Les voyages de Seth

[scar]

afin de pouvoir continuer mon rp je laisse en plan ce cher Eric... (peut être une autre fois) et je continue.

Le cotre avait repris sa course, le tanguage du navire avait disparu avec la vitesse aquise.
Il n'y avait rien �  faire, il profitait d'un vent favoriable. Le capitaine demanda �  ce que l'on borde l'armure du grand hunier. Seth sur le tillac veillé �  la manoeuvre.

Le capitaine était déscendau prendre du repos, il passa le caïbotti et observa les marins qui lui servaient. Ce n'était pas un grand équipage, tant sur le nombre que les manières. Les blessés avachis dans leur banle somnelaient, certain saluèrent le capitaine qui leur rendu par un sourire la politesse. L'un d'entre eux au fond chantait une chanson de manouvre, qui était repris par certain homme comme il fallait, plus par habitude de chanter quand il entendait ces parôles que par envie. Un marin au pied tranché s'iniciait �  la flûte.
Le capitaine regarda scadumore assis sur un tonneaux, face �  un bau et qui avec son couteau tué les pucerons, plus pour tuer le temps que les bêtes.
Ce dernier émis un son non articulé en voyant le capitaine, puis il but un peu et dit.
- Comment va votre bras?
- Assez bien mais je ne peux pas tenir la barre! C'est gênant.
- Vous restez notre capitaine. dit pour conclure le chirurgien qui se laissa tomber du tonneau et continua sa chasse avec non chalance.
L'air était humide et lourd, la lumière venu de la lumière du tillac uniquement, éclairant les quatres premiers mètres de lentrepont puis plongeant le reste dans une semie obscurité.
Le capitaine passa dans le quartier des officiers, leiu plutot ridicul sur ce navire et ouvra les deux sabords de l'étambot, trop petit et trop haut pour acceuilir la bouche d'un canon. Cela apporta un peu plus de lumière et d'air frai.
Le chirurgien souria, l'air devenait irrespirable �  cause de la chaleur, la renouvller n'était pas un mal.

Seth se tenait �  la barre, barrant comme il le fessait dans la mer rouge, une main sur la roue et l'autre �  la hanche le regard au loin défiant la mer. Il porta son attention sur le pont du navire, sans grande activité.

- Paul remplacement moi!
- Ok j'te prend ta place mais tu connais mes talents.
- n'exagères pas trop!
- Oauip! faudrai pas qu'ils vomissent en bas! Coupa Paul, en riant laissant dévoiller ses dents jaune et pourrie par le scorbut. Seth ria aussi et lui taper dans le dos avant d'aller au niveau des haubans.

- On va brasser le rand hunier les gars venait m'aider. Les trois hommes qui briquaient le pont se levèrent et attrapèrent le cordage tendu par Seth, qui monta dans le gréement.
Les marins tirèrent sur le bras de vergue alors que Seth lui donna du mou �  l'armure.

- On va virer lègérement �  environ 4 degrés sur babord!
-mais ca nous éloigne de notre route! Protesta Paul à la barre.
- Dis pas de connerie! 4 degré c'est rien et on va revenir �  notre position demain matin ou se soir!
- alors pourquoi tu fais? DEmanda un des trois hommes entrain de tirer sur la manoeuvre. seth droit sur l'espar se tint �  la drisse et regarda l'horizon, ses cheveux dansaient au vent et sa barbe aussi.

On va avoir un changement d'allure très légèr mais faut pas le perdre!
- OK!! Tenez vous prêt murmura Paul, qui lanca la barre d'un grand coup. Le navire sauta du haut de la crête de la petite vague et s'écrasa, l'étrave et le tribord en premier dans l'eau puis le timonier en riant rectifia la trajectoire. La brigantine suivit le mouvement, ses cordages glissèrent dans les poulies sous le bôme et la voile se placa sous sa manière allure.

seth resta sur la vergue de grand hunier observant la mer remplacant une vigie non présente.
a part le navire fillant du nommé Raphael pas une voile �  l'horizon  

[Eric_le_jeune]

hrp: Désolé Scar de t'avoir ralenti j'ai eu des ..."imprévus"./hrp

*Raphaël avait pris congé de Scar et de l'équipage du cotre. Olaf s'était rapproché de lui en lui faisant remarquer les blessés assez nombreux. Raphaël avait vu mais apparemment Seth et le capitaine n'avait plus besoin de leur aide ils s'étaient alors empressés de retourner aupres de Franz pour lui donner des nouvelles. Après avoir échangé quelques mots d'usages et autres amabilités avec le capitaine et Seth ils réaponterent sur leur navire et apres voir déhalé ils se laissèrent entrainer par les coutants et Raphaël avait continué de regarder la mince voilure du cotre se profiler vers l'horizon et disparaitre au gré du vent. Enfin au moment ou le cotre n'était plus qu'une fine toile blanche il se retourna vers Franz avec un grand sourire:*

_On reprend les recherches!!!!

*Mais il se retourna une derniere fois le regard anxieux vers le cotre qui disparaissait totalement maintenant.*

hrp: voila Scar maintenant je quitte ton fil de discussion je voulais juste partir en bonne et due forme. Encore désolé pour le dérangement /hrp  

[scar]

Le lendemain de la venu de Raphael le capitaine réveilla tout l'équipage avec la clochette d'alerte. Les hommes se levèrent d'un coup, commencant �  se préparer au branle le bas de combat quand leur capitaine descendit et leur dit.

- N'ayez crainte! c'est juste que je demande tout le monde pour élire notre nouveau quartier maitre. Prenez un quotidien que notre coq a préparé sous ma demande!

Cette nouvelle fut bien acceuillit, Seth qui se leva et s'étira dit.
- Pourquoi tant de bonnes intensions? vous voulez être le capitaine et le quartier maitre? Seth le capitaine ria mais le répondit pas.

Les hommes avaient mangés des biscuits sec et bu un gobelet d'eau qui commencait �  devenir croupie puis montirent sur le tillac. Le vent était fort et frai mais la mer calme.
Le capitaine �   la barre appela Jean le barreur, leur meilleur timonier pour le remplacer.

- Tu sais comment ca se passe ce genre d'évènement "l'étrangers" questionna le jeune mousse espagnol.
- aucune idée mais j'ai hate de voir cela. Dit Seth presque �  voxi basse.

Le capitaine, qui avait mis ses meilleurs vêtements pour saluer l'évènement expliqua l'importance du quartier maître �  ce bord et l'importance donc de bien choisir puis il laissa libre au candidature. A l'étonnement de certain Seth ne se présenta pas, étant illètré, il ne préférait se concenter de son poste. Le plus ancien des compagnons de Lefèvre se présenta ainsi qu'un ancien scribe.

les votes eurent lieux et ils donnèrent raison au scribe Quentin Doriani, mais �  la surprise de pas mal de monde le chirurgien obtint trois voix, pourtant non initié �  l'art de la navigation. Seth avait voté pour le scribe car il avait confiance en un homme de lettre pour défendre les matelots sur le droit du navrie et veillait �  ce que le capitaine ne tente rien seul.
Le capitaine fit ouvrir un tonneau de rhum l'un des trois derniers. Tout le monde se rua.
Les timballes de fer, cabossés, furent remplis directement dans le tonneau, la boisson tant convoitée était bu par gorgé rapide. Les hommes avaient tous bu cul sec leur verre même seth qui commenca �  toussotter la gorge en feu, pas abitué �  l'alcool aussi fort.
 
On referma le tonneau et plusieur hommes le descendirent.

Dans combien de jour on met pied à terre capitaine? Demanda Amien, un marin sans grande valeur.
- dans cinqs jours au mieux...

Les cinqs jours se déroulèrent sans soucis, le cotre, filait sur la mer calme sans tempête. "La boussolle" fut tenté par une bisquine qui s'était risqué en mer mais le quartier maître et le second jugea cet acte dangereux. Ils virent une carave de trois navries marchands faire voile vers Hispaniola durant leur voyage.

Puis un jour l'île osa se montrer �  l'horizon, le tajet fut calme et long. Puis le navire fut �  quai.   

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http://forum.ageofseadogs.com/index.php?topic=1839.msg46054#new


   

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Ce fut au bout de deux semaines après cette aventure avec ce dénommé Kevin que les pirates de la "boussole" décidèrent de reprendre la mer.

Le cotre fila sur les mers des caraïbes et en un jour sans soleil, un jour couvert de nuage gris, mais non menaçant, qu'une flûte tomba dans les mains des pirates.

Le bâtiment défendu par seulement trente hommes et quatre canons s'étaient rendu sans se battre, on fouilla les cales et l'on vit qu'il n'avait pas grand chose �  protéger, leur vie valaient plus que cela. Les pirates heureux de ne pas avoir eut �  se battre furent aimable, ce qui étonna les assiégés, on prit les trois barils de teinture indigo.

contrairement �  ce que demanda le quartier maître Quentin, le capitaine refusa de faire juger l'anglais Will Pongs, le remerciant de sa sagesse.

Le cotre quitta le navire, qui repartait assez heureux de sa mésaventure, avec deux hommes en moins qui avaient rejoint les pirates.

Seth regarda les deux recrues.   

* Merde ils parlent pas français ni arabe... évidemment ils sont pas curieux!*
- Toi occupe toi de traduire ce que je vais dire! Ordonna t-il à un des membres de l'équipage parlant anglais.

- Nous vous demandons de faire preuve de courage et de ne pas hésiter dans vos actes!

La conversation continua, Seth regarda du coin de l'oeil, une conversation tout autre, celle des deux puissances du navire, le capitaine et le quartier maitre, sur la dunette. Ce dernier ne semblait pas aimer que son pouvoir soit réduit �  néant

- Ferme la Quentin! Laisser vivre un homme qui c'est laissé faire c'est le moins que l'on puisse faire!
- Et ainsi on ne sera jamais si nous avons laissé un tyran vivre! C'est dans notre charte de juger les capitaines sous notre main.
Thibeaut plongea son regard dans les yeux bleu de Quentin il fit quelque pas vers lui et dit.
- alors toutes lois ne sont pas justes! il faut savoir se montrer humain comme tu le dis!

Plusieurs marins virent la dispute et Quentin préféra y mettre fin, il préférait paraitre faible que de rendre instable les liens entres l'équipage. Il fit un sourire au capitaine et vint prendre la place de Seth et mit fin �  la conversation entre seth et les anglais plus grotesque que serieuse.  

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Le navire voguait sous un ciel bleu azur, les nuages s'étaient vidés sur l'île d'Hispaniola. La mer turquoise illuminée le jour sous un soleil de feu.

Seth s'occupait �  monter sur les haubans en se servant uniquement des enfléchures, suspendu dans le vide se hissant �  la force des bras. Une chute ne serait pas mortelle, le gréement étant assez petit, mais pouvait vous briser la nuque ou le cocsis si par malheur vous tombiez dessus.

Les muscles tendus et contracté, les veines apparaissantes sous la douleur, le visage dur et rouge, seth escaladait pour la deuxième fois les haubans. les hommes regardaient cela amusé.

la vigie hurla le capitaine sorti de sa cabine, Seth passa du bon coté des enfléchures, les hommes s'activèrent. A tribord une proie, un sloop. Le capitaine ordonna de border toute les voiles et de profiter de ce vent adossant pour donner la chasse, le sloop vira bout au vent et fonça vers Hispaniola.

La course dura jusqu'�  la nuit, rapprochant les deux navires des falaises, mais au petit matin le navire avait disparu profitant de la nuit pour aller se réfugier vers un port.

Le cotre pilla un chasse marée, la proie était faible, seulement quinze hommes des pêcheurs. On leur prit de quoi manger et le peu de matériel de pêche puis le cotre reparti. Mais déj�  il avait une cible, une frégate goélette.     

[scar]

La course dura deux jours. Les deux navires allaient de bon train, les pirates avaient été repérè la veille mais le navire n'avait que fait mettre toute voilure il ne voulait pas changer de cap.
Seth alla voir son capitaine.

- thibeaut tu peux m'indiquer où est le Nord avec la boussole?
Le capitaine répondit �  la demande Seth et le regarda s'agenouiller vers l'Est et faire la prière comme il la faisait deux fois par jour, loin des 5 demandées.

Durant la prière personne ne dérangeait seth on respectait les cultes même ceux des ottomans, mais Seth put s'apercevoir que l'on changea de cap et il se retrouva �  prier vers le Nord, on vers a Mecque. Quand il eut fini, il se releva et constata une agitation sur le tillac il alla voir le capitaine et lui demanda d'une voix amusé.

- Ca t'amuse de changer de cap quand je pris?
- C'est pas pour rire Seth c'est important! Rétorqua le capitaine d'un ton sérieux. il indiqua un navire qui fonçait vers eux. Lefèbre mit son tricorne et fit sonner la cloche, le branle bas était sonné.

- c'est un navire armée pour la guerre! un sloop jamaïquain! et il fonce sur nous!
- Un navire du roy? Demanda un matelot passant sur la dunette.
- Tout justre! mais pire qu'un vaisseau de guerre! Un chasseur de pirate. Je préférais mille fois être devant un brick mené par un officier du roy!

ce  gars l�  est un corsaire ou un des nôtres qui nous a trahit!
- où est le gros dangers? Demanda Seth.
- il connait nos manière de livrer bataille et les utilise, le combat n'est pas gagné d'avance!

Chargez avec des boulets ramés! Hurla Jean Grandami.
Y a un gars qui s'y connait en canon? rajouta seth après s'être retourné vivement, un homme se montra, mal entendant, témoignage des ses longs services au près des pièces de marine. Tout le monde le connaissait.
- écoute kevin blonch je te charge d'être le nouveau maitre canonnier!
- Depuis quand tu nomme à ma place?! Demanda froidement Jean, puis souriant rajouta.
- Ca devrait faire longtemps que tu aurais dû avoir ce poste Blonch! Tu calculera l'angle de tir pour chaque pièce!
Gabier dans le gréement, risez moi la grand hunier et affaler toutes les voiles!

l'activité sur le pont fut intense, le grand foc et le foc furent déployés, l'ennemi se prèparait au combat.

seth descendit prendre son cimeterre.  

[scar]

Les deux navires se faisaient face, fonçant l'un sur l'autre.

Le vent adossant "La boussole" ce dernier n'eut pas de mal �  tirer avantage du vent
Le vent frai et fort, gonflant les voiles. Sur le tillac les canons étaient chargés, ils firent feu l'un après l'autre, emplissant les oreilles d'un vacarme assourdissant et recouvrant le tillac d'une épaisse fumée blanche qui se dissipa grâce au vent.

les boulets ramés déchirent le foc du sloop, la voile claqua en l'air et la déchirure la traversa d'un bout �  l'autre alors que l'étai, tranché, pendait en l'air. Mais ce tire ne fut pas très efficace car tiré �  trois encablures, les chasseurs eurent le temps de changer le foc, avant que les deux navires soient �  distance où l'avatage de manœuvrabilité était vital. Mais cela eut sur le moral des ennemis un effet, le capitaine ennemi compris qu'il avait �  faire �  un dangereux pirates mais il le savait car c'tait bien "La Boussole" qu'il voulait stopper.   


Le cotre chevaucha les vagues écarlate, �  l'horizon qu'une voile qui fuyait la bataille et le sloop. on rechargeait encore aux boulets ramés, Seth aidé �  la manœuvre en bordant les cordages nombreuse Jean Grandami mit sa main �  la pâte et rechargé la pièce de chasse. 
Seul la capitaine imperturbable fixant son ennemi restait sur la dunette.

Les deux navires furent �  une encablure quand la pièce de chasse rétentit un coup, le boulet de fer alla droit dans l'étrave de son ennemi la brisant nette, on entendit les planches de bois grincer après que leur suipport principal se soit fragilisé.

Les deux navires virèrent de bord et se retrouver bordée contre bordée, comme dans les grandes batailles les deux navires ouvrirent le feu en même temps. Mais les boulets ramés ne tranchèrent qu'un hauban et la flèche du navire ennemi alors que les boulets plein s'abattirent sur le bastingage du navire, le traversant comme une feuille, un des affuts explosa sous le choc. L'énorme canon vola écrasant la tête des deux servants de pièces avant de sombrer dans la mer.
huit hommes étaient morts, cela ne renforça que le désire e se battre des pirates, mais avec un canon en moins et un bastingage dévasté il fallait aborder le navire au plus vite.
thibeaut devait jouer avec le vent.  

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Le navire vira vent de bout, le canon de chasse, par cette manœuvre, eut la possibilité de faire feu. Le boulet parti sans faire mouche, le navire rapidement fit un demi tour, alors que l'on avait chargé la batterie de tribord.
elle fit feu, les boulets transpercèrent la bastingage, c'était un sale coup pour le chasseur de pirate. Il avait essuyé deux bordées et tiré qu'une seule. Le temps que ses hommes eut fini le rechargement le cotre était sorti de l'arc de tir.

"La boussole" eut tendance �  remonter le vent, il eut une lutte contre le navire et le vent. Les vents défavorable, ne permirent pas d'aborder le navire, les eux vaisseaux  se tirèrent dessus, les quatre canons du sloop, de fort calibre firent des dommages parmi le tillac. Seth dans cette pagaille continuait �  motiver les hommes, plus de quinze avait rendu l'âme.

soudain, la cinquième bordé, les canons devenaient chaud dur �  recharger. Les boulets ramés tranchèrent le mat de beaupré et l'un d'entre eux eut raison de la dunette. Les deux morceaux de fer tournèrent sur la chaine, qui traversa la dunette la capitaine ennemi s'était baissé.

il entendit le bois craqué et vit avec horreur le timonier découpé par la chaine et la barre détruite en parti. Le navire ne pouvait plus être manœuvrer, les pirates décidèrent de passer �  l'abordage car le navire pouvait livrer bataille et pouvait aussi utiliser directement la timonerie pour manœuvrer.

Le cotre attaqua le navire, sans recharger ses canons, son ennemi avait lui aussi tiré, détruisant un autre canon et fragilisant l'étambot, il ne fallait pas qu'il rechargea.
Le navire arriva rapidement sur sa proie, les sabres furent tirés, les armes �  feu rechargés, tout le monde étaient prêt dans les deux navires.  

[scar]

Le cotre s'approchait du sloop, les marins se tenaient tous collés au bastingage afin de se protéger d'éventuel tire. Certains hommes menaient par le second se chargeaient de la manœuvre afin de ralentir, remontant les voiles, pour éviter que les deux navires s'entrechoquent, car en haute mer une voix d'eau était fatal. seth était heureux de pouvoir enfin se battre, il demanda aux trois moucheurs de lui laisser le capitaine qui méritait un mort noble, les hommes lui promirent de le faire en riant.

Le capitaine regarda le matelot �  sa gauche, un homme bien bâti mais plutôt maigre, au pantalon rayé rouge et blanc. il le voyait tremblé, le capitaine lui demanda. 
-C'est ton premier combat?
- Ouiap!
- ait confiance en toi, soit sur de toi et  fais pas d'erreur en te surestimant! N'imite pas ce fou de Seth, tu y resterais.
L'homme ne semblait pas rassuré, le capitaine se leva serti sa rapière et hurla

Compagnons! Vous êtes tous de bon marin j'ai confiance en vous ne me décevez pas! ce n'est pas des mangeurs de pudding qui vont nous arrêter!! Cette fois nous sommes la proie mais cette chasse est comma la chasse au tigre!
La chasseur n'est jamais sûr de gagner, son adversaire est plein de ressource et une erreur est fatale! Notre ennemi "Epilogue" a commis une erreur!
Je vous connais et je sais que vous ne mourirez pas sans avoir tué un anglais alors soyez sûr on va les écraser!!!
Notre terreur n'est pas près de se stopper!

Les marins brandisèrent leurs armes en l'air, certains auraient tirés si la situation l'aurait permis. Les marins hurlèrent tous d'une même voix, sur le sloop on entendit comme un hurlement inhumain, les marins furent terrorisé. Leur capitaine les ramena �  la raison en leur demandant de se battre non pour la couronne mais pour leur vie et leur femme.

Les baux des deux navires se cognèrent, le cotre ralentit subitement sa course et son  hère le poussa le long du sloop. Un groupe de pirates se jeta �  l'abordage. ils furent reçut d'une volée de balles qui les tuèrent tous. après ça Seth et plusieurs marins montèrent �  leur tours. Seth monta sur la bastingage en un saut et prenant appuis il sauta par dessus le mètre séparant les deux navires une hachette et son cimeterre �  la main. Il abattit la hachette dans le bras d'un homme armé d'une pique et décapita un autre, une fois �  terre il frappa de dos dans l'homme �  blessé au bras. Ce dernier vit surgir de son thorax la lame d'un cimeterre, seth reprit sa hachette alors que l'homme tombait mort.
Les grappins furent bien arrimé et on se jeta dans la melée. Le capitaine monta sur le tillac ennemi et vida son arme sur son agresseur.

un vrai bain de sang commença, une bataille meurtrière car aucun camps ne voulait se rendre, le tillac se couvrit de sang, mais le sable déposait dessus au paravent empêchait que l'on tombe. 

L'issu de la bataille était incertain  

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Le combat faisait rage, mais le nombre de corsaire semblait largement supérieures �  celui des pirates,malgré les efforts de Seth  réduire cet écart... Plusieurs groupes s'étaient formés sur le navire, Seth  se tenait sur le gaillard avant, a ses pieds dix hommes gisant presque mort. C'était un endroit tranquille tant que le tillac serait en guerre, car si un homme pouvait recharger son arme Seth ne tiendrait pas. Le capitaine ennemi égorgea son troisième pirate quand une détonation se fit entendre, il était touché au front. il recula, laissant son arme par terre, sous l douleur, et reculant encore, il passa par dessus le bastingage mort. les corsaires semblait démoralisé, mais leur nombre leur donna encore une force.
thibeaut cria victoire trop vite, une lame lui transperça le bras, il garda sa rapière en forçant mais il ne pouvait plus bouger le bras. il regarda son agresseur qui souriait juste avant d'avoir le crâne fendit qu'un coup de sabre d'abordage par l'homme que le capitaine avait encouragé. Ce dernier salua son chef et l'aida �  se relever.
une série de détonation fut la fin de tout espoir, plusieurs corsaires avaient rechargés, les balles fauchèrent les pirates, dont le nombre diminuait sans cesse, Mais les blessés continuaient �  livrer bataille debout mais même allongé.

Soudain le capitaine se leva et hurla, il demandait le replis, il vit le second, un homme richement vétu, l prit un pistolet �  silex mais la douleur l'empêcha de toucher sa cible. Un moucheur rectifia cette erreur, un trou large d'une pomme se trouva dans le ventre de l'anglais qui tomba mort.

plusieurs pirates tranchèrent les cordages des bras de vergues et les armures et écoutes. Seth fit de même avec les étais du foc.

Le sloop était immobile, les pirates qui avant cela avait coupaient leurs grappins et remit les voiles sautèrent dans leur navire.

C'était une fuite, il était plus que dix neufs hommes, le capitaine, maître d'équipage, le quartier maitre et le chirurgien et les vigies, seuls hommes importants encore en vie. aucun n'avait été épargné, Seth touchait par la lame d'un coutelas �  la jambe et au torse s'occupa des plus blessés que lui, il pouvait et devait supporter la douleur.
Jean grandami était mort avant de prendre la fuite face �  trois hommes en coupant les patatras de la brigantine. Lefèbre était recut encore une balle dans le ventre, il était dans un sale état.

Ont se plaça sous un angle favorable afin s'éviter de se faire tirer dessus. Les pirates blessés qui n'avaient pas fuit livrèrent tous combat, non pas d'espoir mais de rage contre leur compagnons. Ils moururent tous au combat ou pendu.   

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le navire filait bonne allure, au loin on pouvait distinguer le sloop en panne tentant de reprendre la route.

Les pirates étaient presque tous, sauf Seth, Grosier et Alexandre Lant, dans l'entrepont se faisait soigner par Scudamore. Les trois hommes, les moins blessés, se chargeaient de la manœuvre, ils furent rejoint par la vigie de premier quart et un anglais. Personne ne disait mot, tous étaient silencieux le visage dur énervé, certain avait encore les mains tremblantes.

Les heures passèrent, scudamore et Quentin montèrent sur le tillac, le quartier maitre se chargea de vérifier les cartes tandis que l'autre alla voir l'arabe. Il lui changea les bandages, Seth assit sur un tonneau, le regard sombre.

- On est encore combien? Demanda seth sur un ton neutre et las.
- Seulement 18! Mais je crains que deux d'entre nous ne revoient pas la mer. Arrêtes de bouger ton bras!  Le chirurgien prit une grande respiration et dit.
 Thibeaut Lefèbre et Tom chief.
- thibeaut? s'inquieta Seth.
- oui j'ai stoppé son l'hémorragie mais les fièvres risquent de le prendre.

scudamore après avoir changé les bandages laissa le pirate �  ses pensées.

La nuit passa, on devait faire cap sur l'île la plus proche, la Jamaïque. cinq autres hommes s'étaient remis de leur blessure. quentin discutait avec le capitaine, blessé allongé sur son lit de bois dans l'environnement humide.

- pour t'honorer on n'élira aucun capitaine avant d'être retourné �  la tortue...
- C'est gentil de ta part mais cela ne vas pas me soigner.
- on a été obligé de faire cap vers la Jamaïque avoua géné Quentin.
Le capitaine tenta de se relever mais sa cote le faisait mal, il regarda son ami au visage creux qui avait perdu son embonpoint.
- Mais c'est de la folie!
- Je sais mais on aucun autre choix, on sinon certains mourront. Nous utiliserons le mouillage tu sais....
- ah lui, c'est une bonne idée.
Quentin laissa le capitaine, la nuit tombait. Ce fut le dernier �  le voir en vie.
Le lendemain tous étaient sur le tillac silencieux, même les blessés dans leur branle. Tom et Thibeaut Lefèbre étaient morts dans la nuit emporté par les fièvres. Il eut un court discours et l'on laissa �  la mer leur corps dans leur plus belles parures, dans leur branle cousu.

Seth regarda l'horizon la mer, tournant le dos �  l'île. Il s'accouda au bastingages.
-* Je commence à douter de ce qu'à dit L'Imam*
- que dis tu? Seth se retourna et vit son matelot, la vigie de premier quart. L'homme était petit chétif mais fin tireur, Seth lui appliqua une tape sur le bras.
-Jean Prais, je repensais �  mes anciens compagnons de mer.
- Tu ne m'as jamais parlé d'eux.
- Ce furent mes meilleurs marins et amis. L'Imam m'avait dit quand on avait découvert les caraïbes, je suis pas près d'oublier! il m'avait dit: *Tu vois si Allah avait fait un paradis terrestre je pense que c'est ici.*
- Et ca veut dire?
- Qu'il y a pas plus beau monde que celui ci. Mais ca fait 5 ans que je navigue sur ces eaux et je commence �  y douter.

La vigie eut un léger sourire mais ne préféra rien dire. les deux hommes se séparèrent pour aller �  leur activités.
Devant une mer bleu azur et un soleil blanc de chaleur, autre facteur qui écrasé les pirates en plus de leur échec. 
   

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Avec Bélénos

Après de longue aventure Seth avait finit par devenir pirate sur le navire de Bélénos, le "jaguar" une goélette �  hunier �  l'allure vif et rapide, bien armé malgré le faible nombre des canons et surtout manœuvré par un équipage expérimenté, qui a du vécut dans la mer et la piraterie; un équipage attirait par l'or; comme seth en avait connu et avait été.

Le navire filait bon vent, les voiles gonflées �  telle point que le pont penché légèrement. Les marins avaient forcé la main au capitaine pour fêter la libération de frère de la côté.
La nuit fut passé �  boire, sans excès, pour la simple raison qu'il ne restait que trois tonneaux de rhum. Bélénos avait fait le point alors que ces compagnons buvaient et chantaient calmement. Il fit appelé le second, le réveillant dans son étroite cabine.   

- nous sommes �  cinq jours de la première île et �  plus de deux semaines d'un port favorable, si le vent ne change pas car il nous pousse vers les îles anglaises!
- en effet c'est un long voyage mais on aura assez de vivre le cambusier a fait le compte lors de la prise du chasseur de pirate.
- c'est pas les vivres qui m'inquiètent mais l'eau! On en aura pas pour autant de jour! Faut que dès demains on réduit les rations!
- après une soirée de beuverie? mais ils voudront boire et se dessécher!
- Je vais leur annoncer la nouvelle maintenant, ils seront plus tolérant demain, surtout si Marc est au courant on pourra pas dire que je les ai prit en traite...

Dit Bélénos fier de lui, se bombant le torse et prenant la coupe de vin et la but avant de la regarder.
- bion cap jé'y vais dormir! Dit le second en baillant le regard endormi se grattant le dos et retournant à sa banquette.
-Faudrait que je limite ma consommation si je veux en profiter tout le voyage... Ajouta t il en souriant.

Sur le tillac, c'était une fête calme, les marins restaient assez sobre pour manœuvrer car le navire traversait des zones e surventes et déventes t il fallait souvent border ou déborder les voiles.
La plus part des marins étaient autour du plus vieux des prisonniers qui put enfin raconter son histoire, leur racontant comment les pirates avaient été prit en traite par le chasseur alors qu'ils partaient tout juste en chasse, après avoir passé une semaine �  la petite goave �  boire et fêter la prise d'une flute hollandaise.   

- La poisse était avec nous! On avait parcouru la mer durant quinze jours sans trouver un navire attaquable
- Sûr Rajouta Henry �  part ce convoi de trois navires mais il nous aurait écrasé en une bordée!
- Par tout les démons de l'enfer leur coup de mitraille a recouvert de sang et de tripe notre tillac, le coup fut tellement écrasant qu'on a �  peine lutté. Notre capitaine avait été projeté les tripes au vent par dessus bord rejoindre Neptune. On sait battu �  moins de trente contre plus de cinquante bien armé qui ont vidés leur armes sur nous.
On été plus que vingt! Dit le conteur en souriant suivit d'un rire des marins.

le capitaine arriva écouta l'histoire et préféra ne pas déranger cette aventure...

   

[Capitaine]

Belford se tenait debout parmi les auditeurs du vieux prisonniers, se mélant aux rires des autres et aux moments d'attention curieuse. Il vit du coin de l'oeil que Bélenos était arrivé, non loin du groupe. Il s'écarta de l'assemblée et rejoignit le capitaine, désormais posé et détendu face �  son commandant.
-Et bien, capitaine, quelles sont les nouvelles ?
   

[scar]

Bélénos fut interpellé par le nouveau pirate. Il se tourna vers son équipage et demanda la parôle.
tout le monde se tourna vers lui, la pipe ou la chique �  la bouche, le verre �  la main, le sourire aux lèvres mais le regard un peu endormi pour certain.
Bélénos s'exprima avec une voix légère, sérieuse mais pas autoritaire.

- Mes compagnons, j'ai le regret de vous dire que nos vivres en eau douce sont très basses il reste tout juste un tonneau d'eau. Donc �  partir d'aujourd'hui nous allons réduire de moitié la ration d'eau, car nous sommes �  cinq jours de la première île et nous avons un lot de blessé �  soigner. Donc ceux dont el combat �  épargné devront réduire leur consommation en eau.
- Pas grave on remplacera ca par du punch et du rhum! Dit Ulrick en levant sa pinte.

tout le monde ria, puis devant le regard sérieux du capitaine les rires se taisèrent les hommes comprirent que c'était sérieux. Il faudrait survire avec seulement une gobelet d'eau par jour durant cinq jours. C'était faisable si le ciel était couvert et qu'il y avait du vent. Mais les caraïbes sont chaudes, très chaudes, un soleil écrasant, et par chance on était en été les vents par contre eux étaient puissant et fréquent. Aucune chance de subir un calme plat, fatal dans cette situation.

Les marins continuèrent �  discuter et accueillir les nouveaux venus mais on but moins. alors que le capitaine prenait congé de ses hommes en les saluant d'un signe de tête.