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« le: 02 Février 2006 à 20:04:34 » |
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Alors voil� , je voguais tranquillement vers un port Français, quand soudain, je croisai un vaisseau.
"Voile � Tribord Cap"tain, des Pirates" Hurla la vigie.
J"ordonnai donc de hisser le pavillon noir (qui malheureusement avait délavé au dernier lavage), ne pouvant me permettre de meridiculiser comme ça, je pris le parti de mettre la chemise du "Rat" l"homme qui s"occupe des cordages.
Dédaignant un peu � me la remettre, je dut le menacer de le mettre aux fers pendant 5 jours (si il survivai � la bataille qui allait s"en suivre ... on est jamais � l"abris d"un accident) si il ne m"obéissait pas.
"J"en ai rien a foutre que ta mère te l"ai tricoté, que mille tonneaux de rhum lui perforent le ventre comme mille balles de révolvers !"
Le pavillon, enfin la chemise étant enfin levée, nous pûtes (rho tout de suite � quoi vous pensez ... :/) nous préparer a l"assaut du pavillon ennemi, il s"agissai d"un galion, 150 hommes au moins le maneuvraient, pas moins de 50 canons saillaient de sa coque. Les hommes eurent un frisson, je rendant bien compte que la bataille serai rude, nous étions 2 fois moins nombreux, et nous n"avions que 14 canons � notre disposition.
"Souquez ferme les gars, il ne faut pas le laisser filer !!"
"Heuu Capitaine, je ne pense pas que l"ennemi ait l"intention de filer, il vient d"armer les canons, et de plus ... les hommes ne rament pas, nous avançons avec des voiles ..."
Mon sang ne fit qu"un tour ! Insulte � Capitaine dans l"exercice de ses fonctions. Il n"eut pas le temps de protester qu"il fini par dessus bord, attaché � 5 boulets de canons !
"Que le diable l"emporte celui l� et ses remarques déplacées ..."
"Capitaine, je ne sais pas si vous avez bien fait de vous débarasser de lui ..."
"Quoi ? Peut-être désire tu le rejoindre ?"
"Ca ne risque pas capitaine, c"était nos 5 derniers boulets ! Nous n"avons plus rien � lancer � nos ennemis, peut-être ferions nous bien de renoncer, et de nous enfuir !"
Le capitaine se gratta le menton, puis il sourit, comme fier de lui. Il ajouta :
"Nous avons ces maudites noix de coco, que nous avons volé lors de l"abordage de ce frèle esquif, il y � 3 semaines. Nous chargerons les canons avec !"
Un silence se fit, et le second rétorqua :
"Moi je l"avait dit qu"on ne gagnerai rien � aborder des naufrager qui viennent d"une île déserte, en plus nous avons perdu 10 hommes, 2 pendant la bataille contre les 5 naufragés, et 8 qui sont mort après s"être vidé pendant 7 jours et 7 nuits aux toilettes !"
"Oui, bon on ne va pas en faire une histoire, ca peut arriver, et puis il fallait bien s"occuper ... Bon ca suffit, un galion rempli d"or nous attend mes amis ! N"en voulez vous pas de cet or ??"
Les hommes répondirent en hurlant un hourra du tonnerre. Et une voix se fit entendre :
"Ah ben quand même, pas que l"on s"ennui en écoutant vos histoires de noix de coco, mais bon, on a de l"or � défendre nous ! Alors si vous pouviez nous abordez, sinon nous allons nous en charger ..."
C"était le capitaine du bateau ennemi, le galion vous vous rapellez ? Il commençai � serieusement s"impatienter.
"Une seconde, phosphore de volatile ("merde de moineau" de nos jours), tu jaqutera moins quand nous aurons empalé ta tête sur un pieu � la proue !
Par ici les gars, rassemblez vous pour que je vous expose le schémas tactique ! On � pas mil solutions, on fonce dans le tas � mon signal, prèts ?"
"Oui capitaine, prèts, crièrent les hommes ..."
Le capitaine se redressa (c"est toujours moi le capitaine hein ! Vous suivez j"éspère), ses hommes en firent autant, il s"allignèrent et commencèrent � rire doucement, sur le bateau en face, on se demandait bien ce qui pouvais les faire rire ainsi, ils étaient � 2 contre 1, sans canons, sans boulets (les noix de coco n"ont finalement pas été tirées). Le doute s"installa dans l"esprit des flibustiers ennemis.
Quand soudain une voix s"éleva :
"Et me salopez pas le pont hein ! J"ai tout lavé ce matin, alors vous allez faire vos saletés chez les autres, j"en ai marre de nettoyer tout ce sang après chaque bataille, ce matin je me suis même mis une écharde dans le doigt."
Il s"agissait de la femme du capitaine qui venait de finir d"étendre le linge � la cale.
"Mais bibiche, on doit se battre nous ! Je doit bien te nourrir, ainsi que les hommes, et puis tes poissons, sont d"un vorace aussi ! Cette idée aussi de prendre des piranhas ..."
Le capitaine avait pris une voix craintive, et un peu féminine, comme soumis � sa "bibiche, les hommes eurent un petit rire discret.
"Et puis dites moi qui vous vous préparez � attaquer ? Il n"y a personne, � part un bateau qui part au loin, l� bas ! Alors remettez vous au boulot ! Et que ca brille, et toi vient dans la cabine, j"ai deux mots � te dire."
Les hommes s"éparpillèrent en courant après un bref moment d"hésitation. Il se ruèrent sur les balais, les seaux, les brosses ... C"est que la Femme du capitaine était la plus crainte de toutes les mers du globe, non pas pour ses combats, mais pour sa maniaquité (dsl je trouvais pas comment dire) de la propreté !
Et ainsi fini une journée commes les autres sur le Lapin des mers, un fier bateau de 70 hommes, 14 canons, 3 tonnes de coco, avec � sa tête un fier capitaine qui sait montrer qui est l"homme dans son couple !
"Voil� mon récit ! Alors Braddy-patte-en-bois ? Tu en penses quoi ? Braddy ? Tu ne dormais pas ! Mais merde, ca fait longtemps que tu dors ? "
"Mhmm ... grommlm ... heu j"ai décroché vers le moment où tu attaquais un bateau ... c"est ya longtemps ?"
T3kila se prit la tête dans les mains, il était désepéré ...
"Heureusement il me reste ma fiertè d"homme ! Santé les femmelettes !"
Santé répondirent les hommes de la taverne !
"T3kiiiiiiiii, vient l� , tu n"as pas fini tes corvées !!"
"Oui bibiche ..."
Et ainsi est né le mythe de "tombé la, tombé, tombé la chemisheuuu ..." Si si, rapellez vous la chemise du début, elle � fini par tomber ! Désolé, mais il fallait que je la place, et je n"ai pas trouvé où dans mon récit.
Modifié par T3kila le 02/02/2006 20:06:42
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