le procès des grands. La vengeance de la Hollande pour la prise de Bonaire.

[scar]

 

Maitre du jeu

              Scar Taranis François deBois étaient tous dans une des cellules �  désespérer.  Après avoir fait cent fois le tour de la cellule, avoir tenté de voir par les barreaux en haut de la prison pour essayer de s’enfuir. Mais mauvaise idée elle donne sur la salle des gardes. Taranis étaient adossé au mur, François allongé sur le sol et Scar toujours droit digne mais fatigué. Il regarda par les barreaux de la prison leur garde assit avec sur un tonneau devant lui trois pistolets et un fusil sur ses genoux.
- Cette fois ci c’est fini, nos hommes ne peuvent nous sauver. Il y a encore deux navires de guerre au mouillage sans compter celui du corsaire et celui du chasseur de pirate. Il y a plus de fort donc si on attaque la prison ce gars nous tuera sur le fait.
- En plus comme il n'y a plus de fort, les soldats ont des places fortes un peu partout dans la ville et ils se méfient des marins.  Dit l'autre capitaine
- Espérons que Karnaj ne soit pas �  Bonaire. Car sinon ils vont l’attraper
- Et surtout elle va essayer de nous sauver ou de se défendre et l�  c’est fini de nous et de nos hommes. Dit calmement François qui dessinait des cercles dans le vide coupant la parole à son capitaine
- Pour nos vies la corde ou une balle ça ne changera rien
- Parlez pour vous, s’écria Scar. Moi je pouvais espérer juste une obligation de naviguer sous le commandement de la Hollande. Mais avec le lieutenant du fort en ruine il va tout faire pour que je sois avec vous sur une corde. Dans tous les cas cela ne me plait pas. Comme vous tous je préfère mourir l’arme au poing en combat et pas comme un maraud un vulgaire pirate, Pardonne moi Taranis. Mais nous ne sommes pas du même genre. Mais surtout mon père n’aura pas eu vengeance pire : le pays pour qui il est mort aura tué son fils.
-Patience dit calmement Taranis tachons de rester dans les mémoires montrons que les pirates ne sont pas que des brutes mais des hommes libres et courageux. Scar tu devrais y arriver avec tes talents d’orateurs.  Dit il après avoir regardé ses compagnons longtemps avec un air moqueur.
-Le vrai risque c’est que les pirates tentent quoi que ce soit alors l�  on est sûr d’y rester. Commenta le second, en tout cas je serais mort sous le commandement de Scar, grand pirate et accompagné de Taranis homme respectable que demander de mieux, par tout les  Saints ! comme compagnie en enfer.
- Moui, que je sois banni si je retrouve Kerk en enfer. Car comme je lui ai promis on se battra dans un combat épique et mortel sans que personne ne puisse nous stopper…
- Mais votre ami Armis n’a pas réussit �  obtenir que l’attaque contre la compagnie des Indes ne soit pas retenue comme un délit??
-Sans doute mais il y a pas que cela qu’on va nous reprocher, cria les second, tous nos actes barbares, tous ! jusque celui d’être né !!  Ces maudits politicars ne s’arrêtent devant rien sauf la poudre et le fer. Puis il frappa contre le grille le garde ordonna qu’ils se taisent il fut obéi.

Le tribunal fut préparé ainsi que la potence, les juges cherchèrent des témoins, des preuves, des actes de Scar et Taranis. Ils ont cherché aussi un homme assez fou pour vouloir les défendre.


Voila encore une quête d’un genre bizarre un procès vous pouvez vous inscrire pour la quête sous le nom d’un personnage pnj. Ce que vous pouvez jouer sont le juge, l’avocat de la défense.
Sinon sans être inscrit vous pourrez témoigner avec votre personnage mais n’oubliez pas nous sommes des pirates si vous nous défendez trop vous serez sans doute arrêté et jugé car cela donnera une preuve de vos actions de piraterie… attention �  votre langage....


liste des joueurs et des passages:
- scar
- Taranis
- Regnak
- SilverFalcon
- Teryoto
- Hyorg
choix des joueurs et recruteemnts fini

ps: on ne commencera pas la quete tant que j'aurais pas un internet qui marches désolé mais sinon le juge et l'avocat de l'attaque ainsiq ue mon personne ne pourrons pas parler....  

[Taranis]

      Taranis était dans ses pensées. Il se remémorait les derniers évènements qui l’avaient séparé de son équipage pendant l’attaque de la ville par ses confrères pirates. Enseveli sous des gravas après avoir découvert des souterrains sous la ville, puis retenu prisonnier par un chasseur de prime qui l’avait reconnu et qui attendait le bon moment pour le livrer aux hollandais, il venait de s’échapper quand les soldats lui tombèrent dessus dans une taverne au moment où il allait retrouver ses compagnons qui le cherchaient désespérément dans toute la ville.
_Quand je pense que je venais de me sortir des griffes d’un salopard de chasseur de tête… et que je me retrouve ici avec toi Scar… ça me fait bien rire ! Ce qui me rassure, c’est que mon équipage a mit le bateau �  l’abri.
_Tu étais prisonnier pendant tout ce temps ? S’étonne Scar. Je me demandais pourquoi tu étais revenu ici te jeter dans la gueule du loup.
_Je ne suis pas fou �  ce point sacrebleu ! Mais toi… On dirait bien que tes amis hollandais t’ont abandonnés cette fois-ci.
Scar ne répondit pas. Au même moment la lourde porte de la cellule s’ouvrit et deux gardes rentrèrent suivit du geôlier apportant le repas ; du pain sec, trois gamelles d’une soupe �  vous couper l’appétit pour longtemps et du fromage dont l’odeur ferait fuir n’importe quel rat de la ville. Le tout accompagné d’une cruche d’eau imbuvable, sûrement prélevée dans le port. A la vue de ce triste repas, d’un ton ironique, Taranis demande �  Scar :
_Ne pourrais-tu pas leur demander de m’apporter du cognac ? Enfin… Si tu as encore de l’influence sur tes anciens amis hollandais bien sûr !
_Ne te moques pas de mon capitaine ! Rétorque sèchement François.
_Du calme l’ami ! Répond Taranis avec un petit sourire en coin. Je plaisantais. C’est tout ce qu’il nous reste pour l’instant, de la plaisanterie…
   

[scar]

Francois souria
- la plaisanterie, c'est vrai tachons d'en garder pour le moment de la corde... Je me demande si ils aimeraient voir de grand pirate pendu en faisant de grimace pas de douleur mais de moquerie.
Scar regarda le repaset commenca à manger un peu
- Espèron qu'ils ne nous reprocherons pas l'attaque de Coro
- Pourquoi le port est espagnol on risque rien pour cela Dit calmement Taranis
- Oui pour l'attaque pas pour le massacre des prêtes... Ils vont nous reprocher "acte de barbarie envers l'Eglise" Dit d'un air hautain Francois


ps : on recrute toujours n'hésitez pas...
   

[SilverFalcon]

Soudain des coups de feu se firent entendre au dehors. Taranis,Scar et Francois levèrent la tête et les oreilles. Apparement une bataille faisait rage dans la ville!

       Près de la forteresse, se déroulait en effet un combat. Un navire de tonnelure assez grande avancait doucement, entouré de la fumée de ses canons. A l'interieur du navire se trouvait le capitaine SilverFalcon qui s'affairait �  cacher ses objets de valeur sur lui. Ensuite, il monta sur le pont ou il rejoignit son quartier maître, William Dawkins. Il prit un mousquet et évalua la distance qui les séparait de la forteresse d'environ 0.5 miles (ou 1 noeuds) Il arma et tira, lancant ainsi un appel aux quelques tireurs d'élites qu'il avait caché dans le faux pont. Ceux ci montèrent alors et formèrent une ligne.Des soldats apparurent sur le toit de la forteresse et tirèrent une déflagration de boulets ramès, qui endomaga sérieusement les voiles. Les tireurs tirèrent et tuèrent tous les soldats. Mais le bateau se rapprochait dangereusement et les mitrailles commencaient �  venir �  bout de l'équipage.

SilverFalcon fit alors lever un drapeau blanc sur lequel l'on pouvait voir en gros "Pour parler".Les tirs cessèrent alors et l'amiral apparut en haut du batiment ennemi. SilverFalcon se présenta au milieu de son navire, fier malgré son corps en sang et ses vétements déchirés.

-Salut �  vous très cher Amiral! Je vous tirerai mon chapeau s'il n'avait pas été défragmenté pour votre stratégie d'attaque! C'est pour ca que j'aime les combats contre la marine!

-Savez vous que vous mourrez dans quelques heures? Qu'est ce qui vous rend si confiant?

-Mais le canon pointé sur vous cher ami! Vous ne me croyez pas? Eh bien faisons donc une démonstration mes chers tireurs!

Une pluie de coups se firent entendre mais un seul d'entre eux toucha le chapeau du militaire. Les soldats s'apprétaient �  achever les pirates mais l'Amiral leur fit signe que non.

-Je risque ma peau! Arretez donc et entendons plutôt les requêtes de ce forban!

-Prenons plutôt un verre dans votre bureau vous voulez bien?

Et c'est ainsi qu'�  l'interieur de la chambre de l'Amiral, les parlementations commencèrent.

-C'est simple! Je veux la libération des prisonniers que l'on tient pour responsable de l'attaque de ce port!

-Et pourquoi le ferions nous?

-Car il y a derrière moi tout un armada de navires pirates prèts �  attaquer une seconde fois cette ville! Mon navire ne sera qu'unpion!

-Ce pion �  le droit de s'en aller cher capitaine SilverFalcon! Mais sachez que l'on vous tient vous aussi pour esponsable de l'attaque! Vous êtes en état d'arrestation!

SilverFalcon eut beau se débattre, les gardes étaient nombreux et de forte ossature; ils assomèrent le second et le quartier maître qui était venu avec lui et emmenèrent les trois gailards vers les geôles. Lorsque SilverFalcon traversa la cour de la forteresse il hurla �  l'attention de son équipage qui était en route:

NE FAÎTES RIEN TANT QUE NOUS N'EN AVONS PAS DONNER L'ORDRE! JE VOUS JURE SUR MON EPEE QUE JE SORTIRAI VIVANT DE PORT AVEC LES PRISONNIERS PRES DE MOI! RENTREZ A TORTUGA!!!!

Quelques minutes plus tard, il fut jeté dans la cellule.  

[Regnak]

Le Titan s'approchait lentement du port de Bonaire, quand la vigie signala des restes de fumées et une armada Hollandaise droit devant.

  - Mettez le pavillon Français, rentrez les sabords et la grande voile, reduisez la vitesse, tous les hommes sur le pont.

Un navire plus petit que le Titan s'approcha alors et par signal de fanions demanda la mise en panne du bateau.
 
 - Mettez en panne!!! Preparez vous pour un appontage!

La fregate Hollandaise fit descendre une chaloupe et une dizaine de soldats se dirigerent vers le navire. Ils l'accosterent et monterent �  bord.

 - Qui est le capitaine de ce bateau demanda un Hollandais drolement habillé
 - C'est moi, repondit Regnak, en descendant du pont superieur.
 - Capitaine votre cabine je vous prie.

Ils furent guider jusqu'à la cabine et Ils s'installerent.
 - Puis je vous demander les raisons qui vous poussent �  pénétrer avec un batiment de guerre dans un port Hollandais?
 - Naturellement, je viens querir provisions et informations...
 - On nous a signalé une flottille pirate dans le secteur. Qu'est ce qui nous prouve que vous n'en faites pas parti?
 - Je ne suis pas un Pirate, je suis le marquis de Valon et je trouve que votre ton n'est pas approprié messieur! Si vous ne me croyez pas voila mon titre de noblesse et ma lettre de marque de la France signée par le Gouverneur de Port au prince représentant direct de sa majesté dans ces eaux...

Apparement, le Hollandais ne lisait pas un traitre mot de Français, mais pour la forme il inspecta les deux documents pendant un petit moment avant de les rendre.

 - Excusez moi, les massacres de Bonaire ont mis nombre de nos hommes �  cran. Je vais vous demander de nous accompagner jusqu'au port ou vous rencontrerez le Commandant. En attendant je vous deconseille d'ouvrir un sabords ou la sainte-barbe...

Le capitaine s'executa et se fut lentement dans le sillage de la Fregate que le Titan commança son entrée dans le port de Bonaire...  

[hyorg]

Une chaloupe s’approchait lentement de Bonaire a bord un homme vêtus de noir visage et main masquer, un navire hollandais ayant remarqué la chaloupe fit voile dessus et l’homme se fit ordonner de monter a bort pour être questionner.

-Qui êtes vous et que faite vous dans ses eaux avec un si petit bateau, demanda un officier hollandais.
-Je suis un pauvre malade atteint de la lèpre monseigneur dit l’homme en haillon.
-Quoi ? Éloigne toi de moi vagabond dit l’officier d’un air dégouter, mais si tu ne me réponds pas a ma deuxième question nous te jetterons a la mer.
-Mais mon seigneur je viens me faire soigner ici à Bonaire comme il y a un mois.
-Il y a un mois dit tu ?as-tu assisté a l’attaque des pirates dit moi veille homme répliqua le soldat.  
-Oui mais je n’ai rien vus de peur de me faire tuer
-Ce n’est rien tu es un témoin et tu va nous suivre dans ta chaloupe.

L’officier ordonna d’attacher la chaloupe a l’arrière du bateau et de faire cap sur l’ile. Le malheureux confiner sur sa chaloupe mais l’officier ne connaissait toujours pas l’identité du mystérieux malade.     

[Feryoto]

Feryot fit jeter l'ancre à environt une heure de navigation du port de Bonaire. Il possédait maintenant un manowar hisant pavillon français et un équipage complet.
-Faite dessendre une barque. ordonna-t-il.

Une dizaine de minute plus tard, il mit les pieds sur une plage déserte.Il était accompagné de 10 marins qui n'était pas venus à Bonaire lors de la première attaque et qui ne pouvait donc pas être reconnu. Pour sa part, Feryoto c'était laissé poussé la barbe et c'était coupé le cheveux. <<Même ma propre mère ne me reconnaitrerait pas>> pensa-t-il. Feryoto se dirigea à pied vers la ville. Il y pénétra avec 5 de ses hommes très facilement et se dirigea vers une petite taverne. À cet endroit, il se renseigna et apprit la date du procès.
-Parfait, maintenant, attendons. Si la situation venait qu'a tourné j'ai établi un système de communication avec le navire pour lui dire d'attaquer. Je ne croit pas que nous puissions faire réellement quelque chose mais au moin nous serons prèt si il arrive un événement inatendu.
-Et si nous somme interrogé ou reconnu? demanda l'un de ses marins.
-Vous n'êtes jamais venus sur cette île et mois j'ai déja fait du commerce ici. Je dirai que je désire recommencer, ces tous. De toute manière, personne ne me reconnaitrera.
-Et s'il demande où est notre bateau?
-Mais tu les a les questions toi. Je t'échangerai contre ma liberté. Ça te vas?

Le jeune pirate dégluti et ne reparla plus de la soiré.    

[SilverFalcon]

Pendant ce temps dans les cellules, SilverFalcon se réveilla avec une atroce douleur �  la tête. Il se la frotta et vit qu'il était plongé dans le noir complet. Puis peu �  peu, il émérga et commenca �  se rappeler. Lorsqu'il arriva �  la prison il comprit enfin ou il était! Jurant sur lui même il regarda tout autour de lui ésperant voir quelqu'un �  qui parler. Lorsque sa vue s'habitua �  l'obscurité, il reconnut Taranis.

-Ah! Vous! Ils m'ont donc mis avec vous! Cela fait longtemps que l'on ne s'est pas vu! Depuis l'attaque! A votre air, celui de la prison ne vous réussit pas! Je suis tellement bête d'avoir essayé de vous sauver! Maintenant me voila coincé entre quatres murs!

Il s'approcha et exmaina le reste de la cellule. La planche bois qui servait de couchette et table était rongée de tous les sens et dégagaient une odeur qui attirait des nombreux insectes. La porte quant �  elle était toute en ferraille, de l'acier plus précisement. une ouverture était situé �  une hauteur d'homme mais elle était fermée par un panneau du même bois humide que la planche. Des chaines pendaient aux murs et une chaleur étouffante régnait dans la prison.Une fenêtre de la taille d'un sabord et couverte barreau laissait passer une lumière voilée qui éclairait seulement le milieu de la petite pièce. Les murs avaient l'air épais et surtout d'un granit indestructible.
SilverFalcon soupira et s'appuya contre un de ces murs pourris.

-Je me demande qui sera au procès! Aurons droit �  la moindre défense compètente? Pfff! J'espère au moins avoir l'occasion de tuer cet Amiral avant la corde! D'ailleurs dans combien de temps se passera le procès?  

[Regnak]

Regnak fut conduit jusqu'a l'amiral en chef de la flotte Hollandaise, celui ci avait mis pied �  terre aprés l'arrestation d'un nouveau pirate d'apres ce que Regnak avait compris. C'est donc dans la nouvelle demeure de Gouverneur (miraculeusement intacte) que la rencontre eut lieu.

 - Capitaine Regnak, marquis de Valon et Vassal de la couronne Française pour vous servir Amiral.

 - Entrez Capitaine et installez vous, souhaitez vous boire quelque chose?

 - Volontier et si je puis me permettre, vous parler un français presque sans accent c'est tout �  votre honneur.

L'amiral servit deux verres, il en tendit un �  Regnak tout en s'asseyant en face de lui.

 - Marquis, allons droit au but, vous savez que la ville vient de connaitre un passage sanglant, et vous arrivez ici en annonçant que vous souhaitez vous réapprovisionner et querir des informations. Je suis desolé mais j'ai du mal �  vous croire.

 - C'est possible certes, mais si vous regardez les cales de mon navire vous verrez l'etat de mes provisions et de mon stock de boulet, il n'est pas reluisant et il n'assure pas une nouvelle traversée. De plus je recherche une flotte disparue, et pour se faire je vogue de port en port sans m'attacher particulierement. Vous avez parlé d'un passage sanglant pouvez vous m'en dire plus?

 - Des pirates sans fois ni loi ont attaqué la ville, detruit le fort et pillé les entrepots. Nous en avons capturé certains et nous allons les pendre rapidement...

 - Hum... Sans procés? Qui sont ils donc?

 - Le Capitaine Scar, Taranis et Silverfalcon, tous des pirates sans foi ni loi, certaines personnes parlent aussi d'une femme mais nous ne l'avons pas encore attrapé.

Les noms évoqués etaient connus de Regnak, et sa recherche d'information l'avait souvent mené �  eux... Leur perte n'etait pas profitable...

 - Amiral, vous allez bien les juger?

 - Bien sur, rapidement et efficacement... Le tout est de reunir rapidement suffisament de personnes pour mettre en place ce proces.

 - La justice a toujours ete une affaire de noble et en temps que Gentilhomme je me propose de vous aider dans cette affaire, faites moi juge et je les expedirais rapidement sur leur corde.

 - Ma foi, je ne sais pas, la couronne française n'a rien �  faire dans cette histoire, mais avoir un jugement de noblesse aura plus d'impact... Je vais y réfléchir et je vous donnerais ma reponse demain. Sur ce...

Regnak se leva, et il se retint de ressortir une demande pour juger les mécréants, il avait besoin d'eux et un besoin vivant... Il fallait qu'il les aide, pour qu'ils l'aident en retour...  

[hyorg]

Une fois le navire amarrer aux docs le malade put partir, il déambulait dans tout la ville comme si il cherchait quelle que chose on lui dit que les prisonnier étais quatre désormais puis partit dans une ruelle et peut après un homme plus grand et vertus comme un noble sortais de cette même ruelle.
-Pourvut que cette veille ruse marche pensa Hyorg puis il se dirigea en direction du fort visage cacher par un foulard et un grand chapeau.   
   

[Taranis]

Dans la cellule on passait le temps comme on pouvait. Seul François était nerveux et s’inquiétait de son sort. Scar laissait paraître une confiance et une indifférence surprenante sur les événements actuels, comme s’il ne craignait rien, pas même la mort, ce qui intriguait Taranis sans pour autant l’inquiéter.
Il discutait tranquillement avec SilverFalcon.
_On ne nous a encore rien dit sur la date du procès.  Mais il leur faut trouver des témoins, des preuves, et de ce côté-l� … ça risque de leur prendre du temps, au moins une bonne semaine. On a le temps de voir venir. A propos, quelles sont les nouvelles au-dehors ? Demande Taranis à Silver.
_Il y a une flotte de compagnons qui se regroupe je crois. J’ai vu Feryot se diriger par ici. Je sais que Hyorg voulait s’infiltrer �  Bonaire. Je ne sais pas ce qu’il en est. Je n’ai pas de nouvelle de Lady Karnaj, mais j’ai fais la connaissance d’un français, un aristocrate, un marquis �  la recherche d’une flotte disparue.
_Un marquis ? Français ? Comment s’appelle t’il ? S’interroge Taranis d’un air curieux.
_Il se fait nommer « marquis de Valon » et…
_De Valon dis-tu ? Tiens, tiens ?
_Tu le connais ? Demande Scar à Taranis.
_Non… Non, je dois confondre.
Visiblement Taranis reconnaît ce nom enfoui dans ses souvenirs mais cherche �  détourner la conversation en s’adressant �  Scar.
_Je te trouve bien confiant sur notre sort Scar. Ne crains tu pas la mort qui plane au dessus de nos têtes ? Et cette étrange blessure que j’ai cru voir sur ta poitrine, près de ton cœur, quel est donc ce mauvais souvenir que tu tentes de si bien cacher ?
   

[SilverFalcon]

           Maître du jeu


 Hyorg arriva aux portes du fort et essaya de passer sans se faire repérer, en passant pour un simple badaud. Les deux soldats qui gardaient le fort l'arretèrent du bout de leurs lances. Le premier, plutôt petit fit un signe �  son coéquipier, plus grand mais plus large. Celui ci lanca :

-Eh l'ami! Que viens tu faire ici? Si c'est pour le procès, on n'accepte pas les personnes avant midi! Tu m'as l'air bien pauvre pour témoigner alors je te repose la question : que fais tu ici?

-Eh bien, voyez vous, je suis peut etre pauvre mais je viens pour....demander un poste de garde l'ami! Je voudrai voir le commandant pour me renseigner sur les prochaines dates de recrutement!

-Te faire enrôler dans l'armée? Et ou donc? La Marine?

-Tout a fait!

-Bon, passe donc!il baissa le ton et grogna dans sa barbe, s'enrôler dans la Marine?! Les jeunes de nos jours sont fous! Au lieu d'attendre qu'on vienne les chercher, ils viennent d'eux même!


Hyorg se dirigea vers la caserne ou logeait le commandant , puis lorsqu'il fut hors de vue des deux gardes, il tournat brusquement pour se diriger vers les cachots. Il arriva aux portes qui donnaient sur l'escalier qui descendait dans un couloir froid et  sombre lorsqu'il se fit interpeller. Il fremit et se retourna lentement :

-Eh l'ami! Tu crois que nous t'avons cru? Tu te trompe! Tu viens te faire recruter dans les cachots? Si tu veux on peut t'y emmener directemnt! Retourne toi donc et montre ton visage!

Sur le seuil de la porte, se trouvaient les deux gardes armès d'une lance pointé en direction de Hyorg. Ils étaient accompagnés d'un homme visiblement haut gradé d'après ses médailles et son habit. Ce dernier prit la parole lorsqu'il vit le visage de Hyog :

-Bonjour �  vous l'ami! Je suis le commandant que vous vouliez voir ! Et par mon épée, je reconnais ce visage. il eut un sourire mesquin. Au nom de la loi et de l'ordre, moi commandant Wolverstone, je vous arrete cher capitaine Hyorg!

   

[hyorg]

En entendant ces paroles Hyorg d’un ton arrogant répliqua :

-Alors mon cher commandant vous ne courez pas vous cacher car c'est ce que j’ai crus voir la derniere fois.

Le commandant sourit  et s’approcha de son prisonnier d’un air victorieux :

-Voyez! je ne vous crains pas pirate et je suis ravi de pouvoir vous pendre vous et vos amis.

-Erreur dit Hyorg en lancant son poing dans la figure du commandant qui le fit valser au sol, les deux soldats qui escortaient l’officier pointerent leur armes sur le torse du pirate l’homme au sol se releva en prononcent un juron qui se fit entendre jusque dans les cachots.

-Vous allez me payer sa sale chien dit le commandant en s’approchant de Hyorg puis une fois face a lui l’officier et les soldats pessaire �  tabac le pirate avant de le jeter dans une cellule prêt des autres forbans.    

[SilverFalcon]

SilverFalcon, assis dans sa cellule, jouait en balancant des petits cailloux sur le sol déj�  plein de gravats. Il soupira et s'adressa �  Taranis :

-On s'ennuie à en mourrir ici! Humil ricana lorsqu'il repensa à son expression! Ironique n'est ce pas? On va mourrir dans quelques jours et on s'ennuie "a en mourrir"! Eh bien, on aura au moins le mérite d'avoir compris enfin le vrai sens de cette expression!

Taranis lui répondit de facon tout aussi morne :

-C'est la vie, Silver! Que veux tu, la corde nous attends c'est sur, mais au moins, on sait que l'on aura mérité! Quand j'y repense, je me dis que tout est parti de rien!

SilverFalcon continua de ricaner en regardant son compagnon de géôle et s'exclama :

-De rien! Tout est parti de cette histoire stupide dans cette taverne! Dire, que j'aurai pu être avec les filles de joie de Tortuga �  cet instant même! C'était ma prochaine escale! j'espère au moins que mon équipage aura réussit �  s'enfuir!
En y repensant, je me demande que fabrique les autres "Grands de l'attaque de Bonaire" comme ils nous appelent nous autres!! Je n'ai pas eu de nouvelles de Lady Karnaj ni de Hyorg! J'ai croisé Feryoto sur les mers mais rien ni personne d'autre! Tiens d'ailleurs, Hyorg s'en est plutot pas mal tiré pour le véritable responsable de l'attaque!

-Tu lui en veux ?questionna Taranis.

-Non! Le moins du monde! A qui en voudrais je alors que je vais être pendu! Peut être au roi d'Angleterre! Ou bien celui d'Hollande, pour s'être gentiment soucié de nous! Savez tu qu'il a en personne envoyé une lettre pour notre éxecution! "Môsieur le roi voudrait bien, si vous en avez l'aimâble obligance voir pendre haut et court, les charôgnes responsables de l'attaque de Bonaire, ou se trouve la moitié de mes jupons de soie rose!! Ils ont ôsés touchés �  mes bas!! Signé, sa Majesté le roi d'Hollande. Bisous affectueux, cher Amiral!!"il mima les gestes d'un dandy ainsi que la voix.

-Essayons de faire passer l'attente par l'humour!dit SilverFalcon avec un vrai sourire, devant la mine enjoué de ses compagnons.

Soudain, la porte s'ouvrit violement et un homme fut projeté au centre de la piece. La lourde porte fut refermée aussi vite qu'elle avait été ouverte et l'homme se releva.
SilverFalcon s'approcha de lui et en découvrant son visage s'exclama :

-HYORG!    

[scar]

Scar rregarda d'un air sombre le nouvel arrivant. Puis il souria
- Ainsi tout les grands pirates digne de ce nom sont reuni pour mourir. Tachons mes frères et amis de prouver que nous sommes des hommes de discours et juste des hommes de la liberté.
Il se tourna vers Taranis
- Pour la réponse �  votre question sur ma marque je ne vous ai répondu que très légèrement la dernière fois. Cette réponse vous plaira un peu mieux.

Que savez vous de l'Hadès? Scar laissa un temps où un grand silence regna dans la cellule. Francois se reveilla �  ces paroles.
-Quand on a connu cette chose la mort nous fais plus peur et peu même nous paraitre douce. Dit le second Car elle peut nous effacer, espèrons le, de cette vision du diable et du mal.
- Il faut du moins plus qu'une corde pour rompre mon cou. Scar parla serieusement le ton de sa voix était clair et triste. Il souria.
Personne ne pouvait savoir ce que voulait dire cette phrase. Scar aima faire croire qu'il était immortel...
Scar s'allonga sur la paille. Il attendit et cria pour obtenir le silence.
Tout le monde est là. Le procé ne tardera pas, tout est prêt même la corde.