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Auteur Fil de discussion: les pirates de la mer de sang  (Lu 9120 fois)
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« le: 20 Janvier 2007 à 17:45:50 »

voila c"est l"histoire de mon perso...
si vous avez des commentaires sur mon histoire ou l"envie d"y participer dites le moi par la messagerie. Merci et bonne lecture Clin d'oeil


Au commencement :

   J"ai fait parti de l"équipage de ce pirate... Scar

Mort au combat, la mort la plus noble pour lui. Seul survivant du combat final et fatal pour notre aventure.
Si j"ai décidé d"écrire mes mémoires ,a partir de mon journal privé, seul chose que j’ai pu sauver, sur cette période où j"ai vécu �  coté d"un frère de la coté français, qui par son honneur son courage et sa folie marqua l"histoire de la flibuste c’est d’une part pour que personne ne puisse l’oublier et répondre �  tout ces rumeurs et propagandes que l’on peut entendre dans les tavernes.

Scar, qui se faisait appeler ainsi en raison  �  une cicatrice au visage et pour faire croire qu’il était anglais, était en réalité français.
Il commença sa carrière de pirate très jeune �  l’age de 18 ans mais cela lui valu la prison, �  25 ans il décida enfin de se venger des anglais qui lui avait détruit 6 ans de sa vie et la partie gauche de son visage.
Je le revoit encore parfaitement c’était un homme grand de bonne carrure sans paraître imposant, les cheveux long et bruns les yeux noirs, avec un regard posé sur le lointain qui se remplissait de haine et de fureur �  la vue ou l’évocation d’anglais….


   
Tout commença dans un port de Guyane. Une nuit calme, a part les cris des soiffards et autres fêtards. Une nuit calme, un vent léger, le bercement de la mer. Dans une  auberge, j’étais l�  hilare cuvant presque ma bière avec le maître d’équipage du bateau où j’avais un contrat. Il était agressif quand il buvait, cela lui valu la vie. Il provoqua en duel un homme,  avec une cape rouge, un chapeau �  plume le style gentilhomme. Il accepta le duel avec joie, se levant il invita ses adversaire et ses hommes �  aller dehors, il sorti d’un pas lent digne. Devant l’auberge et la jetée le duel commença. Mon camarade se lenca sur l’adversaire, un court duel puis un coup fatal qui traversa le thorax du maître d’équipage. Il tomba mort, puis le duelliste se retourna vers moi je vis pour la premier fois son visage, dévasté par une cicatrice. Il posa son regard et sa lame sur mon corps, tremblant, incapable de faire le moindre geste cohérant �  cause de l’alcool je laissais tomber mon coutela. Il me félicita de ce geste sensé, puis après une courte conversation m’invita �  son bord. J’acceptai, il m’ordonna que le lendemain je devais me présenter au « Rubis », car au levé du jour il jetterai l’encre pour L’île de la Grenade.  

Modifié par solidus le 20/01/2007 20:04:50  
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« Répondre #1 le: 20 Janvier 2007 à 17:48:38 »

En route vers Grenade :


   

Le lendemain, je me montrais au « rubis » un beau sloop, au levé du jour, le soleil teinté le ciel d’une couleur orangée que comme un miroir la mer réfléchissait. Je me présenta une nouvelle fois �  mon nouveaux capitaine qui me montra l’équipage avec qui je partagerais ma vie : une quarantaine de marins �  l’air patibulaire, coriace. Un nommé François Targon, dit le Sanguinaire, était le second du bateau : un colosse avec une carrure imposant, une barbe et des cheveux blonds et frisants mais le regard amical envers moi du moins. Le Rubis était un sloop armé de huit canons.
Après deux heures de préparatifs, le bateau fit voile vers une destination connu de tous sauf de moi. Le vent était favorable, le soleil monté dans le ciel en même temps que la température. A l’horizon la Guyane s’éloigné, notre espace vital se retrouvait littéralement réduit, mais c’était une des règles de la vie de marin : vitre dans un espace clou et réduit. Il fallait s’y faire.
Notre voyage, lent, fut ponctué d’un petit combat : Une pinasse anglaise, « The speeder », deux vulgaires canons et une trentaine de marins. Scar se retourna vers son équipage et nous dit : « Aux armes et en position de combat ! ». Cinq minutes plus tard, un coup de canon fut tiré, il n’éclaboussa d’eau que la proue de la pinasse, c’était un message : arrêtez vous ou mourez…
La pinasse qui se trouvé �  10 heures sur notre bâbord, fit un mouvement inattendu. Il fonça sur notre navire, était-ce  par désespoir car on gagné sur lui, par folie ou car il pensait gagner : quasi tout l’équipage était couché et donc non visible et nos canons  était couvert �  part deux. Le combat se déroula sans histoire. Les boulet de leur canons sifflèrent �  nos oreilles sans, puis notre riposte eut lieu. Puis nous lançâmes les grappins et sautèrent �  l’assaut. On vidèrent nos armes sur les premiers opposants, les survivants se rendirent sans hésités.
Nous mirent les douze survivants en ligne sur le tribord. On prit les deux canons et le butin, assez maigres environs 1000 pièces d’or. Scar s’approcha d’un survivant et lui dit
: vous avez assez de vivre pour deux semaines, allez voir un gouverneur anglais et dit lui que la haine des anglais �  prit la mer et dites au  général John Peter que scar  va venir lui prendre lui aussi son visage… allez bouseux et n’oublié pas ce que je vous ai dit !
Malgré cette phrase dont le sens réel m’échappait je pensais que ma carrière de pirate sous les ordres de Scar commençait bien.
Le reste du voyage fut sans histoire, long crevant et ennuyant. Quand dix jour après le départ nous voyons enfin notre destination, je la reconnu de suite c’était l’île de la Grenade.

Après une manœuvre faites par tous les marins des dizaines de fois nous accostions au port de la grenade.


Modifié par solidus le 20/01/2007 17:49:16

Modifié par solidus le 20/01/2007 20:01:05

Modifié par solidus le 20/01/2007 20:01:28  
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« Répondre #2 le: 21 Janvier 2007 à 14:17:16 »

ne vous inquitez pas c"est solidus j"ai du refaire un autre comte malgrès la nationalité rien ne change... même perso. c"est la suite d"une même histoire


La fin de la vie calme :

    Nous avons passé une semaine, très calme �  nous bourrer la gueule  faire la fête le bonheur des catins, �  provoquer des disputes dans le port de la Grenade. Cette petite île paysanne, au relief certes pas haut mais montagneux. Puis dans toute cette joie, le capitaine qui recruta au moins une trentaine de marins, alla chez gouverneur pour lui proposer ces services.
Le gouverneur de l’île, âgé et fatigué, proposa que nous allions porter une missive �  St Lucy. Notre capitaine accepta, demanda l’argent puis alla dans une auberge où il me trouva avec plusieurs autres marins. Il nous demanda d’aller rassembler l’équipage. Ce fut vite fait, nous fûmes tous rassemblé sur le pont du sloop dont les planches étaient couvertes de vomi, tous tourné devant notre capitaine.

-Chers frères d’armes, préparaient le bateau, nettoyaient le pont, remplissaient les cales de vivre, rhum et de munitions! Et aidaient certain �  cuver leur vins. Mais je vais que le bateau soit prêt pour qu’on puisse relever l’ancre demain. On part pour St Lucy, un message �  donner au gouverneur.
-quoi on sert de poste au gouverneur français Huh? S’écria des marins.
-Oui c’est vrai mais bon on est bien payé plus de huit cent livres, tenez ! répondit-il rapidement lançant une bourse au milieu de nous. Une partie des marins se lancèrent sur la bourse éclatée. Scar ordonna de laisser sur le sol l’argent, François Targon s’occupera de partager la somme et de devoir aller au boulot.
Nous partîmes au levé du jour une fois de plus… après seulement quelques heures de voyage une voile �  l’horizon apparu, un vaisseau de guerre anglais. On n’avait pas la puissance de l’aborder, Scar ordonna avec regret de continuer notre route. Arrivé �  St Lucy, notre chef préféra jeter l’ancre devant le port et qu’on rejoigne la rive avec les quatre barques. On ramait Tous pour aller �  la rive. Scar était debout sur la première poupe d’une barque.
A peine on toucha terre que l’on couru vers la maison du gouverneur de St lucy. Sa maison était assez riche, spacieuse, devant les portes des gardes nous obligèrent de rester aux portes seul notre chef pénétra dans la maison. Il me raconta plus tard la scène : il est entré dans la vaste demeure, un majordome l’invita �  le suivre. Il le suivit dans un couloir très éclairé par les fenêtres qui montraient de fabuleux rayon de poussière. Il entra dans une pièce richement décorée. Sur une légère estrade, il y avait un bureau où derrière sur un riche fauteuil se tenait un homme assez imposant �  cause de son embonpoint et de son regard pénétrant. Scar lui tendit sa missive, l’homme la lu puis leva les yeux, notre chef lui souri avec un air mesquin puis se retourna et commença �  partir. Au moment où il passait la porte la voix forte du gouverneur se fut entendre.

-un instant s’il vous plait !
-Quoi ?
- Voila j’ai vous propose un travai. Il devrait être sans dangers pour des gens comme vous. Voyez cette lettre de l’île de Grenade m’informe qu’un pirate anglais �  volé des documents �  mon collège de Grenade. Un navire la vu en direction de St martin. J’aimerais que vous l’attaquiez !
- et qu’avons-nous �  gagner
- 3000 pièce d’or et 25 pourcent du butin, bien sur nous vous couvrons je prépare une lettre de marque, pour des gens de votre espèce, sachez que vous ne finirez pas au haut d’une potence et vous avez de la chance.
-Non, a répondu scar �  ses propositions, il voyait plus larges. Je veut 2500 pièce d’or payable maintenant et toute la cargaison du navire.
-Vous êtes fou ! ca sera milles pièces d’or !
après un marchandage il obtint mille huit cents pièces d’or et out le butin.

Il sorti de la maison se dirigea vers nous et nous dit avec un sourire que nous partirons dans deux heures le temps de payer quatre autres canons et de les équipes ainsi que plus de vivre et munition. L’équipage lui demanda où on aller il leur répondit qu’on allait piller au nom de la couronne près de St Martin.
A mon étonnement les hommes devaient avoir l’habitude d’arriver et de partir le jour même… Je ne l’avais jamais fait comme beaucoup de marins et cela me paru surhumain. Mais trois heures plus tard nous avions mis pour St martin, on se préparait au combat avec joie.



Modifié par scar le 25/02/2007 13:52:42  
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« Répondre #3 le: 26 Janvier 2007 à 17:31:24 »

  Enfin un bon combat :

       Le voyage dura plusieurs jours mais fut ponctué  de nombreux combats…
Une pinasse,  Que nous abordions rapidement. La bataille fut courte mais dix des nôtres disparurent pour de très peu butin, pas plus de deux kilos de lingots d’argent et un peu de pièce d’or.
 Le deuxième massacre fut encore plus rapide, il se déroula six jours après le premier la manque de nourriture faisait crier nos ventre. La vigie, engagé avant le départ scrutait la mer dans l’espoir d’une proie ou d’une île Une proie se manifesta la nuit, la lune se reflétait dans la mer, éclairée en deux endroits symétriques le ciel. Nous vîmes le navire se découper dans l’horizon, un vieux navire dont je ne connaissais pas type, nous ne vîmes ni sont nom ni le notre de marins. Notre capitaine ne voulu pas que l’on utilisait les canons, il voulait abordait le navire dans le plus grand silence. En moins de dix minutes nous lancions les grappins sans avoir laisser le temps au navire de tenter de s’enfuir. Tous sur le pont un peu fatigué, par le manque de nourriture et de sommeil mais cela nous apporté une certaine envie de combattre. Nous avons vidé nos armes �  feux, comme nos adversaires rassemblé sur le pont. La fumée se dissipa, et l�  le vainqueur du combat fut monté : presque tous les ennemis gisaient mort sur leur pont recouvert de sang, les survivants du duel se rendirent. Malheureusement �  part de la nourriture, rien pas une pièce, pas une livre. Scar avec un marin de notre équipage, un anglais qui servait de traducteur et qui partageait comme scar la haine des anglais, comprirent que le navire que nous avions abordés avait déj�  été pillé… pris de rage d’avoir perdu trois hommes pour rien scar ordonna de prendre les vivres de mettre les survivants dans les cales. Puis il nous demanda de commencer �  s’écarter du bateau. Quand tout les survivants furent enfermer dans les cales il mit le feu �  leur stock de poudre puis nos remontèrent dans le « rubis » et nous éloignèrent. Au bout de deux minutes une explosion venant de l’intérieure du navire anglais le souffla totalement. Le navire parti en fumée comme les ses prisonniers, le tout dans un bruit énorme et une lumière qui alluma la mer sur plusieurs miles. Tout l’équipage cria de joie, puis dans un  silence de mort notre sloop glissait pour  l’île de st Martin, tandis qu’un feu de joie régné sur la mer, le temps qu’il brûla tout le bois puis disparu.

   Scar était un assez bon marin que le courage rendait que meilleur. C’était un très bon stratège maritime, son audace et son sens de l’honneur faisait du champ de bataille tout autre chose que ce habituels. Je me souviens encore notre premier combat contre un pirate.

   Nous arrivâmes près de l’île de St Martin, vers le matin mais nous dûmes chercher notre proie pendant au moins cinq heures. Le navire sortait du port de St Martin,  nous attendions un peu plus de temps pour l’attaquer. Puis commença le combat, nous attaquions sur le tribord adverse. Le navire était un sloop équipé de huit canons mais ayant l’air en équipage en avantage numériques…  Notre chef nous ordonna pour ce qui ne maneuvrés pas, ni étaient au canons de rester couchés au sol pour que notre ennemi ne puisse contre qui il avait affaire. Nous fonciâmes sur notre ennemi juste après notre première bordées de canons. Il riposta plusieurs fois tandis que nos canonniers rechargeaient �  la mitraille et retournaient tous les canons sur notre badord pour pouvoir profité de tous nos canons. Scar était sur la dunette, fier, défiant du regard le capitaine adverse. Puis très rapidement nos deux navires se collèrent dans un tremblement. Tous nos canons tirèrent d’un coup la mitraille, elles fauchèrent la chair de quinzaine de marins, les bouts de métal traversèrent leur chair pour se loger dans celle de leurs voisins…  Les corps s’écroulaient sur le pont, remplis de sang et de morceau d’humain. Leur riposte aux pistolets et aux fusils tuèrent tous nos canonniers puis nous nous levâmes ripostant tout en sautant sur leur pont. Le combat commença, les lames s’entrechoquèrent, le sang coula ; d’autres corps tombèrent. Je voyais, entre deux coups, le sanguinaire qui avec sa hache et son épée, taillait la chair comme l’un des pirates avec une faux taillé un rang devant lui. Scar alla défier sur la dunette son adversaire numéro un. Le combat continua, j’esquivais puis je ripostais, notre vigie tirait avec trois fusils sur le tas.  Encore des morts du sang, de la rage celle de survivre et celle de gagner. Quand soudain un cri de rage et de regret retenti, le chef ennemi s’écroula sous la lame de Scar, il toucha les bottes de son vainqueur puis son dernier souffle fut fait. Victoire ! Cria l’équipage, nous alignâmes tous nos adversaires.

-« regardez on a de la visite les gars ! » c’était notre vigie, elle nous désigna une énorme frégate qui se dirigeait vers nous. Elle portait le pavillon Hollandais, elle devait venir pour régler ce problème.
- François occupes toi des prisonniers ne leurs faites pas de mal….
        Le navire mit �  la mer une barque qui arriva vers nos deux navires. Scar qui parlait très bien hollandais s’expliqua :
Nous ne sommes pas des pirates, nous avons une lettre de marque, qui nous permet au nom du gouverneur français de St lucy de piller ce navire qui a attaqué nos colonies. Il montra la lettre, le riche capitaine lu la lettre.
L’homme de part la lettre et les agitations agressives des anglais, accepta de nous laisser piller le navire mais que tout notre butin ne pourra être vendu sur cette île.
Scar accepta  les termes de ce contrat, on pilla tout le navire puis laissant nos prisonniers aux hollandais.

Après avoir accosté au port nos sommes resté une semaine sur l’île �  dépenser notre butin en pièce. Plus de trois milles pièces d’or, sur le vieux continent nous aurions été riche, mais sur les caraïbes, tout été vidé en une semaine puis après nos serions encore de pauvre marins en loques. Mais cela était la vie normale de tous les pirates. Mais ne pouvant pas vendre notre cales nous décidâmes au bout d’une semaine ( pas assez pour avoir vidé nos bourses) de rentrer �  St Lucy afin d’y annoncer notre victoire.

   
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« Répondre #4 le: 27 Janvier 2007 à 18:20:08 »

La jeunesse d’un pirate


   Le voyage de retour, fut très calme, pas un navire. Mais pour moi il a été très important…
Je me souviens de la première grande discussion que j’ai eut avec Scar. Le temps était calme, peu de vent, mer calme. Scar avec son éternelle cape sur les épaules, me regarda, j’étais accoudé �  la rampe du bateau sur un coin, chiquant et regardant au loin en direction de notre voyage. Il m’appela
:
-Van Bhor ! Je vais te faire un compliment, celui de voir que tu es un homme dévoué �  mon service, courageux et assez autoritaire. Je vais être directe je te nomme quartier maître !
- Quoi, mais ces trop d’honneur, pourquoi, tu ne nomme pas l’un de tes frères d’armes comme tu le dit…
- Ce sont de bon guerrier, autoritaire, mais trop amicale entre eux pour pouvoir être influent sur l’équipage. Toi tu es autoritaire, intelligent et assez bon guerrier.
-Merci, alors, chef je serais digne de cette tache. Je me suis écrié trop heureux pour me contenir. Puis il parti, quelque minutes plus tard je suis allé le rejoindre sur la dunette où il travaillé sur une carte.
- alors marin on déserte si vite son poste ??
- On ne risque rien. L’équipage est calme
- de toute manière, il y a plus de la moitié de l’équipage sont des personnes en qui on peut avoir confiance. Pourquoi tu viens me voir Bhor ?
- Pour vous demander une faveur, entre homme de même pays et j’aime savoir �  qui j’obéis. Racontez moi un peu votre enfance.
Il me regarda au moins deux minutes sans parler  puis:
-Bon ne me coupe pas la parole ok !
 
        Ma mère était bretonne et mon père un capitaine hollandais. Il avait hérité de son pays de terre dans les caraïbes. Mais assez pauvre, il dut faire une escale sur la Bretagne pour pouvoir monnayer son billet jusqu’aux îles. Il défia �  l’escrime ma mère, très bonne duelliste au nom de Christine Kember, ils sont tombés amoureux, puis ils huit mois plus tard ils trouvèrent assez d’argent pour aller aux caraïbes. C’est dans ce voyage que je suis né, en pleine mer.  Je me considère comme fils de l’océan et non un hollandais. Enfin après un mois de ma première vie nous sommes arrivés �  Saint Eustache. Mon père se trouva par le gouverneur �  la tête d’une flotte : une frégate et deux galions lourds. Ma mère elle qui s’occupait des terres et de mon éducation. Ne savant ni écrire ni lire, elle me mit sous la charge d’un gouvernant qui m’apprit le français, �  l’écrire et �  le lire ainsi que les maths et les histoires… Ma mère m’apprit l’air du combat sans règles, c’est grâce �  elle que je me bas si bien. Je ne voyais peu mon père. Mais �  l’age de douze ans mon père fit de moi le premier mousse de son bateau. Il m’apprit la stratégie l’art de la guerre maritime. Mais après deux combats et surtout trois ans sur un bateau, un combat est resté dans mon esprit. Les anglais, en guerre contre la hollande en Europe et donc ici, décidèrent de se débarrasser de la flotte de mon père. Ils ont envoyé l’amirale  Peter Mac White avec une frégate et �  la tête d’une flotte de deux sloops et deux galions. La flotte de mon père, avec sa Brigantine le galion et deux briks ne put rien contre lui. Lors de notre première rencontre nous réussîmes �  lui couler un sloop mais nos navires trop endommagés durent fuirent dans une baie. Prit au piège mon père, décida une sortie en force mais voyant les briks se faire rattraper, il décida avec l’équipage de bloquer la route aux anglais et ainsi laisser du temps aux autres bateaux de partir. Nous avons sacrifié nos vies pour nos amis. Le combat fut long et nous avons été abordé par le navire personnel de Mac White. Le combat fut long et la capitaine John Peter tua mon père au combat je tenta de m’opposer �  lui mais je n’y gagna que cette cicatrice.
Il posa son index sur sa face gauche, la cicatrice était énorme allant du front au milieu de la joie en passant par l’œil dont on voyait encore la marque du coup sur la paupière gauche. Il reprit :

-Je ne fut pas tué car ils pensaient pouvoir me rançonner, mais au bout d’un an on décida de m’envoyer travailler sur une presque île de Montserrat. J’y resta quatre ans, j’ai rencontré notre traducteur william Roswn qui avait été trahir, c’est un ancien corsaire qui fut mi au fer et envoyé sur cette île. Ces maudits anglais avait oublié un détail, celui que je vivais encore et nourri de haine. Avec une dizaine d’homme nous avons réussi �  nous enfuirent de l’île en nageant et montant sur un navire marchant qui accepta de nous laisser �  Bonaire. J’y appris que ma mère était morte durant ce temps de la maladie. Sur sa tombe je jurais ne jamais me reposer tant que la lame de l’épée de ma mère ne tranche la gorge de ces tueurs, Peter et Mac White.
Après cela, j'ai servis prendant deux ans sous l'ordre d'un pitoyable pirate francais. Je fus le chef des mutins lors de la mutinnerie, car il n'avait pas respecté nos accords. Je devins le capitaine de ce navire, c'est la qu'une parite des frères de sang était sous mon commandement. Pendant un an j'ai recruté par des duels se qui pouvait presque me battre, la crème des pirates, nous avons gagné de quoi l'équiper grace aux dés et la chance. Et on erre sur les mers depuis plus d’un an.

Voila tu sais tout ou du moins ce que tu mérites de savoir, sache que je ne t’ai pas menti. Bon retourne �  ton poste. Et n’oubli pas je n’ai d’hollandais se que mon père m’a donné, c'est-� -dire ce nom siegfried, mes connaissances de marins et une partie de mon ancienne famille. Vois tu je suis le fils de la mer je n’ai pas d’autre nationalité.
-Merci de m’avoir accordé ce temps, mais quel est ton vrai nom ?
- Yves, siegfried Kember. Mais ici appelle moi Scar.

Nous arrivâmes sans encombre à St Lucy quatre jours plus tard…


   
« Dernière édition: 14 Avril 2007 à 16:08:19 par scar »
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« Répondre #5 le: 31 Janvier 2007 à 19:38:57 »

Une erreur de pirate:

Nous sommes arrivés pour annoncer notre victoire le 7 Mars. Après avoir mit le pied sur la terre ferme, le chef nous autorisa un temps libre lui se dirigea vers le maison de gouverneur. Il arriva en grand seigneur devant le gouverneur, sa cape déchirée, rouge et son chapeau �  plume donné �  sa démarche un air imposant. Il donna la preuve de notre victoire : Une lettre du gouverneur hollandais, que scar avait demandé par prudence. Puis il rajouta un cadeau. Une croix en or avec quelques diamants.
-Tenez pour votre fille, sa lui ferra un souvenir d’un de mécréant des mers comme vous lui avez sans doute dit.
Notre chef ne connaissez pas sa fille, ils ne s’étaient jamais vu, mais son honneur voulait qu’il donne de lui un coté chevalier.
Mais heureusement Scar revint dans notre « monde », celui des prostitués, de l’alcool, la joie, les bagarres. Nous passâmes, vu qu’on a pu vendre notre cales, neufs jours  de pur bonheur sur cette île. Comment une si petite terre comparée �  l’Europe, une terre très chaude recouverte de jungle, une terre assez remplie de relief. Une seule ville, avec un grand quartier pauvre, sans route dallées,  que deux églises, d’une pauvreté incomparable par rapport �  celle de la Hollande, des maisons remplie d’humidité,  dont une partie ont comme sol la terre battue, comment juste par le désir de richesse et le bonheur de vivre. Mais un accident vint briser ce paradis.
Notre second défia, sous l’effet de l’alcool, un marin qui se moqué de lui. Le combat fut très fort et brutal, mais au bout de dix minutes devant la taverne, le marin fut tué, mais �  se moment intervint une patrouille, dont leur but sont justement d’éviter les dérapages des corsaires, marins et pirates tolérés. Elle allait pour l’arrêter quand je suis intervenu : d’une balle dans la tête je tua le chef de la patrouille, puis une autre détonation de poudre et puis d’autres, tous l’équipage présent étaient sorti de la taverne et ont vidé leur armes sur les hommes de la surveillance de la colonie.

Il fut deux heures seulement pour que Scar en fut ai courant, il nous ordonna de retourner au navire.  Il en fallu pas beaucoup plus pour que le Gouverneur le sache aussi. Il fit pointer les canons du fortin sur notre navire, car Siegfried ne voulu pas s’enfuir il voulait régler le problème avec le gouverneur en homme intellectuel comme il a dit. Se dernier se pointa sur « Le Rubis ». Après une longue conservation entre notre chef et celui de l’île, le gouverneur accepta le fait que François avait agi sous l’effet du rhum, et n’avait juste répondit �  la provocation du marin, qu’il était un caporal de la flotte royale du Roi. Le bijou avait eut son influence, sa fille l’avait apprécié et avait donné son avis sur ce meurtre avant que son père monte sur le bateau. Il nous expliqua que si il ne nous coulait pas ou n’ordonnait pas que nous soyons mis �  fer, en contre partie il nous interdisa de revenir sur cette île.
Scar accepta les termes de ce « contrat », être exilé d’une île n’était pas si grave pour des pirates. Le gouverneur ne savait pas que si nous reviendrons ca serait l’arme aux poings et on reviendrait, c’était sur ! 
Nous commençâmes une longue période d’érrance…

   
« Dernière édition: 27 Février 2007 à 12:31:36 par scar »
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« Répondre #6 le: 07 Février 2007 à 17:47:31 »

Trois mois en mer :

   Après la fuite obligatoire de l’île. Notre chef décida d’aller proposer ces services aux Hollandais. Ce fut accepté. Puis nous escortâmes des navires marchands ou allant nous même  décharger des marchandises d’île en île. Plusieurs gouverneurs de différentes nations, de par notre réputation, nous chargeaient de détruire des navires. Deux nous coûtèrent presque la vie.
L’un était un galion renforcé, qui s’attendait malheureusement  �  une attaque de notre part. Nous réussîmes �  nous enfuirent en détruisant leur gouvernail en passant �  sa poupe nous l’avons évité. Mais plusieurs de ses bordées eurent raison de presque tous l’équipage : tous les non-frères de sang sont mort et deux des ces derniers, le cuistot Jimmy et Hartur le maigre qui fut projeté en dehors du bateau par un boulet d’acier. Le deuxième était un vaisseau de ligne avec plus de quatre-vingts canons. Nous avons eut l’avantage du vent et donc avant même l’attaque, on a réussi �  s’enfuir.

     Les frères de sang, comme Scar les surnommait,  étaient les premiers pirates qui avaient servis sous ses ordres, les mutins et ceux engagés après les duels, ils étaient cinquante trois, seulement trois cinq sont mort. Ces pirates, notre chef en avait totalement confiance et c’était réciproque, ils le suivraient aveuglement jusqu’�  la mort et lui il les écoutait avec confiance et savait leur puissance et leur courage, sans hésité il les mènerait jusqu’�  la mort. Quant �  moi je commençais �  en devenir un, de part ma nomination en tant que quartier maître et de l’autre mes relations avec Alexandre Foussa, un vrai flingueur, plus de sept pistolet sur lui…
Ils me respectaient, surtout mon capitaine, grâce �  notre nationalité commune même si lui ne se considérait pas comme Hollandais.
Après plus d’un moi de vagabondage, nous perdiâmes un combat contre un navire de la couronne d’Espagne. Grâce �  nos relations et une preuve de corsaire au nom de la Hollande nous avons évité la potence, Scar qui connaissait une information importante sur le fortin de Bonaire, fit marché de relation et au bout de douze jours on nous a libérés.
   
      Après cela, Scar décida de garder plus de cinquante pourcent des butins, a part les frères de sang les marins se sont opposés �  cela, moi j’était étonne. Notre chef et ses hommes firent comprendre au autres (en tuant les plus récalcitrants) que cela était pour le bien de tous.
Oui, c’était pour payer un navire sur l’île de la Tortue.
 
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Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã�  dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
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« Répondre #7 le: 17 Février 2007 à 09:41:49 »

Les mines de Carthagène :

   Un beau jour, sur le port Bonaire où nous nous avions jeté l’encre pour refaire le plein de vivre de rhum et d’amour, une missive de la part de gouverneur vint sur le « Rubis »
Elle demandait �  son capitaine de venir le voir pour une tache. Siegfried Kember, fut étonné et alla au rendez-vous. Après un  court le gouverneur lui demanda d’aller piller un navire espagnol du nom « Fidelinos » et de lui ramener sa marchandise, il paya le prix  plus de mille pièces maintenant et mille après l’avoir ramené.
Autant pour un navire que pouvais t-il contenir, scar fit préparé le navire et notre Sloop parti le lendemain matin.

Le voyage fut difficile �  cause du mauvais temps, et long car nous ne savions pas où se allait notre proie. De par la variété de notre équipage : 2 hollandais, plus moi et le chef, un anglais William Roswn, un italien de Florence, deux indiens, un noir d’Afirque du nom de Cesare Ngou’ha, un espagnol-français et deux autres marins nous français ; nous avons réussir, en demandant partout sur les ports et chez les dirigeant hollandais où allait le navire :  Maracaïbo.

Tous les voiles gonflés, la barre au Sud. A notre vitesse, nous  fendîmes les flots de la mer, envoyant de l’écume jusque sur le pont. Nous n’attaquâmes pas, avec regret, trois navires marchands. Puis on est arrivé enfin �  destination. Notre espagnol apprit que le « Fidelinos » n’était toujours pas arrivé. Nous avons remonté le détroits jusqu’�  son embouchure est attendu.
Les jours se suivaient et aucun signe de notre proie, rien, nous commencions �  nous étonner avait-il changé de destination, avait-il été attaqué ? Au bout du septième jour une voile �  l’horizon. Scar prit sa longue vue, il souria c’était bien le sloop que nous attendions, et il avait bien été attaqué, sa coque semblé réparé en mer et �  voir son équipage il semblait réduit. Encor plus facile. Sa voie se fit entendre sur tout le navire :


-Tous sur le pont, parez les armes, les voiles, sortez les canons, chargez les et barre �  tribord!!

       Le navire ennemi nous remarqua et préféra éviter le combat, cargua une partie de ses voiles et manœuva pour nous contourner, mais très vite il s’aperçu que celle le combat lui permettrai de survivre. Notre chef ordonna de charger les canons �  la mitraille car il ne voulait pas voir le navire couler ou la coque trop endommagée. Car sinon soit la cargaison serait elle aussi endommagée ou nous aurions pas assez de temps pour la mettre dans notre navire.
Nos canons crachèrent leur charge dans un bruit d’enfer, de leur bouche se soulevèrent des fumées blanches, cachant ainsi notre pont mais aussi la vue de leur navire puis la fumée se souleva dans les airs. Ils ripostèrent puis nous de même et nos abordions. Le combat fut court le peu d’homme en vie se rendirent dés que nous posâmes nos pieds sur leur navires, leur chef mort en désavantage ils préféraient demande notre clémence. Seulement trois hommes morts chef nous dix chez eux.

La surprise fut la marchandise que nous devions ramener. On s’attendait �  un prisonnier, ou des document mais pas �  cela un stock d’or. Environ cinquante kilos. Nous les avons mis dans nos cales tandis que Scar avec l’aide de notre Espagnol demanda pourquoi autant d’or et peu de  garde.
La répose fut que le galion qui les escortait fut obligé de devoir resté au port pour environ un moi �  cause d’un attaque anglaise. Cela expliqué le retard et les dommages sur le navire.

-D’où vient tout cette or ? demanda t-il.
- Des mines du continent près de Carthagène.
    Il fit ordonné l’exécution des survivants, qui protestèrent mais peu de temps les lames leur fit rendre vie. Il nous explique que lui-même n’était pas très pour, mais il était trop près d’un port pour laisser des survivants qui nous vendraient. Nous fîmes exploser le sloop avec leur réserve de poudre puis nous partîmes rendre compte de notre réussite.

Le voyage fut plus court que l’allé, il regardait sans cesse vers Carthagène, réfléchissant, mais méfiant un telle cargaison avait déj�  coûté la vie de capitaine par des mutineries mais Scar avait confiance aux frères de sang. Bonaire en vue, nous rendîmes notre dus.
Puis, Scar nous invita �  la taverne. Assi au fond  de la pièce nous l’écoutâmes, certain plutôt énervés et d’autre étonnés.

-Pourquoi pas avoir gardé la marchandise ?Demanda un homme, barbu, maigre dont les yeux jetaient des éclairs. On aurait pas la vendre et se faire un max d’or au lieux de la rendre pour mille piécettes!!
Plusieurs approuvèrent, mais le calme revint vite.
-Je sais, mais j’ai une idée. Si nous même on attaqué les mines, on aurait beaucoup plus d’argent et les Hollandais ne nous en voudraient pas.

      La discutions continua, un marin que je ne connaissait pas était contre l’idée de piller des mines, trop dangereux et qu'il préferait partir. Le second l’emmena derrière la taverne, on ne le reverrait jamais.
On approuva, mais il nous fallait des coéquipiers et plus de renseignements.

Chose dit, chose faites. Il alla voir Kalgara, dont il avait vue le navire au port. C’était un drôle de pirate aux cheveux roux, certes il était moins fort que nous mais il avait la folie de la jeunesse comme disait Scar. On l’avait rencontré dans une taverne lors d’un duel de rhum défaite pour lui puis après en mer pas pour un combat. Il accepta mais nous dit qu’il devait encor régler des choses personnelles et qu’il devrait partir dans trois jours.
Un allié mais le temps qu’il revienne, on en profita pour faire la connaissance du capitaine de Vendeloves surnommé la Mouche et aussi de Lady Karnaj dont on avait entendu parlé.
C’était une femme, chose rare, mais bien trop arrogante et stupide au gout de mon chef et du mien. C’était une anglaise deux tares qui l’excuse comme disait Scar sans méchanceté car il respectait et femme qui su se faire reconnaître dans le milieu des hommes. Certes elle ne comprit pas tout de suite sa place dans la taverne où on se rencontra. Mais après un combat verbale une joute sans pitié, elle préféra mettre fin �  ce dernier chose intelligente car ca commençait �  énerver certain marin sauf Yves qui s’amusé.

On devait encore attendre.

   
« Dernière édition: 11 Mars 2007 à 14:39:27 par scar »
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« Répondre #8 le: 24 Mars 2007 à 19:11:30 »

Nous avions après une difficile attaque réussit notre coup. Le butin partagait était assez imposant, plus de vingt kilos d'or (soir autant que la porduction de toute l'europe en un an)

Après ce cout d'éclat nous partagâmes le butin et chacun partit avec dix kilos de lingot en or, nous échangâmes une partie en pièce sonante et frapante que l'on partagea,
Le partage commença et �  la fin les marins s’aperçurent que seulement la moitié du butin avait été partagé. Les armes furent sorties, les sabres pointés sur nous, certains pistolets braqués sur les maîtres du sloop.
Les non-frères de sang demandaient la répartition de l’or de façon égale pas la moitié pour les chefs. Il devait respecter les engagements de son grade c’est ce qu’ils dirent.
Je cru bien un risque de mutinerie et François le senti aussi, il appela aux armes et tous les frères de sang virent, les armes aux points, se placer entre nous et le reste de l’équipage.
Scar confiant quitta la proue du navire s’avança, l’épée en main.
-Ne vous en faites pas je ne suis pas un de ces ignobles chefs de guerre qui s’approprient tout pour eux. Dit-il calmement, Si je prend la moitié du butin, ce n’est pas pour ma réserve personnelle car cette dernière est égale aux votre. Si je prends la moitié c’est pour un bien commun : c’est a fin de payer un navire plus puisant dont j’ai fait la commande, mais le prix �  payer est énorme.
Il regarda l’assemblé et continua. Donc de façon plus égalitaire je vous propose un choix soit on partage tout le butin soit je garda la moitié et sur mon honneur m’en servirait pour l’achat d’un navire donc un bien commun. Choisissez !

Les marin s’emblaient hésiter, le second souriait c’était, pour lui, dans la poche. Puis d’une voix commune l’équipage accepta que le capitaine garde une grosse partie de l’or. Quelques murmures contre se firent entendre.
Scar sauta sur un tonneau l’épée défiant l’ensemble de l’équipage et d’un voix fore et autoritaire, s’écria.
Voici l’avis d’une majorité de l’équipage et entant que marins honnête j’obéis au désire commun du navire. Si il y a ici qui sont contre ce choix qu’ils se manifestent ils recevront leur du et rapidement. Je ne tolère pas des plaintes sur moi de gens comme vous et encor moi venant anonymement ! Alors  parlé !
Bon personne donc pour que tout le monde soit content je vais faire partager un  dixième du reste. Mais demain nous mettons voile sur ma destination
-Quelle est-elle on a le droit de savoir ? Demandèrent des mains sans méchanceté
-Vous avez raison, nous iront chercher notre futur navire. On va �  l’île française, de la Tortue !
S’écria t il d’un coup, des cris de joie suivirent, on fit ouvrir les bouteille et même malgré l’interdiction de faire du feu sur le pont on fit rôtir quelque viande. La nuit argentée donnait un coté irréel �  la scène, le feu se reflétait sur l’eau on entendait la musique d’un violon et des chants, dans un navire qui voguait silencieusement. Un navire fantôme avec un équipage qui semblait être sur la terre ferme. 
Après deux fêtes en deux jours l’équipage était quasiment hors d’état… Si un navire nous avez attaqué seule la fuite nous aurait sauvé. Je me rappelle la gueule de bois que j’ai eut en me réveillant �  cause  de cris et de bruit de vomissement. Mais, avec cela l’ardeur et la joie régnaient sur le navire : la Tortue l’île pirate par excellence depuis plus d’un siècle. Elle avait appartenu aux français puis les anglais encor les français les espagnoles la conquirent pour mettre fin �  la flibuste mais la France la reprit. Même avec ces changements de gouverneur, seul les pirates étaient vraiment roi de l’île en accord avec le gouverneur, ils leur donnaient une partie de leur butin en échange de quoi pas de problème du �  la justice sur l’île sauf en cas de mauvaise conduite sur l’île, on ignorait les actes sur mers en échange d’or marché équitable…


Nous restâme �  Bonaire pendant une semaine, on y fit la connaissance de Taranis, grand pirate, Scar revit Karnaj et on devint ami avec hyorg et son équipage, cela nous impliqua dans un combat entre lui et la compagnie des indes occidentales... Dans ce conflit nous l'avons aisé mais quand les soldats ont intervenu, nous avons rangé les armes car on avait un boulot pour la couronne de la Hollande.
après une semaine de fête nous repartîmes vers La Tortue.  L'équipage qui avait fait fête, jeux et autre vice durant une semaine continua sur le navire. Notre sloop faisait son dernier voyage, il fut agité par un coup de tabac qui ne fit que nous amuser. Car trop soul on ne comprenait pas le danger qu'il aurait pu se passer si le "Rubis" céda �  la mer.

Le voyage dura deux semaines sans rien rencontrer, mais perosnne ne s'en apercu. Scar passait ses jours �  cuvers se qu'il ingurgitait le soir. Moi pour ma part regardait , le soir, le soleil et l'horizon qui n'était jamais parfaitement plane, comme je l'a voiée bizarrement. Tous croyés que la mer était en tempête, alors que c'était le calme plat, ce qui expliqua que lors du coup de tabac aucun ne s'en apercu.
 
« Dernière édition: 25 Mars 2007 à 12:09:38 par scar »
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« Répondre #9 le: 26 Mars 2007 à 18:12:34 »

L’Hadès

   Après un long voyage qui dura plus de deux semaines sans rencontrer aucun navire, notre vigie cria cette phrase que Christophe Colomb avait déj�  entendu : « Terre ! Terre !! »
Notre réaction fut la même que ce marin, la joie, l’espoir car depuis quatre jours les cales étaient �  sec. Plus de vivre, nous tenions le coup avec difficultés mangeant le moindre morceau de nourriture même si il était pourri Et pas de chance aucun navire �  aborder. La ceinture serrée au maximum pour que nos pantalons ne tombent pas, maigres, affamés mais on avait encore un peu d’alcool.
Je souriais en voyant tout entier criant de joie, sautant sur place. Puis nous nous sommes activés pour aller sur l’île de la Tortue notre destination. Au bout d’environ trois heures nous commencions notre entrée dans le port. Nous virent au quai inconnu, tant de navires passés sur cette île, des vieux nous regardaient comme ils regardaient passer les bateaux leur seule occupation.

A quai, Scar m’ordonna avec le maître d’équipage de régler les préparatifs afin de vider totalement le navire. Il nous fallait vendre ou du moins sortir tout du « Rubis » car le navire sera lui aussi vendu. On commença puis quand le soir tomba tout l’équipage se retrouva dans la taverne. Une taverne plus ou moins fréquentable, une ambiance amicale, un peu de musique mais recouverte de voix fortes…

-Alors, les gars vous avez vidé le navire ?? Nous demanda Yves.
- Oui, presque du moins on a vendu tout sauf les canons et la bouffe mais bon ça ne se perd pas. Lui répondit Ulric, le maître d’équipage. Il sortit, de l’unique poche de son veston, un papier. Tiens voila, je ne sais pas lire mais bon toi tu pourras le lire. C’est la feuille où Von Bhor, a noté la recette de la journée. Tiens
Ulric posa la feuille sur la table puis la tendit �  Scar qui la prit. Je regardais la scène par-dessus  mon gros gobelet.
-Alors là on s’en sort bien, vous avez l’art du commerce mes amis !! S’écria notre chef après une lecture minutieuse, ponctué d’exclamation.
-Avec ça, on s’en sortira assez bien, on va garder les canons pour notre nouveau bateau. Je suis allé voir le maître du chantier naval. Ce vieux Bill  était heureux de nous revoir, mais je ne lui ai pas dit encore pour son frère. Sinon le navire est presque fini !
-Le navire il ressemble �  quoi ?? Notre bon sloop était parfait ! Demandais-je. Et puis je commence à m’y attacher, ça fait huit mois que je voyage avec vous et sur lui.
- Un sentimentaliste ! Ah Van Bhor vous êtes unique, dit avec joie le Sanguinaire.
- C’est un navire comme tu ne peux pas l’imaginer, un monstre des mers, il va faire trembler les gouverneurs et amiraux dans leur lit. Un soixante quatre canons !
- Quoi !! S’exclamèrent tout la table en s’étouffant à moitié.  Tu te moques de nous. C’est énorme! Seul Francois qui avait vue le bateau ne réagissa pas et quand �  moi je me suis presque étouffé avec mon verre.
-Non vous verrez cela demain.
On continua �  parler, de tout sauf du navire car on osait aborder l’histoire du coût. On parlait de tout d’histoire du cul, de bagarre et de vengeance…  Le tout dans une fumée épaisse du aux tabac et aux torches. 


        Le lendemain Scar réveilla tout l’équipage et nous ordonna de le suivre. On marchait dans la rue tels des morts �  moitié endormis. On suivit notre capitaine sur la route en terre battue qui menait jusqu’�  lieux de gérance du chantier naval.
   On entra dans le bâtiment, un bâtiment pas trop riche avec de nombreuse maquette de navire, des plans un peu partout, Yves Kember alla saluer un homme assit endormi sur son bureau. Après un réveil un peu agité ce dernier, qui était le chef de cet établissement, nous conduisit �  l’extérieur. Notre chef, notre maître charpentier et celui du chantier parlaient entre eux du navire tout en nous y conduisant.
On tomba devant un énorme bâtiment, monstrueux car inattendu. Nous nous étions tous attendus, même Scar, �  un navire interminable comme les frégates mais il était assez petit pour le nombre de canon et sa contenance plutôt épais.


-Voila mes amis, le fruit de plus de quatre mois de travail ! S’écria fièrement le dénommé Louis Rocheux. Un véritable navire de guerre construit selon les modèles de ceux fabriqués en France du vieux continent et c’est vrai les architectes maritimes français construisent des navires hors normes, très innovateurs. Notamment la double coques, on a fait des tests, la coque de ton navire n’est pas près de partir en miette très vites surtout avec un feuille de métal d’environ quatre centimètre entre les deux morceau du ventre.
Louis nous a fait visiter le navire notre futur maison. Nous étions tous aberrés comment perdre avec cela Huh?
-Bon pour les mesures, huit mètres de large au niveau du tillac et dix pour l'entrepont et le pont inferieur, quarante quatre mètres de long et donc cinquante si on compte le mat de beauprés, soit presque trois fois plus long que large…
Alors un pont supérieur et deux pont inférieurs normale dont un qui se trouve sous la ligne de flottaison, c’est les cales.
Treize canons �  chaque bord sur le pont supérieur et dix-sept aussi sur le premier pont et aucun au dernier mais bon ce niveau flotte �  seulement un mètre du niveau de la mer. Aucun canons �  la poupe donc vulnérable par l’arrière C’est un bon navire très rapide pour sa taille, assez rapide, trois mats plus le mat d’artimon, le premier sur le gaillard avant avec quatre canons. Niveau greement si vous avez le vent pour vous vous pouvez facilement égaler les sloops même les doubler sans problème car j'ai fait mettre des jusqu'�  cinq voiles sur le grand mat et quatre sur celui d'artimon et le mat de misaine
Je pense que mon frère va avoir du boulot avec ce navire.
- Justement ton frère est… est mort. Dit calmement Scar. Il est mort quand nous avons fuit un galion avec notre sloop… une mauvaise bordée.
- Quoi ! Mort. Louis s’assit choqué car la nouvelle, un long silence puis nous regarda, souri légèrement. Vous le vengerez hein ? Dit-il avec une voix tremblante.
- Oui cela ne sera fait aucun doute, nous te rapporterons la tête du responsable. Répondit notre chef. Continue de nous parler de notre achat si cela ne te gêne pas.
 Après un silence, Rocheux regarda le navire et souria.
-Bon je vous conseillerais d’aller recruter des marins car il faut environ quarante personnes pour manoeuvrer et deux cents �  deux cents cinquantes peuvent y habiter mais bon avec autant de personnes dedans le navire sera vraiment ralentit. Son niveau de flottaison sera trop bas pour aller sans risques près des cotes.

         Il nous décrivit encore le navire vanta ses qualités. Puis vint le moment de l’achat les deux hommes discutèrent longtemps sur le prix non pas d’achat mais sur le prix du sloop. Après un long moment Scar accepta l’échange et demande �  son ami de faire la plaque du nom car le navire est déj�  baptisé pour Yves Hadès. Car avec ce navire on deviendra les  dieux maléfiques des caraïbes…
Louis Rocheux nous conseilla d’armer notre bateau et de recruter des hommes car la fabrication de ce monstre avait été apprise par les gouverneurs des îles alentour et un tel navire devrait être détruit donc on risquerait de rencontrer les flottes royales.
Car un tel navire dans les mains de pirate était bien plus redoutable qu’il en avait l’air ou que dans les mains de corsaires ou militaires




hj: je sais vous vous dites c'st un navire de merde mais imaginé une britgantine avec 13 de vitesse initiale et la résistance d'un manowar et besion encore moins d'homme pour le manoeuvré... ok??
et dites vous qu'a l'époque c'était déj�  un monstre et que c'était rare des navires comme cela pour des pirates.
   
« Dernière édition: 14 Avril 2007 à 16:04:37 par scar »
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« Répondre #10 le: 30 Mars 2007 à 16:53:07 »

Recrutement et rencontre

        Comme prévisible nous étions que soixante sept donc notre chef décida de rester sur l’île le temps que notre ami mettre totalement �  notre disposition le navire et pendant ce temps nous devrions essayer de recruter un max de marins. Etant maître d’équipage avec Gabriel Krek, une espèce de mousquetaire très amicale, il nous ordonna d’aller chacun dans les tavernes afin de recruter la crème des hommes. Je me rendis �  une auberge mal famée, les murs de chaume étaient jauni par la fumée des troches et du tabacs le sol recouvert de taille afin d’absorber un peu d’alcool. L’unique salle était remplie de table, au fond se situait le comptoir et un escalier menait aux quartiers du tavernier. Je fis comme Scar, je suis monté sur un tabouret et criant de toute ma voix j’obtins le silence. Tout le monde me regardait, ils me voyaient un homme maigre assez grand, les cheveux long et blond frisottant un peu, un début de bouc et un sourire bienveillant.  Je clamais ouvertement que mon capitaine prioritaire du pont deux en fabrication recherchait des marins fort courageux pour son équipage. Le fait que j’ai nommé le deux ponts fit des réactions dans la taverne.
Je me suis assis �  une table sur un mur de l’auberge plusieurs personnes virent proposer leur service, une partie car ils avaient entendu parler de Scar d’autre pour voguer sur cet énorme navire qu’ils s’avaient vu en construction. Je commençais le recrutement posant différente question et leur faisant un test de réflexe et d’obéissance en faisant tomber ma pinte par terre. Je recrutai comme cela quatre personnes dignes de confiance, mais au moment où le quatrième faisait une croix sur un papier pour montrer son engagement, un bruit de dispute se fit entendre quatre personnes commencèrent �  hausser la voix, je regardais la scène avec étonnement puis soudain un petit homme sauta et poignarda celui qui se faisait crier de dessus. Il se releva et dit :

- Voila se qui arrive quand on nous désobéit.
 Je me suis permis d’intervenir et tout de suite le tueur tenta de me remettre à ma place
-Toi retourna �  ton recrutement, y a une grand-mère qui veut rentrer dans ton équipage
- Mêle  toi de ce qui te regarde. Me répondit un autre avec un regard endormi et un air agressif
- De ce qui me regard ? Bah tuer une personne devant moi j’aime pas ça vous voyez.
- Créve toi aussi !! S’est écriait le petit fonçant sur moi avec son coutelas. Je me suis jeté en arrière puis j’ai prit un tabouret évitant deux trois coups de justesse ce nain réussit �  me faire une entaille  j’en ai profité pour lui écraser le tabouret sur la tête. Il tomba commença �  se relever quand je lui ai donné mon poing en pleine face il s’écrasa de nouveau mais derrière moi j’entendis une grosse voix qui criait j’ai ramassé le couteau et en me retournant je le lui planta dans le bide. Mais avant que le coup soit donné l’homme m’envoya deux coup dans la tête aussi je fut mit presque �  terre, la tête tournant, un mal de chien j’en oublié le troisième homme. Je le vit devant moi sourire un pistolet dans la main braqué sur moi cela me rappela ma rencontre avec scar. Il souri, pointa et arma et au moment où il allait appuyer je rendais déj�  mon âme �  Dieu quand j’entendis le coup de feu je fus surpris que ce ne soit pas moi qui s’écroulé par terre mais lui. En effet une des recrus avait dégainé et tiré dans le mile il était mort. Je le regardais, le remerciant je pouvais enfin faire confiance �  lui. Il ordonna au nain de partir avec son gros. Mais plusieurs marins s’y opposèrent préférant que l’on les tue. Le ton monta quand une voix fit un silence total. C’était un pirate inconnu de ma part mais visiblement connu ici il ordonna aux deux survivants de partir. Le nain souleva son ami et me murmura que nous allions payer cet affront.

Deux heures plus tard Scar et Kerk virent dans la taverne. Kember était suivit d’environ trente �  quarante marins.

-Pour un recrutement c’est un recrutement!! m’écriais-je.
-C’est plus simple que cela ,me répondit Scar qui fit vider la taverne pour nous. Assis �  une table il me montra un homme avec une peau tannée par le vent et bien bronzée.
- Je te présente Armis un ancien compagnon.
-Salutation l’ami. me dit celui la, je lui renvoyais les amabilités. J’étais le second de Kember, il m'obeissait �  une époque. Avant sa mutinerie. Et oui après que notre capitaine avait décidé de garder tout le butin d’un pillage pour lui quasiment tout l’équipage guidé par Scar décidèrent de se mutiner. Moi aussi, cet  idiot me promis que je serais le capitaine du navire. Donc Il défie et tue le capitaine et l�  surprise il prend le commandement du navire. Je proteste mais bon j’étais en infériorité numérique donc il me déposa avec ce qui étaient de mon coté sur la Tortue avec la moitié du butin. Par politesse
- Tu ne m’avais pas dit cela Scar...
- Un petit oublié... me répondit-il avec humour. Sans rancune Armis ??
- Oui aucune. Alors c’est toi le maître du monstre qui est en construction depuis deux mois ??
- Oui et tu es ,comme tu l’as voulu, dans mon équipage, mais n’essaye pas de me tromper moi.

      Bon alors je te nomme second second, tu prendra la place du Second quand sa place sera libre sinon tu aura autant d’autorité que le maître d’équipage. Ton second deviendra avec ton maître d’équipage des quartier-maître je sais ils descendent dans la hiérarchie.
Il nous présenta son second Blink un écossais colossale �  la barbe rousse et les cheveux court. Un homme jovial et souriant, par contre son maître d’équipage était un homme boiteux dont une partie du visage était brûlé. Un homme pas commode mais très autoritaire armé d’un sabre d’un fouet et d’une arme de sa composition : un gant où étaient attachées de nombreuse chaînes se finissant par de petite boule de fer.
- Ton artilleur c’est toujours James, oui ? Excellent il remplacera le notre, �  James un fou des boulets mais très bon artilleur.
- Et voila on a fait le tour de mon équipage avec mon charpentier. Je n’ai qu’une brik rien d’autre.  A par contre je te présente Benjamin Coussard, notre médecin venu de France ! Scar et tout l’équipage en resta étonné un médecin. Un homme distingué, polie, aimable agréable pas immondes, inattendu dans ce monde de brut, mais bon tireur.

On discuta encore une heure tous les frères de sang étaient au complet et moi-même j’y faisais parti. Soit environ quatre-vingt pirates prêt �  tout et de véritable  tueur. La nuit passa, légère et fraîche comme souvent sous ses tropiques.
 
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« Répondre #11 le: 01 Avril 2007 à 12:19:01 »

L’île de la Tortue.

           L’île de la Tortue est une île rocheuse, comme beaucoup au caraïbes. Une petite île au large d’une grande île espagnol surnommé Hispaniola, un seul port est plusieurs village, dont certain de contrebande, île assez rural malgré la dense végétation exotique.
Elle fut au début Française, mais les anglais attaquèrent l’île est la conquirent. Un peu plus d’une décennie  plus tard les français reprirent l’île ou du moins ou militaire sous l’autorisation du Roy, et avec une armée de flibustier, ils ont débarqué sur l’île avec des barques, par Hispaniola, puis ont massacré l’armée anglaise dont sa flotte. L’acte fut facile car aucune résistance ne se fit chez les habitants qui ne supportaient plus les anglais. L’île reconquise, le nouveau gouverneur dont le nom m’échappe, fit bâtir le premier fortin des caraïbes, inspiré des plans de ceux du moyen age.
A cette même période la flibusterie, « invention » française, commença �  énerver les espagnols. Car la piraterie était �  cette époque plutôt avec un système de corsaire, car malgré le fait que les pirates n’obéissaient pas aux gouverneurs ils s’attaquaient le plus souvent aux ennemis de leur nation et donnant une partie de leur butin aux gouverneurs, et acceptaient plus facilement des missions de leur part. Les espagnols, donc, attaquèrent au port de la Tortue. Se fut la première rencontre entre les navires et un fort dans les nouvelles mers.
Ne s’attendant pas �  cela la flotte espagnol fut mise en déroute sans qu’elle ne pu faire quoi que ce soit. Son gouverneur un peu tyran eut �  subir une autre attaque bien plus tard des espagnol qui attaquèrent par le flanc de falaise avec des canons. Le fortin ne résista pas assez longtemps ils durent se rendre. Plus tard des français et des anglais reprirent l’île, les anglais eurent plus de pouvoir sur l’île mais aux fils du temps la quittèrent. Les flibustiers français restèrent les seuls maîtres de l’île, puis le royaume de France reprit sa gouverne avec un gouverneur, un peu flibustier suivit d’un qui tenta de tout faire pour tenter les pirates de quitter leur activités et de devenir honnête. Voila vous connaissez l’histoire de cette île, mais il en reste encore beaucoup �  écrire et cela sera des gens comme nous qui devront la continuer.

Je suis resté au port recruter et m’occuper d’armer notre navire, tandis que mon capitaine son second, son ancien partenaire et quelque autre pirate dont le sous-cannonier, notre premier canonnier, sont allés un peu visité l’île, plus précisément un village de contrebande afin d’y acheter des denrées interdit �  vendre dans d’autre île. Alors qu’ils parlaient et marchaient tranquillement dans la forêt en suivant le chemin de terre battue, des hommes, m’ont-ils raconté, les ont interpellés. Deux se tenaient devant eux deux autres derrière et un sur un rocher. Des bandits, avec eux rien ne sert de marchander sa vie : pour leur survie ils vous tuent, sinon vous pourriez les retrouver.
Pour la plupart se sont des marins dont leur navire est indisponible faute de dette ou tout simplement qu’il est détruit donc ils volent pour s’en sortir.
Au moment où, comme s’étant rendu les voleurs les dépouillés, l’un s’approcha de Scar se dernier, m’a-t-on raconté, la attrapé sorti son revolver et tua l’un des hommes qui les pointaient avec un fusil. Ils ont riposté mais tuèrent leur camarade. Puis notre ex canonnier a déchaîné le feu de ses armes et tua les trois derniers. Mais d’autres tirs suivirent des forets, blessèrent Scar et tua l’un des marins. Ils ont du se réfugier dans les rochers.

Une trentaine d’hommes voire plus, 37 selon Armis. Cela devait vraiment un équipage sans navire. Les tirs s’échangèrent puis les brigands ont attaqués aux sabres, les tirs de Jean Mason en tua plusieurs et força certains �  fuir. Mais Scar et les autres furent sauvés par un groupe de pirate revenant d’une ferme, dont ils avaient acheté la propriété. Prient entre deux feu, l’un des bois et l’autre des pierres, les survivant, environ quinze ont prit la fuite. Jamais on les a revus. Scar ne préféra pas se montrer car même si les tireurs leur avaient sauvé la vie, �  un moment sans espoir, qui dit que ces derniers ne les pilleraient pas.
Mais après un moment de silence mortuaire les sauveurs se montrèrent Scar et ses hommes firent de même toutes leurs armes rechargées. Après une courte discutions on rentra les armes, des deux cotés, scar remercia chaleureusement les hommes puis se séparèrent. Laissant, au soleil, les corps des dix-huit voleurs, �  qui leur corps pourriraient et serviraient de repas aux vautours et autres charognards.

   De retour en ville, nous restâmes trois jours de plus. Le navire fut fin près, avec l’argent restant et la vente du brik nous réussîmes �  armer tout le pont supérieur de couleuvrines et le premier pont de canons de pièce de 14.
 
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Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã�  dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
scar
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« Répondre #12 le: 17 Avril 2007 à 10:00:09 »

Description plus approfoni de "L'Hadès"


           L’Hadès était en effet un grand navire. Un gréement complet et même supérieur avec deux focs entre le mat de beaupré et celui de misaine. Une voile aurique sur le mat d’artimon et au même niveau, celui de la voile de brigantine, une voile latine.
Le tillac large de six mètre permet de faire des manœuvres avec plus de facilitée. Le gaillard avant, où se situé la salle des ancres et quatre canons, et très large et résistant car il supporte six canons et le mat de misaine. Bref Scar ne c’était pas trompé en construisant et achetant se navire.
Le gaillard arrière était très spacieux et richement décoré car il s’agit de la salle de l’assemblé où tout l’équipage prend de grande décision mais aussi le quartier d’opération des officiers. Même si comme dans tout navire pirate tout le monde est libre d’y entrer les officier, dont moi, s’y réunissait car dedans tout les outils de navigation, carte sont stockés.
Sur le mur de d’abord il se trouvait une porte que personne ne devait ouvrir, il s’agissait de la chambre de notre capitaine et sur le tribord un escalier donnant sur le quartier des officiers de l’entrepont.
L’entre pont était lui large de sept mètres, éclairé par les cailloutis et les sabords que l’on ouvrés très souvent, car se pont se situé �  trois mètre du niveau d’eau. Deux murs séparaient le pont en trois. Le premier vers la proue pour la salle réservé aux deux canons de chasse et le deuxième au niveau de la poupe pour le quartier des officiers. Avec quatre cabine, l’une pour le second, une autre pour chirurgien une autre encore pour le maître d’équipage et la quatrième pour le chef canonnier et le deuxième second.
 Deux autre petites cabines l’une pour les toilettes et l’autre la salle des bouteilles (donc « a salle de bain » si on peut appeler ça comme cela)
Enfin entre le les deux le quartier de l’équipage entre les canons et une salles : les cuisines.
Il y avait juste en dessous un sous-pont. Un pont très résistant mais très petit qui se trouvait �  environ un mètre d’un niveau de l’eau. On y dormait et s’en servait de réserve de nourriture et pour la sainte barbe, donc la salle des poudres. Très résistantes avec le même principe que la double coque du navire afin d’éviter qu’elle ne saute �  cause d’un boulet rouge durant un combat.
Puis enfin les cales sous le niveau de la mer.

Ce navire avait une meilleur contenance que ce du même tonnage car la double coque de plus que renforcer le navire, l’alourdissait aussi donc nous avions moins besoin de le lester pour qu’il soit équilibré. Et donc cette place importante pas prise par les poids servait pour la cargaison. De plus entre le sous pont et les cales se trouvait un feuille de métal et un autre de la me^me matière que celle qu’utilise les maître calfats pour stopper un inondation et boucher un trou. Donc le navire avec les pompes étaient presque incollable si les cales venaient �  être percées mais il fallait espéré que la quille ne cède pas sinon s’en est fait de « l’Hadès »
 
« Dernière édition: 12 Février 2009 à 13:30:27 par scar »
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