le rhum,la piraterie, le bonnheur quoi!

[Elisa]

La porte s'ouvrit et une jeune femme rentra, elle se dirige vers le comptoire et demande une bouteille de rhum  qu'elle boit a cul sec...  

[Guyde]

Après quelques temps, Guyde les yeux rêveurs leva le regard de sa chope d'infâme rhum bouilli et le posa paresseusement sur son interlocuteur.
"En France quand j'étais marmot on m'appelait Guy De Kervaleck, Chevalier de Pont-Aven, mais depuis que je suis libre mes hommes m'apèlent capitaine, ou pour les plus sarcastiques d'entre eux c'est Guyde prononcé avec un accent anglais (la plupart d'entre nous sommes des corsaires vétérans qui nous battîmes contre les anglais), sans doute la drôlerie de la chose ne t'échappe-t'elle pas, certains vont même quand ils sont en colère jusqu'�  me traiter de prêcheur derrière mon dos... les ânes!
Mais nous nous écartons, ta flamme et ta passion t'honorent, mais vois-tu pour que nous soyons unis et pour que ne nous étripions pas les uns les autres un soir de partage de butin ou de beuverie, il faut que nous votions tous ensemble des règles que nous ferions respecter entre nous. Il faut que ces règles soient votées �  l'unanimité sinon elles ne seraient être bonne. En d'autres termes il faut que nous fondions notre propre société avec ses lois propres, lois auxquelles chacun souscrirait et resecterait car il les aurait voté. Vois-tu, j'ai trop souvent vu de noble hommes �  l'esprit fier comme le notre s'étriper pour un rien et ce gachis m'a toujours attrité l'âme..."
Guyde semble une fois de plus se perdre dans ses pensées au fond de sa chope, puis tout �  coup réalisant la présence d'une femme dont les services ne semblent pas payants il se tourne vers elle:
"Et vous mademoiselle, que pensez-vous de tout cela? Un peu de bon sens feminin nous ferait sans doute le plus grand bien..."  

[Capitaine]

En s'esclaffant et en découvrant sa dantesque dentition, Agonie La Belle approuva de bon coeur la dernière remarque de Guyde:
-C'est sur qu'on a le chic pour faire des beaux dicours quand on est est sobre, et s'étripper pour des broutilles quand l'allegresse domine!
Peut-être que le rhum me fait dire des choses qui vont �  l'encontre de mes opinions. Je ne m'interresse quasiment �  l'actualité politique de la terre ferme, l'océan est mon seul habitat.
Le capitaine Agonie porta sa chope �  ses lèvres caoutchoucteuses et la vida, puis s'adressa �  nouveau �  Guyde:
-Français, hein ?! Je suis foutrement content de retrouvrer un compatriote cultivé, ca me change de ces chiens galeux lettrés qui me servent de matelots. Vu ton ancien patronyme, tu m'as tout l'air d'être issu de la noblesse. J'ai moi même grandi dans ce milieu, et il ne me manque pas du tout.
Agonie agita ses mains ornées de chevalières et de cors (et �  lesquelles manquaient un ou deux doigts) en une simulation de courbette et déclara:
-Mon nom �  moi, ce fut Ambroise de Poncy, ma famille venait de La Rochelle. Mais on me connait plutot sous le surnom de "Belle agonie".
Il fit mine de lever son verre �  l'intention du serveur, mais se fit la réflexion qu'il ne valait mieux pas (trop) abuser des bonnes choses, et que bientot il devrait repartir. Mais sa gorge se désecha vite, d'autant plus vite qu'il vit la plantureuse nouvele arrivante descendre une bouteille d'une traite. Il hasarda son regard sur sa silhouette globale et soupconna �  son allure qu'elle ne devait pas faire partie de la haute société.
-Je suis certain également que votre point de vue permettra de conclure le débat, chère demoiselle!
   

[HeineDofWheurld]

*Au meme moment, un homme a la barbe hisrute et vetu d'un uniforme d'officier francais completement souillé fait irruption, le drole semble ruminer un certain agacement et aboie vulgairement un verre de tord-boyau au patron

"-Par Satan, qu'est-ce que j'ai bien pu faire pour mériter une telle malchance ? lache enfin le marin

-eh bien l'ancetre, rétorque le patron, boit ton verre et conte nous donc tes malheurs

-Mes malheurs ? repéta il,j'pourrais pas faire vot' métier patron, absorber un ramassis de ralage et autres plaintes toute la journée !

-Ca a du bon, matelot, ca permet de se tenir au courant des aléas de l'océan, répondit le patron d'un ton reservé et plein de mystère

- HA HA,rigola fortement le bougre, vous voulez des informations ? En vla une qui va pas tomber dans l'oreille d'un muet

-d'un sourd, repris son interlocuteur

-ouais c'est la meme chose, bref, toujours est il que je me prénomme Cabin Boy, matelot francais...hé du calme la bleusaille !, cria l'ivrogne en voyant les pirates aux alentours froncer des sourcils, je suis aussi pourri que vous !

-dévelloppe vieux débris, lanca quelqu'un dans la taverne

-ben c'est a dire, hésita t'il d'abord, que je refile les allées et venues des navires francais a des racailles de votre genre, acheva t'il finalement sur un ton plus decidé, sois pour qu'vous les pillez, soit pour les prendre !

-Pour les prendre ? interrogea le patron, tu doit pas informer n'importe qui alors !

-ben ouais et c'est justement ca le problème, poursuivi il sur un ton las, il y a 4 jours de c'la, le capitaine Sledge me payait une gracieuse commission pour que je l'informe d'un "gros poisson", Sledge voulait quitter sa brigantine et se payer une jolie fin de vie sur un bateau de classe supérieur

-encore un débutant, soupira un marin dans la salle, je donnerais pas cher d'une brigantine contre une frégate ou un Man'o'War, god kill the queen les gars !

-GOD KILL THE QUEEN, scandèrent les autres pirates en levant leurs verres

-continue l'ancetre, tu m'interesse, dit le patron en fixant le conteur

-je l'ai donc averti de l'arrivée vers St Kitts dl'a frégate "Le Courageux", 250 hommes, 46 canons, un beau petit pécul sorti des chantiers il y a moins d'un an...
sauf que quand Sledge et sa marmaille est arrivé la bas, il y avait pas de frégate

-Comment ca ?

-A la place il y avait un Galion ma foi joliment abimé, dematé et parsemé de trous de canons comme on en fait plus, je peut vous l'dire ! Le ponton était désert, juste recouvert de cadavres francais en train de bruler comme des diables !
Le "Last Hope" qui s'appelait !

-ca me dit rien, répondit le patron perplexe tout en se grattant la tete

-Eh ben moi j'ai fait mes petites recherches ! cria soudainement le marin, c'était le navire d'un fils de chien nommé Alexander Sepryte ! Un renégat Anglais qui a sacrifié sa sacro-sainte patrie pour rejoindre l'espagne et sa piraterie ! Et j'ai pas mis longtemps a pigé la chose, ce chien galleux est tombé sur "Le Courageux" avant Sledge et il s'en est donné a coeur joie, sauf que maintenant ce dernier veut r'prendre ses sous, un joli paquet que je n'ai plus, dilapidé en une soirée en prostituée,en boisson et en jeux !

-étrange, murmurra le patron

-Oh l'est pas très connu ce gars, c'est un vieux de la vieille qu'a jamais réussi a se démarquer des autres sauf aujourd'hui bien sur pour mon plus grand malheur, QUELLE MALCHANCE ! mais, repris le bougre en avalant un 2ème verre, l'en est pas a son premier coup d'essai, parait qu'il a deja fait 2 fois de tole ! Le pépère avait les yeux plus gros que le ventre et messieurs ces anglais n'ont pas hesité a le ramener a la raison en le dematant par 2 fois...ha ha ha !

-et tu compte faire quoi maintenant ? demanda une voix etouffé au fond de la taverne

-chai pa, dit Cabin en se retournant, vais essayer de m'informer sur les derniers faits d'arme de ce thief comme dirait les bouffeurs de gelée

-Ben fait gaffe, continua cette meme voix, parait qu'a Tortuga, il y a une frégate qu'a fraichement debarqué et qu'a commencé a embarqué 200 des meilleurs matelots du port, et j'te parle pas des officiers: Antonio de Silva,Trevor van Tyne,Henry Ducie Chads et j'en passe !

-pfff ! grommela le francais, je suis informateur depuis 2 ans petit, j'connait mon métier

*Cabin Boy se retourna et noya peu a peu son chagrin en regardant son verre, tandis que l'agitation provoqué par cet informateur retomba peu a peu,la taverne repris sa torpeur habituelle


   

[scar]

La porte qui était ouverte depuis un bout de temps se refermit avec violence. Tout le monde tourna sa tête vers la personne qui était entré. Peu la connaissait et ceux qui le connaissait en était pétrifié. Pourquoi il était revenu et comment. L'homme en cape noir, un chapeau �  plume sur la tête, une barbe légère et un énrome pistolet �  silex dans la main gacuhe.
- Sacrée histoir mais doit on en pleurer ou en rire
  sa voix semblait moqueuse. il s'avanca dans la salle, les bruits de ces bottes retendtirent dans la pièce arrivé devant le tenancier il lui souria
- un rhum l'ami!!
- Vous ici, mais c'est impossible!!
- Et pourquoi je suis l� ! et dépeches toi sinon toi tu n'y sera plus.
Il rangea son arme dans la ceinture fait de tissu �  sa taille et prit la boutezille avec sa mai, gauche, gantellée de cuir noir. Son vêtement sombre et sale avait du être très beau et celui d'un riche. Mais celui qui ne portait �  par ces vêtemnts ancien et ses superbes armres, un sabre arabe du moyen age et son pistolet paraissait très pauvre. Juste sa tenue et son charisme laissait �  deviner qu'il n'était que l'ombre de ce qui avait été. Il bu un peu sans grand expression
- toujours rien. Et pourquoi je ne devrais pas être ici??
- Le procé vous avez été comdanné.
- Et alors j'ai payé ma dette, même si vous ne pensiez pas qu'elle se finirait aisni mais par la corde.

Il se tourna vers la salle bouteille à la main et cria à l'assemblée.
- Alors frère de la coté comment vas la terre?? je reviens de plus d'un moi de voyage, �  errer sans but. Qui de vous peux raconter un peu ce qui se passe. Y a t il en ces lieux de vrai marins ou juste des matelots sans avenir. Il ya des hommes dignes?  

[Capitaine]

Distrait par l'entrée théâtrale du nouvel arrivant dont il avait vaguement eu l'homérique description auparavant, Ambroise déclara en saisissant les épaules de ses deux voisins français:
-Les nouvelles, frêre de l'onde, ne sont pas nombreuses mais méritent l'attention: mon Cabin Boy, spécialiste aigri des filatures, s'est fait doublé par un de ses contacts, un buveur de thé �  la moustache cirée, et son excellence Guyde le chevalier de pont-Aven a eu l'occasion de savourer le confort des geoles espagnoles d'Antigua. Il en a d'ailleurs profiter pour méditer sur la possibilité de former une république flibustière. Une idée audacieuse, admettons-le, et il a des arguments pour se défendre, le bougre!
Et toi, frêre de comptoir, quelles nouvelles rapportes-tu ?
   

[Guyde]

Guyde qui avait impolimet repris sa rêverie sursota du fait de tant d'agitation. Ses yeux troublés redevinrent clairs, tout comme ses pensées et il sembla soudain comprendre ce qui venait de se passer:
"Mordieu tavernier, le capitain Agonie a raison, voila moultes chopes que nous vidons mais pas la moindre histoire ou nouvelles n'est parvenu �  mes oreilles par votre bouche. Le pardon si ce fut du  fait de mon inattention.
Quant �  vous messire corbeau ou hoberau, car votre accoutrement triste de réformé convaincu avec lequel tranche cependant cet étrange cimeterre, je n'ai pas le plaisir d'encore vous connaître, mais j'espère que vous accepterez de vous joindre �  nous et peut-être d'échanger quelques idées sur notre avenir une fois que nous aurons parlé de notre passé. Voyez-vous je parlais justement avec le cpitaine Agonie d'une marote, si l'on peut dire, �  savoir fonder un société libertaire. Qui sais peut-être vous convaincrais-je de vous joindre �  moi et aux braves qui le souhaiteront afin de réaliser cette utopie..."
Tout en parlant, Guyde s'était levé et avait fait signe �  l'aubergiste de servir la table, posant quelques pièces de huit sur la table:
"Eh tavernier, si le coeur vous en dit joignez-vous �  nous avec quelques victuailles, votre nouvel hôte semble avoir d'étranges histoires �  raconter si ce que vous avez dit est vrai!"    

[scar]

Scar regard du seul oeil qui lui restait Guyde, pui souria. Il s'approcha la boutaille �  la main et s'assit lentement.
- Je me présente, comme le dois les règles élèmentaire de la courtoisie. On me nomme Scar et c'est par ce seul nom que vous pouvez me connaitre. Et vous vos nom?? Sans même attendre la réponse il continua
- Vous voulez fonder une société égalitaire quelle folie!! ce que j'ai connu son tous mort pour cette cause: La liberté. Il souria. Mais si c'est votre volonté esperons que vous y arriverez.. Quant �  moi je reviens des mers, seul refuge, où j'erre tuant tou sur mon passage.
Je suis une mine d'histoire et d'aventure de marinne mais aucune ne me viens en tête. Si une!! Scar bue sans faire attention sa bouteille puis la regarda. Une autre tenancier!!Il se retourna vers ses interlocuteurs et parla avec la plus totale lucidité. Voyez vous même si cela peut être étonnant. J'ai parcourue les mers depuis environ déj�  20 ans ma carrière �  commencé entant que mousse... Tout les plus grand pirate ou personne connu m'ont déj�  rencontré. J'ai était leur mentor leur guide. Je les suivais un peu, les aidant au cas où. Black Teach fit mon maitre d'équipage avnt de devenir celui de La Bouche. A ne pas confondre avec un ami "La Mouche" ancien boucanier...  

[Elisa]

Mmmm moi aussi j'ai connu la même histoire... ah! j'oubliai, je me présente Elisa Novalis je suis d'origine allemande...  

[scar]

Scar la regarda
- Une femme en mer Il se leva, enleva son chapeau et se baissa de facon courtoise. Je suis heureux de faire votre connaissance très chere... Vous venez des royaumes Allemand. Je ne les connais pas du tout.
ET que entendez vous par "J'ai connu la même histoire"  

[Elisa]

Disons que rare sont les allemand qui sillonnent les mers ...
Et pour la même histoire vécue, c'est a propos de vouloir fonder une société égalitaire... et tous ceux que j'ai connu son tous mort pour La liberté.
j'vous offre un petit rhum pour notre connaissance, cela mérite bien un toast  

[DjOoka]

     Je me promenais calmement le long d’une petite route quand je vis au loin une taverne. Je me suis approchée d’une fenêtre crasseuse où j’ai collé mon nez pour voir ce qui se passait �  l’intérieur. Depuis l� , je voyais quelques pirates au coin d’un feu, bouteille de rhum en main. J’entendais les rires, les exclamations, les cris de joie de certains pirates ivres. Ma curiosité me donna envie de voir ce coin de gaieté d’une autre  manière qu’�  travers une vitre négligée et j’avais envie moi aussi de prendre part �  leurs discussions. Le cœur comme essoufflé, j’entra avec le plus de discrétion possible …
     Une fois entrée, j’ai traversé l’auberge d’un pas rapide, le regard fixé sur mes chausses et je suis arrivée devant le comptoir. J’entendis alors une voix rauque et virile me demander ce que je désirai. J’ai levé les yeux jusqu'�  ce que je découvre le visage de mon interlocuteur, surprise de voir un homme si imposant je rougis m’apercevant de mon format de poche. Je lui ai souris difficilement et je lui ai demandé :

« Est-ce qu’il serait possible d’avoir un verre de … lait ? S’il vous plait »

Il m’�  sourit et m’a apporté mon verre. Je suis restée l�  pendant un long moment comme figée sur ma chaise.
   

[scar]

Scar dans toute sa grandeur, s'approcha de la nouvelle venue.
- Dites moi, vous me semblez pas être une personne de notre communautée comme certain aiment dire...
Vous me semblez bien jeune pour venir ici. Il posa son regard sur elle, et lui murmura
êtes vous folle ou avez vous jsute le désir d'être violé ou de mourir?? Ici il y a de tout des plus grands aux plus pauvres vau-rien.
 Je pourrais vous défendre pour ce jour mais sachez que je n'attends de vous rien, aucun preuve d'amitié. J'ai déj�  perdu ma vie et celle de moné quipage je ne voudrais pas qu'une si belle et jeune personne meurent bêtement pour rien. Juste un honneur celui de me rendre la pareil mais c'est trop tard personne ne peux me rendre quelque chose. Il caressa la joue de la fille de sa main gantée. Puis se retourna et s'écria
- Alors �  part cela? rien de nouveau pas de preuve de courage? mon temps est il passé avec tout les hommes et leur actes qui le représentait? Suis-je le seul �  être encore une image de la mer?
- Et pour vous jeune cpiatien, je ne peux que saluer cet superbe signe de courage de votre part, sachez que je ne suis le fils d'aucune patrie, seule la mer est ma mère...

Il se mit au milieux de la taverne et prit une bouteille d'une table, il commenca �  la boire alros que son propriétaire se leva pour la reprendre. Il vit �  temps que Scar avait son cimetèrre dans les mains, il se rassit et en recommandaune autre sans rien dire tandis que son voleur buvait la bouteille de rhum.  

[DjOoka]

Djooka regarda Scar avec une moue dubitative et s’écrie :

"Je ne suis plus une enfant ! Pourquoi tout le monde pense que je ne suis pas capable de me débrouillez seule ! J’ai le courage enfouis au fond de mon cœur et quoi qu’il arrive je saurai faire face ! Je n’ai besoin de l’aide de personne ..."

La colère de la jeune fille laissa place au silence pendant quelques secondes puis elle reprit :

... enfin je pense

Elle fini par regarder la scène qui suivit et sortit discrètement de la taverne  

[scar]

scar la regarda pui s'exclama
- A on dirait que le courage viens de partir les amis! Il ria avec une partie de la salle qui reprit après ses occupations. Scar lui s'avanca �  la porte et regarda marcher la fille.
- Sans doute un grand avenir mais des preuves à faire. Je bois à ton avenir petite! murmura t-il pour lui même et la fille. Puis il se retourna et s'avanca vers d'autre pirate pour reprendre la première discusssion.