|
|
« le: 19 Mai 2007 à 16:08:11 » |
|
C'est ici que vous pouvez poster les parôles de chanson de mer que vous connaissez ouq ue vous avez inventé pour que d'autre les utilise (donc pas de copyright dessus merci)... pour le rp et la bonne entente merci (évitez de pourrir ces pages comme on le fait si bien dans la parti hrp (qui est faites pour cela))
|
|
|
Journalisée
|
Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã� dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
|
|
|
|
BlackFlint
Messages:
Invité
|
|
|
|
|
« Répondre #1 le: 19 Mai 2007 à 17:19:00 » |
|
Histoire vraie de BlackFlint:
Je parcourait la mer vers Rio de la Hacha, quand tout un coup des rats sont arrivés, a bord de mon galion-renforcé, j'ai tenté de les chasser. mais il percistait il sont entrés dans la réserve, et moi j'ai courrut comme un chien court après un chat, et me suis énervé j'ai balancé une bouteille de rhum sur eux deux sont morts mais il y en avait dix et ils ont tous bouffé et se sont en allés
et nous et et nous qu'allons nous faire? nous avons même plus de quoi manger! et moi et moi que vais-je faire? Je n'ais même plus de rhum pour boire.
Et l'équipage c'est énèrvé et son moral a baissé ils ont fait de moi leur esclave, et j'ai dû tout nettoyer j'm'en souviendrais de ce visqueux équipage, Et il m'ont abandonné sur une île déserte le sable était trop chaud je me suis accrché a un arbre J'ai vu au loin vous savez quoi un navire marchand
et nous et et nous qu'allons nous faire? nous avons même plus de quoi manger! et moi et moi que vais-je faire? Je n'ais même plus de rhum pour boire.
Le navire marchand ma récupéré et pour le coup j'était loin de Rio de la Hacha car ils m'emmenaient vers Port-au-Prince le port le plus connu français ce que j'ai fait, vous savez quoi? j'ai sauté de leur raffiot mais le courrant m'emmenait quand même a Port-au-Prince
et nous et et nous qu'allons nous faire? nous avons même plus de quoi manger! et moi et moi que vais-je faire? Je n'ais même plus de rhum pour boire.
mais je n'avais plus mon galion-renforcé je n'avais volé qu'un pinasse je n'avais plus le BlackPearl mais énèrvé et pas content j'ai appelé cette pinasse la fête du vomi
Je n'avais plus qu'� dire ces mots:
SACREBLEU!!!!BIGRE!!!!
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
|
Lafayette
Messages:
Invité
|
|
|
|
|
« Répondre #3 le: 20 Mai 2007 à 15:17:32 » |
|
A moi : Nous emmenions en esclavage Cent vauriens, pêcheurs de corail ; Nous recrutions pour le sérail Dans tous les moûtiers du rivage. En mer, les hardis écumeurs ! Nous allions de Fez � Catane... Dans la galère capitane Nous étions quatre-vingts rameurs.
On signale un couvent � terre. Nous jetons l'ancre près du bord. A nos yeux s'offre tout d'abord Une fille du monastère. Prés des flots, sourde � leurs rumeurs, Elle dormait sous un platane... Dans la galère capitane Nous étions quatre-vingts rameurs.
- La belle fille, il faut vous taire, Il faut nous suivre. Il fait bon vent. Ce n'est que changer de couvent. Le harem vaut le monastère. Sa hautesse aime les primeurs, Nous vous ferons mahométane... Dans la galère capitane Nous étions quatre-vingts rameurs.
Elle veut fuir vers sa chapelle. - Osez-vous bien, fils de Satan ? - Nous osons, dit le capitan. Elle pleure, supplie, appelle. Malgré sa plainte et ses clameurs, On l'emporta dans la tartane... Dans la galère capitane Nous étions quatre-vingts rameurs.
Plus belle encore dans sa tristesse, Ses yeux étaient deux talismans. Elle valait mille tomans ; On la vendit � sa hautesse. Elle eut beau dire : Je me meurs ! De nonne elle devint sultane... Dans la galère capitane Nous étions quatre-vingts rameurs.
Hips !! Burlggg....
|
|
« Dernière édition: 20 Mai 2007 à 15:22:11 par Lafayette »
|
Journalisée
|
|
|
|
|
Lafayette
Messages:
Invité
|
|
|
|
|
« Répondre #4 le: 20 Mai 2007 à 15:25:28 » |
|
Aller hop, je suis chaud la:
À moi forban que m'importe la gloire Les lois du monde et qu'importe la mort? Sur l'océan, j'ai planté ma victoire Et bois mon vin dans une coupe d'or. Vivre d'orgies est ma seule espérance Le seul bonheur que j'aie pu conquérir Si sur les flots j'ai passé mon enfance C'est sur les flots qu'un forban doit mourir.
Vins qui pétillent Femmes gentilles Sous des baisers brûlants d'amour Plaisirs, batailles Viv' la canaille Je bois, je chante Et je tue tour � tour.
Peut-être au mât d'une barque étrangère Mon corps un jour servira d'étendard Et tout mon sang rougira la galère Aujourd'hui fête et demain le bazar. Allons, esclave, allons, debout mon brave Buvons le vin et la vie � grand pot Aujourd'hui fête et puis demain peut-être Ma tête ira s'engloutir dans les flots.
Peut-être un jour par un coup de fortune Je saisirai l'or d'un beau galion Riche � pouvoir vous acheter la lune Je m'en irai vers d'autres horizons. L� respecté tout comme un gentil'homme Moi qui ne suis qu'un forban, qu'un bandit Je pourrai comm' le fils d'un roi, tout comme, Mourir peut-être dedans un bon lit.
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
SilverFalcon
Messages:
Invité
|
|
|
|
|
« Répondre #5 le: 21 Mai 2007 à 19:17:54 » |
|
Voulez vous messieurs mesdames Que je vous chante l'histoire L'histoire d'un drôle de quidam Qui vécut couvert de gloire Voulez vous les filles les gars Entendre de ma bouche même Tant pis si vous voulez pas Je la chanterai quand même C'était un hardi marin Qui régnait sur l'équipage Qui n'était pas très malouin Mais qui avait du courage
Par belle mer et par beau temps En sabrant tout ce qui bouge Pour pas que lui voit son sang Portait une chemise rouge
C'est depuis qu'il fit la chasse Planté sur son fier vaisseau Il se rue sur tout c'qui passe Qu'ce soit petit ou bien gros Le premier d'l'an d'cett' année l� Tombait un vendredi 13 Su' "L' Modéo" il rencontra Une espèce de gros balèze Sortant blême du brouillard Venant tout droit vers lui Impressionnant et massard Et trois fois mieux armé que lui
Par belle mer et par beau temps En sabrant tout ce qui bouge Pour pas qu'on lui voit son sang Portait une chemise rouge
Il se frotta fort les yeux Regarda dans sa longue vue Se pinça le bout du nez Pour voir s'il avait bien vu Etait toujours un p'tit marin Comme au début de la chanson Et pour refaire le malin S'y attaqua comme un con Il capla sa chemise rouge Et pour plus de précaution En plus de sa chemise rouge Il mit son pantalon marron
Par belle mer et par beau temps En sabrant tout ce qui bouge Pour pas qu'on lui voit son sang Portait une chemise rouge
Il mourut en commandant Sur sa ch'mise, y'avait du sang Mais c'que dit pas la chanson C'est c'qui avait dans son pantalon
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
SilverFalcon
Messages:
Invité
|
|
|
|
|
« Répondre #6 le: 21 Mai 2007 à 19:18:44 » |
|
Une, mais en anglais!!
1. Fifteen men on a dead man's chest Yo ho ho and a bottle of rum Drink and the devil had done for the rest Yo ho ho and a bottle of rum. The mate was fixed by the bosun's pike The bosun brained with a marlinspike And cookey's throat was marked belike It had been gripped by fingers ten; And there they lay, all good dead men Like break o'day in a boozing ken Yo ho ho and a bottle of rum.
2. Fifteen men of the whole ship's list Yo ho ho and a bottle of rum! Dead and be damned and the rest gone whist! Yo ho ho and a bottle of rum! The skipper lay with his nob in gore Where the scullion's axe his cheek had shore And the scullion he was stabbed times four And there they lay, and the soggy skies Dripped down in up-staring eyes In murk sunset and foul sunrise Yo ho ho and a bottle of rum.
3. Fifteen men of 'em stiff and stark Yo ho ho and a bottle of rum! Ten of the crew had the murder mark! Yo ho ho and a bottle of rum! Twas a cutlass swipe or an ounce of lead Or a yawing hole in a battered head And the scuppers' glut with a rotting red And there they lay, aye, damn my eyes Looking up at paradise All souls bound just contrawise Yo ho ho and a bottle of rum.
4. Fifteen men of 'em good and true Yo ho ho and a bottle of rum! Ev'ry man jack could ha' sailed with Old Pew, Yo ho ho and a bottle of rum! There was chest on chest of Spanish gold With a ton of plate in the middle hold And the cabins riot of stuff untold, And they lay there that took the plum With sightless glare and their lips struck dumb While we shared all by the rule of thumb, Yo ho ho and a bottle of rum!
5. More was seen through a sternlight screen Yo ho ho and a bottle of rum Chartings undoubt where a woman had been Yo ho ho and a bottle of rum. 'Twas a flimsy shift on a bunker cot With a dirk slit sheer through the bosom spot And the lace stiff dry in a purplish blot Oh was she wench or some shudderin' maid That dared the knife and took the blade By God! she had stuff for a plucky jade Yo ho ho and a bottle of rum.
6. Fifteen men on a dead man's chest Yo ho ho and a bottle of rum Drink and the devil had done for the rest Yo ho ho and a bottle of rum. We wrapped 'em all in a mains'l tight With twice ten turns of a hawser's bight And we heaved 'em over and out of sight, With a Yo-Heave-Ho! and a fare-you-well And a sudden plunge in the sullen swell Ten fathoms deep on the road to hell, Yo ho ho and a bottle of rum!
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
SilverFalcon
Messages:
Invité
|
|
|
|
|
« Répondre #7 le: 21 Mai 2007 à 19:20:34 » |
|
Cette chanson commémore le combat du 31 août 1800 au cours duquel le corsaire Surcouf qui commandait la "Confiance ", captura le navire anglais "Kent", monté par quatre cents hommes d'équipage avec trente-huit canons
Le trente et un du mois d’août Le 31 du mois d’Août On vit venir sous l’vent � nous On vit venir sous l’vent � nous Une frégate d’Angleterre Qui fendait la mer et les flots C’était pour attaquer Bordeaux Buvons un coup Buvons en deux A la santé des amoureux A la santé du roi de France Et merde pour le Roi d’Angleterre Qui nous a déclaré la guerre Le Commandant du bâtiment (Bis) Fit appeler son lieutenant (Bis) Lieutenant, te sens-tu capable Dis-moi, te sens tu assez fort Pour prendre l’anglais � son bord Le lieutenant fier z’et hardi (Bis) Lui répondit : “ Capitaine, Oui ” (Bis) Faites branlebas � l’équipage Je vas hisser not’pavillon qui rest’ra haut, nous le jurons Le maître donne un coup de sifflet (Bis) Pour Faire monter les deux bordées (Bis) Tout est paré pour l’abordage Hardi Gabiers, fiers matelots Braves canonniers, mousses petiots Vire lof pour lof en arrivant (bis) Nous l’abordions par son avant (bis) A coups de hache d’abordage De piques de grenades et de sabres en trois cinq sec, nous l’abordons Que dira t’on du grand rafiot (bis) En Angleterre et � Bordeaux (bis) Qu’a laissé prendre son équipage Par un corsaire de dix canons Lui qu’en avait trente et si bons. Buvons un coup, buvons-en-deux � la santé des amoureux, � la santé des vins de france, � qui nous devons le succès d'être vainqueurs sur les anglais!
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
SilverFalcon
Messages:
Invité
|
|
|
|
|
« Répondre #8 le: 21 Mai 2007 à 19:21:00 » |
|
Allez les marins, encor' un p'tit verre Un' dernièr' liqueur Avant le départ Allez les marins, encor' un p'tit air Un' dernièr' chanson Pour chasser l'cafard.
Laissons les copains, il nous faut partir Une fois encor' larguer les haussières Pour l'irrésistible appel de la mer On ne voit mêm' pas ses enfants grandir Si nous partageons souvent nos amours Celui que l'on a pour la grande bleue Commence � nous jouer de bien vilains tours Et nos coeurs sont las de tous ces adieux.
Toutes voil's dehors navigue ô barreur Les amur's tendues sous les vents du nord Monter la coupée, c'est un dur labeur Lorsque sont éteints tous les feux du bord Ils ne savent pas que nos coeurs sont lourds D'avoir trop vécu hors de leur pays Souffrez, dieux des mers et doux alcyons Que tous nos regrets se noient dans l'oubli.
On a bien du mal � fair' quatre pas Sur cette jetée qui conduit au vieux Pour un rendez-vous avec le grand mât Lui qui est � bord le maître après Dieu. La tempêt' ce soir souffle dans les bars La gueul' dans le vent, force dix beaufort Debout les vigies dans les sémaphores C'est mon tour de veill' pour le dernier quart.
Le bateau � quai qui gîte � babord Si je ne suis pas trahi par mes yeux On a oublié pour lui les accores Qui donn'nt au navire un profil gracieux S'il faut écoper, ouvrons les sabords Laissons � la terr' tout's ses dévotions Neptune est plus grand que les dieux du port Berce-toi Bacchus au chant des tritons.
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
|
« Répondre #9 le: 22 Mai 2007 à 20:29:03 » |
|
silver la chason aglaise n est pas de toi... tu pourrais citer ta source pour lkes mauvais en anglais et ignorant il s agit de la chaosn invente par l auteur de "l ile au tresor" de stevenson et je connais plus la suite sinon y a plus de rp il suffit que je nparte et on arrete c est aquoi ce travail
|
|
|
Journalisée
|
Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã� dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
|
|
|
|
|
« Répondre #10 le: 27 Mai 2007 à 12:45:19 » |
|
voici une chanson improvisé en dix minutes mais j'espère qu'elle sera bien pour le rythme de cette chason ilsuffit de voir le film "l'assassin abite au 21" (très bon film que je conseil même si il ets vieux il est très bon) je me suis inspirè d'un chason qu'il ya dedans. Quand il fut sur le trône l� -haut! l� -haut! Et quand il fut sur le trône Il se mit � chanter, il se mit � chanter!!!
"Quand nous fûmes sur les océans au loin! au loin! Et quand nous fûmes sur les océans Nous nous prîmes � chanter nous nous prîmes � chanter!!
Bravant tout les dangers des mers! de smers! Et bravant tout les dangers nous continions � chnater, nous continions � chnater!
Quand la temête se leva d'un coup! d'un coup! Et quand certain mourés On se mit � ) chanter, on se mit � chanter!
Affrontant les pirates aux armes! aux armes! et combattant sans espoir On finit par chanter, on finit par chanter!
Quand la mutinerie commenca � mort! � mort! Et quand la mutinerie commenca Nous recommenciâmes � chanter, nous recommenci� mes � chanter!
Puis des crimes furent fait encore! encore! Et le criminel fut pendu On se reprit � chanter, on se reprit � chanter!
Quand la famine s'installa plus rien! plus rien! Et quand la famine s'installa Nous ne pouvions que chanter, nous ne pouvions que chanter!
Et la folie nous pris au ventre! au ventre! Et quand l'équipage succomba On se mit � chanter, on se mit � chanter!
Enfin nous nous entretuâmes jadis! jadis! aucun ne surviva mais nous chantions toujours, nous nous chantiâmes toujours!
Quand on arriva enfin � l'île! � l'île! Et quand nous arrivâmes enfin Je voulais chanter, je voulais chanter!
Etant le seul en vie Ici! ici! Je fus couronné sur le trône Et je me mis � chanter, et je me mis � chanter! [/i]
|
|
« Dernière édition: 29 Mai 2007 à 19:33:53 par scar »
|
Journalisée
|
Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã� dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
|
|
|
|
Lafayette
Messages:
Invité
|
|
|
|
|
« Répondre #11 le: 29 Mai 2007 à 19:26:31 » |
|
Bravooo bis bis... Burgll... (vomissement du à un trop plein de rhum..)
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
|
« Répondre #12 le: 29 Mai 2007 à 19:34:35 » |
|
merci de rien mais à quand te voir sur les autres postes rp?? que diable on attend que toi!!!
|
|
|
Journalisée
|
Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã� dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
|
|
|
|
Lafayette
Messages:
Invité
|
|
|
|
|
« Répondre #13 le: 30 Mai 2007 à 15:11:30 » |
|
ouaip je sais ... ne t'inquiete pas cher ami j'arriverais !
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
|
|
« Répondre #14 le: 12 Juin 2007 à 19:15:51 » |
|
Voici les extraits d'une chanson inventée autour de beaucoup de bière pour la Communauté du singe Fou lors d'une campagne pavillon noir. Ma mémoire est lacunaire et j'espère que vous ne m'en tiendrez pas rigueur: Et d'île en île et de crique en port S'entends de tribord � babord Le chant de ceux qui se sont révolté Le chant de ceux qui vivent en liberté ... Dans les embruns croisant le fer L'odeur de poudre rends sanguinaire Quand la sueur se mêle au sang Nos ennemis meurent en pleurant ... Voir miroiter moultes trésors D'un rivage blanc ruisselant d'or Chercher l'espoir en nos vies brèves Trouver la carte de nos rêves ... Hum pas facile de se souvenir... :
|
|
« Dernière édition: 12 Juin 2007 à 19:19:46 par Guyde »
|
Journalisée
|
|
|
|
|