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Auteur Fil de discussion: Hanstholm, Royaume du Danemark  (Lu 13287 fois)
Black
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« le: 17 Décembre 2008 à 19:35:02 »

précédent : http://forum.ageofseadogs.com/index.php/topic,2066.msg63532.html#new

   La soirée fut calme. Jéricho la passa �  visiter la ville d'Hanstholm, charmante petite ville portuaire fondé sur l'agriculture et le commerce avec la Norvège lors du Moyen-Âge.
   Lorsque la nuit tomba et que 20h approchaient, Jéricho réunis ses officiers pour dîner dans une petite auberge. Le repas fut simple mais exellents.
   Le dîner terminé, la plupart des hommes retournèrent passer la nuit sur le navire, préférant utiliser leurs écus pour boire, manger, jouer ou se payer des filles.


 
« Dernière édition: 20 Décembre 2008 à 16:46:25 par Black »
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Black
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« Répondre #1 le: 20 Décembre 2008 à 17:01:15 »

(Mercredi 26 avril 1707)

Quelque jours plus tard, lors du dîner, les officiers s'étaient concerté.
- On a recruté à peine 30 hommes en 5 jours. Déclara Achille.
- Il y a peu de personne ici qui veulent faire la guerre aux anglais et aux hollandais. Il n'y a que des danois neutre. dit Jack.
- La plupart de nos recrue sont des français qui furent capturé et libéré ici.
- On a aussi un désertaur de l'armée britannique. annonça Achille.
- Bon, on fait quoi ? demanda Rolland.
- Demain on met les voiles. Il n'y a plus personne �  recruter ici, sinon, les candidat serait déj�  venus.
- On part pour où ? demanda Hans.
- Pour Tyhboron. Un autre port danois à 20 milles au sud.
- On y sera vite. Deux, trois heures tout au plus. annonça Lucy
- On partira demain �  10h. Avec un peu de chance on pourra déjeuner l� -bas. Je m'occuperai du recrutement, Achille préparera le navire.
- A vos ordres.  
« Dernière édition: 21 Décembre 2008 à 15:37:59 par Black »
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« Répondre #2 le: 21 Décembre 2008 à 15:44:54 »

(Jeudi 27 avril 1707)

L'aube s'était levée depuis près d'une heure. Le ciel était clair, avec des nuances de bleu-rose-orange, jouant avec les nuages. L'air était frai mais supportable. Jéricho quitta les Black Shark, salué par quelque matelot.

Le capitaine arriva rapidement dans une taverne du centre. Il y entra et s'assit �  une table. Il commanda au patron une bouteille de shnaps et posa sur la table un écritaux, indiquant que le recrutement est ouvert.

Les heures passèrent, sans personne. Soudain un homme entra dans la taverne. L'homme était fatigué et mal vêtu. Lentement il s'avança vers la table de Jéricho. Il s'arrêta devant et Jéricho leva la tête.


- Oui ?
- Recut for, hvad du skib ? (Vous recrutez pour quel navire (Danois))
- Pardon ? You speak french ?
- No, but English.
- No English, frensh.
- I don't speak French, but English.
- Putain j'en ai marre !
- What language do you speak ?
- Langage ? Speak ? Euuh... Frensh.
- Vrøvl (Merde (Danois))
- Quoi , mais je pige rien moi.
- Vous voulez un coup de main ? Intervint un homme.
- Si vous parlez français et danois, oui.
- Vous tombez bien, je parle français, anglais, italien, latin, espagnol, hollandais, chinois, japonnais, grecque, portugais, arabe, turc, russe, prussien et danois.
- Et ben. Ca vous dit de vous engager ? Un traducteur pareil n'est pas de refus.
- Occupons nous d'abord de ce...
Le pauvre danois était partis, sans doute en avait-il marre que Jéricho ne pige rien.
- Tans pis pour lui. Bon, vous venez ou pas ?
- Ben...
- Ah ! Te voilà, toi ! s'écria un homme suivit de 3 autres.
- Capitaine, c'est bon je m'engage ! En temps que capitaine vous devait me défendre !
- C'est qui c'est gus ?
- Ecartes-toi vermine ! Déclara le nouvel arrivant.
- A qui ai-je l'honneur ?
- Je suis Darek Palek dit "la balafre" et je t'es ordonné de t'écarter sale chien galeux, alors bouge ou je te bouge.
- Petit 1, je suis capitaine d'un vaisseau corsaire, pas un geux, et petit 2 cette homme est sous ma protection, donc si tu a quelque �  lui dire, dit le moi.

La Balafre s'énerva. Il lanca son point sur Jéricho, mais celui-ci lui bloca avant de serrer très fort.

- Aidez-moi vous autre ! ordonna la Balafre�  ses hommes.

L'un s'approcha par la droit. Jéricho repouusa violement la Balafre. Avant le donner un bel uppercut �  l'autre hommes, ce qui le fit tomber en arrière sur une table. La table en se levant propulsa une bouteille qui retomba sur la tête de la Balafre. Les deux autre hommes s'avancèrent. Jéricho en attrapa un, le plaqua au sol et donna un violent coup de pied dans l'estoma du troisième. La Balafre se releva.


- C'est bon les gars, on se casse. Toi fils de porc, t'as pas fini d'entendre parler de moi !

La Balafre et ses hommes quittèrent la taverne en zizagant, à moitié assomé.  
« Dernière édition: 21 Décembre 2008 à 16:19:52 par Black »
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« Répondre #3 le: 29 Décembre 2008 à 14:48:28 »

   Jéricho alla retrouver l'homme, qui s'était caché sous une table.

- Vous pouvez sortir.
- Ils sont partis ?
- Ils sont partis chercher des escalopes pour soigner leur coups.
- Et ben je l'ai échappé belle, grâce à vous.

   Jéricho regarda rapidement autour de lui. Les autre clients de la taverne le regardait. Certain souriait, semblant heureux qu'il est flanqué une telle raclé �  "La Balafre".

- Venez, sortons.

   Jéricho et l'homme quittèrent la taverne sous les regards des autre client. Une fois dehors, ils prirent la direction des quais.  
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« Répondre #4 le: 29 Décembre 2008 à 15:29:17 »

   Jéricho et l'homme traversèrent la ville pour rejoindre le Black Shark. Les rue de la ville était humide, suite �  une épaisse brume matinal. A l'approche, de 10h, le temps était frai et le ciel dégagé.

- Dites-moi, avec tous ça, je n'ai même pas demandé vos compétence et votre nom.
- Je me nomme Valentin Delacroix.
- Et vous faîtes quoi dans la vie ?
- Je suis professeur de littérature et de langue.
- Je vois. Mais, c'est quoi votre histoire avec ce type ?
- Et bien..., Darek Palek et, comment on dit ? Un viking.
- Un viking ? Il y en a encore de nos jours ?
- Il est plus un descendant de viking qu'un vrai viking. C'est un petit bourgeois égoïste et gâtée.
- Mais pourquoi voulait-il vous faire la peau.
- J'ai tous simplement refusé de céder �  son chantage. Soit j'accepter de travailler pour lui pour un prix lamentable, soit il me faisait la peau.
- A ma connaissance, il n'en a pas le droit.
- Sauf que le chef de la police locale et son frère. Ils aurait monter une histoire de toutes pièce pour légaliser son meutre.
- En parlant de policier, je croix qu'on ai suivit.

   Valentin se retoura et continua d'avancer en pressant la pas. Quatre hommes armés de sabres et de pistolets les suivaient. Jéricho accélera et s'écria :

- Mon navire est juste là. Vite !
- On va avoir un problème.

   Jéricho se retourna. Leurs poursuivants s'étaient mit �  courir, tandis que d'autre arrivèrent.  
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« Répondre #5 le: 29 Décembre 2008 à 15:52:29 »

   En courant, Jéricho bouscula un homme.

- Fais gaffe quand tu court, connard !
- Achille !
- Capitaine, désolé. s'excusa Achille en relevant et essuyant Jéricho.
- C'est pas grâve. On peu partir ?
- Quand tu veux.
- Parf...

   Quand Jéricho le va la tête, il vit la Balafre pointé un pistolet sur lui.

- On rigole moins maintenant ! ricana celui-ci.
- chacun sont tour.
- Vous m'avez humilié devant mes hommes de mains et devant la populations. Je vais arranger ça.
- Un instant Darek. s'exclama une voie.

   Un homme en uniforme arriva. Devant son passage, les policier saluaient.


- Si tu tue cette homme, je ne pourrait rein faire. Trop de témoins.

   - Darek regarda autour de lui. La population s'était rassemblé. Jéricho regarda la foule. Puis, en regardant son navire, il vit que plusieur marins étaient près a intervenir. Darek reprit.

- Juste Gandalf, tu as raison.

   Darek releva son pistolet.

- Que proposes-tu frère ? demanda-t-il à Gandalf.
- Et bien, si tu le tue, je t'arrête. Si je l'arrête maintentant, nous sommes tous mort.
- Pourquoi ?
- Regarde le navire, l� .

   Darek regarda le navire désigné par son frère. Il n'eu qu'a lire le nom pour comprendre. En levant les yeux, il vit plusieurs matelot dans les hune avec des mousquets.

- Ah ! Vous êtes le fameux Black le Libérateur. celui qui combat pour la liberté depuis près de 20 ans.
- En effet.
- Et c'est quoi le problème si on le tue ? C'est un pirate. répliqua Darek énervé.
- Si tu le tue, on aura des grosses emmerdes. C'est un corsaire français. répondit Gandalf à son frère, tandis que Jéricho souriait.
- Bon. Black, je te propose un marché. Tu nous laisse Delacroix et on te laisse filer.
- Je ne sait pas si vous êtes en position de donner des ordres. Voil�  ce que je propose. Si l'un de nous meurt, ça fout la merde. Voil�  ce que je te propose. On se bat �  mains nu et le gagnant emporte Delacroix avec lui.
- A une chose près. On s'est déj�  affronté. Je propose que ce soit mon frère qui combatte �  ma place. proposa Darek tandis que Gandalf frimait en faisant crquer se doigts.
- Bien. Mais dans ce cas, je me fait remplacer aussi.
- Qui sera mon adversaire ? demanda Gandalf.
- Monsieur Achille Georges Edouard John Parcker.

   Achille rigola en regardant son adversaire, imité par plusieur hommes de la foule. Achille ôta son gilet en cuir et sa chemise. Gandalf parla discrètement �  son frère.

- T'es dingue ! T'as vus la montagne ? je me faire écraser. 
- Fais ce que je te dis, Gandalf.

   Gandalf retira son uniforme pour se mettre torse nu. les deux hommes se firent fasse, tandis que les policier dégagaient un espace suffisant pour le duel.  
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« Répondre #6 le: 29 Décembre 2008 à 16:11:26 »

Un homme regarda calmement l'affaire. Il sourit, heureux de pas avoir eprdu son temps dans cette taverne miteuse.
Quand le duel allait commencer, il se leva.


- Messieurs je vous prit d'arrêté cette ridicule démonstration de force! Je me présente Mikovic Andehanouf. Il prit son chapeau à plume et le posa sur la tête. Je suis l'un des agents de sa Majesté du Danemark.

Toutes les personnes de la taverne eut un haut le coeur, ils étaient tous impressionnés. Derrière le dénommé Mikovic huit hommes se tenaient, rapière �  la main, mais lame vers le sol, distingué malgré leur épaisse moustache ou barbe.
Cette troupe était l'équivalent des mousquetaires du roi en France, une sorte de corps de police politique.


- Black le libérateur? Dit il se poitant devant Black et mettant ses gants de cuir noir. Un regard et un sourire sadique sur son visage, il fit venir un borgne du groupe. Un homme grand, avec un bouc blond et un bandeau sur l'œil.

- Vous n'êtes pas en état de faire la loi ici! Vous n'avez rien fait d'illégale et vous êtes même en droit de vous défendre. Mais évitez de jouer les durs, un accident est si vite arrivé dans un port. Donc si il doit avoir un duel ca sera armé et avec comme arbitre et adversaire monsieur "Gunter".

Le borgne salua gracieusement de la tête Dark et Gandalf. Ce dernier était nerveux, la venu de ce genre d'homme était toujours signe de représailles.
Mikovic lui murmura quelque chose �  l'oreille.


-* Vous avez Compris? laissez le en paix. Je sais que l'honneur est une chose importante mais la diplomatie et les relations avec la couronne de France le sont plus!*
- Donc monsieur Black le libérateur Dit il sur un ton moqueur. Tenez vous au calme sinon ca sera par la demande de votre roi que vous sortirez de ce royaume. Je peux demandez votre arrestation pour la menace de vos hommes avec leur armes!
Réfléchissez!    
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« Répondre #7 le: 29 Décembre 2008 à 20:33:04 »

   Achille abaissa sa garde. Jéricho prit la parole �  son tour, pas du tout impressionné par les nouveau venu. Il eu même un petit sourir. Il redonna �  son amis sa chemise et son gilet.

- Remet ça et demande à tous de quitter les hunes et de redescendre les fusils dans la cale.
- Bien.

   Achille se rabilla rapidement et fila sur le navire. Quelque seconde après, les marins quittèrent les hunes pour redescendre les fusils �  la cale. Jéricho se retourna pour faire face �  Mikovic Andehanouf.

- Voil�  mes hommes calmé. Vous comprendrez qu'ils me défendent. Comme vous dîtes, je n'ai rien fait d'illégal contre la courrone du Danemark, et il serait regrétable que cel�  arrive pour un stupide incident, don je ne suis pas responsable.

   Andehanouf s'interrogea discrètement, se demandant ce qu'allait lui dire Jéricho.

- A vrai dire, je vous remercie d'être intervenu. Ainsi, nous resterons en bonne relation, car je n'aurais pas �  faire le bien en allant contre votre justice. Cependant jespère que vous ferez meilleur justice que certain, car il me semble que dans cette ville, la justice n'est pas si juste que cela. En effet, mon amis, monsieur Valentin Delacroix, honorable citoyen de cette ville, a été victime d'un odieux chantage.

   Jéricho se tourna et designa Valentin.

- Parlez sans crainte, nous ici en présence de personne digne de faire justice.

   Valentin s'avanca et commença a s'expliquer.

- Et bien, voil� . Il y a quelque temps, Darek Palek, est venu me trouver afin de me proposer de travailler pour lui. En vue d'un paiment que je qualifie de lamentable, j'ai refusé. Puis les choses se sont agravé.

   Valentin regarda les frères Palek, le regard haineux mais inquiet.

J'ai reçu plusieur lettre de menace, certain hommes de mains de monsieur Palek m'on déj�  frappé, ou on dégrédé ma propriété. En vu de cel� , je décide de déposer une plainte contre monsieur Palek. Malheuresement, rien ne fut fait. Le chef de la police de la ville, Gandalf Palek, frère de Darek Palek, n'a rien fait malgrès mes preuves. Comme j'ai continuer �  refuser l'offre de Darek Palek, celui-ci est venu me trouver me disant que si je refusait encore, il me tuerai, et ferai passer mon meurtre pour de la légitime défence, ce qui aurait été facile, avec le chef de la police comme complice. Aussi, grâce �  une seconde d'inatention, je parviens �  fuir et �  me réfugier dans une taverne, où je rencontre le capitaine Black.

   Valentin regarda Jéricho du coin de l'oeil, qui lui fit signe de continuer. Reprenant sont souffle, il reprit.

- Dans la taverne, Palek me retrouve. Alors qu'il s'apprète �  me battre, le capitaine Black prend ma défence, en se faisant insulter par Darek Palek, et comme monsieur Palek s'appettait �  frapper le capitaine Black, celui-ci se défendis en repoussant ses assaillant. Cel�  pourra être confirmé par de nombreux témoins. Comme Palek et ses hommes quittèrent la taverne, nous fîmes de même pour rejoindre le navire du capitaine Black, mais nous sommes interpellé par la police de la ville, qui n'avait rien �  voir dans cette affaire. C'est alors que Darek Palek provoque le capitaine Black en duel, avec moi comme enjeu. Afin de me défendre, le capitaine Black accepta. Ensuite vous êtes arrivé.

   Valentin souffla un coup et annonça qu'il avait terminé. Jéricho repris alors.

- Comme moi monsieur Andehanouf, je pense que vous voyez ici, en la personne de monsieur Darek Palek un homme aux mauvaise façon, profitant que son frère, chef de la police, afin de couvrir ses actes illégaux. Nous avons l�  un policier responsable de corruption et un homme coupable de chantage et de tentative de meurtre. Rassurez-moi et dites moi que cel�  est illégal, même au Danemark. Et jespère qu'un homme de votre rang saura régler ce problème.   

   jéricho termina sa phrase en regadant les frères Palek, mal à l'aise.  
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« Répondre #8 le: 30 Décembre 2008 à 12:31:49 »

L'homme écouta avec attention Valentin. C'était pour cette raison qu'il était venu, enfin presque, un noble de la ville s'était plaint de l'abus de pouvoir du dénommé Gandalf, il avait du faire son enquête et tenait devant lui une preuve flagrante.
Contre Darek il n'y avait rien �  faire mais pour Gandalf cela allait être une autre histoire...

Il demanda �  quatre de ses hommes d'emmener Gandalf, et son frère; les deux se laissèrent faire mais tremblés. Darek injuria le jeune Valentin et disparut de la taverne en le maudissant par les foudres divines.

Une fois le calme revenu Andehanouf parla avec son accent du nord, distingué mais puissant.


- Dark le Libérateur! Je vous prit d'excuser ce dérangement et je vous invites �  la table dans l'auberge du "Freiheit". J'aimerais connaitre pour des raisons de travail la raison de votre venu ici. On se retrouvera vers huit heures, l'église sonnera les huit coups.

Il parti en faisant sa révérence, suivit du reste de sa troupe. Sa présence fut commentée par de nombreuses personnes.
Pour Gandalf Palek il eut l'agréable surprise de n'être rétrogradé qu'au poste de chef de patrouille et de voir le dénommé Gunter devenir chef de la milice et des gens-d'armes ed la ville. Un coup dur pour lui mais il était bien heureux de ne pas avoir �  être envoyé sur les zones de conflits ou en prison, ce qui arriva �  son frère: une semaine �  l'ombre...
 
« Dernière édition: 30 Décembre 2008 à 12:39:26 par scar »
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« Répondre #9 le: 30 Décembre 2008 à 13:32:32 »

   Jéricho arriva enfin sur son navire. Les officiers accourrèrent tandis que les marins se levèrent pour tendre l'oreille. Hayes prit la parole le premier :

- Jéricho, c'est quoi l'embrouille ?
- Un différent avec la mafia locale.
- La mafia ?!
- Disons, un viking qui couvrent les crime de son frère, lequel menace les autre de les tuer. Mais justice �  été faites et je pense qu'il va y avoir des mutation au Groënland
- C'est qui ce type ? Demanda Jack
- Valentin Delacroix, un professeur de langue de la ville.
- Une recrue ? Questionna Hans
- En effet. Je pense qu'il ferai un bon aide-quartier-maître.
- Pardon ? Demanda Jack, le quartier-maître.
- Oui, je te propose ce monsieur afin de t'aider �  ta tâche. Avec ses connaissances en langue et en littérature, il pourra bien communiquer avec l'équipage.
- Pas mal. Il y a quelque type avec qui je ne peux pas parler. A part l'anglais et le français...
- Aucun problème pour ça maintenant. On pourra même recruter des chinois.
- Et bien merci.
- Alors monsieur Delacroix bienvenu �  bord. Je vais vous montrer l'équipe. Voici Achille, le second. Hayes, le bosco. Rolland, le canonnier. Enrique, le chirurgien. Hans, l'officier en chef des matelots. Yann, l'officier en chef des gabiers et voici Sabrina, l'officier d'intérim, un genre d'aspirant de la Royale. Et puis Jack, le quartier-maître.

   Valentin saluait les officiers au fur et �  mesure, et ceux-ci firent de même. Jéricho confia Valentin �  Jack, afin de lui faire visiter le bord. Ceci fait, Jéricho annonça �  l'équipage le prolongement du séjour �  Hanstholm, du fait de l'invitation que lui avait faîtes Andehanouf.  
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« Répondre #10 le: 31 Décembre 2008 à 13:16:14 »

   Jéricho était dans sa cabine, se préparant pour son rendez-vous. Afin d'éviter de se retrouver seul avec un "inconnu" qui sera surement accompagné de son épouse ou d'un autre membre de sa famille, Jéricho avait demandé �  Sabrina de venir.
   Jéricho avait passé l'après-midi �  nettoyer son manteau. Peu avant de partir, Jéricho et Sabrina avaitent pris un bain, profitant d'être �  terre pour utiliser de l'eau douce, et non de l'eau de mer.
   A 19h40, Jéricho et Sabrina quittèrent le navire sur leur 31. Sabrina était vêtu d'une belle robe rouge, une de celle que lui avait offert son père. Après quelque minutes de marche, Jéricho et sa fieulle arrivèrent devant l'auberge du "Freiheit". C'était une auberge bien entretenu, sans pour autant être très luxueuse.
   Jéricho regarda �  l'intérieur de l'auberge. Comme il ne vit pas Andehanouf, Sabrina et lui attendirent près de l'auberge. Jéricho regarda sa montre, il était 19h55.
 
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« Répondre #11 le: 31 Décembre 2008 à 14:26:16 »

Un des hommes que Black avait vu arriva, bien vêtu, portant un chapeau �  plume et une cape, laissant voir son épaulière droite.
Il demanda aux deux personnes de le suivre. Il montèrent �  l'étage, prenant le grand escalier qui était recouvert d'un tapis épais servant plus �  réchauffer cette pièce de bois et décrotter les bottes des riches que pour la décoration. 

Il les invita dans l'unique suite de l'auberge, deux salles dont la première était bien décorée malgré les murs couvert de planche de bois d'acajou. Il y avait une table au milieu, recouvert d'une nappe simple et blanche et cinq sièges. Il y avait déj�  un homme, que black n'avait jamais vu, il se leva pas pour accueillir les nouveaux venus. Andehanouf arriva charmant et salua avec distinction Black puis fit le baise main dans les règles de l'art �  la jeune femme.


- Vous avez amené eine femme! Je m'y attendez pas! je suis ravi de voir tant de délicatesse survivre en mer.
S'exclama t il avec son fort accent du nord. Il montra la table et présenta les deux personnes présente.
- Von Balrof le "mousquetaire" qui les avait accueillit. Et Whillem Borïen
- Un homme de  dieu un peu austère Murmura t-il �  l'oreille de la femme.

Tous prirent place, il avait l�  que des alcools et une potage. Les couverts étaient en argenterie, Andehanouf se vanta d'avoir put les ramener toujours avec lui,  les verres et le reste étaient bien raffiné mais pas autant que la porcelaine et l'argenterie.
La voix lente et rauque du Boreïn se fit attendre.


- Alors monsieur le libérateur pourquoi êtes vous venus dans notre royaume? Même les deux serviteurs du roi furent un peu gêné de cette entrée en matière.  
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« Répondre #12 le: 31 Décembre 2008 à 14:55:21 »

   Jéricho regarda les deux mousquetaire, puis fixa le religieux pour lui répondre.

- A vrai dire, pour plusieur raison. Suite �  un combat naval, il y a déj�  plus d'une semaine, nous avons pillé une flûte. Seulemnt, suite �  un coup peu sportif, mon équipage se retrouva emputé de moitié. De plus, j'avais plusieurs prisonniers �  mon bord. J'ai donc choisi d'accoster au port neutre le plus proche, ici. L� , j'ai libéré les prisonniers et recruté. Cela m'a également permis de récupéré des français, qui furent fait prisonniers par les anglais ou les hollandais, et ensuite libéré ici.

   Jéricho se réhaussa sur son siège, attendant les réactions de ses interlocuteurs.  
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« Répondre #13 le: 03 Janvier 2009 à 18:20:30 »

*- Hum parfait il nous débarrasse de la vermine grouillante * Baragouina l'ecclésiastique dans sa barbe et sa langue; les deux bretteurs et homme du roi regardèrent d'un mauvais œil l'homme en noir. Andehanouf prit la parole.

- Mais sans trop d'indiscrétion, mais c'est mon devoir et ma curiosité qui me fait vous demander. Quelle était la nationalité de ce navire?
- Le Black Shark �  une histoire complexe. Il fut fabriqué �  Brest en 1682, il est donc français �  l'origine. Mais il fut volé par les corsaire britannique en 1683, quelque jours avant sont départ. A cette époque, j'étais dans la royale ecomme aspirant et quartier-maître. Le Black Shark nous attaqua, mais nous réussîmes �  le neutralisé. Comme notre navire était perdu et que j'était le dernier officier, j'en devint le capitaine, avec le soutien du des quelque survivant de mon équipage, c'était en 1687, j'avais 15 ans. Ensuite nous devinrent des corsaires pour la Couronne de France.

- A 15 ans capitaine. J'ai du mal �  y croire, surtout avec le soutient des hommes. Le maitre de table, regarda longtemps Black pour lui aucun doute cet homme si �  15 ans était devenu capitaine c'était par la piraterie. Les hommes sont trop intéresses par le poste de capitaine pour laisser un jeune homme sans toute leur expérience de la mer et aussi trop immature pour la gestion de la vie d'un navire prendre le dessus; sauf si celui ci le fait de force. DE toute manière c'est �  l'état major de la marine de choisir ses capitaines pas aux équipages...
Cette pensée traversa aussi l'esprit de l'homme en noir, il sourit �  cette fable, comme si la chance lui souriait.


- Moi aussi! Mais vous devez avoir une grande connaissance des caraïbes.

- Pour vous dire, je me suis engagé �  10 ans. Mon navire était rattaché en Guadeloupe, je parcoure les Caraïbe depuis près de 25 ans. En en ce qui concerne mon expérience de marin, j'ai commencé �  naviguer sur le navire de mon père �  7 ans.
   
   Jéricho s'imagina la question que se posaient ses ôtes. Comment peut-on être capitaine �  15 ans ? Jéricho anticipa.

-J'étais presque officier lors de l'attaque du Black Shark, j'était le quartier-maître, les hommes m'appréciaient, et comme on n'était plus que 20 �  la fin, je profita de la situation pour quitter la Royale et me faire pirate et corsaire. C'est vrai qu'au départ, c'était délicat. L'équipage était composé de plusieurs baroudeurs qui attendaient la première occasion pour me prendre ma place. Heuresement, certain plus âgé et avec plus d'expérience me firent confiance, mais j'ai quand même du faire mes preuves. Mais ce navire est �  moi, je l'ai gagné. Quand je suis devenu capitaine, c'est parce que mes hommes m'ont choisis. Et ceux qui voulaient me voir partir n'étaient pas si nombreux, et j'avais des défenseur de poid, notement un ancien capitaine de vaisseau contrebandier.

   Jéricho les regarda tous le trois, écoutant.

Tous le regardèrent abasourdit puis les deux hommes d'armes se mirent �  applaudir autant la vie d'aventure que la franchise de cet homme. Adenahouf était même fier de l'avoir rencontré, c'était sans conteste l'un des homme les plus grand et noble d'esprit qu'il avait rencontré.

Il changea de conversation allant lui aussi vanter ses fait d'armes; étonnamment souvent fait avec humour.

   Jéricho et Sabrina écoutaient avec attention, rigolant �  l'humour du "mousquetaire danois". Jéricho racontat également plusieur anecdote. Comment il perdit un doigt durant la Guerre de la Ligue d'Ausbourg, comment il fit sa première prise, comment il envoya la Sagradda Familia par le fond, il y a quelque temps seulement.

La soirée se passa calmement et avec joie.
 
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Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã�  dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
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« Répondre #14 le: 04 Janvier 2009 à 17:57:36 »

Alors que le repas était finit, durant la fin ils avaient tous discutés des affaires de Black, et que tout le monde se saluait, l'homme de dieu prit �  part black, il s'adressa �  lui en français, un bien meilleur français que celui d'andenahouf. C'est vrai qu'�  cette époque il était bien vue de savoir parler français.

- Ecoutez moi, jeune homme; j'aurais un service �  vous rendre. Rassurez vous rien d'illégale, enfin de moralement interdit, et comme vous êtes un capitaine français je peux vous le demander car vous y arriverez sans soucis.

   Black le regarda, il se méfiait de cet homme, ce dernier posa une main amicale dans son dos pour l'entrainer �  part.


- Vous le savez je suis protestant, et dans votre royaume l'Edit de Nantes a été renié par votre maudit roi Louis XIV! Enfin excusez mais je critique l'homme de foi et non le roi...
Il resta un moment gêné puis sourit, un sourire sadique.
- Black le Libérateur ? Vous devez être un homme tolérant envers les églises ?

   Jéricho sourit. Il regarda le religieux et répondit.

- Vous avez raison. Je n'ai jamais compris la révocation de l'Edit de Nantes. Beaucoup de protestant sont déj�  partie se réfugier aux Caraïbes, où il est plus simple de se caché des autorité. C'est une des chose que je reproche fortement �  Louis XIV. Ce que vous allez me demander, c'est de ramener ici des protestants de France ?

- Non, je vous demande d'emmener quelqu'un �  Brest; rien de plus et de prendre contacte avec la communauté protestante de la ville. Il saura vous aider.
- Bien, d'accord, j'accepte. Je ferai escale �  Dunkerque au retour, mon port d'attache, j'irai �  Brest ensuite. Quand pourrais-je rencontrer mon passager ?
- Ce soir je vais vous accompagner ce soir �  cet homme. C'est un ami très chère il se nomme Dorian Bepellier, il est français mais malheureusement parle très peu le Danois; c'est grâce �  lui que j'ai une si bonne maitrise de votre langue.    
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