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legaulois
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« le: 17 Mars 2008 à 20:53:46 » |
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Alors que nous étions en route pour SANTA MARTA, l'équipage se mutina, les meneurs étaient les deux filous recrutés derniérement.
Battez-vous contre moi, tout les deux, leur dis-je. Ceux-ci ce reculérent, et commencérent � descendre le peu de marins qui m'était restés fidéles dans les geôles du navire. Au momment de passer proche d'eux, je suis pris de frénésie, éclatant le crâne d'un des deux hommes sur la porte. Je senti soudainement le navire tangué, et un voile noir se dressa sur mes yeux.
Quelles heures plus tards, j'émergea de ce voile et mes compagnons d'infortune m'apprirent que l'un des deux hommes était mort, et que l'autre m'avait frappé par derriére avec le manche d'une hache. Le temps s'écoula lentement, ne sachant notre destination. J'enrageais. Environ deux semaines plus tard, on sortis des cales, aigri, mais impuissant. L'imposteur nous jeta � l'eau � quelque encablures d'une île, souhait de l'équipage , et nous avait donné un pistolet avec une unique cartouche pour nous 6. J'aida mes compagnons du mieux que je purent, mais deux sucombérent, faute de n'avoir pu atteindre le rivage. Je maudit l'imposteur, ce renégat, et le reste de l'équipage si naïf. au passage, je frappa un arbre proche du rivage, et m'écorchea la main. Ils me disérent que j'étais pour toujours leur capitaine. Ils ne bronchérent pas lorsque je leur dit que je récupérerais mon navire, et même mieux, mais je le coulerais � ce compte l� .
Nous allons construire un camp de fortune içi, trouver une source d'eau douce et de quoi manger. Rester proche de l'eau nous permettrai de rester afin de voir si des navires passer par l� . Nous commensammes a prendre un peu de bois mort, ainsi que des feuilles de grand arbres, pour avoir un abri rudimentaire.
Pendant deux jours, nous n'avions rien trouvés � manger, et ceci était le plus problématique car cela sapait le moral de mes compagnons. Le jour suivant, nous partimes tous � la recherche de nourriture, laissant le camp sans surveillance. quand nous revinrent au camp en fin de journée, en plus de n'avoir trouver que de maigre fruits, le camp était dévasté.le moral baissa de plus en plus, car cela signifiait que nous n'étions pas seul, et c'était peut être de mauvaise augure. l'un de nous remarqua des traces, et nous fûment heureux comme des miséreux lorsque nous reconnurent des traces d'animaux. Demain, nous partirons donc poser des piéges.
En attendant, je laisser mes compagnons d'infortune rêver a demain, mais apparement, aucun navire n'avait l'air de passer a proximité. nous verrons bien si la chance vas nous sourire.
Après deux semianes d'attente, et aucun navire en vue, je décidea qu'il était temps de se déplacer, car je sentais que mes compagnons avait le moral en berne, ainsi que moi-même, mais je ne pouvait leur dévoiler. Nous suiviment donc la côte, en eszpérant voir âme qui vive, ou par miracle un navire, ou même une barque pour pouvoir partir de cet endroit qui paraissait sans vie.
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