le rhum,la piraterie, le bonnheur quoi!

[hyorg]

Hyorg s’approcha de Scar puis lui tendit une dague en disant :
-Tenez mon ami ceci est la preuve que vous êtes digne de confiance.
Puis il enleva son gant et l’on put voire que sa main étais remplie de cicatrice et de brulure.
-Tavernier viens ici avec une bouteille de vin mais pas de la piquette dit-il en sortent une bourse de sa poche, une fois le tavernier a la table il prit la bouteille et lui donna la bourse en lui disant :
-Tenez mon brave cela devrait être assez pour les réparations.   
   

[Taranis]

Les hommes de Taranis étaient toujours �  la recherhe de leur capitaine disparu depuis l'attaque du port, il y a de cela plusieurs semaines déj� . Une équipe de cinq marins, dirigée par son fidèle second, était rentrée discrètement dans la taverne depuis peu dans l'espérence d'avoir des renseignements sans éveiller de soupçons. Ils étaient aussi �  la recherche du capitaine Lady Karnaj, ou de ses marins qui l'avaient vu pour la dernière fois. Ils écoutaient les conversations, observaient discrètement autour d'eux en buvant du rhum �  une table isolée.  

[scar]

Scar remercia Hyorg. Puis commenca à écouter l'histoire d'un vieux marin
- Alors mon gars c'est quoi ton histoire? et ton nom
- Moi je m'apelle Hanz Bonk.
Mobn histoire elle montre que même ton ennemi d'un temps peut te sauver la vie...
- A bon, je t'écoute
- Voila J'étais chasseur avec un groupe d'ami. Nous étions sur une île espagnole, en territoire ennemi
- Pourquoi y es tu allé. Demanda Francois pour voir si son argument tenait la route et si il ne mentait pas
- Pourquoi parce que la fourrure de certaine bête vaut cher mais ne pas sur notre île et que cette île était la plus proche de Bonaire a en avoir.
Donc mon cousin avec sa chaloupe nous y ammene.
On marchait depuis déj�  deux jours, la chasse n'était pas superbe. Par les cornes de diable, les moustique ne rendaient pas la tache meilleur. On ne reussit qu'�  en avoir un en deux jours. Quand après quatre, que nous utilisions nos balles surtout sur du simple gibier pour ce nourrir,car nos reserve n'ont pas suportées un passage dans les marées. Bon bref on croyait y rester sur cette île et autant par la maladie et que part les espagnol. Quand un jour un de nos pièges fonctionna mais pas de chances car non seulemnt c'était bien ce que nous voulions mais un autre était passé avant nous....
L'homme marqua une pose,  et mangea un peu. Scar impatient
-Qui était passé avant vous?
- Un peu de patience quand tu auras mon âge tu verras que tu avait �  ton âge toute ta longue vie devant oti pour écouter des vieux hommes.
- Depêches toi ou ta vie est raccourcite! Ordonna francois lui aussi impatient
- Bref c'était un tigre. Oui un tigre, son pelage couvert du sang de NOTRE proie. Je l'ai visé et tiré mais je ne l'ai seulement touché. Il m'as foncé dessus et moi et mes trois amis avont du nous battre au corps �  corps face �  lui. Car �  part le meilleur chasseur d'entre nous, nous avions tous tiré et seul moi touché. Le tigre en rage �  cause moi tua un de nos amis et en blessa un autre. Puis il s'enfuit notre chasseur ne tira pas. Avec un mort et un blessé on a du allé forcement dans un village espagnol. Les habitants nous acceuillirent et nous aidèrent �  soigner notre ami. Mais des soldats on débraqués un jour après et nous y chassa. Il tua notre ami blessé et donna la chasse dans la jungle. On a du foncer et courir mais pas de chance mon frère y laissa sa vie.
Quand soudain moi et le chasseur on s'est retrouvé dans un cul de sac dans le ravin. Les cinq soldats nous bloqués la sortie. Le combat fut désespère mon ami en tua un moi en blessa deux mais fut touché. au moment de l'attaque on pria notre âme quand soudain un tigre sauta en dévia un tir. Il reussit �  faire fuir les deux hommes et acheva les deux blessé. Nous on a fuit...
- Incroyable!! le tigre vous a sauvé la vie mais pourquoi??
- On se battait sans doute sur son territoire et quand il est arrivé il pensait qu'ils étaient seul.

Les piartes quittèrent l'homme assez étonné par son histoire et essayèrent d'en tire un enseignement. Car il passe aussi par ces histoires et ces morales     

[scar]

maitre du jeu

        Plusieur soldat pénétrèrent dans la taverne, assez joyeux ils commandèrent un peu de quoi se désaltèrer.  La tension dans la taverne était monté par leur précense puis ils partirent arrivant �  la porte l'un d'eux s'arrèta et se dirigea vers taranis.
- Et toi marin montre ton visage
Tout les pirates se préparèent Taransi leva lentement la tête. L'homme le regarda
- Non c'est pas lui. Excusez moi mon brave, et �  vous tous passez une bonne soirée.

Puis ils partirent lespirates furent soulagés. Le tavernier aussi, son établissement ne sera pas détruit. Dix minutes plus tard un équipage de marin armé entra dans la taverne et s'y disperca pour boir un coup. Tandis que lo'ambiance était aux histoires et �  la fête la porte s'ouvrit avec violence et une troupe de soldats entra les armes au poing. La porte derrière le comptoir suivit et des soldats se placèrent, derrière le comptoir pour y être protègé. Un homme gradé pénétra dans la taverne
- Messieurs n'ayez peur, nous sommes venus chercher Taransi, un pirate est-il ici. Quelqu'un la vue? personne votre stupidité ne change rien, soldat allez l'arreter.
Un groupe de soldat visèrent Tarnais et commencèrent �  lui mettre les fers. Scar s'y opposa ainsi que son second mais il senti un canon de pistolet sur sa nuque. L'équipage qui était rentré dans la taverne avant les soldats étaient des chasseurs de pirate, des corsaires. Les Hollandais avaient l'avantage du nombre et cette fois aucun acte ne pourraient les stopper. Car chaque occupant de la tavenre aviat sur lui une arme �  feu pret �  tirer.
- Laisse ton arme, l'ami ou tu meurt! S'écria le corsaire. Franosi laissa tomber sa lourde épée et Scar rangea la sienne. L'officier s'approcha de Scar, c'était le lieutenant qui avait été present lors de l'attaque du fort. Sa péruque blanche, son chapeau, son épée et ses galons montraient son grade
- Cher Scar. Je suis heureux que vous veniez avec nous et sans arme! Scar souria un peu mal à l'aise
- Tout les plaisir es pour moi mais je suis dois vous rappeler que je suis sous la protection de la couronne.
- Faux Coupa l'homme nous savons que d'une part vous ne respectiez pas votre engagement et que d'une aitre vous avez attaqué un navire transportant du "bois d'ébène" hollandais et que vous y avez libéré les esclaves... Pour la couronne hollandaise vous redevenez un fordan. de plus vous vous êtes opposé �  cet instant au pouvoir de nos lois cela fussit pas pour vous pendre mais vous faire passer en justisse. Quant �  votre second la potence pour ses actes de barbaries sera la sentance.
- vous avez gané cettte partie. Mais je peux garder moi arme comme tout capitaine qui vient d'être vaincu.
L'officier hésita puis donna l'accord.
Les soldats sortirent avec Scar taranis et Francois "le Snaguinaire" en direction de la prison.
Ddans la tavenre les discutions commencèrent mais sur ce que venait de se passer les chasseurs de pirate partirent comme ils étaient venus sans même que l'on puisse voir qui c'étaient.


ps: commencemant d'une nouvelle quête qui se déroulera sous forme de procés pour Scar etTaranis... Je serais tout les personnages important mais si vous le voulez vos personnage peuvent arretez comme Scar ou vous pourrez jouer le rôle des avocats de la défense ou du juge...
Suite plus tard  

[hyorg]

Après le départ des chasseurs de pirate Hyorg sortit discrètement par la porte il regardait ses amis emmener vers le fort en ruine puis parti vers son navire en pensent :
-Désoler les amis je ne peux vous aidez maintenant mais je ferais mon possible pour leur offrir une proie de chois pour que vous puisiez vous échapper.
Après avoir rejoind son bâtiment il mit le cap au large pour que du port on puisse voir son navire mais pas l’atteindre.
     

[De_Vendeloves]

-PFffffffffffffff... et bien mes amis..Je vois qu'on ne s'ennuie pas par ici..

Yo-ho!! et une bouteille de rhum...!!!  

[De_Vendeloves]

De Vendeloves se leva, tenta de dire quelque chose et s'écroula bruyament par terre, ivre mort.
Son ronflement fit rire tous les esprits tendus et l'ambiance de la taverne repris son cours normal.  

[weedash]

Salut les pirates   

[De_Vendeloves]

rrrrrrr...........rrrrrrrrrrrrrrrr.............rrrrrrrrr.........;blurp...
-hein? qui me dérange??
euh...salut �  toi l'étranger!! Que bien..non...que viens tu faire par ici???
il se releva , pris une chaise et tenta de rester éveillé le temps que l'inconnu lui apporte sa réponse.  

[Shanks_Le_Roux]

Je saits pas qui sait!
La premiére fois que je le vois ici...
M'en fous c'est pas une jolie princesse des mers :-  

[De_Vendeloves]

mouais, vous avez bien raison!! Bon, je vaais retourner �  ma besogne; maintenir mon taux d'alcoolemie au plus haut..  

[Guyde]

Bien le bonjour frères de la côte,
je suis fort aise de me trouver en si brave compagnie, cela ne m'étais plus arrivé depuis les geoles d'Antigua.
Tavernier offre �  boire �  ces hommes!

Et bien messieur l'un de vous aurait-il quelques informations sur les gouverneurs les plus généreux avec les hommes tels que nous qui daignent s'abaisser �  rendre un service �  l'une de ces limaces graisseuse? Mon navire aurait en effet bien besoin de carréner, mais surtout une éventuelle future République pirate ne pourra se monter sans que l'on ne soutire un maximum de moyens �  ces laquais poudrés (je soupçonne que quelques uns d'entre eux soient également castrés...)
Dans tous les cas, je vous souhaite, messieurs, le bojour.

Dis moi patron, tu n'aurais pas du Chouchenn ?  

[Capitaine]

Le peu reluisant et attrayant capitaine Agonie la belle pénétra d'un pas tanguant dans l'auberge bondée et où l'air était presque aussi irrespirable que dans une fournaise. Il affichait un sourire éclatant et tordu, des yeux hagards, et ses habits sentaient le vomi fraichement déchargé. Il se dirigea en zigue-zaguant vers le comptoir, et demanda d'une voix éraillée et chevrotante:
-Un petit rhum, tenancier s'il vous plait, mais vraiment tout petit. Je viens de vider mon estomac dans le mauvais sens, et une trop forte dose de cet hydromel me serait fatale je crois.
Une fois le verre en main, il le porta �  son nez, huma quelques instants et renversa la tête en arrière en portant le verre �  ses lèvres. Il le posa brusquement sur le comptoir, se lécha les lèvres avec ce qui ressemblait �  une langue, et s'exclama:
-Patron, finalement je pense que n'importe quel toubib recommenderait cette boisson pour soigner les maux de têtes et de boyaux. Un autre!
Agonie se détendit un peu, et finti par s'avachir complétement sur le comptoir. Son sourire s'élargissait au fur et �  msure que sa vue se brouillait, quand il entendit parler un homme �  son côté, un homme au language raffiné et au propos poussés. Ses propos interloquèrent d'ailleurs le boucaniers français qui s'incrusta dans la conversation et grogna en projetant des postillons �  plus de 50 centimètres �  la ronde:
-Dis-moi l'étranger, tu parles de république pirate...tes idées sont irrationnelles! la piraterie c'est un état d'ame, un art de vivre, pas une politique! Depuis quand est-ce que tu trimballes ses idioties ? Où allons-nous si maintenant les pirates doivent se féderer, se gouverner par eux-mêmes alors que c'est ce nous faisons depuis que la flibuste existe! Nous vivons pour défier les autorités, les gouvernements, toutes les formes de justice administrées par des soi-disants "nobles" qui s'enrichissent sur le dos des honnetes gens comme nous! Un pirate républicain! j'ai rarement entendu telle absurdité ! Comment peux-tu prétendre que les pirates drevaient s'organiser en république ?
Agonie était proprement estomaqué par ce que disait son voisin, et se cala pour mieux le regarder. Il avait tout d'un flibustier, avec l'élegance en plus. Agonie leva la main pour commander un autre rhum, il allait en avoir besoin pour tenir une conversasion sérieuse.  

[Guyde]

Guy aprostrophé de la sorte tourna son visage squelettique et blâfard vers son interlocuteur sans même prendre la peine d'essuyer les postillons qui maculaient son visage. vidant d'un trait sa chope de rhum bouilli (pouah c'est vrai que c'est dégueulasse!), il cala son regard dans les yeux de ce boucanier et repris son discours:
"frère, nous sommes d'accord mais tu m'as mal compris. Nul ne doit dominer quiconque et quand je parle de République ce n'est pas au sens romain du terme, ni même totalement au sens grec car ces hommes efféminés faisaient des distinction entre les sexes et avaient des esclaves, mais c'est au sens où tous seront citoyens et avec un pouvoir égal. Je rêve d'une société où chaque loi sera votée et discutée par tous. D'aucun me traiteront de fou, mais n'est-ce pas déj�  se que la plupart d'entre nous faisont sur nos bateaux? Ceux qui le souhaitent vraiment pourront établir une telle société car ses principes sont identiques �  ceux qui guident notre révolte. Nous dépensons tant d'énergie, d'habileté, de courage �  défier les roitelets d'Europe, imagine mon frère si tous ensemble nous décidions de créer un hâvre où tous seraient égaux, où tous auraient droit de citer...
Cette société est non seulement possible mais nécessaire car notre lutte ne saurait être éternelle, les puissances européennes risquent fort d'avoir un jour raison de nous...Mais si nous nous allions, si nous unissons nos efforts, alors notre liberté nous rendra invincibles!!!!"
Tandis qu'il parlait, le visage de Guy s'animait de plus en plus, ses yeux bleu acier semblèrent de plus en plus fiévreux, et �  la fin c'est debout sur son tabouret, rapière �  la main qu'il finit son discours enflammé, sa voix puissante dominant les bruits des clients:
"Voyez-vous vous autres, de telles idées se répandent déj�  partout dans le monde, �  Rome un moine nommé Caraccioli prêche pour un tel idéal. Nassau, La Tortue sont les embryons d'une telle société. Il nous échoit �  nous de construire un tel asile, c'est �  nous qu'il appartient de faire rendre gorde �  la tyranie, de massacrer les tyrans et leurs suppots !!!"
Puis tout �  coup les yeux de Guy s'éteignèrent, il se rassit, plongea le nez dans sa chope vide, puis les releva, tristes, vers le serveur.
"Une chope mon gars, avant que tous me croient fou mieux vaut boire jusqu'�  perdre raison..."


Edit: très bonne idée que de fonder une république... voial une quête dite infini donc pas vraiment une quête pour l'autre section mais comme moi et "L'Hadès" tu peux tenter de la faire partout. Vraiment bon idée mais saches que tu aura des ennemis: les gouverneurs et moi qui voue une haine �  tout ce qui est vivant et surtout donne très mauvaise réputation aux pirates...
bonne idée et bonne chance  

[Capitaine]

Les brutales changements d'attitude de l'orateur avaient déstabilisé Agonie, qui malgrè son ivresse naissante avait parfaitement saisi les paroles enflammées du républicain. Il secoua la tête pour et cligna plusieurs fois des yeux, s'approcha de son interlocuteur et déclara avec lenteur:
-Je ne crois pas que tu sois fou, l'ami, je crois surtout que tu es aveugle! A quoi nous servirait-il de nous associer tous et de former une nation indépendante, nous le sommes déj� , indépendants! Nous courons libres, avec nos propres codes et lois, nos propres conceptions de l'honneur et de la justice!
Nous sommes peut-être tous condamnés �  périr sous les coups de cannonade et �  rotir en Enfer jusqu'�  la fin des mondes, mais ceux qui nous poursuivent savent que jamais nous ne nous rendons sans combattre, que les défier est notre plus grand plaisir et que nous leur échapperons toujours et encore.
C'est insensé de songer que tous ensembles nous pourrons vivre en harmonie, �  l'abri du couroux de nos ennemis. Plus nous serons nombreux �  nous unir, plus nous serons faciles �  serrer. L'union ne fait la force que sur un navire, pas dans une armada de forbans qui n'obéissent habituellement qu'�  un seul capitaine. Si nous sommes des marginaux, des rebus de la société, c'est parce que nous avons justement quitté cette société, et tenter de récréer une parodie de ces systèmes fragiles viendrait �  nommer un chef pour tous nous gouverner!
Nous sommes invincibles de par notre résistance, de par nos principes et nos ideaux qui se transmettront naturellement �  nos successeurs, et nous tous égaux, nous sommes tous des gentilhommes assassins, baffreurs, coureurs et cupides, et il est évident qu'aucun de nous n'ira résider au Paradis après sa mort. Notre train de vie est-il différent des rois, des empereurs, des nobles qui dépensent sans compter et s'enrichissent et acquièrent toujours plus de pouvoir �  chaque respiration ?
Parle-moi d'organiser des nations pirates, autonomes et ne vivant que par et pour la flibuste, où nous rivaliserons avec ces superpuissances, où nous serons comme des épines dans leurs pieds, où chacun de nous sera son seul et unique chef, mais où nous serons solidaires et où nous nous unirons pour tous mourir dans un beau feu d'artifice, et  nos frêres partirons nous venger, en créant ces petits havres du crimes, ces paradis terrestres que sont la Tortue et Nassau que tu cites avec raison, partout dans les océans, l�  nous vivrons en société, organisés mais pas soumis �  un seul commandant et �  des lois qui nous lieraient les mains.
Essoufflé après avoir tant parlé et si peu bu, Agonie siffla son verre et se retourna vers son voisin de comptoir. Il s'exclama alors avec force:
-Mais je suis d'accord avec toi sur un point et je t'appuis �  fond, mon ami:  la solidarité est essentielle pour tenir tête aux puissantes nations. L'action collective pourrait présenter des résultats interressants, mais reste toujours la question du partage! Cela nous ramène �  ce que je disais plus haut: vivre en société organisée, d'accord, mais il faut que chacun trouve son compte, et puisse vivre comme il l'entend! Même que !!
Le capitaine Agonie la belle leva son verre bien haut et le vida lentement. Puis il le reposa brutalement et s'adressa �  nouveau au flibustier blafard, cette fois en souriant et en faisant apparaitre ses dents blanches scintillantes:
-Par les couilles de Morgan, l'ami, tu me plais. Avec un charactère bouillant et génereux comme le tient, je ne suis pas étonné que tu ai du passer par les cachots espagnols, il y a plus d'un gouverneur qui pourrait craindre pour la tranquilité de son port avec toi et tes idées dans les parages. Pour ma part et pour répondre �  ta première question, il n'y a que les gouverneurs français qui savent reconnaitre vrai gentilhomme d'un simple maraud et qui savent les récompenser �  leur juste valeur! Mias, je connais pas encore ton nom ?