3GM Chapitre I : Tempête en Amérique

[Black]

   31 décembre 2009, 23h40. Le monde vient de connaître de grand boulversements. Suite à une vague de terribles attentats depuis le mois de juin, le monde vie dans la peur. Avec la nouvelle année, et aussi la nouvelle décénie, le monde espère que cette "Année noire" ne durera pas.

   Cuidad de Guatemala, capitale du Guatemala. La nuit est calma malgré la situation. Les patrouilles ont été renforcé. En effet, depuis des année le pays est en proie aux attentats des Brigades de Staline. Par cette nuit fraiche, un soldat patrouille le long du Palais du gouvernement, son arme à la main.

   Le soldat avancait tranquilement. Celui-ci arriva à un angle de rue. Il tourna à droite. Puis, sans aucun, bruit, il fait un vol plané en arrière sur plusieur mètre, le crâne fracassé par l'avant. Très vite, un groupe d'homme arrive, armée de AK-47, de Uzi ou de MP-5.

- En avant, vite ! dit l'un deux, armée d'un AK-47.

   Le groupe hostile avanca prudement. Un des hommes ouvrit la grille du palais, et le groupe pénétra dans l'enceinte. En marchant dans l'allée, ils croisèrent un corp, mort. Puis, le goupe ouvrit la porte avec violence. Un garde surpris se retourna, mais il n'eu le temps de rien faire qu'il prend plusieur rafale. Rapidement, l'alerte et donné.

   Pendant une demi-heure, des coup de feu retentir. Puis, quand le combat fut fini, quelques hommes sortirent du toit du bâtiment. L'un d'eux s'écria :

- Victoire, camarades ! A nous la victoire !

   Alors que c'est allier s'occupaient de hisser un drapeau de l'URSS modifié, la plupart des combattant se mirent à chanter haut et fort leur hymne, l'Internationale communiste.  

[Black]

   Alors que le Guatemala voit un important changement politique, �  Bayonne, dans l'ancienne citadelle de Vauban qui sert de base au 1er RPIMa, on s'amuse devant la nouvelle année.

Les entrainement furent suspendus, et les hommes avait eux droit de s'amuser. Il était presque 13h en Europe, quand Alexandre entra dans une salle. Quand il entra, il y avait de nombreux qui s'amusait et regardait un matche de football �  la télé. Ceux qui le virent le saluèrent. Parmis les hommes présent, il y avait Richard, son meilleur amis.

- Passe à droite, à droite ! Non, idiot. Ouais, bien.

Alexandre pris la parole :

- Désolé les gars, les vacances sont finis !

Puis, il toura un bouton de la télé. Alors que ces compagons ralait, au fur et �  mesure, tous furent attentif devant le journal de 13h :

- ... quelques heures en Amérique centrale, la violence fit rage. Avec une rapidité incroyable, de nombreux hommes des Brigades de Staline prirent d'assaut le palais gouvernemental de Guatemala, mais également de Belize, du Salvador, de Nicaragua et du Honduras. Ainsi, en l'espace de une nuit, la plupart des pays d'Amérique centrale sont devenus un régime tel qu'il fut en URSS sous Staline. Nous avons réussis �  obtenir quelques image de reporter étranger. Ici, on voit sur le toit du Palais gouvernemental de Guatemala un groupe de terroriste, dont le célèbre Igor Topolinoskov, chef des Brigades de Staline, discourant devant ses hommes. On ignore le nombre de victimes ainsi que la réaction de la population, et espérons vous en dire plus ce soir.

   Le reportage terminé, Alexandre coupa la télé. Les hommes exprimèrent leurs réactions :

- C'est quoi ce bins ?
- Mais ils se prennent pour qui ?
- Ca va faire du boulot pour les ricains.
- C'est repartis, comme au Vietnam, en Corée.

   Alors que les hommes grandaient, Richard sortis avec Alexandre.

- T'as eu plus de détail, toi ? demanda celui-ci.
- Non Richard, je ne sais rien, et je suis sur que les huiles de la Défence n'en savent pas plus.
- Ils ont bien fait leur coup ces salauds. Ca fait des mois qui nous emmerde en Europe, et c'est en Amérique qu'ils attaquent. Manquerait plus que le NSE s'en mêle.
- Parle pas de malheurs.
- Et chef, t'as vu les infos ? s'était Otto, suivit de Pyotr.
- Ouais, on a vu.
- Ca nous promet des beaux jours ça. s'exclama Pyotr.
- Je serai pas étonné que l'OTAN riposte. répondit Alexandre.
- Ca ne doit pas te déplaire, toi, Otto, pour un communiste. rigola Rick.
- Qu'ils aillent se fairent enculer ces fils de pute. Il y a une différence entre le communisme pour l'égalité des classes, et celui où on massacre et exploite son peuple en prétendant ces valeurs ! s'énerva Otto.
- Je sais vieux, je t'embête.
- C'est pas trop le moment, Rick, répondit Alexandre.

   Les 4 hommes quittèrent ensemble le bâtiment. Pendant ce temps, en très haut lieu, on discute de l'affaire.  

[psychosocial]

L'équipe de Grubber avait quartier libre, Ulrich était parvenu �  convaincre ses équipiers, y compris Dieter qui d'ordinaire ne se mêler pas �  ces "virées", qu'une virée dans un des bars du coin les aideraient �  décompresser... Les derniers mois avaient été riches en "opérations" et les hommes étaient tous plus ou moins épuisés physiquement et mentalement...

Les soldats étaient attablés avec d'autres gars de leur compagnie, Les frères Obermeyer racontaient entre deux gorgées de bières �  l'un de leurs camarades de la deuxième section comment lors de leur dernière intervention ils avaient, par erreur, fait sauter l'un des tangos en même temps que la lourde porte arrière de la HSH Nordbank.

-Putain t'aurais vu ça mec, le gars était décapité...

-Il l'avait la moitié du torse arraché aussi, j'crois que ce couillon écouter �  la porte quand on l'a faite sauter!

Les trois soldats rire aux éclats quand le tenant du bar les interpella depuis le comptoir:

-Hey les bidasses! Ecouter ça...

Il monta le son de la petite télévision accrochée au mur, Les membres du KSK étaient médusés. Ils pouvaient �  peine croire ce qu'ils entendaient, des puch avaient eu lieu �  travers toute l'Amérique du sud. Hans pris la parole.

-Allez les gars on rentre, �  mon avis on va pas tarder �  nous envoyer de ce merdier...    

[hyorg]

Dans les locaux de Blackwater l'information d'une prise de contrôle avais été transmise au dirigent de la compagnie, une homme en costard cravate se dirigea vers une des salles de réunion suivit de sa secrétaire.
-Téléphoner au fournisseur qu'il soit informer du renouvellement de son contrat mais avec quelle que modification.
-Bien monsieur Andersen,l'équipe que vous avez appeler vous attend comme prévus dans le salle de réunions.

l'homme tendit un document a la femme et entra dans la grand salle ou étais réunis plusieurs personne le plus jeune portait un jean,t-shirt,basket un autre avait ses cheveux en crête de coq encore un autre étais habiller très simple et le dernier le plus ancien visiblement portais une tenus plus sérieuse.
-Bon vu que tout le monde est la nous allons commencez hier soir les Brigades de Staline on attaquer les principal ville d'Amérique central et en ont prit le contrôle suite a quoi nous avons reçus un offre de mission, vous avez été choisi pour se contrat les mission se ferons en collaboration avec d'autre pays les détails vous serons donner conformément au protocole.

les quatre personne reçu chacun une enveloppe marron cacheter et ses a ce moment la que les commentaire se mire a fuser de toute part l'homme a la crête lui semblait êtres amuser par la perspective pouvoir aller en mission lâchent un "sa ses un beaux cadeau de noël" les deux plus jeune râlais de ne pas pouvoir êtres en famille pour les fêtes mais le plus ancien lui se contenta de lire les information donner sans un mot de plus.     
-Bon messieurs vous avez vos ordre la date du départ vous seras donne ultérieurement, vous aurez du matériel mis a votre disposition sur ce vous pouvez disposer.

les quatre hommes précéder du cadre de l'entreprise sortir de la salle de réunion,deux des hommes discutais entre eux en se dirigent vers la sortie et les deux autre eux sortir sans dire un mot 

         

[Bike]

Fort Bragg, Caroline du Nord


La troupe Flash Strike, dirigée par le capitaine John Martin était en plein exercice. Une zone du fort avait été momentanément transformée en un gigantesque camp de tir. L'unité avançait rapidement, M-4 chargés �  blanc au poing. Leur objectif était simple : arriver au bout du fort le plus rapidement, sans déplorer le moindre "accident".

John avançait accroupi, lorsqu'un mannequin surgit d'un couloir et se mit �  tirer. John se jeta �  couvert, derrière une table métallique. Soudain, la radio se déclencha.

-"Capitaine Martin, rappelez vos hommes, l'entraînement est terminé. Il y a du nouveau."

Les cinq hommes se relevèrent lentement, et firent demi-tour. Joey prit la parole.

-Ils nous veulent quoi ?
-Sais pas, répondit Shawn, mais on va pas tarder à le savoir.

A la sortie du camp d'entraînement, un officier les attendait. Ils furent conduis dans une salle, où s'étaient rassemblé généraux et hommes politique. John fut surpris de voir autant de personnalité et de gradés dans un même lieu. Un général prit la parole, diaporama derrière lui.

-Cette nuit, aux environs de 23h30, le groupe terroriste connu sous le nom de "Brigades de Staline", attaquèrent plusieurs palais gouvernementaux en Amérique centrale. Ils mettent alors en place un régime du temps de l'URSS.

Les membres de Flash Strike furent stupéfaits. Ils savaient tous que les groupes terroristes de ce type devenaient plus audacieux, mais �  ce point l� , personne n'avait osé l'imaginer. Le général attendit que les soldats se remettent pour poursuivre.  

[kevin26703]

Robert,Scott,Jack et John étaient tous les 4 assit au tour d'une table avec un verre du whisky afin de feter la future année 2010,Juan et Roger les avaient informés des vacances offertes par leurs chef,ils étaient installés devant la télé ,regardant une émission sprtive sur le rugby et le 15 irlandais.
Jeff O'Gara,chef du commandos rentra dans la salle.

- Bon les gars y a eu un attentat par les Brigandes de Staline,ces salaupard ont prit controle d'une ville importantes en mérique Centrale,voila c'est tout ce que je sais. anonça Jeff.

- On va devoir intervenir ? demanda Robert.

- En pleine fêtes de fin d'année ils abusent ces connards ! s'énerva John.

- Calmons nous ! Chef on va devoir partir quelque part en mission ?

- Ca suffit avec vos réflexions ! Non Scott je n'ai pas plus d'info Juan allume la télé steu plait.

- "Bien chef. anonça Juan tout en allumant la télé.

Le reportage été bientot fini sur cette attaque,mais il montrait le chef des Brigandes parler a ses soldats en heu d'un édifice présidentielle, les combats ont été d'une rare violence ,c'est ce qu'a dit la journaliste avant de terminer le reportage.

- Merde on a loupé une grande partie du reportage . s'exprima Jack.

- Attendons les ordres.Mais bon préparez vous à partir soyez dans un bon état d'esprit ordonna Jeff.

Le commandos partit  avec en tête une éventuelle opération car il est l'un des meilleur commando au monde, il pourrai bien être mobilisé .Le commando était quand même surpris du fait d'arme accompli par les Brigandes de Staline  

[Kathovar]

Il était 14H30 �  Moscou, et Grigori Iefimovitch Raspoutine s'entrainait.
Il fallait être prêt �  chaque instant pour la Sainte Russie, être prêt �  répondre �  toutes ses attentes, prêt �  intervenir n'importe où et n'importe quand.
Il lâcha la barre du banc de musculation arrivé �  sa 250ème traction, et fit une pause avant d'entamer la 4ème série.

Son unité s'entrainait. Sa demi-brigade, comme lui, faisait de la musculation, des étirements, ou de la gymnastique. Tous étaient des hommes d'une trentaine d'années, rompus �  la guerre et �  l'infiltration, �  la libération d'otage et �  la récupération de documents.
Il s'approcha de Vassili Roumanovitch, le tireur d'élite de l'unité Ours et plus vieux membre après Grigori, qui redescendait son mur d'escalade en rappel.

-Que se passe t il Grigori ? lui demanda ce dernier. Tu arrêtes là ? Ça ne te ressemble pas...
-Je suis anxieux camarade, le climat international est de plus en plus tendu et pourtant Poutine n'a toujours pas fait appel �  nous... Nous nous entrainons chaque jour pour ne rien faire ! Allons, nous avons résolu plus d'une crise en agissant, pourquoi ne nous utilisent ils pas ?
-Ils attendent peut être le bon moment...
-Ce moment arrivera plus vite que nous le pensons Vassili, je le pressens.
-Quel que soit le moment, nous serons prêt pour la Russie.
-Oui, tu as raison. Je me fais du soucis pour rien.

Il se plaça au milieu de la salle, et frappa des mains, deux fois.
Aussitôt les membres de l'Ours arrêtèrent leurs activités et vinrent se mettre devant leur Lieutenant, au garde �  vous.

-Messieurs, il est presque l'heure d'échanger nos rôles avec le Grizzly. Ils doivent avoir fini leur simulation �  l'heure qu'il est, retournez au vestiaire et préparez vous.

Les soldats s'exécutèrent aussitôt.
On ne perdait pas de temps �  confirmer bonne réception des ordres au sein des Sptesnaz, on les réalisait directement.
Le lieutenant suivit ses hommes, mais au moment de franchir la porte reçu un appel dans l'appareil que chaque soldat de son unité portait en permanence au creux de l'oreille.

-Ours et Grizzly, dans mon bureau. La Russie a besoin de vos services.

Le lieutenant grommela:

-Je savais que ça allait arriver vite...

Il ne prit pas la peine de voir si ses hommes avaient reçu le message.
On ne perdait pas de temps �  confirmer réception des ordres au sein des Spetsnaz...  

[Elisa]

8H42... Royaume-Uni... Stirling Lines près d'Hereford, quartier général de la 22 SAS Régiment.

Plusieurs personne habiller en uniforme d'apparat correcte, décorer de médaille entrèrent dans une sale fermée seulement éclairé de quelque néons, la salle n'était pas très grande, juste assez pour y accueillir une vingtaines de personnes.
Ils n’eurent pas le temps de s'assoir que un homme, portant un képis entra dans la pièce.

- Soldat!

- Mon colonel!

Répondirent les nouveaux arrivent.

- Bien, soldats, l'heure est grave...

S'exclama alors le colonel Honet, il reprit sa respiration avant de reprendre.

- Nos allier, les Etats-Unis ont ces dernier temps on été victime d'attenta! Nous craignons une troisième guerre mondiale, c'est pour cela que plusieurs pays on fait appel �  plusieurs des leurs troupe d'élite, vous êtes la crème de la crème.

Fit Honet avec une petite touche d'humour pour détendre un peu l'atmosphère.

- C'est pour cela que l'Angleterre et notre plus grand allier, les états uni compte sur vous! Pour le moment, nous allons envoyer que deux patrouille, qui formera une troupe! Votre mission consistera �  de la simple recherche d'information de l'ennemi. Commandant George Matterson!

- Au rapport Mon colonel!

- Bien, vous serez le dirigeant des opérations, vos soldats se retrouverons sous votre responsabilité.

Le comandant répondit d'une vois grave, machouillant un chewing gum.

- a vos ordre mon colonel!

- et vous Bruce Hammer!

- M... Oui mon colonel!

- Je vous souhaite bonne chance, j'ai appris que c'était votre première mission!

- Merci mon colonel!

- Messieurs! Repos jusqu'�  nouvelle ordre, vous recevrez plus d’informations dans les heures qui viennent, vous décolérez demain matin a 6H, heure locale �  la base aérienne de Lyneham pour la ville de Washington DC. Bien, des questions?

Elisa Nottingam, la seule femme de la SAS se leva.

- Mon colonel! Y a-t-il une menace de ces opérations terroriste en grande Bretagne? Et qui s'en occupe?

Elisa pensa surtout à sa famille...

- Ceci ne nous concerne pas mademoiselle Nottingam, cela est une bonne question, c'est la police locale qui s'occupera de cette tache.

La femme se rassit avec une mine perplexe. Le colonel reprit tout de suite la parole, demanda si il y avait d'autre question, mais personne de répondit.

- Bon, bien, c'est fini pour aujourd'hui! Bonne chance a vous, god save the queen!

Tous se levèrent pour rejoindre la sortie de la salle et allèrent tous �  la cantine. Elisa et Bruce discutait calmement de ce qu'il se passait.

- Dit Bruce?

Demanda la jeune femme.

- Tu pense que ça va vraiment être une guerre mondiale tout ça?... Moi j'ai plutôt l'impression que ç ava finir comme pour la guerre froide.

- Ne crois pas si bien dire, moi j'ai un mauvais pressentiment!

- Ok! Moi je vais surtout rejoindre mon dortoir, je vais un peu me reposer car demain c'est le grand jour...  

[Jean_Bart]

Flawinne, Belgique 31 décembre.

Il était presque midi quand le commandant Freddy demanda �  Mathias de mettre le journal télévisé. Les gars sentait que quelque chose c'était passé.
Et l�  ils virent les coups d'états des Brigades de Staline.

Le commandant Terwagne dit a ses hommes :
-Je crois que vous avez compris ce qui se passe et qu'a mon avis on va bientôt nous demandez d'intervenir.

Mathias qui était déj�  au courant ne fit aucun commentaire il avait déj�  posé ses questions a Freddy.

Günther et Raoul s'écrièrent :
-Enfin de l'action sa faisait longtemps qu'on nous avait pas confier une mission de ce genre. Et toi Pier t'en pense quoi?


-A mon avis va y avoir pas mal d'explosif a désamorcer et sa me plaît.

-Se sera ma première mission? se dit Jan

Robert Collington était toujours en train de boire a son verre et cette nouvelle n'avait pas l'air de beaucoup le perturber.

Contrairement �  lui Raymond Goethals était tout exciter :

-J'adore voyagé on va voir autre chose que du sable pour une fois.

-Je crois que vous n'aurez pas le droit d'avoir de permissions ces prochains jour les gars.
L'ONU et l'OTAN ont annoncé qu'il se réunirai dans les prochain jours.

-Dommage sa m'arrange pas ça, moi. Je comptai partir skier en Suisse. déclara Robert

-Tu demandera plus de congé quand ce merdier sera terminer. lui répondit Mathias

-J'ai terminé prochaine réunion demain a 6 heures.



   

[Black]

   Le lendemain, le 2 janvier 2010, �  New York, les Etat membres du Conseil de Sécurité de l'ONU se sont réunis afin de rendre compte de la situation. Parmis les antion présente, on trouve bien évidement les USA, la Russie, la Grande-Bretagne, la France et la Chine, dôté du droit de véto. Ensuite vient s'ajouté les membres non permanent, on retrouve l'Autriche, le Japon, le Mexique, la Turquie, l'Ouganda, le Niger, l'Egypte, la Kazakhstan, l'Italie et la Colombie.

   En attendant le début de la réunion, les délégations discutaient. Le président du conseil, le délégué représentant l'Autriche, Thomas Mayr-Harting, pris la parole, en Anglais.

- Messieur. Tous d'abord bienvenu pour cette nouvelle réunion du Conseil de Sécurité de l'ONU. Nous sommes ici afin de décider de ce que doit prendre l'ONU comme décision suite au évènement en Amérique central dans le nuit du 31 au 1er. Tous d'abord, quelques informations de dernière minutes. Tous d'abord je vous informe de la fondation de la Confédération Socialiste d'Amérique, la CSA. Topolinoskov s'est proclamé Président du Parti Communiste du Guatemala, est a nommé les Présidents des autre pays. Il est également devenu chef de cette confédération. Ensuite, 70% des armées de chaque pays soutien Topolisnoskov, formant ainsi une armée commune. Les Brigades de Staline sont devenu les Forces Spéciales de la CSA et ont désormais accès �  de meilleur moyen. Voil� . Maintenat, nous devons déterminé si l'ONU lance une opération armée dans le but de remettre en palce les dirigeant légitime de ces nation. J'ouvre le débat avant le vote.

Le délégué américain leva la main, et pris la parole :

- Messieur. Depuis des années les Brigades de Staline sont concédéré comme le 2ème groupe terroriste le mieux entrainé au monde, après le NSE. C'est pourquoi nous devons intervenir le plus rapidement possible, afin d'éviter que la CSA ne constitue une armée redoutable, suseptible d'envahir ses voisins. J'invite donc �  voté pour la mise en place d'une opération militaire �  l'encontre de la CSA.

Le délégué italien le va la mins pour obtenir la parole, ce qu'il obtien :

- Pourrions nous connaitre les projet diplomatique de Topolinoskov et de la CSA ?
- Nous n'avons pas encore beaucoup de renseignement, répondit le Président, Nous savons que les pays se sont retiré, mais que la CSA propose un unique déléguer. Au cas ou le CS dirai "non", il faudra débatre sur l'admission de la CSA au seins de l'ONU.
- Pensez vous que la CSA est une réelle menca ? demanda le délégué japonais.
- Bien sur ! s'ecria le délégué américain. Depuis des années les Brigades de Staline sont responsable de nombreux attentats et se livre �  certaine violence. Les laisser se former risquerai de laisser se faire envahir certain pays voisin.
- Je ne suis pas d'accord. Déclara le délégué chinois. Certe Topolinoskov est un terroriste, mais il faut cependant noter qu'il est toujours resté un homme de parole.
- Pensez-vous que cela justifie ces prise illégale de pouvoir ? répilqua le délégué américain.
- Non, mais je pense que l'ONU devrai donner sa chance �  la CSA. Il faut voir ses intention avant de la juger �  tort.
- Les Brigades de Staline impose un régime comme en ex-URSS et vous voudriez les laisser faire ? s'exclama le délégué français.
- Ce n'est pas �  nous de juger si les peuples qui vivent désormais sous ce régime on besoin de nous. Ils n'ont pas besoin de nous. Le régime instauré dans la CSA est un régime basé sur l'égalité et la communauté. riposta le Chinois.
- Il est vrai que certain pays ici présent sont prêt �  tolérer quelque entorce aux Droit de l'Homme. déclara l'Américain.

   Tous le monde regarda l'Américain, stupéfait devant une accusation aussi grâve et ouverte. Le Chinois répliqua rapidement.

- Ce que nous faison chez nous ne regarde que nous. Il n'est pas question de la Chine, mais de la CSA.
- Monsieur le délégué des Etats-Unis, déclara le Président, vous êtes prié de garder ce genre de reflexion pour vous, merci. Sur ceux, je pense que nous pouvons passer au vote.

   Lédélégue saisir leur télécommande et votèrent. Sur les 10 non-permanents, tous furent en accord avec l'intervention militaire. Les 5 membres permanent votèrent alors. USA : oui. Grande-Bretagne : oui. Russie : oui. France : oui. Chine ; non.

- Le Conseil de Sécurité de l'ONU rejète le projet d'intervention contre la CSA.

   Tous déçu, les délégué quittèrent la place.  

[Black]

   Le lendemain, sans attendre, les membres de l'OTAN s'était réunis, �  Bruxelle. Le Secrétait Général qui dirige la réunion est le danois Anders Fogh Rasmussen. Celui commenca la réunion :

- Bien, comme vous le savez n'ONU n'a pas accepter le projet d'opération militaire contre la CSA, suite au véto de la Chine. Cependant, nous devons décider si l'OTAN doit malgré cela intervenir en Amérique Centrale.

   Le délégué Allemand pris la parole :

- Pensez-vous qu'une telle intervention soit juste devant le refus de l'ONU ?
- Il ne faut pas oublier, déclara l'Américain, que la Chine est le seul état �  avoir voter contre. Les autre membre était pour. Le refus de l'ONU ne se justifie que par le fait que la Chine est doté du droit de véto.
- Dans ce cas on peu concidéré que l'ONU est en faveur du projet. conclua le Britannique.
- En effet. termina l'Américain.
- Dans ce cas passons au vote. annonça le danois.

   Rapidement, les délégué votèrent au nom de leur nations. Les résultat arrivèrent sur un grand écran. Le vote terminé, le danois annonça les résultats.

- L'OTAN s'occupera donc d'une attaque contre la CSA. A présent, il faut mettre en place les plan d'attaque.
- Je suggère un attaque dans l'ombre, proposa le Britannique.
- Expliquez vous, s'il vous plait.
- La CSA va avoir des alliers solides. La Corée du Nord, la Chine sans doute. Peut-être Cuba et le Vietnam. Une attaque ouverte risquerai de provoquer un réaction en chaîne qui pourrait devenir très grâve. Envoyons des commandos reprendre le pouvoir.
- Des volontaires ? demanda le Danois.
- Les Etats-Unis seront présent.
- Nos SAS seront l�  pour vous aider.
- La France accepte de participer �  l'opération.
- L'Allemagne sera �  vos côtes également.
- La Belgique sera heureuse de combattre aux côtés de ses frères européens et américains.

   Beaucoup furent étonné de voir l'Allemagne et la Belgique se porter volontaire.

- D'autre volontaire ? demanda le Secrétait Général.
- Demandons de l'aide aux Russes. déclara le Britannique. Leurs Spetsnazs sont tous désigné pour cette tâche.
- Et les Wing irlandais. Il s'agit d'une des meilleur unité au monde. Donnons leur une chance.
-La proposition leur sera faîte. Les nations concernées sont invité �  se réunir ultérieurement afin de mettre en place les détail de cette opération.  

[Black]

   Le lendemain, le 4 janvier 2010, �  Bayonne, les entrainements avaient repris. Le groupe Big Boss était en train de faire leur énième parcourt du combattant, sous le contrôle d'un capitaine.

Au bout d'un moment, celui-ci s'écria :

- Bon les gars, sortez vos cul est ramenez vous ! On vous attend au PC.

   Peu après, les 10 hommes avait remit leur uniforme et se présentaient devant leur colonel.

- Repos messieur. J'ai une bonne nouvelle.
- On part en vacances ? demanda Pyotr.
- Vous appelez ça une bonne nouvelle, Zakarov ?!
- On est mûté ? proposa Otto.
- Ce jour là ce sera une catastrophe.
- Alors on...
- Nom de Dieu vous allez me laisser parler tous les deux !? A chque fois c'est la même chose, faut que vous amusiez la galerie ! Y en a marre !
- Désole cam... colonel. dit Otto.
- Excusez-nous, sir. déclara Pyotr en riant encore un peu.
- Mouais. Bon, le bonne nouvelle c'est que vous partez en mission.
- C'est ça que vous appelé une bonne nouvelle ? demanda Rick.
- O'Tragan, mon cher petit, declara le colonel qui arrivait à peine aux épaules de Rick, soyez gentil et ne faîtes pas comme ces deux crétins.
- D'accord.
- Bien. Je disais donc vous partez en mission. Vous avez étez désigné pour représenter la France lors de l'Opération Oeuf.
- Oeuf ? se questionna Pyotr. Mais mon colonel, Pâque, c'est pas maintenant.
- Je sais triple andouille. Mais comment les enfants appel un oeuf ?
- Euh...
- Un coco mon colonel ! s'écria Otto tout joyeu.
- Et qu'est ce qu'un coco ?
- Je crois que c'est comme ça qu'on appel ceux qui pris la doctrine de Karl Marx. répondit Alexandre.
- Bonne réponse. répondit le colonel. Suite aux évènement de l'autre nuit, en Amérique centrale, l'OTAN, sans accord de l'ONU, a mis en place une opération pour reprendre le contrôle la-bas.
- Les Ricains n'ont pas encore foncé dans le tas ? s'étonna Benjamin.
- Non, l'OTAN craint qu'une telle attaque n'entraine une risposte de la part de certain Etats suceptible de soutenir la CSA. C'est pourquoi ils ont favorisé une opération discrète, avec des commandos.
- Et on sera les seuls pour ça ? demanda Alexandre.
- Non, l'opération rassemble différente nation. Vous travaillerez avec les SAS, le KSK, les Delta Force, les SFG, les ARW, les Spetsnazs, et j'ai vaguement entendus parler d'une bande de mercenaire recruter par les Américains. Vous avez un briefing commun avec ces unités demain aux Etats-Unis. Votre avion part ce soir pour Fort Mabry au Texas, prêt de Austin. Un hélico vous aménera �  la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan, où vous décolerez avec un Transall.
- Génial, déclara Rick,avant l'humidité de la jungle on aura droit �  la secheresse du Texas.
- Des questions ? demanda le Colonel. Non ? Alors rompez.

   Le commandos quitta le bureau de leur colonel. En fin d'après-midi, après avoir prévenus leur famille de leur dépard, Big Boss monta dans un hélicoptère de transport Aérospatiale Puma et décolla pour Mont-de-Marsan. Le soir, le Puma arriva �  Mont-de-Marsan et le groupe monta dans l'Aérospatial C-160 Transall qui pris la direction des Etats-Unis.
 

[Bike]

Le général poursuivit après un silence pesant.

-Bien que l'ONU ait voté la non-intervention à cause du véto des chinois...
-Le contraire m'aurait étonné... murmura John
-L'OTAN a voté l'intervention militaire en Amérique centrale. Vous êtes donc en mission là-bas, coordonnées avec d'autres unités commandos.

Joey leva la main.

-Oui ?
-Pourquoi envoyer des commandos là bas, alors qu'une déclaration de guerre aurait été plus simple ? Je ne crois pas que les staliniens aient une armée en état de rivaliser avec nous...
-Les grandes puissances craignent une intervention des Chinois, des Coréens, et autres.

Mike demanda à son tour la parole.

-Quelles seront les autres commandos qui interviendront ?
-Il y a le KSK allemand, le Spetsnaz  russe, le SAS britannique, les ARW irlandais, le 1er RPIMa français, le SFG belge et un commando militaire privé. Vous avez un briefing commun dans quelques jour. Vous partez maintenant, un hélicoptère vous attend.

Le Flash Strike monta dans l'UH-60 Black Hawk qui les attendait. Les pales du rotor principal se mirent à tourner de plus en plus vite, et l'engin décolla.  

[psychosocial]

Les Membre du KSK se préparait �  entamer un entrainement ayant pour scénario la prise d'un batiment tenu par des terroristes accompagné d'otages.

-Bon voil�  comment on vas procéder, Dieter met toi en position afin de couvrir la baie vitrée de la façade est. Ensuite je veux un Obermeyer sur chacune des portes, comme d'habitude on fait du bruit et de la lumière...Peter tu prend Ackermann avec toi, vous passez par la porte arrière avec un des jumeaux. Käsmann avec moi on passe par l'avant, et cette fois ci ne trébuche pas...Bon voil�  nos jouets, des fusils �  peint...

-Désoler de vous interrompre Lieutenant. Je viens de recevoir un appel de l'état major, vous êtes sans doutes au courant de se qui est arriver en Amérique du sud, suite �  cela l'OTAN �  décider d'intervenir. Nom de code: OEUF, vous et vos hommes avait une demi heure pour vous rendre plus présentable votre avions décolle dans une heure et demi. Direction les Etats unis où plus d'information vous seront communiquées...Ne vous en faites pas pour votre équipement, il sera transférer plus tard dans la journée.

-Bien mon générale, a vos ordres! Aller les gars, on se bouge le cul!
-Pourquoi nous envoyer aux states?
-Parce que n'est surement pas le seul commando sur le coup, banane!
-Hey! Les deux guignols on la ferme!...Lieutenant vous pouvez continuez...
-Merci Dieter. Voyez le bon côté, les p'tite ricaine résisteront pas �  deux clown comme vous...aller trève de plaisanterie au boulot!  

[kevin26703]

Le lendemain le lieutenant Jeff O'Gara rassembla ses hommes dans la cour centrale.

- Messieux ,L'ONU a rejeté le prjet d'attaque des Brigades mais l'OTAN nous a demandé d'envoyé nos commandos en mission.
Le chef nous a choisit pour partir en mission.

- On est transferé ou chef ? demanda Scott

- Aux Etats Unis.Ah oui le nom de code de la mission est Oeuf.

Jack et John se mettent a rire.

- Qu'est ce qui vous fait rie vous deux.

- Le nom de code est ridicule chef annonça John.

Jeff O'Gara les regarda de travers et ils s'excusèrent.

- Pas de question ?

Robert leva la main et il demanda

- Si,on part quand ?

Le chef regarda sa montre et il lui répondit
- Disons dans une heure.

- Vous venez avec nous ? demanda Roger

- Evidammant ! suis le chef de ce commandos.

- Excellent ont aura un peu d'action.

- Faudra faire attention. Mais ça serai pas plus simple que les yankies,les français et les anglais foncent dans le tas comme des bourrins?


- Il le feront pas car ils craignent l'intervention des coréens et des chintocs en faveur des Brigandes de Staline.
Allez les gars au boulot on part dans 1 heure !