Arvedui la regarda sortir, comprenant le sens entier de la phrase. Il regarda la fille encore attaché, par sécurité, sur le lit. Elle le regarda, ses yeux exprimait de la terreur, elle tenta de bouger ses pieds mais la chaines cliqueta et elle gémit de peur. Car sans le savoir, Arvedui arborait un regard nouveau, rempli de détermination, de volonté, mais aussi froid que possible. Il marcha jusqu'au cahier de dessin, griphona quelque mots:Aujoud'hui, Isabelle m'a emmené chez le marchand d'esclave. j'y ai retrouvé Laila. Ce fut mon unique amour. Je l'ai rencontrée lorsque j'étais dans ce camps de voleur. Je suis tombé sous son charme, son intelligence. c'est aussi aujourd'hui que Nahi me laisse m'échapper avec la Layla. Isabelle, tu fut plus qu'une maitresse, tu fut pour moi comme la mère que je n'ai jamais eut.
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Il arracha une page et écrivit ce mot a la hate, comme il l'avait bien avant:Un amour a sens unique n'est pas un amour perdu. Tu as gagné. Merci.
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Il se dirigea ensuite vers le bureau. En réalité, il était incroyablement rapide, ces quelque action n'avait prit que 2 minutes. Il prit la lettre le désignant comme esclave et se prépara a la déchirer, puis se ravisa. Il la ramassa et la posa a coté du mot et du livre de coloriage. C'était ses dernier présent a son ancienne maitresse. Il prit les clé et délivra la jeune fille en la menaçant si elle tentait de s'échapper. Il partit enfin, après 5 minutes. Ils ratèrent de peu leur maitresse et finirent pas sortir en ville. Arvedui ne laissa passer aucune expréssion sur son visage, et aucune larme de coulât. D'une certaine façon, l'ancien garçon était mort.