étrave percait une mer lègérement agité.

Sru les tillacs les marins cherchaient surtout un endroit où se cacher.

De Guyde puis voir le maitre cannonier ennemi hurler.

Le calem puis soudain une tempete de bruit, les sevants de pièces abatirent leur mèches et firent hurler les canons, ils devinrent sourd un moment, mais ils savaient quoi faire pas besoin du son de la voix du chef de pièce.

La plui de bille de plomb s'abatti sur le navrie du pirate, l'entrepont fur percer comme une toile, les servants de pièces furent presque tous tués. Leur chair volée, emportés par les billes de bois, les morceaux de bois volèrent dans totu els sens, se plantant dans la peau des marins déj�  mort. l'entrepont fut couvert de cadavres et de visères.

Les servants de pièces en, vie virent avec horreur leur camarade mort, certain purent se ressèsir et allumèrent leur canons qui cracha son projecil qui allait se brisser �  son tour dans la coque de la frèagte, expédiant des morceaux de baux partout. Certain boulet plein traverèrent la coque et s'écrasèrent dans l'entrepont. La plupart de sservant de pièce de la frègate ne s'en rendirent pas conte, devenu sourd par le bruit de tonerre et aveugle par la fumée blanche de la poudre. Ils découvrient leur matelot déchictés en morceau, et des canons dètruit des futs de métal par terre et des socles en bois brissaient.

comme tout tir de cannonade bord contre bord les deux navires étaient dans un triste état. Mais le brick était dans un meilleur état que la frègate, certe smais son équipage était massacré, une grande parti de l'entrepont était détruit et ne servait plus de protection.

Une second volée de mitraille de leur ennemi et adieu les servants de pièce, et pour rendre la chose plus dur, le manque de servant de pièce allait faire que de Guyde aurait une cadence de tir largement infèrieur �  son ennemi.
Sa seule chance la fuite: sous sa bordée le mat d'artimont de la frègate fut tranché.
Les matelots s'activaient �  couper les haubans et tout les cordages comme les écoutes et les étais afin d'éviter que le mat ne sombre sur celui de devant.
 
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Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã�  dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
Guyde
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« Répondre #6 le: 22 Novembre 2007 à 15:02:44 »

Guyde sous le choc du massacre mit quelques secondes �  se ressaisir, le pont était rouge du sang de ses compagnons que le sable étalait sur le pont buvait avidement.
Sangredios, le quartier-maître, qui se trouvait �  la barre, conformément �  son poste, hurla au-dessus du massacre:

"Capitaine il faut nous dégager, ils vont nous massacrer!"
Entendant Sangredios comme �  travers de l'eau, Guyde se secoua et dissipa le brouillard qui obscurciçait son esprit:
"T'as raison! La barre �  tribord toute! Abandonnez les canons, tout le monde �  la manoeuvre, larguez toutes nos voiles!"
Se tournant vers un jeune homme, ancien enseigne de Sa Majesté, Guyde le saisit au col:
"Garçon, prends trois hommes et balancez par dessus bord tout les poids morts dont nous n'avons pas l'utilité, il faut alléger le navire!"

Des coups de feu venaient de la frégatte et ricochaient sur les bords du brick. Les tireurs ennemis avaient peu de chance de faire mouche, l'espace entre les navire était légèrement obscurci par la fumée des deux bordées que le vent rabattait sur la frégatte. 
Ayant l'avantage du vent le brick commença �  se dégager et �  s'éloigner. Quelques canons de la frégatte firent feu �  l'aveugle, un boulet fit mouche dans la poupe du brick, dévastant les cabines arrières. Mais le brick réussi �  manoeuvrer et �  prendre le large, tandis que la frégatte grièvement endommagée essayait, sans y parvenir, de lui donner la chasse.


Edit: toujours divin ce de Guyde voici une bataille que j'aime plein de surpris et sans grobillisme où le joueur peut d'admettre vaincu + 1 de karma
Scar
 
« Dernière édition: 22 Novembre 2007 à 18:10:26 par scar »
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OprisCorvicus
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« Répondre #7 le: 10 Décembre 2007 à 10:34:13 »

Non de dieu! Vous entendez cela? L'on dirait des coup de cannon... Allez !doucement la barre �  tribord sur 15 degré . alons voir ce qui se passe. Restez hors de distance de feu et garder les voile bien tendu. Nous avons de la chance le vent joue en notre faveur.

Devons nous présenter l'étendard Capitaine?

Non Pour l'instant rien.

Ca y est Capitaine j'apercois le navire.<Armando à la vigie>

Je veux une description précise. Dès que vous pourrez voir plus de détails<Je sors ma longue vue. Une Frégate!>

Il semble que ce soit une Frégate. Avec l'étendard...Je n'arrive pas �  voir l'étendard de la frégate

Et cette fois Armando nous ne leur laisserons pas la chance de voir le notre. À Babord toute. Allez du nerd! Nous devons éviter le visuel. Si nous avons de la chance il ne nous ont pas encore apercu. Nous attendrons la nuit pour agir.

   
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