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Auteur Fil de discussion: Survivre et s'enfuir  (Lu 26391 fois)
scar
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« le: 21 Décembre 2008 à 11:27:28 »

hrp: bon c'est le poste de la quête de survival horror, les joueurs pourront y participer si il me demande...
le groupe des survivants:
Martin Rapsodie(scar)
Santos Antonio juan (victormcbernick)
Noémie Valois (Black)
postes non occupé:
Simon Tafol
Valentin Samuel Dawn
Poste d'ouverture


La ville était maintenant déserte il ne restait plus d'âme qui vivent, en effet malgré les êtres qui se mouvaient dedans aucun semblait encore vivre.
Enfin presque, malheureusement alors qu'au loin les hélicoptères s'en allaient avec le reste des survivants, bien maigre nombre et les militaires eux aussi en deuil, une troupe d'homme était encore dans la ville.

La nuit couvrait la ville de son voile donnant �  la situation un air encore plus lugubre, de certain coin de la ville de la fumée s'élevait, témoin des zones de combats où pour tenter d'éradiquer les menaces de ce qu'on appelé les hordes, les zone savaient été bombardé au napalm. Une odeur de chair brûlée s'échappait de ses charnier de corps carbonisés.

Dans un garage d'un gratte ciel se tenaient les dernières personnes respirant encore. Ils étaient barricadés entre trois voitures, autour d'eux quatre autres hommes morts et plus d'une vingtaine de ces choses déchiquetées par les balles.
L'endroit était sombre éclairé seulement par les lumières rouges de secoure du garage et les faisceaux des lampes des armes, on pouvait voir le projeté des ombres, seulement des voitures mais la peur d'y voir un "homme" voire un mutant se ressentait   dans le groupe. CE qu'ils appellaient mutants étaient des morts qui avaient eut des mutations et se trouvaient ainsi mutilé et transformé possédants une résistance hors du commun, alors que les autres tombé comme tout mortel sous quelque balles, certain avançaient le ventre presque coupé en deux, d'autre avaient des tentacules ou des pinces ou autres choses tout droit sortie des films d'honneur.

Mais rien juste le silence. L'un des hommes, le plus âgé sorti et alla sur le cadavre d'un des soldats totalement dévoré �  la forge par un cadavre qui tenait encore entre ses dents la chair du soldats. Il prit son arme de soutient une PKM, mais heureusement elle était hors d'usage, elle aussi détruite par la rage des morts.   


- Faut se bouger d'ici!
- Comment gars? On a peut entendre dans les haut parleurs l'annonce que les soldats se tiraient! Rétorqua Martin, qui s'avanca aussi l'air nerveux et mauvais.
- Soit on reste ici soit on tente nos chances! faut trouver un moyen de partir ou de communiquer!
- Impossible dit le soldat. La ville est sous brouillard magnétique il a fallut des hélicos capable de résistance �  un champs magnétique plus dense pour y entrer, toute nos ondes seront brouillées! On est coincé
- On va mourir! S'écria l'employé de bureau.
- Non Hurla le vétéran, sa voix résonna dans tout le garage, on resta sans rien faire les armes pointés, mais rien ne vint. On va pas se laisser crêver ici! faut se battre! J'ai connus très jeunes le vietnam et la guerre du golfe, on a put être abandonné par notre pays mais pas par nos forces intérieures!

On y va!

le ton  était presque un ordre, il se leva posa son fusil sur son épaule et regarda ses compagnons de fortune. sûr qu'il y allait, seul si il le faut, mais les autres le suivront-ils?  
« Dernière édition: 21 Décembre 2008 à 15:05:08 par scar »
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Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã�  dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
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« Répondre #1 le: 21 Décembre 2008 à 13:56:46 »

Noémie regarda le soldat prêt �  partir. Puis elle regarda les autre membres du groupe. Elle se leva a son tour.

- On peux rester ici. Mais ça ne servirai �  rien. On finirai par crever de faim ou de je ne ces pas quoi et on se ferai buter tranquile. Si on sort, on se découvre, mais on peu toujours trouver de la bouffe et avec un peu de chance un moyen de quitter la ville. De toutes façon, entre rester l�  et crever �  coup sur, et partir et avoir une petite chance, moi je part.

La jeune française attrapa son F2000 et rejoignit le soldat.  
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« Répondre #2 le: 21 Décembre 2008 à 14:17:04 »

San antonio juan se leva et prit son arme, c'était un fusil britanique, un BAR M1918, utiisé pendant la 1ére guerre, Il s'avanca et regarda le carnage, un corps décompose par les vers par ci, une voiture brulé par la, il essayait de se rappeler pourquoi il était la, les choses lui revinrent peu �  peu, sa mission qui était d'assurer la sécurité de l'île, ses supérieurs qui l'avaient envoyé il y'a 2 ans, les soldats qui fuyaient la ville, il prit son arme et son sac dos, puis suivit la fille.
Il connaissait cette île par coeur, il en a été le médecin pendant 3 ans, il connaisait les endroits ou se cacher, il se retourna et parla au groupe.
je connais un endroit ou l'on sera tranquille pour la nuit, vous me suivez?
Alors qu'il parlait, un bruit se fit entendre dans les buissons, Tout le monde braqua son arme sur ceux-ci.  
« Dernière édition: 21 Décembre 2008 à 14:54:43 par victormcbernick »
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« Répondre #3 le: 21 Décembre 2008 à 14:33:27 »

Dawn regarda les deux soldats, ils avaient pas la force de volonté que lui avait eut durant ses combats... Mais ils avaient raison, il avait eut raison de les motiver.
Talfo les regarda et dit dans un murmure.


- je pense que j'ai pas le choix...
- Ta cachette est proche? demanda Samuel qui sans même attendre commença à marcher.
- Tu nous y mèneras!

Il marcha lentement, droit l'arme au poing le canon devant lui, Martin alluma sa lampe et avança juste derrière le vétéran.
- que l'un d'entre vous surveille nos pas, et protège nos arrières. Et toi Martin éteint ta lampes faites tous de même! faut économiser les piles l�  où on peut.

Martin obéissa sans hésiter et eut les deux mains libre pour tenir son famas.

Le garage était vide et silencieux, ils devaient soit monter par le chemin des voitures où l'escalier ce qui était le mieux. Un panneau indiqué l'escalier de secoure �  deux cent mètres �  gauche, on pouvait voir dans le noir la lumière rouge indiquant l'escalier. 
 
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« Répondre #4 le: 21 Décembre 2008 à 15:14:46 »

antonio regarda le civil dans les yeux et lui répondit:
trés loin, c'est une église qui se situe de l'autre côté de la ville, enfin, on peut aussi monter et on verra après, il y'a aussi des habitations
Les survivants partirent, mais quand il atteignirent la sortie, une horde de zombie détruisit la porte, antonio et tout le reste du groupe tirèrent sur eux, mais un zombie le prit avec sa langue et l'homme lâcha son arme. Antonio se débattit mais il ne pouvait rien faire, le zombie l'entrainait de plus en plus vers lui.  
« Dernière édition: 21 Décembre 2008 à 15:27:58 par victormcbernick »
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« Répondre #5 le: 21 Décembre 2008 à 15:27:24 »

Noémie couvrait les arrière du groupe, l'arme �  la main. De temps en temps, elle placait son oeil dans la lunette de son fusil d'assaut, laquelle pouvait fonctionner en vision nocturne. Marchant plus ou moins �  reculons, elle pointait son arme dans de nombreuses directions, prêt �  tirer.

Noémie avait déj�  une certaine expérience de ce genre de situation, où l'on doit protéger un groupe de civil en terrain hostile ; expérience aquise lors de ses début dans l'armée, lors de la Guerre du Kosovo et plus tard lors de l'Opération Licorne, en Côte d'Ivoire, mais également lors des diverses opérations de contre-terrorisme, où chacun doit veiller sur le reste du commandos.

Soudain, la porte éclata et plusieurs zombie apparurent. Noémie se retoura, s'accroupit et tira. Soudain, un zombie attrapa Antonio avec sa langue. Malgrés l'agitation du médecin, le zombie ne lachaient pas prise. Noémie lâche son F2000, sortie son Desert Eagle, visa et tira dans un grand bruit. La balle transperça la tête de zombie, ce qui lui déchicta le crâne. Antonio s'empressa de revenir près du groupe, tandis que Noémie repris son F2000.


A peine eu telle ramasser son arme que des bruits arrièvrent par derrière.

- Attention derrière ! cria-t-elle.

A peine eu telle tiré trois balles qu'une planche lancé par un zombie l'assomma.  
« Dernière édition: 21 Décembre 2008 à 15:35:12 par Black »
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« Répondre #6 le: 21 Décembre 2008 à 15:39:50 »

Antonio courut vers la maison et remercia Noémie de l'avoir sauvé, l'homme reprit son fusil et tira sur un zombie, il eut a peine le temps d'avertir Émilie, que l'un d'entre eux lui lança une planche dessus, antonio s'approcha du zombie et le tua avec la crosse de son arme, il prit son pistolet et l'un des zombies s'écroula �  terre, le reste fuya et antonio alla voir noémie.
ca va,dit-il, vous n'avez pas d'hématome trop grave dit-il pour la rassurer.
le groupe de survivants s'aventura dehors.
l'église est de l'autre côté de la ville, mais il y'a un laboratoire sur une colline pas loin d'ici, que diriez-vous d'aller la bas?
antonio avança avec précaution, en longeant le mur d'une maison, il se rendit compte que sa boite de cartouche était tombé de sa poche.
je n'ai plus de cartouche, elle ont du tomber de ma poche dit-il
Il pesta contre lui-même, et les survivants continuèrent d'avancer.  
« Dernière édition: 21 Décembre 2008 à 15:45:33 par victormcbernick »
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« Répondre #7 le: 21 Décembre 2008 à 16:33:40 »

Noémie s'était relevé. A travers le noir elle distingua un zombie et le tua d'une rafale. Malgrés son casque qui l'avait protégé d'une blessure, elle restait un peu sonné. Elle suivit le reste du groupe au dehors du bâtiment. Suivant Antonio de près elle remarqua aussi qu'il n'avait plus de munitions.

- Prenez mon pistolet. C'est un Deser Eagle calibre .50, un pistolet de fabircation israélienne. Chargeur de 9 balles de gros calibre. Il est assez précis mais le recul est important, faite gaffe en tirant, je vous conseil de le tenir �  deux mains. Il est chargé, voici 4 chargeurs. J'en ai encore 2 si besoin.
- Merci beaucoup.
- De rien, si je vous trouve une arme plus conséquente, je vous la prend.
- D'accord.

Noémie retourna couvrir l'arrière du groupe, tandis que Antonio, suivit de Dawn, continuait d'avancer.  
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« Répondre #8 le: 21 Décembre 2008 à 16:48:14 »

Tout avait été si calme et sombre avant cette attaque, où la porte en fer s'était ouvert avec une telle violence qu'elle en était presque sorti de ses gondes. Sans hésiter Dawn tira le premier suivit de tout les autres, rapsodie le fit plus nerveux que conscient.
Le garage s'illumina par éclairs des tirs, les coups résonnaient et les créatures s'écroulaient juste après être passé par la porte. Après que la dizaine de zombies furent exterminé tout redevint calme.

Dawn s'avanca et observa un des cadavres, vraiment pourri. Soudain venant de derrière eux, un énorme cris tous se retournèrent ils entendirent quelque chose grincer puis une voiture venant de trois rangées de voiture plus loin volant par dessus et s'écrasa sur une ford noire dans un vacarme assourdissant.  On ne voyait pas la chose responsable de cela mais on entendait son pas, lourd et violent on balya la zone d'où provenait le bruit.

Tafol trembla il voyait le projeté de l'ombre, une énorme masse. Souadain la chsoe sauta sur une voiture enfonçant son capot et son moteur de son poids, il vit les survivants. Dawn calmement visa et tira dans la tête, la balle qui aurait du normalement faire éclater la tête de ce qui avait été un humain entra mais ne fit rien. la chose hurla et ouvrit sa petite mâchoire frappa du poing faisant voler le capot de la voiture puis elle fonca vers les survivants qui commencèrent tous �  tirer mais cela n'arrêté en rien leur cible qui défonçait les voiture qui séparaient la bête des humains.
Quand les chargeurs devinrent vide, tous furent envahit par la peur.

vite l'escalier hurla Noémie! Tous courirent sautèrent par dessus les cadavres et commencèrent �  monter l'escalier de fer en rechargeant. l'endroit était haut mais très étroit ils ne pouvaient fuir que par les autres étages. La créature s'avança et défonca le mur, envoyant des débirs dans un nuage de poussière... 
 
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« Répondre #9 le: 21 Décembre 2008 à 17:07:54 »

Le groupe s'enfonça dans le bâtiment. L'horrible monstre défonça le mur pour entrer. Noémie s'arrêta, fit passer tous le monde devant elle.

- Allez ! Vite ! Vite !

Quand elle vit qu'elle était la dernière, elle dégoupilla un grenade au phosphore et la lanca près du monstre.


- Déguste-ça sale bête !

La grenade explosa et le monstre hurla suite �  plusieur brulure. Malheuresement, malgrès la douleur, il réussi �  passer.

- Oh Oh ! Merde !

Noémie courra rejoindre les autres. Le groupe l'avait attendu un peu plus loin. A travers le noir, elle le retrouva et tous se remirent �  courir.

- Si seulement j'avais un RPG ou un LAW. pensa Noémie.  
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« Répondre #10 le: 21 Décembre 2008 à 17:18:56 »

Les survivants étaient passés �  deux étages et s'étaient retrouvés au rez de chaussés du bâtiment, par chance juste �  temps car le poid du monstre avait fait cédé l'escalier qui s'écroula derrière eux dans un vacarme de fer, brisant le silence. 

- Ouf! C'était quoi ce truc! Dit Simon les yeux grand ouvert par la peur.
- Chait pas mais il est mort. Dit Valentin en s'asseyant un moment et baissant la garde. Mais il faisait erreur, la porte éclata et on put voir la bête se hisser elle n'était pas tombé par on ne sait quel miracle.
Le groupe la regarda se hisser, le corps humant par les brûlures, la musculature sur développée, osant rien faire, Martin pointa son Famas sur elle, les mains tremblantes.

La créature avait presque finit son ascension. Noémie réagissa en premier tira trois balles mais elle recut en réponse un coup qui la pojetta contre le mur, sa tête heurta le béton. valentin se leva et avec tout le groupe tira un feu si fourni que la chose ne put avancer, Martin visa les pieds.

Les balles tranchées la chair et arraché des morceaux d'os, Valentin le regarda et souria malgré sa peur il fit de même. En effet en quelque pas la monstre eut les pieds déchirés et son corps tomba lourdement mais il n'était pas mort. Mais la puissance des impactes le projetta en arrière et il retomba de nouveau. Cette fois on peut entendre l'être tomber dans le vide et s'écraser sur les restes de l'escalier.

Martin et simon coururent �  la porte et vidèrent leur chargeurs en bas pour s'assurer qu'elle était morte, la cage d'escalier totalement obscure s'illumina un moment mais Dawn leur ordonna de s'arrêter.


- Gars tu es pas un génie! Bien joué pour ton idée de lui trancher les pieds mais maintenant il te reste des balles? Martin le regarda gène. Prend le fusil �  pompe de la fille elle va pas s'en plaindre...  Comment elle va sergent?

- Appelé moi Antonio... Dit le médecin penché sur le corps de Noémie.Elle va rien juste un peu choquée, elle saigne de la tête mais c'est juste une déchirure de la peau riend e grave un bandage pour éviter que ca saigne et ca suffira.  
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« Répondre #11 le: 21 Décembre 2008 à 17:32:50 »

Antonio avait assisté a toute la scène sans pouvoir faire quoique ce soit, il était resté paralysé a la vue du monstre, heureusement, le reste du groupe l'avait abattu.
Il alla voir la jeune fille et s'aperçut qu'elle avait un hématome, certes pas trop grave, mais qu'il fallait soigner, un civil lui demanda
- Comment elle va sergent?
l'homme put uniquement lui répondre
- Appelé moi Antonio...Elle va bien juste un peu choquée, elle a un hématome �  la tête mais la peau n'a pas trop gonflé, un bandage pour éviter que ça saigne devrait suffire.

Antonio repris la parole pour dire:
Le laboratoire est la bas tout en indiquant une sorte de manoir puis il repris, nous pourrons faire le plein de munition tout en nous reposant  
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« Répondre #12 le: 21 Décembre 2008 à 17:40:11 »

Noémie se réveilla et vit que Valentin avait prit son fusil �  pompe. Elle lui donna les munitions appropriées.

- Il me reste 5 chargeur plein, mais j'ai aussi 2 chargeurs vide que je peux remplir avec du 5,56 OTAN. On en trouve sur tout les type de fusil d'assaut. Si j'en trouve je vous en donnerai, monsieur Dawn.
- Compris. En route �  présent.

Le groupe se remit en route vers le laboratoire.

hrp : En vu des vacances de noël, je laisse le soin �  Scar de gérer mon personnage. Je vous souhaite �  tous un joyeux noël.  
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« Répondre #13 le: 22 Décembre 2008 à 14:34:27 »

Le groupe était sur pied, tous se tournèrent vers antonio, baissant cependant par leur garde.

- A vous de nous conduire! Dit noémie calmement.
- Vite y a pas de temps à perdre! rajouta Talfo.
- Calme et silence! C'est comme une guérilla ici, comme le vietnam ou les guerres d'amérique du Sud. dit Valentin, en mâchant rien du tout. Il sortit son paquet de cigarette. Le regarda, plus que cinq! Pas maintenant ca va me gêner, faut que je tiennes. Pensa t il.

Le hall était large, haut de trois étages, avec un balcon dans le hall face �  la porte d'entrée: une baie vitrée de quatre mètres de haut. Les portes étaient cassés, des morceaux de verre répandu un peu partout. 

- Ca sert à rien de rester ici allons y lentement! Dit Noémie allongeant le pas. Le groupe avanca lentement vers la rue, regardant partout. Leur pas n'étaient pas silencieux, chaque fois qu'ils posaient le pied, les morceaux de verre craqué sous leur semelles heureusement épaisses.

La rue, très large faite d'une rue �  double sens et de troitoir large de plus de trois mètres chacun, était un décor chaotique, le ciel était sombre, la nuit couverte. Seul quelque lampadaires marchaient encore, illuminant d'un rayon léger la rue, couverte de débris et d'impacts de balles. Les voitures étaient renversées pour la plus part, les vitres brisées, les carrosseries défoncés. Il y avait eut un combat ici et �  voir les voitures, la police avait intervenu au début des évènements. Prêt de la voiture on pouvait voire par l'irrégularité du sol des cadavres sans aucun doute des policiers et des mutants. La plus part des fenêtres des bâtiments étaient en ruine.
Les arbres étaient les seuls sauvés du massacre, dénudé de fenêtre, certains étaient marqués des coups.

le groupe n'avait plus qu'�  suivre antonio, dans cette endroit silencieux   
 
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« Répondre #14 le: 22 Décembre 2008 à 20:05:04 »

Antonio avançait lentement, il ne voulait pas tomber dans un piège. Il marchait lentement, en pointant son arme sur tout ce qui bougeait, finalement, le groupe atteignit le laboratoire.
Antonio posa son sac et en sortit une couverture, avant de rajouter:
Je vais monter la garde la 1ére partie de la nuit
Il se mit la couverture autour des épaules et alla monter la garde.


   
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