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« Répondre #45 le: 04 Janvier 2009 à 18:41:09 » |
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Le lendemain matin le réveil fut lent mais pas désastreux. Les pirates avaient toute leur tête, juste un peu fatigué mais les rayons puissant du soleil réveilla ceux qui étaient endormi sur le tillac, alors que le maitre d'équipage réveilla ceux dans l'entrepont.
Les pirates s'activèrent pour remettre un peu d'ordre sur le tillac, remplissant d'eau de mer le tonneau de rhum totalement vide et on le remit � la cale, comme tout les autres tonneaux vide.
Le pont devint en quelques instants un vrai tillac digne de ce nom.
Le navire faisait voile, poussé par un vent puissant, � l'horizon bleu azur les voiles d'une frégate.
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Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã� dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
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« Répondre #46 le: 08 Janvier 2009 à 20:43:52 » |
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Seth avait peu de mal � s'intégrer dans le nouveau équipage, malgré sa couleur de peau et sa religion qui indisposaient certains membre. le principal frein � son intégralité était lui même. Il doutait encore et toujours; l'impression de revivre sa vie en boucle: de croire la mort venir et le destin lui joue un tour et Seth s'en sortait, comme par un miracle, mais avec un nouveau fardeau sur le dos.
Simon était le plus fidèle pilier qu'il pouvait avoir, sans être un ami, ils discutaient du temps passé et Simon affirmait � l'équipage que l'étranger n'avait aucun besoin de passer un test pour prouver ses talents, ceux � quoi Seth rajoutait "tant qu'on me donne pas une arme � feux!"
Seth alla voir Simon qui était occupé de régler et nettoyer les canons de chasse.
- Simon? - Ouaip?! Il se retourna, le corps en sueur. Salut l'étranger! - J'aurais une question � te poser. Au sujet de Taranis. Simon fronça les sourcils, le regard étonné, il demanda d'une voix légère. Taranis? je t'écoute. - Voila, Taranis connaissais mon vrai nom. Dit seth en regardant dans les yeux le chef de pièce. Comment il le connait? - J'avoue que je ne sais! - Vraiment? Ajouta Seth. - Tout a fait. D'ailleurs l'étranger j'ai une faveur à te demander. Les deux hommes se regardèrent. Seth eut un sourire, mais le chef de pièce s'avança et reposa sa demande. Je ne connais pas ton vrai nom, peux tu me le donner, en gage d'amitié. - Pas maintenant! Mais quand mon heure sonnera ou la tienne je te le donnerai. C'est une promesse!
Seth laissa son compagnon sans lui laisser le temps de l'interrompre, ce dernier se gratta l'oreille puis retourna � son canon.
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« Répondre #47 le: 09 Janvier 2009 à 18:25:32 » |
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Les temps filait comme le navire sur l'eau. La vie sur le "jaguar" devenait tendue, les hommes étaient nerveux et fatigués. Vivant d'une gobelet d'eau potable, et un punch par jour uniquement comme boisson, leur soif étaient de plus en plus grande après trois jours comme cela.
Les moins fort physiquement avaient déj� les lèvres sèches et la bouche toujours entrouverte afin de la rafraichir car ils ne produisaient que très peu de salive. tous tenaient le coup grace � la nourriture, peu varié mais en quantité un peu plus grande qu'un quotidien normal, cela demandé par Bélénos afin de calmer les esprits.
La chaleur des tropiques était l'un des ennemis de la situation, on ne pouvait boire mais heureusement le vent fort et puissant pouvait rafraichir les hommes et surtout leur assuré de ne pas tomber dans une période sans vent, malgré quelque dévente le matin.
Bélénos était confiant de ses hommes et de ses calculs, dans quelque heures ils verront leur île � l'horizon: l'île espagnol de trinidad, nommée en français Trinité. suite: http://forum.ageofseadogs.com/index.php?action=post;board=87.0
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« Dernière édition: 12 Janvier 2009 à 19:39:48 par scar »
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« Répondre #48 le: 01 Février 2009 à 14:22:38 » |
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suite de
le schooner filait encore bon train. l'équipage était ravi, se sachant protéger d'une gorge sèche pour le mois � venir. Les deux premiers jours se passèrent sans que rien ne fut � signaler; Seth tentait bien que mal � s'intégrer dans l'équipage qui l'avait accepté hormis quelques petits groupe qui devait faire au moins un tiers voire la moitié de l'équipage qui voyait dans cet homme pas un être de confiance de part sa religion.
Le troisièmes jours après le premier quart et que ca faisait plus de cinq sabliers que le soleil s'était levé, le vent changea subitement de direction. Se trouvant presque en vent de face les voiles claquèrent dans les airs, vide de toute force. L'équipage se précipita pour border les voiles, tirant sur le halebas de bôme des voiles aurique pour les replacer dans l'axe du navire et sur les écoutes pour les border.
Béléons qui se tenait � l'avant entrain d'inspecter avec le maitre charpentier l'étrave, leva le nez vers le gréement. - Carguez la grande voile et la voile de misaine vite!! - Montez dans le gréement, border la grande voile et la voile de misaine! répéta le second.
L'agitation anima le navire, les marins arrêtèrent leur occupation de briquer le pont et ranger les manœuvres pour s'occuper du navire.
Mictlantecuhtli regarda l'horizon, tranquille sans nuage. Il respira l'air frai, la mer était trop calme. - Nature vouloir nous ralentir! Mauvais signe. Dit il.- On risque un calme plat? s'inquiété Bélénos.
L'indien ne répondit pas tout de suite.- Non! mer clémente. - Très bien faut changer de cap on va vers l'est pour prendre le vent de travers et remonter quand on pourra! - barre � 280! - Parez pour virer! répondit le timonier regardant sa boussoleil devait la mettre sur environ 60 degré.
La manœuvre fut lente � cause de la baisse soudaine du vent, imprévisible ce n'était pas une zone de dévente.
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« Répondre #49 le: 03 Février 2009 à 20:35:57 » |
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Bélénos le même jour monta sur la dunette, le vent faible en bon pré plein avait du mal � gonfler les voiles.
Il alla voir le timonier avec en tête la vitesse calculée par la biture: 5 noeuds.
Il posa sa main sur la barre circulaire, le timonier enleva ses mains pour ne pas gêner son capitaine. Ce dernier fit remonter le navire de 10 degrés vers le Nord. - Pourquoi ? on va perdre de la vitesse! - Mais j'ai fait des calculs, on perdra moins de temps on ne sait pas combien de temps va durer ce vent...
Il refit calculer la vitesse après que les matelots eurent border convenablement les voiles sous l'œil d'Angmar et du second. un noeud de perdu, son aproximation avait été correcte.
Bélénos eut un sourire fier de lui. La mer était calme et déserte, un vent faible ridé la surface de la mer et aucune voile � l'horizon, le ciel était couvert de nuage blanc, aucun risque de tempête.
Seth regarda Bélénos, il avait une certaine admiration pour cette homme capable de faire des calculs exactes, Seth avait été un meneur d'homme et avait deviner la mer mais avait eut souvent du mal non pas se repérer grâce au bâton de Jacob et l'astrolabe mais � prévoir sa position.
"Jaguar courant" était comme l'étranger, un homme qui avait su connaitre la mer et la dompter sans jamais pouvoir se prévoir dans le futur. L'indien ne voulait pas de cette vanité de savoir où demain il serait sur cette immensité.
Seth alla après trois heures de travail alla dormir. Descendant dans l'entrepont où tout était calme. Les hamacs pendaient, rempli d'un corps pareil � un sac � viande. Des ronflements et parfois des grognements sortaient des branles.
Il monta dans ce sien après avoir réveillé son matelot qui monta � la lumière d'une lampe qui se tenait tout au fond du navire devant la salle du conseil.
Seth fatigué senti ses muscles et tendons se détendre, le sommeil l'envahit.
Il entendit un bruit, sortant de son sommeil il observa l'endroit autour de lui. il faisait trop sombre qu'il puisse voir quoi que ce soit. Il tendit l'oreille pas un bruit: ses compagnons n'étaient pas l� . Il sentit tout de même le bercement de la mer, la gîte calme qui agitait le navire.
Il entendit quelqu'un descendre de l'escalier qui mené au tillac. Seth porta son regard, il y vit une silhouette fine gracieuse, portant un vêtement fin et blanc. Sa démarche lui avait été gravé dans sa mémoire, sa voix aussi. Seth eut un sourire, une joie immense. - Je t'aime. - Moi aussi! aime moi comme la première fois. lui murmura la femme.
Il passa la nuit � faire l'amour, leur deux corps ne faisaient qu'un, il la sentait la touchait, elle était réalité.
Les deux personnes se tenaient sur le hamac se serrant reprenant leur souffle. Seth leva les yeux et écouta le bercement de la mer, le choc sur la coque, il ferma les yeux et écouta heureux. un bruit de pas. Il réouvrit les yeux, elle n'était pas l� . Une voix sortit de nul part.
- Bouge toi l'arabe! Lui dit une grosse voix, celle de Ulrick. * Juste un rêve, encore un rêve* pensa Seth en regardant ses mains, dont il était sûr qu'elles avaient encore la sensation d'avoir touchée la peau de la regrettée. - Bouge!
Seth sortit en un éclair de son branle, mit sa veste déchiré qui lui servait de haut et alla rejoindre les hommes de quart pour manger, juste quelque biscuit avant de travailler.
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« Répondre #50 le: 05 Février 2009 à 05:18:11 » |
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HRP: pour lire le chapitre précedent: http://forum.ageofseadogs.com/index.php?topic=1612.msg66479#newLe commandant Cantasbois, enfin l’ancien commandant, repenser aux événements de ces derniers mois : l’embuscade contre son escadre, son acte de désertion et le piège tendu par se salopard de capitaine pirate pour le capturer lui et ses trois hommes. Quand une voie familière l’extirpa de ses pensées, c’était Eric Vermont :-« Eh bah Pierre tu mange pas tes biscuit, c’est pas très intelligent avec la restriction d’eau. -Non c’est pas sa je repenser a tout ce qui nous était arriver en deux mois.-Ouais sale affaire j’espère que Benoît et Geoffroy s’en sorte au moins aussi bien que nous ou qu’ils puissent être… -A ta place je m’inquièterais plus pour leur geôliers que pour eux. » dit Pierre en essayant de décontracter l’ambiance. -« Oui tu dois avoir raison…bref changeons de sujet, tu a vu l’étranger a l’air d’être préoccuper par quelque chose. -Ouaip t’as raison si il était un peu plus bavard on pourrais peut être l’aider, mais bon je comprend il soit méfiant d’après ce que j’ais entendu certains ne l’apprécie pas. Pourtant ça a l’air d’un type bien.-Sur qu’il a l’air d’un type bien et d’après ce qu’on dit il est pas manchot au combat. Ce n’est peut être pas de la méfiance il n’a peut être pas envie de révéler son secret il doit être trop sombre… -T’as peut être raison en tout cas essayons de ne pas crier notre situation de déserteur depuis le poste de vigie attendons de mieux connaître certains hommes pour ensuite leurs demander éventuellement de l’aide…-Ok, tu pense a quelqu’un en particulier ? -Ouais le capitaine a l’air de homme de confiance, l’indien aussi et l’étranger a l’air d’avoir pas mal voyager peut être qu’il sait quelque chose... Aller c’est l’heure d’apprendre comment faire fonctionner se rafiot. » dit Cantasbois en se levant un biscuit sec a la main son sourire, retrouver depuis qu’il étais a bord du « jaguar », au lèvres.
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« Répondre #51 le: 05 Février 2009 à 17:48:49 » |
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La journée commença � se dérouler � son rythme habituel. les nouveaux venus commençaient réellement � s'intégrer au groupe et � connaitre le navire, grâce � leur matelot qui avait été choisie par Angmar.
L'équipage était un sacré amas de causes perdes, de criminels et de fous, quelque rêveurs aux rêves biens mystérieux et de maudit par la vie comme l'est le quartier maitre. ce sont des hommes bien loin des causes de liberté et d'égalité de Bellamy. Jamais ils ne risqueraient leur vie sans or � la fin; Mais au fil des voyages et des sermons de Jean ils ont appris � respecter leur ennemis, � éviter le massacre inutile et la violence gratuite. Mais nous restons loin des gentil hommes et voleurs délicats.
Vers la nuit la brise de vent contraire avait déj� commençait � changer d'allure la voilure fut augmenté pour prendre une meilleur prise au vent. On resta tout de même plus nombreux que la normal pour surveiller la nuit, le vent avait tendance � changer d'allure légèrement ou de force assez souvent. Ca pouvait être un signe de cyclone mais l'indien disait � juste titre que non.
Seth se tenait sur la bastingage, les jambes passées dans les enfléchures prêt � monter s'il le fallait pour carguer ou hisser une voile du grand mat.
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« Répondre #52 le: 08 Février 2009 à 12:04:03 » |
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Le lendemain le vent avait donner plus de force mais restait toujours dans cette mauvaise allure.
sur le tillac tout le monde était calme, certain briqué le pont d'autre lové les cordages. La vigie cria.
Voile face à nous!
Le pont s'agita, les marins coururent vers l'étrave, tentant de voir la voile � l'horizon, le ciel était d'un bleue t le soleil faisait des reflets argentés sur la mer.
- j'vois rien! dit Simon - elle doit être loin! ajouta un autre. - Ach che la vois! Dit Ulrick. désignant du doigt un minuscule point.
Plusieurs marins félicitèrent la vigie, d'autre criaient de joix en voyant en effet la voile, content d'avoir une bonne vue. Béléons arriva avec sa longue vue alors que Angmar remettait dans des cris tout ce monde de faignant au travail.
Bélénos observa silencieux le navire. A en voir la mature, seule chose de visible, c'était un deux mat sans doute un ketch ou un brick. Il allait sur nous.
- Que la vigie le surveille et qu'on me prévienne dans un sablier, si il continue � cette allure favorable sur nous il sera vite sur nous. - Pourquoi pas changer de cap? et le fuir? Demande le second. - Inutile pour l'instant, On va l'alerté si on fuit.
Le sablier passa, on pouvait mieux distinguer le navire, un brick car bien trop gros pour être un ketch.
Un autre sablier passa, bélénos cracha dans la mer. - Armez les canons � la mitraille et ceux de chasse aux boulets ramés. Sonne le branle bas de combat. Mais pas d'agitation! Ordonna sur un ton sec le capitaine
La cloche résonna sur le navire, tout le monde descendit dans l'entrepont pour charger ses armes ou remonter le branle et le placeer au bastingage. Le charpentier proposa même de renforcer le coup avec des vieilles planches usées et trouées,c e qui pourrait aider encore mieux.
Plusieurs hommes descendirent avec lui dans son atelier pour prendre les planches. On chargea dans le calme le plus total les canons, les hommes étaient prêt � se battre, nerveux et pour certain un peu apeuré.
Le temps passa, tout le monde était silencieux, c'était le calme après la tempête, personne n'osait exprimer son anxiété. Bélénos resta sur la plate forme de poulaine, debout � l'avant du navire. c'était un brick bien armé dont l'équipage semblait s'agiter un peu. Il sourit quand il put lire le nom du brick. - Jaguar! - Oui? Répondit l'indien se tenant derrière lui. - va me chercher Simon, j'ai un doute.
Simon arriva une minute plus tard. Il monta sur la plate forme à son tour. - Quoi béléonos? Dit il sur un ton rauque. Le capitaine lui tendit sa longue vue, et lui indiqua le nom du navire, qu'on pouvait voir sur le devant du navire. il était en partie éffacé, comme pour le cacher. Simon resta un moment sans rien dire puis fit part � Bélénos de ses doutes le smêmes que le capitaine.
Le temps passa, le brick courait vers la goélette. Les pirates étaient de plus en plus nerveux, la grande peur était d'être prit de surprise et attaqué sans aucun signal, et perdre ainsi leur effet de surprise. leur dernier combat s'était passé ainsi. Les deux navires furent bientôt � porter de voix. Bélénos appela un de ses matelots qui savaient parler anglais. - demande leur comment va Davis? Le marin obéissa, ne comprenant pas trop. Sur le navire les quelque marins qui entendirent furent surpris. Béléons demande de reposer la question en parlant de capitaine. L'autre navire réduisit considérablement sa voilure, et un homme se mit aussi sur la plate forme de poulaine. - Edward Davis? Hurla le capitaine. La réponse fut affirmative.
Simon qui avait fait retirer les boulets des canons de chase, fit tirer le canon tandis que l'idnein montait le jolly roger le long du grand mat. La réponse du pavillon fut aussi un pavillon noir. C'était deux navires pirates qui se trouvaient en pleine mer. Les marins hurlèrnet de joix, content de ne pas avoir � se battre. On fit un manoeuvre pour rapporcher et mettre � couple les deux navires.
Edward Davis et certaine de ses hommes allèrent � l'encontre des pirates français, qui commençaient � vider leur canon. Les anglais virent que non seulement les branles avaient été mis mais aussi des planches de bois et que les pirates avaient sortit un fort nombre de mousquet. le combat aurait été très difficile. Davis pria sa bonne étoile de lui avoir épargné cette bataille.
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« Répondre #53 le: 12 Février 2009 à 16:00:13 » |
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Sur les deux bateaux maintenant � couple il y avait comme un air de fête. Les équipages se mélangeaient et certains avaient même sortis des instruments de musique. La rencontre en pleine mer de pirates est souvent un grand moment de joie et de détente pour ces hommes toujours plongés dans un stresse permanant dût aux conditions difficiles de leur situation.
Les deux capitaines ne s’étaient pas vu depuis longtemps et c’était un plaisir réciproque que de parler ensemble, d’avoir des nouvelles du monde, même si quelque fois la barrière de la langue faisait obstacle, mais ils arrivaient toujours � bien se faire comprendre. _Alors le français, toujours avec ta vieille coque de noix ? Ton ami l’indien est toujours l� ? Sacré bonhomme que tu as l� ! _Oui, et ne cherches pas encore � le recruter sinon tu vas goûter � mes canons ! Répond Bélénos avec de l’humour. _J’ai vu ça, tu as maintenant du 18 français ? Belles pièces mais un peu long � charger � mon goût. _C’est parce que tu n’as pas Simon notre chef de pièce. Tu as toujours été un peu jaloux de mes hommes, avoues-le ! _Il est l� lui aussi ? Faut reconnaître que tu m’impressionne � garder tes anciens. Les miens se font tuer ou ils veulent débarquer… pour une retraite bien méritée il faut le dire ! Sinon, que fais-tu dans les parages ?
La discussion était agréable et continuait tranquillement, demandant des nouvelles des uns, s’inquiétant du sort des autres. Les deux hommes se promenaient sur le pont du « Jaguar » au milieu des marins qui festoyaient avec leurs confrères d’infortune, et d’autres qui s’occupaient � mettre de l’ordre sur le pont.
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Tant qu'à faire, que de faire, autant bien faire.
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« Répondre #54 le: 12 Février 2009 à 19:20:44 » |
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On avait ouvert une barrique de rhum par navire. Les pirates de Davis sortirent aussi un aliment au gout sucré et amer.
- Du chocolat, ca se fait à partir du cacao... expliqua l'un de smarins qui savaient parler français. - C'est meilleur que le cacao! - Fondu c'est bon... dit un marin en grognant, croquant dans un morceau de chocolat.
L'indien était l� discutant avec deux pirates de Davis, ils les avaient connus, les avaient aidé sur une île, avant de devenir marin. - Moi être sous bonne étoile! - T'es surtout une force de la nature! - Yes! So strong... dit le marin qui comprenait le français en tapant sur les pectoraux de l'indien. Ils rirent, l'indien prit de leur nouvelle. Le français était tenté de rejoindre Taranis.
Seth discutait avec tête de Pioche qui tenait � mieux connaitre cet homme. Les fusils avaient été déchargé, on avait retiré les balles et tiré en l'air les mousquets. Les cents coups résonnèrent dans les airs, de cet après midi, la fumée s'échappa des fusils était tellement épaisse qu'elle forma un petit nuage blanc qui disparut dans le vent.
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« Répondre #55 le: 13 Février 2009 à 11:53:34 » |
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Davis et Bélénos s’installèrent sur la dunette, accoudés au bastingage. Chacun avait son verre � la main. _Alors, où allez-vous à remonter le vent comme ça ? Redemande Davis. _A la Jamaïque, une petite livraison � faire et après on file � la Tortue. Et toi, que fais-tu dans le coin ?
A l'énonciation de "la tortue" Davis recracha la gorgée qu'il buvait. _La Tortue ? Es-tu au courant de ce qui c'est passé? _Non pourquoi ? Il c'est passé quelque chose l� -bas ? _Évidemment les nouvelles ne vont pas vite en mer ! Lance le pirate en riant. L'île a été attaquée par l'Angleterre et l'Espagne... Elle a été soumise en même pas une journée. N'y allez pas, c'est se jeter dans la gueule du loup. _Quoi ? Et il y a combien de temps de ça ? Répond Bélénos surprit de cette stupéfiante nouvelle. _Je ne sais pas trop... Peut être dix jours... Votre Roi ne veut rien faire. Il dit même que c'est un bien de se débarrasser de ce trou de brigand. _Dix jours tu dis ? Bon sang, ça n'arrange pas nos affaires ça ! Bénélos pensait � Belfort et son butin caché l� -bas qu'ils avaient l'intention de récupérer. Cette nouvelle allait très certainement compromettre leur projet !
Davis préféra changer de discussion, comme pour ne pas assombrir ces retrouvailles en pleine mer. _Au fait, pourquoi tu remontais si près du vent ? _Pour gagner en cap et récupérer demain un bon vent de travers qui nous fera plonger directement sur la Jamaïque, ce qui nous fera gagner du temps. _Toujours aussi bon navigateur je vois ! _Et toi ? Tu ne m'as toujours pas dit ce que tu faisais l� ? _Oh moi j'ai décidé de quitter les Caraïbes ! Il eut un rire. Les anglais m'en veulent pour la prise d'une de leur flûte de guerre... Je leur ai donné une sacrée leçon de stratégie, aucun mort, prise d'un navire par la force tout en douceur ! Elle était pleine de munition ! _Ah ! Je te reconnais bien l� en fin stratège ! _Du coup après ça, j’ai décidé d’aller � Madagascar m'y reposer un moment. _Madagascar ? Mais ce n'est pas la porte � côté !?! Qu'est-ce que tu vas faire l� -bas ? Tu vas t'ennuyer � mourir ! Viens plutôt avec nous il y a des sous � se faire � transporter des armes. C'est moins risqué et ça rapporte même plus que les pillages ! _Tu oublies que c'est la Providence de l'océan Indien... Y a toutes les côtes africaines � piller, les anglais ont pas mal de comptoir l� bas... - Comme tu veux ! C'est un sacré voyage que tu vas faire. Ton bateau tiendra le coup au moins ? Fait Bélénos en rigolant. _J'espère! Je n'ai jamais fait un si long voyage sur un tel navire. Il est solide, une bonne capacité et assez rapide. Reste � espérer en notre bonne étoile ! _En tout cas, si tu changes d'avis tu seras le bienvenue ! En attendant on va aller voir Sullivan et Ulrick. Ils ont pillés un stock de Whisky... Tu m'en diras des nouvelles ! _Ces vieux briguant ? Ca va me faire plaisir de les revoir ! _A eux aussi ! Ils m’ont demandé de t’amener en bas. Je ne sais pas ce qu’ils te réservent mais attends-toi au pire, on ne sait jamais !
Les deux capitaines rirent de bon cœur, puis se dirigèrent vers l’entrepont. La nouvelle de la Tortue tombée aux mains des anglais et des espagnols était pour un temps oubliée. L’ambiance était � la fête, tout le monde allait en profiter.
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Tant qu'à faire, que de faire, autant bien faire.
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« Répondre #56 le: 16 Février 2009 à 06:45:46 » |
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Pierre avait trop de rancune envers les anglais pour se joindre a eux sur le pont et faire la fête. Il se contenter de rangé les mousquets et autres armes tout en pestant de sa barbes naissante qu’aucun affrontement n’est eu lieu, quant Eric descendis pour le convaincre de monter : -« Allez viens donc t’amuser ! Tiens j’t’ais apporter un peu de rhum. -merci,mais tu sais très bien pourquoi je reste ici et je ne changerais pas d’avis… -Allons ils sont pas tous anglais tu sais et puis ils sont avant tout pirates donc dans la même galère que nous. -A parce que tu te considère comme un pirate ? -Et bah…on fais partis de l’équipage de ce navire et c’est un navire pirate ok ? Donc aux yeux de la loi on est pirates. -Quelle logique surprenante… -Enfin en attendant moi j’ai appris quelque chose que tu ne peut pas savoir puisque tu prend le temps de nettoyer et de ranger chaque armes. -Et bien vas-y crache le morceaux que t’on appris tes amis anglais. -L’île de la Tortue est tombée… -DE QUOI !!! Quand ça et par qui ?? -Apparemment ce sont les espagnols et les anglais qui sont responsables et les combats n’aurait pas durer plus d’une journée. -Et merde, je compter sur notre escale la bas pour glaner des informations…t’as pas penser a parler de Benoît et Geoffroy a tes potes british ? -Bin des que j’ai su pour la tortue je suis venu t’en parler… -Bon amène moi a eux. -hé bah voila tu vois que tu vas monter sur le pont et avoir des échanges culturel avec les rosbif » dit Eric avec un sourire. Pierre lui répondit avec un regard noir qui eut pour conséquence de déclancher un fous rire chez Eric Vermont légèrement éméché.
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« Répondre #57 le: 16 Février 2009 à 11:21:11 » |
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Les deux navires étaient en couple, on avait affalé tout les voiles du brick et bordé � contre toutes les voiles haute de la goélette pour l'équilibrer et garder le navire en place.
Certains hommes par moments allaient laisser du mou � l'écoute, pour continuer � bien border � contre. Le marin français qui discutait avec "L'indien" annonça � Davis qui rejoignait les pirates français, heureux de pouvoir parler sa langue et surtout il espérait demander � bélénos que ce dernier le laisse � la Martinique l� où vit sa femme. Il a dit Good Bye � Davis, l'un des rares mot qu'il connaissait...
Les heures passèrent. le soleil descendit dans le ciel mais avant qu'il ne disparaisse pour éclairer d'autre horizon.
les anglais retournèrent sur le navire, commencèrent � hisser les voiles basses, car un vent assez puissant balayait la surface de la mer créant des petites vagues.
les deux navires pirates se quittèrent dans des cris de joie, puis dans le cris de treize coup de canon tiré � blanc afin de saluer leur destin.
la route reprit
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« Répondre #58 le: 17 Février 2009 à 14:43:40 » |
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La nuit était tombée depuis deux heures déj� . Le « Jaguar » filait gentiment ses six nœuds au pré sur une mer que rien n’oserait troubler. Un bon vent stable et régulier balayait sa surface, entraînant avec lui les vagues que le bateau franchissait tranquillement avec grâce et majesté. La pleine Lune était l� . Elle éclairait de sa lumière réconfortante le voilier et son équipage comme pour veiller au grain. Les hommes, encore dans le souvenir de cette extraordinaire rencontre avec leurs confrères d’infortune en pleine mer, s’étaient endormis dans leurs hamacs fatigués de la fête qui s’en était suivie. Ils devaient rêver, rêver de leur liberté, rêver de la chance de vivre ces aventures qu’offrait le « Jaguar », ils rêvaient tout simplement de connaître encore des moments intenses comme celui-ci.
Mis � part l’équipe de quart, certains se promenaient sur le pont ne trouvant pas le sommeil. Bélénos était l’un d’eux. Il discutait avec Belford � propos de la nouvelle qu’ils avaient apprise par leurs confrères. La Tortue tombée, par les anglais et les espagnols de surcroît, qui l’aurai imaginé ? Elle annonçait la fin de leur quête, c’était évident. Plus tard peut-être ils y retourneront, mais pour l’instant les projets étaient chamboulés. Il fut décidé, qu’après la livraison des armes � la Jamaïque, le « Jaguar » irai � la Petite Goave. Il y a l� -bas un bon chantier naval qu’un des nouveaux, Pierre Cantasbois, connaît très bien. Le voilier commence � avoir beaucoup d’algues et de berniques accrochés � sa coque, le ralentissant dans ses allures. Un bon carénage lui fera le plus grand bien.
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Journalisée
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Tant qu'à faire, que de faire, autant bien faire.
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« Répondre #59 le: 18 Février 2009 à 05:05:39 » |
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Canstasbois étais de quart avec Eric cette nuit l� comme a peut près une nuit sur deux il discutait encore de la terrible nouvelle qu’ils avait appris pendant leur petite fête improviser tout en veillant a la bonne a ne pas entravait la bonne marche des manœuvres : -« Sérieux, je vois pas comment on va pouvoir retrouver nos deux minots ou même les salopards responsable du massacre la tortue était l’endroit ou on avais le plus de chances d’avoir de bonne infos. » dit Eric plus dépité qu’inquiet. -« Bah…tu sais apparemment se rafiot a besoin de faire une p’tite cure de jouvence. -Et alors je vois pas trop le rapport… -Beh j’ai dit au capitaine que je connaissai bien le gros Jean au chantier naval de petite goave. -Mais t’es fou ou quoi !? si on met le nez dehors avec toutes les personnes qu’on connais l� -bas on vas se faire prendre en moins de deux minutes ! -Pas si fort tu veux pas le geuler depuis la vigie je crois qu’ils t’on pas bien entendus a New York. De toute façons t’as pas besoins de sortir je vais vite fais avec Bélénos voir le gros Jean et je reviens sa prendras une demi heure, une heure grand max et puis je vais pas me balader avec une pancarte « déserteur » non plus. - Ok ok mais bon même si ce n’est que petite goave on pourrait apprendre quelques chose a la taverne ou en traînant en ville. -Je sais mais se serait beaucoup trop risquer…à moins que…bouge pas je reviens »dit pierre en se dirigeant vers Seth. « Hé l’étranger comment vas ? Dis moi j’aurait une petite faveur a te demander… »
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Semper Fi
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