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Auteur Fil de discussion: la légende de l'Hadès  (Lu 16436 fois)
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« le: 14 Avril 2007 à 15:57:05 »

Voila je fais un gros bond dans mon rp chronique (je suis pas sur d'arriver �  cette partie...)
Donc mon rp est �  suivre et vous éclairera sur certains points rp

Dans cette partie je la réserve �  la légende des tavernes des histoires de marin sur l'Hadès. Le navire de Scar mais personne ne saura que c'est lui; son capitaine se fait appeler Seigfreid von Hostreinurg.
Donc c'est �  vous de créer par des récits de personnages que vous inventez, une légende des caraïbes....
Un navire fantôme ou imaginaire Huh? Un vaisseau noir de la coque au gréement avec toutes les décorations ressemblant �  des squelettes. Un vaisseau rapide manœuvrable apparaissant souvent durant les tempêtes et  dans le brouillard. Un petit équipage avec tous la marque de leur mort qui ne cicatrisera jamais (balle, brûlure, énorme entaille).
J'espère que cela sera intéressant et pour commencer c'est moi qui commence





Rapport de l’Amiral Will Brownes après l’attaque de New York.

Il semble que les attaquants soit des pirates mais on ne peut rien affirmer car nous avons trouvé aucun corps ennemi malgré la défense courageuse dont les soldats du fort on fait preuve.
Le navire pirate nous semble inconnu mais le but de combat oui. Il en voulait au gouverneur Mac white (dont la tête n’a pas été retrouvé).
Le pillage n’a pas été leur principal objectif car d’après les témoignages les attaquants ne se sont pas attardés �  piller.
Plusieurs témoignages semblent fous car impossible; ils évoquent des hommes immortels.
Jugez en par vous-même…


«Un soldat :
«  On était six dans une petite ruelle. Les pilleurs avaient débarqués et commençaient le massacre. Le combat a été très violent on a été se réfugier dans cette ruelle et l�  on a vu quatre marauds se diriger vers nous. On a vidé tous nos mousquets sur eux, ils se sont écroulés. On commençait �  recharger quand j’ai entendu des rires venant de l’endroit d’où été venu les pirates. J’ai regardé et l�  j’ai vu ceux que nous avions « tués » se relever et rire en se regardant puis ils nous ont chargés et le corps �  corps a commencé on n'a rien pu faire.
Je ne pense pas qu’on les avait ratés malgré la nuit. Car j’en ai vu un qui saignaient, durant le combat, �  la poitrine.
Ils étaient tous morts !!! Mais l’enfer les a rejetés… »

-Après le soldat �  rendu l’âme mais il y a encore d’autres dires dont ceux d'un paysan qui a vu un des pirates, et plusieurs personnes disent la même chose.
Le pirate avait été prit dans le feu d’une auberge, le paysan lui a lancé une barrique d’alcool puis une torche mais rien n’a stoppé l’agresseur il s’est battu durant tout le combat en feu. Bien du monde  dit l’avoir vu.
Comment un homme peut se battre alors qu’il brûle Huh?


Mais aussi le témoignage du capitaine de la frégate le HMS Victory.

Il dit avoir vu le navire pirate se déplacer sans bruit ni problème dans le port. Une manœuvre parfaite et trop rapide pour un deux ponts de plus de cinquante navire. Mais il dit aussi que les boulets de canons « ricochés » sur sa coque.
 
« Dernière édition: 20 Avril 2007 à 17:56:22 par scar »
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« Répondre #1 le: 16 Avril 2007 à 09:10:44 »

hj: Bon vu que personne ne s'y lance (alors que j'avais demandé �  certain si il était d'accord et qu'ils m'ont dit oui...
Je redonnes un exemple



        Dans une taverne d'Aruba, le soir. L'ambiance est joyeuse mais calme et plutot silencieuse.
En effet le vieu Jacque raconte, comme �  son abitude, des histoires de marins qu'il a vecut ou non.
La bougie sur la table, allumée au début de son histoire, est presque totalement fondue. Après avoir chiqué il reprend la fin de son histoire


- Et la le tigre me sauta dessus. Par chance mon capitaine avait rechargé son arme. Il aattandu le bon moment, tandis que mon je me battais contre la bête qui ma arraché un doigt et bien entaillé de ventre. D'un coup de patte il me projette par terre et pousse son poids sur mon moi. A ce moment je me suis retrouvé immobil puis une détonation. Le tigre est mort...

- Quel histoire !! la chance mon gars!! tout cela pour une fourrure et une femme!!!
Commentèrent l'assemblé.
Puis une personne qui avait attenu la fin de l'histoire pour poser une question


-Dis moi Jacque. Le navire que tu nous a décri, durant la tempete sur les cotés.
- Celui que j'ai vu du hat de la falaise
- Oui, il ne serait pas tout noir avec des voiles en partie détruite sur le mat de misaine et de beaupré?
- Oui, mais je ne l'(ai pas dit comment le sais tu?
- Car ce navre je l'ai vu moi! C'est "l'Hadès"
CE mot provoque des murmures dans la taverne
Mais c'est une lègende, il n'existe pas!!! proteste un marin
- Tu n'en sais rien. En effet il n'ets pas réel il ets maudit et mieux vaut se mefier de lui que des navires de ligne espagnol même si il n'existe pas.
Je l'ai vue moi aussi, pendant une têmpete. Le vent soufflé, des lames balayaient le tillac, des vaguies avec des creux d'environ deux �  trois mètres! Mais ce que j'ai le plus craint durant ce coup de tabac c'était un bateau...
J'étais au gréement quand mon matelot tombe je me suis penché mais trop tard, Dieu avait son âme, et que la peste vous emporte si vous pensez que je n'ai rien fait pour le sauvé.
Enme relevant je l'ai vu grace �  un éclair. un grand bateau noir de la coque aux voiles. Les voiles des mats de devant en ruine, une figure de proue squelettique. puis le noir la nuit regagne sur l'éclair je ne le vois plus. Un éclair deux seconde après il n'ets plus l� .
J'ai pensais avoir eut une vison mais derrière une vague énorme, trois minutes plus tard. Au niveau de la poupe il voguait encore sans se soucié de la mer, il flottait et grimpait les vagues sans soucis. Puis il adisparu en moins d'une minute.
Trois hommes d'équipage l'on vu...
ce bateau allait trop vite et était trop manouevrable pour son tonnage et pour l'état des voiles...

L'assemblée est silencieuse. Personne ne parle, l'homme reprend la parole
- Osez me traiter de menteur , si vosu me croyez pas mais pouratnt c'était vrai et plusieurs personnes dont Jacque l'on vu aussi et le témoigne.  
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« Répondre #2 le: 16 Avril 2007 à 16:54:32 »

Un soir de printemps, sur les cotes de Port Royal, dans une taverne mal famée, des pirates parlent. Soudain, un homme rentre brusquement. il est vétu de haillons et couvert de brulures et de cicatrices. Après avoir passé la nuit et etre partiellement en meilleure forme, il raconte son aventure autour d'un grog fumant :


-Je m'appele Jim Normand et je peux vous jurer sur la sainte marie, que je ne prie plus depuis longtemps, que je l'ai vu, l'Hades, le bateau du Malin en personne. J'était simple matelot sur une fregate pirate et dieux sait que j'en ai connu des batailles! Mais cette fois ci, ce n'était une bataille que de notre coté! Et pour la vie, gentilshommes, pour la vie que nous nous battions nous autres! Nous nous appretions à rejoindre ce port pour des affaires, mais le brouillard nous empecha d'avancer! Nous mettâmes les voiles en cap sec  (hrp : position des voiles servant à arreter momentanement le navire) et nous larguâmes l'ancre, prèts à boire! Mais lorsque les musiciens entamèrent le premier morceau, un navire noir comme ces brulures, de l'armature au petit hunier, apparut! Ce fut comme si nous étions happés, coupés de tout! Même les marins les moins supertiteux se sentait mal! Puis un coup de canons fit voler le beaupré en éclat et des grappins vinrent s'accrocher au bastinguage! l'armée de l'enfer arriva alors! nous avions beau tirer comme des demeurés, ces hommes semblaient être les ombres du grand hadés! Ils avancaient doucement, tranchant gorge après gorge, écartelant même le mousse d'à peine 15 printemps! Je fus le plus chanceux car l'un deux m'ayant lancé un molotov, je ne fus brulé que rapidement et j'eu le temps de prendre un tonneau et de sauter à la mer! une grande vague m'emporta et lorsque je levis la tête, j'étais à 3 noeuds de la boucherie! Je vis notre bateau partir par le fond, comme happé par le kraken et je vis des grandes lances de feu partirent dans l'eau, exterminant toute trace de mes compagnons!

L'assistance , bien que composé par de vigoureux aventuriers, fremit de peur à l'évocation de ce monstre des mers!  
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hyorg
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« Répondre #3 le: 18 Avril 2007 à 15:48:26 »

Rapport du capitaine Hermando Cortaise concernant l’attaque du navire marchand (l’exploreur).

D’après les dires du capitaine deux jour apprêt le départ et a plusieurs reprise la vigie aurais aperçu un navire de guerre des plus étrange, d’écris comme possèdent des voile noire et trouées �  plusieurs endroits.

Témoignage d’un des marins survivant :
-Trois jours après les navires qui nous escortais ont fais voile vers une autre destination la journée se passa bien et le soir arriva sans qu’aucun indice ne nous prépare a ce qui allais nous arrivez, se fut la pire nuit de ma vie je devais prendre la garde de nuit et soudain une brume des plus étrange se mit �  tomber peu après des bruits de cannons se fit entendre et je fus expulsé hor du bateau c'est tout ce que j’ai vu dit le marin.

Bien merci matelot faite entrer le suivant dit le capitaine un autre homme entra dans la cabine du capitaine.

Le second marin commença à raconter se qui s’était passé :
-Après les premiers coups de canons l’alerte fut donner et quand je suis arrivé sur le pond ,un navire des plus effrant se trouvait en face de moi et de plus il se rapprochait. Nous avions bon faire feux sur se navire il ne semblait subir aucun dégât, une fois les deux navires furent cote a cote une horde de pirate se lança a l’abordage et plusieurs de mes compagnon furent tuer malgré toute la résistance que nous leur opposions il continuait �  avancer, je finis par me  retrouver face a face avec l’un de ses brigands je fini par lui planter mon épée dans le corps mais l’homme ne broncha pas il me prit par le colle avant de me jeter par dessus bord.

-D’accod matelot tu peux partir le marin sorti de la pièce le capitaine repris et dit :
-Nous allons faire cap vers le port le plus proche et nous ferons notre rapport au gouverneur.
-Mais capitaine qu'allons nous dire au gouverneur capitaine dit le second.
-Nous dirons simplement que le navire nommer "l’exploreur" �  couler corps et bien par un navire ennemis et dite au marin de ne pas colporter leur aventure dans les tavernes! compris ?répondit le capitaine.
-Bien monsieur c'est compris le second sortit et ordonna de faire cap vers le port.

Plus tard  on entendit des rumeurs sur cette attaque et sur un bateau maudit qui sillonne les mers.       
« Dernière édition: 18 Avril 2007 à 16:06:54 par scar »
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Feryoto
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« Répondre #4 le: 19 Avril 2007 à 00:10:31 »

Un homme entra dans la taverne la boiteux. Il était essouflé et mort de fatigue.

-Je l'ai vu. s'écria-t-il.
Mais personne ne soccupa de lui.
-J'ai vu l'Hadès. reprit-il.
À se moment, tous les voix se turent et des dizaine de paires d'yeux se tournèrent vers lui, attendant la suite.

-Il y �  3 jours, nous sommes arrivé en ville �  bord du manowar. Nous transportions une missive secrète pour le gouverneur. C'était lors de la grosse tempête et étant donné les immense vague, nous n'avons pas pu entré dans les eaux du port. Le capitaine fit jeter l'ancre et je reçut le premier tour de garde. C'était le noirceure totale. Les nuages cachaient la lune et même les tavernes de la ville avaient fermés leurs porte. J'avait de la difficulté �  distingué le haut du grand mat. Environ dans le milieu de la nuit, j'entendis des bruits de bois se cassant. Je n'ai pas prit la peine de vérifier se que c'était étant donné que le calme revint immédiatement et que je n'entendi plus un bruit de la nuit.
Le lendemain matin, lorsque la lumière revint, j'apperçu des trous de boit dans la bastinqge du navire. Les même trous que j'ai tellement de fois pu observer. Ces trous étaient signe qu'il venait d'y avoir un abordage. Pourtant ce n'était pas le cas. Je descendis pour aller prévenir le capitaine mais je le trouva égorgé et gisant dans sont sang. Ce n'était pas le seule. Tous l'équipage avait été égorgé durant leur sommeil. J'était le seul survivant. Pourtant, la missive n'avait pas été vollé. Comment pouvait on faire un tel massacre sans faire de bruit sans faire de bruit. Je prit la missive et je me dirigeai vers le port en barque. Lorsque je regarda de nouveau le manowar, il avait disparut. Il ne restait que des débrits de bois �  sa place. Lorsque j'avait quitté le pont, il n'y avait aucun navire en vu et pourtant, mon navire venait de ce faire couler et sans bruit en plus. C'est alors que je l'apperçu. Un immense navire tous noir qui se déplaçait �  une vitesse halucinante. Il inspirait la crainte et la peur. Lorsque je racontais cette histoire au gouverneur, il me dit que j'étais fou et me pria retourner sur mon navire. Mais je l'ai vu, le navire maudit.  
« Dernière édition: 19 Avril 2007 à 08:15:41 par scar »
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« Répondre #5 le: 19 Avril 2007 à 09:01:57 »

Dans un village d'Aruba. La nuit tombée, dans une petite maison
- bon alors on part en mer?
- Faites le mais sans moi
- Pourquoi Jowmes? tu vas nous le dire.
- Et évite de nous raconter des salades. Commenta un peti homme dans le fond
Le dénommé Jowmes je le leva et alla davant ses quatres auditeurs. Tous étaient septique �  ses arguments car comme tout vieux marin Jowmes a l'habitude de raconter des mensonge ou �  transformer la vérité.


- Vous connaissez "l'Hadès" les amis?
- J'en étais sur pas de salades je t'ai démandé des arguments solides. Répéta le petit homme mais un autre lui demanda de se taire. Jowmes continua sans pretter attention aux commentaires.
- Tout le monde raconte qu'il ressemble �  un bateau fantôme mais moi je l'ai vu et c'est faux.
Il ne s'agit pas d'un navire que j'ai vu mais d'un dragon géant. Oui un dragon comme on les décrit au moyen age.
Le marin marqua un temps et observa son assemblée, le petit homme n'écoutais même pas et un autre homme gros et riche riait dans sa barbe de cette bêtises.
- Comment la tu reconnus il y avait écrit "L'Hadès" sur son ventrre comme pour les bateau Demanda avec sournoi et ironie le petit homme
-Tu peux rire, Ogrema. Mais oui je l'ai reconnu c'était lui. Il ressemblé aux descriptions du bateau que les gens font. Noit totalement, les ailes comme celle d'une chauve-sours mais totalemnt déchiré, le coup avec des os qui ressortent comme sur la proue. Et une impression de mort et de crainte sortaient de lui.
L'Hadès devient maintenant un dragon, quel chance pour lui, il va devenir quoi après un démon des enfers?
- Je n'ai pas dit l'avoir vu S'écria le conteur et je dois te rappeler que dragon ou bateau fantôme L'Hadès est un demon des enfers venu damnées les marins.
- Voyez vous cela
- Mais tais-toi et écoute! Ordonna l'assemblée
- Merci. Bon je n'ai pas vue le navire mais son âme ou son capitaine je ne peux le dire. Il repert les cibles est tombe sur eux pour les détruire et si il sent l'or alors il retourne �  "L'Hadès" pour l'habiter et va couler et piller le navire...
Je vous le dis les mers sont toujours hantées. Je ne remetspas les pieds sur un navire moi. De toute manière je suis trop vieux Commenta le vieux Jowmes.

Les gens sortirent de la maison. Tous savaient que ce n'était et vraiment qu'un mensonge d'un vieux homme qui s'ennuye sauf un...
La rumeur enfla et comme pour toute légende des bruits des plus étranges coururent sur "L'Hadès" et il est impossible de savoir le vrai du faux.
 
« Dernière édition: 01 Juin 2007 à 17:42:19 par scar »
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« Répondre #6 le: 23 Avril 2007 à 11:06:45 »

Rapport du marquis Regnak sur la disparition de la flotte commerciale de la compagnie des Bruges.

 - Excellence, aprés maintes recherches nous n'avons pas retrouvé trace de l'hirondelle, galion de transport, du Chaudron, Galion de transport, et de l'eternelle symphonie, la fregate d'escorte que vous leur aviez octroyé.

Leur derniere apparition en date se trouvait etre un mouillage au port de Curaçao pour un réapprovisionnement et un rechargement des batteries de l'eternelle symphonie. Preuve que des combats avaient eu lieu avant, mais le rapport indique que les trois bateaux etaient tous intactes et leur equipage plutot serein.
Ils ont mouillés deux jours au sein de ce port avant de partir pour Antigua.

Toutefois, ils ne sont jamais arrivés �  Antigua, les registres sont formels et aucun navire ne les a apperçus... En menant mon enquete, un marin a reconté une histoire qui expliquerait d'apres les croyances locales la disparition de nos navires. Je vous rapporte tel quel sa declaration :

 - Des galions?
 - Oui deux et une fregate tous battant pavillon français.
 - L'Hades les a choppés, il vous faudra les chercher du coté de l'enfer si vous souhaitez les retrouver et bon dieu je pense pas qu'on vous laisse approcher...
 - l'Hades?? Mais de quoi parlez vous? Sous quel pavillon navigue ce bateau?
 - Pavillon (il eclate d'un rire gras)!! L'Hades ne connait pas de pavillon, sur son etendard se trouve empalé un squelette, on dit que c'est le squelette de l'amiral Royld...
 - L'amiral Royld?(aprés recherche il serait un amiral Anglais dont la flotte aurait disparu alors qu'elle cherchait �  detruire un navire Pirate qu'ils avaient surnommé "le cul du diable")
 - Oui il a cherché l'Hades et c'est l'Hades qui la trouvé tout comme vos bateaux...
 - Ou est il? Il faut que je le retrouve!!
 - Gamin (il m'a saisi le bras), tu ne sembles pas comprendre, l'Hades est un navire qui bouge plus vite qu'un sloop qui transporte plus de canons que ton Titan et dont les marins ne craignent pas la mort... Je l'ai vu au large d'Antigua au prise avec une fregate, les boulets ne le touchaient meme pas, un rideau de brume le suivait, meme les poissons mouraient dans son sillage... Ce n'est pas un navire, c'est une incarnation de Satan venu sur Terre pour chercher les âmes des pourritures (il crache)... Tes bateaux devaient etre bien pourri... Meme ne cherche pas �  attraper un demon...

Sur ces paroles il s'est tu, et il n'a plus rien dit de la soirée. Je vous envoi ce rapport avec ma lettre de retour, bateau fantome ou pas il ne navigue deja plus sous ces eaux la...
   
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« Répondre #7 le: 23 Avril 2007 à 12:52:49 »

Dans une île anglaise des antilles un vieux pêcheur ramassé de quoi faire des appats sur un plage en plein midi sous la chaleur du soleil. Soudain il entendit des voix venant du haut de la falaise, il leva la tête et vit trois hommes. Ils ressemblaient �  des pirates, des marins �  cout sur. Soudain leur conversation prend fin et l'un deux sauta dans le vide suivti de ses deux compagnons.
Ils attèrissent derrière des rochers. le vieux pêcheurs entendit deux "plouf" et le bruit d'une personne s'écrasant sur des pierre. Sans hésiter il coura avec sa sacoche vers le lieux dit. Il escalada le petit rocher et quand il se trouva au dessus, il vit les trois hommes nager tout en discutant dans une langue qu'il ne comprit pas.

-Imbécile, toit et tes idées c'est la dernière fois que je te suis
- Te plainds pas on a bien attèri c'est toiq ui sait pas sauter. Nous on est tombé dans l'eau.
-  Même dans l'eau on s'ets fait mal, elle est pas profonde. Dit le troisième
- Regardez l'Hadès est juste devant nous �  au moins cinq mètres... Si on été déscendu pas un chemin on aurait fait un détour d'au moins deux kilomètres.
-Tais toi et nage dirent les deux autres en coeur.

Le pêcheurs sous le coup descendi le reocher. Il vit bien un peu de sang sur une pierre, il mit les pieds dans l'eau et s'apercu qu'elle ne lui monté pas au dessus du cou...
Avec une chute de dix mètres même dans de l'eau si peu profonde ils seraient mort.
Il regrada partir les trois marins �  la nage vers un bateau au large, tout noir de la coque aux voiles. Le pêcheur but une gorgée de l'eau de sa gourde. Il la regarda

- C'est la chaleur ou la fatigue qui me fait cet effet?? il ne doit pas avori que de l'eau dans ma gourde. Dit il puis il la vida tout en se pinsant les yeux et en regardant les trois hommes nager.
Il n'a parla �  personne, la peur de passer pour un fou
 
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« Répondre #8 le: 25 Avril 2007 à 11:45:57 »

L’Hadès et les brumes de l’enfer.

Quelque part au large dans l’océan atlantique, �  environ une semaine de navigation du port de Nassau, sa destination finale, le Clipperton II du capitaine Taranis était planté dans une pétole incroyablement longue. Pas un souffle d’air pour gonfler les voiles qui restaient désespérément plates comme cette mer d’huile retenant prisonnier le navire. Une chaleur étouffante écrasait l’équipage qui ne savait plus quoi faire pour s’occuper de lui-même, se laissant ronger par l’ennui, assommé par un soleil de plomb dans un ciel sans nuage. Cette situation durait depuis plus de cinq jours déj� . Cinq jours �  attendre, �  guetter la moindre petite risée sur l’eau, �  espérer que le temps change, quitte �  subir une tempête, mais au moins pouvoir enfin avancer et sortir de cet enfer calme et silencieux. Taranis n’était pas inquiet, il y avait suffisamment de vivre et d’eau pour tenir encore un mois. Mais tout comme ses hommes, il maudissait ce temps qui le bloquait sur place et retardait ses projets. Il aurait fallu arriver dans les premiers au port pour vendre au meilleur prix la cargaison �  la foire annuelle de Nassau, ce qui n’est plus le cas malheureusement.
   Auparavant le voilier filait �  une bonne allure portante. Il suivait les nuages que le vent poussait lentement vers le couchant, vers sa destination finale. Il était escorté régulièrement par quelques dizaines d’oiseaux de mer et de temps en temps des dauphins jouaient �  se faire pousser par son étrave. L’équipage s’était même offert le luxe de s’amuser �  effrayer et �  disperser une flottille de baleiniers en pleine action de chasse. Il arrivait au capitaine de laisser le navire �  ses hommes pour les divertir ;
« Je vous confie le Clipperton compagnons, amusez-vous, moi je vais faire un petit somme ! » disait-il d’un air complice. C’était surtout pour entraîner ses marins �  s’organiser d’eux-mêmes et �  éveiller leur esprit d’autodiscipline, sous la surveillance discrète de son second, il faut le dire. Ce jour l� , les baleines eurent beaucoup de chance !
Bref, le bateau marchait bien jusqu’au moment où le temps changea si rapidement que personne ne s’aperçu de suite que le voilier n’avançait plus que sur son ère pour ensuite s’arrêter pour de bon. Plus de vent, ni de nuage. Plus un bruit, ni de cris d’oiseaux, ils n’étaient plus l� . Un silence pesant sur une mer devenu étrangement plate comme un miroir  et accompagné d’une chaleur étouffante, s’était subitement emparé du Clipperton II et de son petit monde déconcerté par la brusquerie des évènements.

      Plus de cinq jours que cela durait et les hommes commençait sérieusement �  désespérer, quand du haut de la vigie on appelle :
_Capitaine ! Regardez… A bâbord, cette brume… Elle n’y était pas tout �  l’heure et elle vient droit sur nous !
 A cette annonce, l'équipage sur le pont sort de sa léthargie et se précipite de ce côté pour voir celle-ci avancer en droite ligne sur le bateau.

A suivre…
   
« Dernière édition: 25 Avril 2007 à 12:27:57 par Taranis »
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« Répondre #9 le: 15 Mai 2007 à 14:05:57 »

L’Hadès et les brumes de l’enfer. (suite)

   La brume recouvrait une petite partie de la mer et on pouvait distinguer ses contours. Elle était comme un nuage solitaire, aplati, glissant sur l’eau, mais il était impossible d’évaluer sa distance par rapport au bateau. Tout ce que l’on voyait, c’est qu’elle avançait vers le navire sans que l’on puisse estimer sa vitesse.
Le bosco, voyant celle-ci arriver s’interroge :

_Ce n’est pas normal. Elle se déplace sans le moindre souffle d’air.
_Etrange en effet. Répond le pilote. J’ai déj�  vu des brumes de chaleur apparaître sans que l’on s’y attende, mais l� … J’avoue que je n’ai encore rien vu de tel !
   L’équipage était fasciné par ce phénomène, comme hypnotisé. Plus personne ne parlait. Taranis était perplexe. Une intuition le poussait �  prendre les armes et pourtant il ne faisait rien. Il était comme ses hommes, il était subjugué par ce qu’il voyait.
   La brume en se rapprochant grossissait �  vu d’œil et devenait monstrueuse. Maintenant on pouvait commencer �  la voir avancer sur l’eau. Sa vitesse était phénoménale et elle fonçait sur le navire immobile comme le serait une proie pétrifiée par la peur au milieu du néant.
   A cet instant des matelots paniquent et une bousculade s’en suit sur le pont. Pour tenter d’y remédier en détournant l’attention Taranis, suivant son intuition, ordonne le poste de combat. Trop tard, la brume est déj�  l�  et enveloppe le voilier avec un vent de tempête, puissant et glacé, balayant les hommes et renversant la vigie du haut de son mât, la faisant tomber par-dessus bord. Certains matelots se jettent volontairement �  la mer, d’autres sont, tout simplement, emportés par ce souffle infernal. Taranis, cramponné de toutes ses forces au bastingage, réalise avec stupeur que le bateau ne bouge pas et que les voiles sont toujours aussi plates, comme si ce vent diabolique s’attaquait uniquement aux hommes en traversant les objets.
   Brusquement celui-ci s’arrêta net de souffler. La brume se retira lentement du navire et s’immobilisa en l’encerclant. Au-dessus, le soleil réapparut �  la verticale du trou que celle-ci avait fait autour du voilier. A bord on se remettait doucement de ses émotions sans comprendre ce qu’il s’était vraiment passé. Ca et l�  on commençait �  entendre les gémissements des blessés. La chaleur remontait rapidement et redevenait suffocante comme avant, sinon plus. C’est alors qu’un matelot s’écria.

_Le soleil ! Regardez le soleil ! Il va nous tomber dessus !

A suivre… 
   
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« Répondre #10 le: 20 Mai 2007 à 15:43:00 »

Dans un bourge de Panama. Deux hommes discutants
- Les pirates des muavais hommes oui. Surtout qui tu sais.
- Eux, si ils existent cela m'étonnerais encore une invention pour diaboliser ces fils du diable...
- Tu pense que c'est juste une rumeur lancé par nos gouverneurs? Détrompes toi l'ami.
Tu connais la tache noir?
- Oui ce signe qui dit qu'il ne te reste plus qu'une journée �  vivre car avant minuit tu ne respira plus. Je crois encore que c'est une lègende.
- Regarde cela L'homme lanca sur la table, au maladrin, un papier tanné et froissé. Ce dernier le déplia et en sons milieu se trouvais une grosse tâche noir.
- Quoi tu es a une? tu l'as faite toi même sinon tu serais mort.
- elle ne m'était pas déstiné je l'ai trouvée dans la main de l'armateur Ponia.
- Dans sa main?
- Oui du moins celle d'un de ses esclaves avant de mourir il me l'a donnée et raconté ce qui c'était passé.
- C'est vrai raconte Dit l'interlocuteur avec une impatience dans sa voix tout en se penchant un peu plus sur la table.
- Voila je suis allé voir Ponia pour mon navire. Tu sais qu'il est �  son service. Et quand je suis arrivé un massacre seul esclave noir avec ce papier il m'a tout dit Buvant une gorgée de vin l'homme reprit.
-Voila Ponia semble avoir loué des navires �  l'armée pour qu'ils affrontent un ennemi terrible et ce dernier les elliminats toujours �  souhaité détruire une de leur source de problème
- Comment s'appele ce navire?
-  Ponia m'avait donné le nom il y a trois jours avant sa mort et voulait qu'on en parle. Il s'agit de "L'Hadès"!! La voix était presque devenu un murmure. Son ami répéta le nom abasourdit.
- Il avait recu se papier d'un homme bizarre. Son vasage était recourvet par des bandes. Il leur a dit " minuit à minuit vous renderez vos âmes!!! attendez!"
L'armateur sembla ne pas avoir prit la menace au serieux. Mais vers minuit Des personnes sont allé chez lui. Je tiens ce la de paysan qui les ont vu allé sur la route de Doneki celle qui même �  la maison du regreté Ponia..
- Et?
- Et vers minuit ils ont frappé �  la porte. A leur tête un homme grand, borgne portant un vêtement noir et un chapeau �  plume sombre. Ainsiq u'une très vieille épée. Dès que la porte fut ouverte le feu des armes fut donné et la dizaine de bougre on envahit la maison. Leur chef avait ordonné le massacre de tout le monde tout en restant dans le hall. Tout le monde s'est fait tué malgrè leur défense.
Le noir me dit avoir vu l'un d'eux avec un bras totalement squelettique. un autre avec la face du visage pourie et en décomposition.
Je ne peux te dire si c'est des divagations de personne agonisant car il est mort après cela.
Et j'ai vu dans sa main ce papier....
- Ba dit donc la mer abritent pas que des pirates... Va savoir si tout est vrai!  
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Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã�  dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
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« Répondre #11 le: 21 Mai 2007 à 11:32:22 »

L’Hadès et les brumes de l’enfer. (suite)

   Evidemment, il était impossible de regarder le soleil en face. Mais on pouvait deviner qu’il grossissait lentement, comme s’il se rapprochait de la Terre. La lumière était aveuglante. L’air devenait de plus en plus chaud et irrespirable, brûlant la gorge et la peau des marins qui paniquaient et se bousculaient sur le pont en marchant sur les blessés déj�  agonisant, se jetant �  l’eau criant de douleur, hurlant de souffrance. La terreur et la folie s’étaient emparées du navire. Avec cette chaleur grandissante, les premières voiles s’enflammèrent spontanément. Puis se fut le tour des cordages qui en dégringolant avec les lambeaux en feu des voiles sur le pont et sur l’équipage, transmettaient progressivement les flammes de l’enfer �  tout le bateau.
   Taranis, toujours cramponné au bastingage du pont arrière, suffoquant dans cette fournaise, regardait médusé et impuissant le désastre s’emparer de son voilier. Le feu ne l’avait pas encore atteint mais il voyait ses hommes, transformés en torches vivantes, courir dans tous les sens, criant de désespoir et de douleur. Pour lui c’était la fin, il allait mourir avec eux.
   A cet instant, comme poussé par une de ses nombreuses intuitions, il tourna la tête et vit sur bâbord une ombre se dessiner dans la brume qui avait encerclé le bateau, comme pour le retenir prisonnier. Puis, brusquement l’étrave d’un navire jaillit de celle-ci. Un voilier apparu dans toute son horreur, avançant tranquillement et silencieusement sur le Clipperton II enflammé de toute part.
   C’était une vision d’épouvante. Ce puissant voilier était sombre, vieux et délabré, avec des voiles noires toutes en lambeaux. On pouvait distinguer, ça et l� , comme des morceaux de squelettes accrochés dans la mâture. Il glissait sur l’eau sans faire de sillage, droit vers sa proie comme pour l’embrocher.


A suivre…
Edit: a toujours ce mystere... j´attends la fin avec impatience.
   
« Dernière édition: 22 Mai 2007 à 20:20:38 par scar »
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« Répondre #12 le: 24 Mai 2007 à 14:39:24 »

L’Hadès et les brumes de l’enfer. (suite)

Au contact de celui-ci sur le « Clipperton II » en feu, il n’y eut pas de choc. Il se mit �  le traverser sans causer de dégât, sans même être inquiété par l’incendie qui faisait rage. C’est alors qu’en même temps que ce voilier, venu des enfers sans aucun doute, passait au travers du navire de Taranis comme si de rien n’était, une horde de combattants immondes et effrayants jailli de celui-ci, telle une déferlante diabolique renversant tout sur son passage. Une armée d’êtres infâmes, aux visages squelettiques et aux membres décomposés sous leurs vêtements en lambeau, armés de sabres de haches de massues et d’épées, se jette avec rage, dans des rugissements épouvantables, sur l’équipage déj�  terrassé par les flammes de l’enfer. Sous cette dantesque avalanche de rage, de brutalité, de folie meurtrière et sanguinaire, les hommes étaient broyés, découpés, charcutés. Avec les rugissements associés aux cris de terreur, on pouvait entendre le craquement des os de ces pauvres marins au contact des armes de l’adversaire. Une odeur insupportable émanait du pont principal en feu, lieu des combats. Elle était mélangée de soufre, de chair grillée et de bois brûlé. Sur le pont arrière en surplomb, dont les flammes commençaient �  le lécher, Taranis affaibli et suffoquant, s’était agrippé en puisant dans ses dernières forces �  la double barre de son voilier. Il assistait au massacre de son équipage. Il voyait son bateau dévorer par les flammes de l’apocalypse, celui-l�  même qui lui avait donné la fierté d’être un grand pirate. Il voyait son œuvre disparaître. Le « Clipperton II » avait vécu, ils allaient mourir ensemble après ses compagnons, il attendait son heure. Des milliers de souvenirs se bousculaient dans sa tête et il était devenu sourd, comme pour ne plus entendre la souffrance qui s’était emparé de lui et de ses matelots, malgré le combat qui faisait encore rage.

Soudain il reprit ses esprits. Il réalisa que la bataille était fini et s’aperçu qu’il était encerclé par ces monstres hideux �  l’aspect humain. L’un d’eux, plus grand que les autres, sabre �  la main, habillé d’un long manteau noir, sale et déchiré, portant une coiffe sombre aux larges bords sans que l’on ne puisse voir son visage ni même ses yeux, s’avança vers le capitaine puis s’immobilisa devant lui sans rien faire. Après un court instant, qui devait paraître une éternité, il leva son sabre… et d’un coup sec transperça Taranis de part en part.
 

A suivre…
   
« Dernière édition: 24 Mai 2007 à 14:41:49 par Taranis »
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« Répondre #13 le: 29 Mai 2007 à 17:05:51 »

L’Hadès et les brumes de l’enfer. (suite)

   Sous le choc Taranis tomba �  genoux et ses mains se refermèrent sur la lame, toujours plantée dans son corps, de son mystérieux adversaire. Etrangement il ne ressentait aucune douleur, mais voyait ses forces s’en aller lentement. Un silence lugubre régnait sur le voilier en feu. Il regardait son bourreau et cherchait désespérément son visage sous son chapeau pour au moins connaître celui qui l’avait terrassé. A la place il n’y avait rien, rien d’autre que le néant. C’était comme un trou noir sans fond.
   Puis deux lumières brillantes, d’une couleur verte, apparurent �  l’emplacement des yeux et une voix d’outre-tombe, venant de nulle part, s’adressa �  lui :
…{ En chassant les baleiniers tu as sauvé les miens… Toi et ton équipage resté �  bord vous serrez épargnés, les autres seront la part des dieux… Mais pour cette fois seulement ! POUR CETTE FOIS SEULEMENT ! }
Un rire puissant et démoniaque résonna dans sa tête, suivit d’effroyables cris de victoire venant de tous ces démons venus des fins fonds de l’enfer. Au même instant son agresseur retira violement son sabre et une atroce douleur le fit hurler de souffrance.

   Taranis se réveilla en sursaut. Il était en age, se demandant où il pouvait bien se trouver. Essayant de se remettre de ses émotions, il analysait son environnement et progressivement il réalisa que c’était  sa cabine. Le craquement du bois que faisant le bateau lui indiquait qu’il était en marche et qu’il devait faire route quelque part. Après s’être levé doucement de sa bannette, il s’aspergea d’eau le visage pour mieux se réveiller puis vida le reste d’une bouteille de cognac d’un seul coup.

…Mon dieu ! Quel cauchemar ! Pensait-il.
C’est alors que les pas, d’un matelot courant dans la coursive amenant �  sa cabine, résonnèrent.

_Capitaine ! Capitaine ! Venez vite ! L’officier en second vous demande ! Il se passe des choses bizarres l� -haut !
_Oui, oui ! J’arrive… J’arrive !
Une fois sur le pont, étant toujours dans ses pensées, il regarde autour de lui et admire son navire dont ses voiles majestueuses, gonflées par un vent régulier et tiède, l’emmène vers sa destination. Derrière, des oiseaux suivent son sillon �  la recherche de leur pitance. Quelques nuages se déplacent dans le ciel ensoleillé, comme pour accompagner le Clipperton II dans sa course au large.
Il rejoint son second qui s’empresse de lui donner des explications plus ou moins confuses.

_Capitaine ! C’est… C’est incroyable capitaine !
_Quoi ? Qui y a-t-il ? Qu’est-ce qui peut bien être incroyable ? Calmes-toi voyons !
_ C’est… C’est juste après avoir chassé les baleiniers… Il y a eu d’abord une puissante bourrasque venant de nulle part qui a balayé le bateau ! Elle a été si courte que le voilier n’a même pas eu le temps de bouger ! Taranis commençait à écouter son second avec intérêt.
_Puis soudain un feu de Saint Elme ! L� -haut, sur le grand mât ! Il a disparu quand vous êtes monté ! Et… Et le pire…
_Le pire ?
_Le pire c’est qu il y a une cinquantaine hommes, dont la vigie, qui a disparue ! On a cherché partout… Ils sont introuvables ! Ils sont peut-être tombés �  l’eau, mais on les aurait entendu ! Que fait-on capitaine ?
Après un court moment de réflexion, Taranis réalise.
_La part des dieux ! Ce n’était donc pas un cauchemar !
_Je… Je ne comprends pas capitaine ?
_Les malheureux sont déj�  mort. On ne peut plus rien pour eux. Mettez le pavillon en berne et laissez-moi.
_B… Bien capitaine !?!
   Taranis rejoignit sa cabine. Il était encore dans ses visions de cauchemar. Des tas de questions sans réponses se bousculaient dans sa tête. Non seulement il avait reconnu cette voix d’outre tombe, sans pouvoir y mettre un nom dessus, mais en plus il avait vu le nom de ce navire d’apocalypse. Ce nom, il ne l’oubliera jamais… C’était celui de l’Hadès.

FIN 
   
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« Répondre #14 le: 01 Juin 2007 à 17:41:34 »

Le jeun enfant courait sur les falaises... Il entandait sa mère lui dire de faire attention de ne pas tomber. Au bout de cinq minutes elle l'appela car la pluie tombait.
-Non maman je veux rester un  peu
Elle accepta, que risquait elle, en caraïbes rare sont les perosnnes mortes �  cause de la crève. DEmain il fera beau. Mais la tempête tant annconé depuis deux jours par els marins qui voyaient les nuages lourds s'apprcoher des cotés ainsiq ue l'air s'humidifier et s'alourdire. Tant de signe qui ne trompe pas.
En moins d'un quart d'heure la tempête était en plein action la mère ciait elle ne voyait pas son fille.  La peur au ventre qu'il soit tombé elle suivit les falaises en criant son nom. Après dix minutes de recherche elle le vit scrutant la mer.
Quel spectacle formidable et atroce pour un enfant que de voir les élèments se déchainer. La mer en furie rein de plus beau
Pensa t elle, même si pour elle cela lui rapellé son mari écrasé par un lame de fond, sur les roches.
Elle appela son enfant mais il ne bougeait pas comme paralysé. Elle alla le voir

- Pourquoi ne répond tu pas? répond moi enfin!! mais dit quelque chose. Pour tout réponse son fils leva la main et pointa la mer du doigt. La femme horrifié regarda l'océan et cherchant quelque chose. Un navire échoué, des cadavres... Mais surtout pas cela. Rien
Mais dans un éclair de donnait le ciel, elle vit aparaitre un navire. Un bateau sans voiles, entieremnt noir de la quille �  la perruche et passant par els voiles et la coque. Un impression de mort s'y dégagé durant la second qui dura une éternité, la mère chercha les couleurs de ce monstre. Elle els vit, un pavillon noir, totalment noir, rien que du néant, un bout de tissu noir sans rien.
Deux secondes après que l'éclair fut disparu, la femme ne vit plsu rien. Son fils semblait toujours voir mais pas la mère. Elle tira son fils quand elle se retourna encore par le doute et un éclair, rien, deux puis au troisième elle le revit beaucoup plus loin derrière une vague.

Puis plus rien ce navire était un fruit de son imagination imossible son fils le voyait aussi. Un fantôme els hantant?? elle n'en parla qu'au prêtre qui par peur ne lui dit jamais ce qu'ils virent...
 
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