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« le: 02 Octobre 2009 à 22:52:59 » |
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Si les habitants du paisible port de port de paix n'avait pas été prevenu de ce qu'il allait voir la panique les aurait envahis.
Ils virent arriver après un périple de plusieurs jours une flotte impressionnante. La plus grosse qu'il n'avait jamais vu et l'une des plus grosse qui n'avait jamais navigué dans les caraïbes jusqu'� ce jour. Mais les talents de narrateur des marins ferront de cette flotte la plus grande.
Poussée par un puissant vent venant des courants froids de la mer, s'avançant les voiles hautes carguées, les navires commencèrent � jeter l'ancre et faire un mouillage proche du port pour bénéficier de la protection qu'offrait ce havre. Mais aucun marin ne pouvait mettre pied � terre car il fallait être opérationnel le plus vite possible. C'est frustré qu'ils purent regarder les cabanons et maisons qui se tenaient devants les plages, entre les palmiers. Les marins l'avaient mal de ne pouvoir fêter avant un jour qui sera sans dotue fatal pour beaucoup.
sur le navire amiral la réunion des officiers dans un carré luxueux tapissé d'un épais tapis rouge, brodé des emblèmes et blason du capitaine Monfort sur lequel reposée une épaisse et large table de bois de campêche. On décida d'ouvrir les tonneaux et de faire griller la viande pour que les hommes puissent fêter un jour comme celui l� . Malgré le vent puissant du jour ce dernier baissait durant la soirée.
- C'est une chance! Cela nous offrira une nuit plus calme et permettra aux hommes de se détendre sans risque car on n'aura sans aucun doute besoin d'eux! - De toute manière avec le vent de ce matin on aurait pas put rejoindre la Tortue. remarqua Francois. - Pas faux, avec un vent de pré cela aurait été très dur et trop long pour nos navires les espagnols nous auront reperé. rajouta Corey.
Les capitaines, pipe cigare ou chique � la bouche montèrent sur la dunette. Une brise légère et glaçante parcourait en ridant la mer. Sur le tillac les quartiers maitre du corsaire aidé d'homme d'équipage montaient les barrique tandis que le quartier maitre veillait � ce que tout le monde reste calme.
sur le navire soumis � un tangage supportable on pouvait voir au loin avant que la lumière du soleil ne soit totalement aspirée par la nuit sous un voile opaque, la forme de l'île de la tortue. - Il nous faudra � peine quelques heures pour rejoindre l'île. - Je sais, c'ets pour cela qu'on partira demain c'est bien cela? fit Bélénos. - Exacte cela laissera le temps � nos hommes de décuver et de se préparer pour la nuit! - en une nuit l'île doit tomber... grogna Barracuda. avant de cracher sa chique, cela lui permit alors de s'exprimer la mâchoire ouverte, sa voix fut moins agressive. - Il faudra agir vite et ne pas hésiter, car on aura peu de temps. - Et faudra faire cela dans le calme, c'est ca le pire... - Je prierais bien de nous aider dit sérieusement et calmement Nelson, il tira sur sa pipe et enfonça son cou dans le col de sa veste. Pour les caraïbes cette nuit était drôlement fraiche. - Priez cela sera bien plus utile qu'on l'espère. répondit Francois, avec un petit sourire, le regard fixé sur l'ile qu'on commencé � peine � voir.
La méditation des capitaines fut interrompu par des cris de joie sur le tillac, On venait de percer � coup de hache deux tonneaux et les marins y plongés leur écuelle, timbale ou bol dedans.
- Je pense que nos fêtes sont les mêmes que celle sur vos navires... Joignez vous � nous. proposa poliment Nelson désignant de sa pipe le tillac, où un violoniste s'installait, sur les portes haubans et l'équipage s'accumulait autour de la viande et des boissons.
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