Quai du port de la colonie de Plymoth

[GorRilLa]

La terre était en vue, et je prévint les hommes qui ne réalisait pas encore notre arrivée �  Montserrat qu'ils devraient se préparer et armer leurs pistolets, car nous n'étions pas l�  pour festoyer. Chaque homme se prépara du mieux qu'il put et un peu en catastrophe, mais tous étaient près �  notre entrée au port. Tous étaient armés, mais il était normal d'être armé en ville, surtout �  cette époque où le vol et la rapine avait autant lui en mer que sur terre.

Le capitaine Dorian monta sur la dunette. Il regarda un instant l'île volcanique, puis demanda aux hommes de se rassembler devant lui. Après qu'ils soient tous devant ses yeux, il prit la parole.

- "Chers amis, il y a encore quelques jours, ce n'était qu'une supposition, maintenant on peut en être sûr ! Certains de ceux qui faisaient partie de cet équipage de marins de pacotille de pourfendeurs de liberté, de vieilles morue mal dessalées, ceux-l�  même qui ont tué feu notre capitaine Deker, on m'a apprit a La Tortue que depuis l'attaque ils s'étaient réfugiés ici, �  Monserrat ! Ce n'est pas seulement par vengeance que nous allons faire ça, c'est aussi par devoir, pour tout ce que nous devons �  Deker ! C'est grâce �  lui que nous sommes ce que nous sommes aujourd'hui, nous sommes libres, rattachés �  aucun roi, aucun gouverneur, aucun de tous éléphants vautrés dans leur richesse qui les pourrit �  en mépriser jusqu'�  leur propre mère. Oui mais amis, si aujourd'hui nous ne sommes rattachés �  personne de cette espèce c'est grâce �  lui, mais �  présent nous sommes tous orphelins et ce que nous allons faire ne changera en rien ce qui est arrivé, mais désormais, avant de s'en prendre �  n'importe quel membre de cet équipage, de son capitaine �  son mousse, de la vigie au charpentier, nos ennemis y réfléchiront �  deux fois, et ils sauront qu'ils ne seront alors plus jamais sereins et qu'�  chaque instant où ils pensent être tranquilles, nous pourrons leur faire payer !  A présent, c'est aux hommes baleines �  qui je veux m'adresser ! Comme je l'ai dit au jeune Achab, rien ne vous force �  venir avec nous, et cette action ne nous rapportera aucune gloire car nous allons être plusieurs fois supérieurs en nombre face �  ceux pourritures de cadavres décomposés, mais cela sera un symbole, choisissez, suivez nous et vous serrez désormais des nôtres, où restez ici, je ne peut pas vous promettre de ne pas vous en vouloir mais se serait compréhensible ! Maintenant, pour tous ceux qui le souhaitent, en avant, et trouvez moi ces rats puants qu'on en finisse !
- Baleiniers nous ne le sommes plus mes amis, armez vous et préparez vous �  la chasse aux assassins, pirates!"

Les anciens baleiniers hurlèrent en s'armant de leur sabres et pistolets. Dorian réfléchit quelques instants, puis déclara.

- "Stringfelow, tu pars avec cinquante cinq hommes. Achab, vous emmènerez un autre groupe. De combien d'hommes avez vous besoin?
- Mes baleiniers me suffiront, si les traitres ne sont qu'une vingtaine.
- Une quinzaine d'hommes vous accompagnerons. Ils vous aideront �  identifier les couards. Un troisième groupe  de cinquante cinq hommes partira lui aussi avec moi. Ratissez moi cette foutue ville et trouvez moi ces raclures ! Il est hors de question qu'ils s'échappent !"  

[scar]

Un homme vint après que le navire soit accosté et que les groupes soient parti.

- Je suis l�  pour enregistrer votre navire �  quai! Nom du capitaine et motif de votre venu?  L'un des marins le regarda appuyé sur le ratelier et dit.
- Je suis pas le capitaine, le capitaine est l'homme l� -bas, le capitaine John Dorian.
- Appelez le s'il vous plait

- Capitaine Dorian, cet homme veut vous parler, pour le registre semble-t-il.

Le capitaine arriva et regarda le commissaire du port et son aide, scribe.le-quel, le manchot ou le guindé ?
- très drôle monsieur... Veillez respecté ce que je représentes: la loi! seriez vous contre elle? Le capitaine sembla gêné, c'est vrai que dans ce port il n'était pas la loi, le commissaire avait plus de pouvoir que lui et même plus de prestance que lui.
- Mais point du tout, nous ne sommes que d'humbles marchands novices tout droit venu de Grenade, nous souhaitions juste faire l tour des échoppes de la ville �  la recherche de quelques associés. (Réalisant qu'il perdrait dans l'affaire surement le peu d'argent qui lui resté en marchandage, si cet homme venait �  le faire suivre durant le séjour)
-marchand? votre compagnie je dois l'enregistrer. C'est plus sûr pour préserver votre bien contre tout acte de piraterie
-Je comprend cela, mais voyez vous, comme je l'ai dit nous sommes plutôt novices, je viens de racheté ce bateau, heee navire �  un négrier désormais �  la retraite Voyez vous mon brave, je suis le fils d'un marchand de navire au sud des colonies anglaise d'Amérique, mais le malheur �  décidé de nous priver de notre père suite �  une longue maladie de-laquelle il ne s'est sortie et je n'avais alors d'autre  choix que de revendre l'affaire familiale, pour pouvoir continué a subsisté moi et ses employés que vous voyez ici

-Vous avez pu acheter vous même ce navire? vous n'avez pas d'armateur? cela est fou! S'étonna le commissaire en regardant avec des yeux ronds le capitaine, étrange c'était le mot qui lui passa �  l'esprit.
Tout vendre pour devenir marchand indépendant, un contrebandier ou un pirate c'est certain surtout que tout ses hommes sont partis bien vite...
Il haussa les épaules et fit signe au scribe d'écrire.
-bon votre nom et celui de votre navire s'il vous plait?
Sans hésiter capitaine dorian répondit tout naturellement.
Norris, Chuck Norris fils du regretté Aaron, commerçant, marchand, je fais ce que -je peux pour subvenir �  mais besoins et celui de mes hommes, d'ailleurs noble monsieur, si un jour vous où un de vos proches nécessite quelques bien que se soit si monsieur désire que je me charge de l'affaire
Le Ponan et son équipage seront ravis de vous satisfaire
-merci monsieur Norris. alors je vais faire une inspection du navire et je vous souhaite bon séjour dans notre port!
-Mais faites dont, je vous laisse quelques uns de mes meilleurs hommes, pour vous accompagner, il serait mal venu qu'un malheur vous frappe vous aussi !
le commissaire lança un regard haineux �  dorian, il envoya le scribe chercher l'aide pour la visite. C'est certain que la venu de ceux Norris ou qu'importe son nom allait pas être favorable pour la colonie.
plusieurs marins descendirent du navire.

-Voici les hommes qui resterons en votre compagnie, ce sont d'anciens baleiniers, mais malheureusement, ils ont été forcé s de quitter leur ancienne activité, et je les aide donc en leur procurant un métier, ils ont toute ma confiance, voyez la suite avec ces messieurs, pour ma part, les affaires n'attendent pas !

Le commissaire et l'aide montèrent avec les trois hommes, lançant le scribe allait préserver le registre contenant encore une trace de l'histoire de la colonie.
   

[GorRilLa]

Je faisais visiter le navire au commissaire et �  son scribe. Rien de suspect n'était �  bord du navire, quasiment neuf et donc vide. Nous n'étions que l'équipage d'un bateau marchand vide et en quête de nouvelles affaires. Le commissaire parut satisfait de sa visite et prit congé de ma compagnie, l'air mécontent de ne pas avoir trouver de quoi poursuivre le capitaine Dorian. Je m'empressais alors de redescendre �  terre et d'essayer de retrouver le capitaine, que j'avais vu partir seul, en terminant la visite du bateau. Je partais donc avec les frères Perth pour retrouver le capitaine.