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Auteur Fil de discussion: la taverne de la perle noire ( black pearl)  (Lu 116001 fois)
cedlenoir
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« Répondre #195 le: 31 Juillet 2007 à 05:57:40 »

Le capitaine Cédric, dit Cedlenoir se leva.  Il venait juste de finir sa première bouteille de rhum et déj�  Cedlenoir était un peut saoul.  Il faut dire que sa résistance �  l'alcool était très faible et qu'après 3 bouteilles le pauvre ronflerait sur le planché de la taverne.  Il se dirigea vers la table où se tenait la femme qui lui avait fait un signe un peu plutôt.  Il prit une chaise, s'assit et commença �  parler �  Carole-Anne.

-Bonjour, je me nomme Cédric, mais on m'appelle Cedlenoir.  Votre visage me dit quelque chose, nous sommes nous rencontré ailleurs ?

Il lui tendit la main.
   
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Elisa
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« Répondre #196 le: 31 Juillet 2007 à 11:13:13 »

- Je pense bien mon ami...

Carole-Anne lui souris pour ensuite lui serré la main très amicalement ...

- Et comment allez vous depuis... La dernière fois... D'ailleurs je ne me rappelle plus du tout ou nous nous somme rencontré...

"Mad Ethel" également touché par l'effet de l'alcool... Mais peu fort heureusement se rapprocha de l'homme pour lui murmuré �  l'oreille en prenant bien soin de masqué sa bouche pour ne point voir que celle-ci parlait...

- cet homme l� ... Il se nomme Guy et il ose dire que mon amour envers Elisa étai une foutaise... Non non... je te jure que c'est Si... Si.Si... J'te jureheu ... Et... Et voila hips...  
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gekyl
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« Répondre #197 le: 31 Juillet 2007 à 12:10:39 »

Le capitaine Garett et ses hommes re-rentrèrent dans la taverne du soir dernier, le capitaine était triste...enfin triste...il n'acceptait pas la dure réalité des choses, ses hommes était jeune... trop jeune, et dans un combat sloop vs sloop, beaucoup de ses marin furent tué (environ 40) il commanda une bouteille de rhum et alla s'assoir a côté du bar et se demandais pourquoi il n'avais engagé des plus vieux.

_mourir a l'age bète, quel sort malheureux...

il fit un signe a ses hommes de retourner au bateau quand soudain... un matelots s'écria:

_ UN GALION !!!! un galion est a vendre il faut prévenir le capitaine!

Garett surpris :

_ très bien, ne vous afollez pas, c'est mieux que notre sloop ais ça n'est qu'un galion, allez vendre tout ce que nous avons a l'échope et rendez les canons au chantiez naval, si il y a des esclave a vendre a l'échope prenez les et libérez les je vais demandez au propriétaires a combien il vends son galion

Et voila que le capitaine Garett avait un nouveau bateau, ce n'était pas encore la frégate "VIVEC" qu'il recherche depuis déja quelque semaine mais c'était déja un pas de plus vers des pillage plus intéréssant et important...  
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scar
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« Répondre #198 le: 31 Juillet 2007 à 12:32:57 »

Seth alla voir guyde pour lui parler un peu de son histoire comme ce dernier lui avait prié de faire. seth entendit encore Carole-Anne se plaindre et parler d'Elisa il se leva et alla la voir avec son verre. Il salua gentiment cette femme avant de lui jeter le contenue. Puis il l'invita �  rejoindre sa table quand ses idées seront moins noiere et retourna voir Guyde.

- Voila j'étais chef de beaux navires... mais nous avions le ventre plus gros que les yeux
- L'inverse voulez vous dire...
- oui et nous nous sommes attaqué �  un convoi espagnol, vous savez les convois d'or les caravanes je crois. Bref en avantage numérique et équipé de canon, peu de chance sauf notre audace pour nous.
Le vent soufflant de large pour nous et allant droit devant eux, nous avions l'avantage du vent et de l'allure. Les espagnols furent méfiant et se positionnèrent. Nous foncames comme des fleches sur les trois premier, ils n'eurent pas le temps de virer de bord pour nous bombarder.
Nous montèrent �  l'assaut des deux galions et du deux pont qui nous faissaient face. En tête de mon chebex nous foncâmes sur tout les matelots espagnols. Le combat fut simple et rapide. Je tuais sans problème quand soudain, mon second vit que "la volonté d'Allah" était mal possitionné. Une corvette sur son tribord vida tout ses canons.
Seth bu un peu et marqua une pose



ps: Gelyl, y a un reglement pour le rp (tu flood l� ...) ton dernier message étais très bien mais celui d'une ligne tu manque d'idée alros d'écrit  narre de shistoires ou autre et évite les fautes....  
« Dernière édition: 31 Juillet 2007 à 13:02:55 par scar »
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Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã�  dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
Guyde
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« Répondre #199 le: 01 Août 2007 à 01:14:28 »

Guyde était vraiment impressionné ar la témérité des arabes:
"Eh bien mon cher vous êtes braves c'est certains, mais comme vous le remarquâtes votre bravoure m'apparaît quelque peu trop impétueuse. Cela ma rappelle la fois où avec mon sloop j'ssaya de venger le mort de plusieurs de mes vieux compagnons en m'attaquant �  un convoi renforcé qui s'était égaré... Ce fut un carnage et ma première visite des geoles de Carthagène... et ça n'était pas la dernière, une autre fois peut-être vous entretiendrais-je des diverses geoles des Caraïbes, des accueillantes et de celles qu'il faut éviter comme la peste. Mais racontez moi plutôt la fin de cette aventure qui semble tragique."
Guyde bourra sa pipe et l'alluma, prenant soin de ne pas souffler sa fumée vers soc compagnon de table.  
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« Répondre #200 le: 01 Août 2007 à 21:14:54 »

Le soir venu une chaloupe accosta au port de la ville, avec �  son bord deux hommes totalement différents par leur accoutrement, l'un plutot distingué et allant vers les 60 ans, l'autre habilé de frusques et arborant de nombreux bijoux, bracelts, anneaux aux oreilles, et �  l'aspect physique presque délabré ne laissant pas définir son age. Ce dernier fumait un cigare dont l'odeur et la fumée indisposaient fortement son compagnon au sommet du cr� ne dégarni.
Après avoir amarré leur chaloupe, ils prirent leur seul bagage, une vieille malle de marin cadenassée, et montèrent en ville �  la recherche d'un taverne aux tarifs abordables. Lorsqu'ils virent l'enseigne de La Perle Noire le plus vieux des deux déclara avec un fort accent britannique:

-Cet établissement me parait convenir, même si les prix doivent correspondre �  al qualité des chambres et des produits, ajouta t-'il d'un air navré.
-L'important c'est de trouver un endroit pour se poser et boire un coup, fit son compagnon d'une voix française éraillée par l'alcool.
-La deuxième option est très importante à tes yeux bien entendu, siffla le vieux, mais sache que je ne tiens pas à être empoisonné.
Le français ricana et répliqua tout en machonnant son cigare:
-Tu dois avoir oublié ce qu'était la vie d'équipage, Calico. Plus tu vieillis et plus tu deviens aigri et tatillon!
L'anglais préfera ne pas répondre, et ils entrèrent. La fumée du cigare du français se perdit dans le nuage stagnant �  l'intérieur, et l'anglais sembla se réjouir un peu en entendant de la musique. Ils allèrent au bar et posèrent la vieille malle. L'anglais lanca �  son ami:
-Je te laisse commender les boissons, Agonie. Je suis sur que tes gouts nous contenterons.
-Tu l'auras voulu, fit le français en souriant et en interpelant le patron. Un tafia pour moi et un rhum foid avec du lait de coco pour mon pote.
Le vieil anglais fusilla son compagnon du regard et fit en grincant des dents:
-Merci beaucoup, canaille. Well, tu as décidé de m'empoisonner, j'en suis sur.
-A quoi ca me servirait, cap'taine? On est presque fauchés, et tu sais bien que si je décidais de régler nos comptes, ca serait �  la loyale, �  l'épée!
-Dans le dos! répliqua Calico en souriant du coin des lèvres. Moi non plus je ne désire pas ta mort, mais je sais que tu es plus dangereux qu'une vipère, et que tu es plus vicieux et plus fourbe qu'un requin, et que ta loyauté est plus changeante que le vent marin!
-Moi aussi je t'aime bien, Calico Rackman, fit Agonie la Belle en pouffant.
Ils burent en silence. Le cigare du français empestait tellement que les autres clients avaient quitté le bar pour s'éparpiller dans la salle, ils étaient donc peinards. Agonie promena son regard sur les clients, particulièrement les femmes, et crut reconnaitre un type dans la foule, assis �  une table en face d'un homme au type oriental, probablement un arabe. Le français chercha dans sa mémoire en fixant l'homme, tentant de voir son visage. Il tapota l'épaule de Rackman et dit en lui désignant l'homme atablé:
-Dis, Calico, ce type, l� -bas, je crois le reconnaitre. C'est un gentilhomme du nom de Kermarec, Kermalec, quelque chose dans ces eaux l� , et il a un titre de chevalier il me semble.
-Un gentilhomme de fortune? Et alors ?
-Bah, alors voil� , je suis sur que j'le reconais, je vais aller le voir. Bouge pas je reviens.
-Okay, fit le vieillard dégarni. Pour aller où de toute façon ?
D'une démarche chaloupée, ses bottes trempées couinant sur le plancher, il arriva �  côté du chevalier et lanca:
-Monsieur, pardonnez mon intrusion, mais il me semble que votre visage ne m'est pas inconnu. Capitaine Guy de Kermalec, si j'm'abuse pas ?  
« Dernière édition: 01 Août 2007 à 22:44:15 par Capitaine »
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« Répondre #201 le: 01 Août 2007 à 21:58:39 »

Carole-Anne ne fit même pas attention �  Agonie qui venait de rentrer dans la taverne, elle se tenait derrière lui, se protégeant du regard de Seth... Elle fut profondément choquée et vexé du comportement de l'arabe envers la jeune femme... Avec rage et colère, elle grogna dans ses dent marmonnant des mot incompréhensible ... Probablement un mélange d'allemand, français et... Wallons...
"Mad Ethel", comme on l'appelais, alla, de pied certain et décider vers le comptoir de la taverne en... Zigzaguant... Il était clair que la pauvre demoiselle était saoul et humait for l'alcool du �  son halène et ses vêtement souiller du verre de Seth.

Arriver au comptoir... Ou presque, elle hurlât:

- Une... Unnn... Une grande chope de rhum... Une comme ça!!!

Fit elle en indiquant, de ses main... Quel que chose qui devait faire cinquante centimètre de diamètre, le tavernier éclata de rire...

- Et bien, ma grande, si j'étais vous, j'arrêterai de boire pour cette soirée ...

- Ha!!! Haaaha! Mais c'est pas pour heu... Burb! Moi!!! C'est pour ce p'tit con l�  bas!!! Oui! Le salle bronzer qui c'était amu... Amu... Amusé �  me mouiller! Suis tremper d'alcool! Ouais! Quel gâchis vous devez vous dire! Ha! Oui!!!

- Allons, allons... Calmez vous, il n'y a pas de problème, je ne croit pas qu'il faisait ça pour vous importuner ...

- Comment!?... Mais que si!!! Il! Il!... Il salit le nom de ma bien aimée!...


L'homme... Cru mal entendre en premier coup puis, avec un sourire jusqu'au oreilles, il demanda �  Carole-Anne de se répèter...

- Excuser moi... Mais vous venez de dire "ma bien aimée"... Allez, l'alcool, c'est tout pour aujourd'hui...

- Mais je m'en fous d'al... Co... D'alcool! Je vous dit! Qu'il salit le nom de la femme que j'ai aimé!!! Merde! C'est pas compliqué!...

L'homme cette fois ci ne souris plus, bouche bée il regarda la jeune femme en faisant un signe de la croix...

- Bon dieu, mon dieu, je n'ai rien entendu pardonner mes pécher, je ne suis qu'un pauvre pêcheur... Dehor... Or de ma taverne sale tribade... Fille du diable... Dégager! Sur le champ!!!

Sur ces parole, "Mad Ethel" ne dit plus rien... Elle resta figée, par peur et par étonnement...

- Je... J'ai rien fait de mal...

Dit elle sur un ton innocent et tremblant...

- Dehors! Ou j'appelle les garde!!!...

- Merde...

Carole-Anne se sentait embarrassée ... Et elle comprit �  présent que parler d'Elisa ne lui rapportera que des ennuit... "mince... Qu'es que j'ai fait... Seth avait donc raison?"... Pensa la jeune femme... "Et dire qu'elle était venue ici... Et puis zut... J'accomplirai ce qu'elle avait toujours voulu, en sa mémoire... Je lui ferait un enfant... Oui... Un enfant que j'éduquerai tout comme elle l'aurait fait..."

La jeune femme ne se rendit pas compte qu'elle venait de les murmurer ces mots... Carole-Anne avait les yeux fermé et souris sous le regard inquiet ainsi que colérique du tavernier faisant signe �  quelque personnes habiller de beau uniforme... Des soldat du royaume français, malheur!  
« Dernière édition: 01 Août 2007 à 22:05:57 par Elisa »
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Capitaine
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« Répondre #202 le: 01 Août 2007 à 23:54:39 »

Agonie reconnut Carol-Ann, la maitresse d'Elisa Novalis la célèbre tribade. Il vit des soldats avancer vers elle, il vit la figure conjestionné du tavernier et compris quel devait être le motif de sa colère. Il lui chuchota �  l'oreille:
-Mad Ethel, bon sang, vous ne vous rendez-pas compte, vous allez avoir des ennuis si vous continuez �  afficher votre orientation!
Il s'adressa aux gardes et au patron:
-Messieurs, comme le disait cet homme, madame DelPierro a semble-t'il quelque peu abusé de al boisson, et la perte d'un être cher l'a fortement boulversé, vous comprendrez qu'elle est encore sous le choc, veuillez lui pardonnez son attitude et ses propos mal interprétés!
Il posa discretement la main sur la garde de son sabre en cas de coup dur, et jeta un risque sur le vieux Calico Rackman, qui affichait une expression de résigantion lasse. Depuis le temps qu'il connaissait le français, il avait l'habitude de le voir se mettre dans le pétrin en se melant des affaires des autres. Rackman lui ne possédait pas de sabre, mais avait deux pistolets �  silex glissés dans sa redingote, et se retourna lentement pour être dans une position favorable au tir.  
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Guyde
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« Répondre #203 le: 02 Août 2007 à 01:37:04 »

Guyde s'apprêtait �  répondre au Capitaine Agonie quand l'esclandre commença et il ne put donc le faire. Restant assis �  observer ce qu'il se passait, il se leva enfin en s'excusant auprès de Seth quand les intentions de capitaine Agonie lui parurent belliqueuse. Alors que les regards des soldats français commençaient �  devenir mauvais, Guyde s'approcha du sergent français et d'un ton d'autorité lui dit:
"Soldat, allons, ne pouvez donc pas laisser de braves corsaires de notre bon Roi se reposer comme ils veulent? Et arrêtez d'accourir aux cries d'orfraie de notre cher aubergiste, �  cette heure il ne sait plus guère ce qu'il dit, ne sentez-vous pas comme il hume l'alcool? Tenez mon brave, prenez ceci de la part du Chevalier De Kervalek et allez vous détendre avec vos valeureux hommes." Se disant, Guyde tendit une bourse bien rebondie au sergent et envoya quelqus piécettes vers l'aubergiste afin que celui-ci se tienne tranquille.
Après un regard méfiant et presque haineux vers les troubles fêtes, le sergent qui avait attentivement étudié la mise soignée et riche du capitaine Guyde s'en alla de mauvaise grâce.
Puis, se retournant, Guyde exécuta une révérence parfaite:
"Capitaine Agonie, surtout ne vous méprenez pas, je sais parfaitement que vous auriez pu venir seul �  bout de cette vulgaire piétaille tout juste bonne �  effrayer le bourgeois, mais je tiens �  la tranquilité de cette taverne, aussi j'espère que vous pardonnerez mon acte discourtois. Venez donc vous joindre �  moi et �  Seth, un très intéressant confrère d'arabie, il me contait ss dernières mésaventure, vous pourrez ensuite nous conter les votres s'il vous plait."
Sur ce Guyde retourna s'assoir auprès de Seth, non sans avoir fait signe �  Agonie de le suivre.  
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« Répondre #204 le: 02 Août 2007 à 11:55:51 »

Seth en voyant cette scène, dont il ne comprenait pas grand chose, si ce n'est que Carole-Anne était en dangers. Il sorti son couteau et posa lentement sa main sur la poigne d'un de ses sabres. Seth se leva et dégagea un peu as cape afin de laisser voir ses attentions.
Mais en voyant la scène se calmer il rangea d'un coup sec son couteau. Il vit Guyde revenir vers lui avec un inconnu. Seth salua �  sa facon Agonie, puis ajouta.

- Comme le dit proverbe: les amis de mes amis sont mes amis.
Seth regarda en l'air et avec ses doigts fit comme s'il il rangea quelquie chose pui ajouta de sa voix grave juste après.
Et non pas le contraire!!

Seth Salahadin qui n'avait toujours pas donné son nom, s'assit en prenant un peu de rhum de sa timballe de fer. Il la reposa sur la table de bois et huma l'air remplie de senteur d'alcool et d'odeur de renfermé. Puis il cracha par terre avant de reprendre son discour.


- Je disais donc, une de mes féloques en mauvaise posture, en vous les avez vu, elles ne sont pas faites pour subir des tirs de cannonade et cette corvette avec ses vingt canons par bord est danger.
Guyde aquissa.
Donc j'ai ordonné �  la seconde "le faucon" de fuir en massacrant les plus possible de marins afin qu'ils puissent pas nous suivre car nous partions, ca ils ont fait!. Quant �  moi et mon chebex nous continuèrent un peu le combat. Le massacre était d'une facilité, vous européen redoutables avec armes �  feu mais peuvent pas me battre. Donc le sang recouvrait le tillac, c'est cela? Oui donc le tillac était sang rouge comme la mer, car nombreux étaient ceux qui sombrer dans l'eau et changé l'immensité bleu et plaie d'Egypte.
Voyant Agonie et guyde ne pas comprendre de quoi il parlait avec as plaie d'Egypte Seth se rattrapa.
L'eau devint sang!
D'un coup Guyde hurla qu'il l'avait lu dans la Bible une fois!
- Donc tout était rouge, le pont, la mer, les vêtement et les armes, puis nous retournâtes au chebex et firent une manoeuvre difficile et rejoignirent notre allié. Abordant le galion pour la poupe les ennemis prit par deux fronts furenet vite écrasé et moi même alla sur lma fèloque pour aider �  la manoeuvre. Mais d'un coup une bordée trancha tout les mats qui s'écrasaient dans un fracas de bois sur le pont. La fèloque était prise entre trois ennemis. Nous étions que peu de survivant, je voyait au loin le chebex et "le faucon" fuir, ils avaient raison. Je me suis mis sur le bastingage défiant le capitaine espagnol. Pour réponse Un tir de bordé de la par du gaion qui le faucon avait en parti massacré. Le navire parti en miette je fus projeté hors du navire pour m'écraser dans l'eau. Comme je sait nager je me suis caché sous un décombre pendant que les espagnols regardaient si ils avaient survivants. Comme ils ont rien trouvé et que mes amis étaient trop loin et eux trop endomagé ils ont viré de bord changé de cap et sont parti. Moi j'ai chaviré sur un morceau de pont durant deux jours avant de m'échouer sur une plage. le soleil brulant et le sable colant j'ai réussit �  trouver �  manger dans une cabane pécheur.

Plus tard j'ai apprit que la flotte que nous avions attaqué était composé de deux gaions qui contenait l'or, d'une corvette et d'un navire de combat dont je me souvient pas le nom. Assez imposant un... je sais plus.

voici mon histoire, depuis je suis sans navire ni attache, mes compagnons d'armes ont disparue. Je pesne qu'ils ont quitté les caraibes.
Donc ej suis devenu un simple marin, je préfére cela qu'avoir un poste �  responabilité, ma couleur de peau n'est pas toujours apprécié.
[/i]Seth finit sa timballe de rhum et souria puis il chantonna un peu en attendant que Agonie raconte son histoire.[/i]  
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« Répondre #205 le: 03 Août 2007 à 01:05:17 »

Guyde reposa sa pipe froide sur la table et entreprit de la nettoyer �  l'aide d'un petit couteau �  manche d'argent ciselé.
"Hum, une bien tragique histoire, permettez que nous buvions �  la santé de vos braves compagnons." Les pirates assemblés autour de la table levèrent gravement leurs verres et burent chacun perdu dans ses pensées un instant.
"Et bien j'espère que vous avez eu meilleure fortune mon cher Agonie. Racontez-nous donc ce qu'il advint de vous ces derniers mois."
Sur ce Guyde ralluma sa pipe et planta son regard dans l'âtre de la cheminée. Les pierres noires de suie de l'âtre l'attirèrent loin de cette tavrne, ses souvenirs défilèrent dans son esprit et il lui revint soudain en mémoire sa deuxième incarcération dans les geoles de Trinidad.
Sa main droite se convulsa soudain  avec force, broyant le verre qu'elle tenait. Aussitôt un filet de sang s'échappa du poing serré de Guyde tandis que son visage semblé figé en une grimace de haine...
Les autres le regardèrent avec étonnement et s'enquirent de sa santé.
"Chevalier que vous arrive-t'il?" demanda Agonie  qui avait été coupé dès le début de son discours.
"Rien d'important, veuillez m'excuser le vin m'a tourné la tête. Je vous en prie mon chr, reprenez votre récit et oublions cet incident" répondit Guyde tandis qu'il bandait sommairement sa main �  l'aide d'un foulard en soie bleue qui se teinta rapidement de rouge.  
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« Répondre #206 le: 03 Août 2007 à 01:42:50 »

Carole-Anne s'était rassise �  sa place, mais... Cette fois ci, dans la crainte de reproduire un incident telle qu'elle venait de commettre, elle se tut, mais... L'ennui commença �  se faire sentir, plus de boissons pour ce soir... Elle regarda avec envie ses compagnon boire avec bonheur et joie... De tan en tan, "Mad Ethel" se lea pour aller au latrines mais rien de plus... Sous le regard toujours méfiant du tavernier qui lui lançai quelque regard noir quand ils se croisèrent les yeux...

- Oui mon ami...

Fit Carole-Anne à Seth...

- Oui... Je crois que... Nous tous ici, nous avons certainement une grande cicatrice au fond de nous mais... Que voulez vous faire?... C'est la vie... et pourtant... C'est de votre bouche que j'apprends cela... que j'apprends �  revivre...

Puis, la jeune tribade s'approcha de son oreille, fessant sentir une odeur mélangeant Alcool et... De vomi, lui murmura...

- Je m'excuse pour tantôt... Je... J'avais consommé de l'alcool et... C'est toujours comme ça quand je bois, je commence �  me lamenter sur mon sort... Reparlez de ma bien aimée hors que je préfère mieux ne plus en perler et recicatriser ma blessure que j'ai au coeur... et puis voila... Je... Je vais faire en sorte de ne plus reproduire ses deux incident... Promis mon ami...
ensuite, Carole donna une baise à la joue de Seth...  
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« Répondre #207 le: 03 Août 2007 à 09:12:03 »

Seth à son tour se pencha sur Carole-Anne pour murumure, afin de ne pas gener Agonie.

Je ne m'en plaind pas, je constate et regrette mais je préfére être seul ici que mort bêtement et sans gloire.

il remercia Carole pour la bise, depuis un peu moins de quatre mois qu'il n'avait pas ressenti la douceur d'une fermme. Le dernier baisé était avec une mourante. Il S'étala sur sa chaise de boisq ui craqua.

Oups faudrait que je maigrisse, mauvais signe...

Dit il avec humouir en observant le plafond où jouaient les ombre et les moustiques dans une dance aérienne rapide, agile, mais facilement décernable..  
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« Répondre #208 le: 03 Août 2007 à 14:26:49 »

Continuant �  scruter le visage de Guyde, Agonie prit ses aises, mit ses pieds sur la table, tira une longue bouffé de son cigare, toussa �  plusieurs reprises, et se racla la gorge. Il invita son compagnon britannique �  s'asseoir �  son côté. Le vieux loup dégarni prit un siège, posa son verre de rhum froid devant lui et croisa les bras. Agonie la Belle déclara �  l'assemblée de pirates:
-Tout d'abord messire Seth, je tiens �  vous saluer pour votre bravoure. La couleur de peau est certes parfois un handicap, mais vous arriverez sans aucun doute �  faire oublier cette différence avec le courage, car il n'y a que par les faits qu'on puisse juger la valeur d'un homme, et on souvent vu un indien égorger son ennemi avec plus de dignité qu'un officier bardé de médailles et �  l'uniforme impeccable.
Puis il désigna son compagnon:
-Et permettez moi de vous présenter Calico Jack Rackman, ex-capitaine anglais, fossoyeur du célèbre navire de guerre français le Majestueux. J'ai servi sous son commandement tout jeune, j'étais alors un moussaillon, et le vaisseau sur lequel je travaillais fut abordé par son équipage de pillard. Après l'abordage j'ai intégré ses rangs, et ai apprit la vie de pirate.
-Et tu as fomenté une mutinerie quelques années après, coupa Calico Rackman. Et ca a marché, tu es devenu capitaine après avoir liquidé mon remplacant, Thomas Van Santana, c'est cela ?
-C'est cela, confirma joyeusement Agonie. Il n'a vraiment pas eu de chance, ce pauvre Thomas. Enfin, quand on me tourne le dos, aussi...Enfin, passons cet épisode assez enrichissant de ma vie. Je dois vous préciser que moi et mon équipage avions abandonné mon cher ex-capitiane sur un atoll désert avec pour équipement un simple coutelas, avec lequel il a réussi �  survivre pendant 14 ans. Mais revenons-en �  ces derniers jours. Vous m'aviez esperé plus chanceux que monsieur Seth, messire Guyde. Et bien je ne puis me vanter d'avoir eu plus de chance, car il y a de cela plusieurs semaines, je voguais avec l'Orgueilleuse, mes homes et moi venions d'effectuer un raid sur un comptoir espagnol pour nous y ravitailler et pour y chercher quelques informations,quand un calme plat s'abattit sur l'océan. Pas un gramme de vent, pas un souffle, pas la moindre petite bise. Mes homme devenez presque fous, notre vaiseau totalement immobilisé semblait destiné �  être notre tombeau. Quand mon quartier maitre Ulysse émit l'hypothèse de sacrifier un de nos poulets aux Loas. Je répliquai que les dieux vaudous n'aveit montré aucune bonne volonté envers moi, qui m'étais pourtant montré fidèle croyant. J'arrachais tout mes pendentif religieux dédiés aux Loas, les jetais �  la mer et implorai Lucifer de nous fournir du vent, en échange de quoi je promettai de faire couler le sang espagnol en abondance jusqu'�  ma mort. L� -dessus nos voiles se gonflèrent, et devant mon second et mon bosco horrifiés je m'adressai �  nouveau �  Lucifer en disant:"Te dérange pas, vieux, c'ets plus la peine! Merci quand même!". Duper ainsi le Diable était risqué, mais je n'en ai jamais eu peur, et bientot une tempête terrible éclata. Alors que j'hurlai les ordres, et que nous rentrions les voiles, plusieurs hommes d'équipage m'accusèrent d'avoir provoqué la colère satanique et de nous avoir condamné. J'ai répliqué en riant que le Diable et moi nous conaissiosn bien, et que nous étions déj�  tous damnés en tant que pirates. Ils commencèrent �  sortir les armes, et devant l'idée d'une mutinerie en plein ouragan, je commencais �  paniquer. J'en abattais un, en éventrai un deuxième, et le combat dégenera. Mon second Heinrich et Ulysse tenter de calmer les hommes pour garder le navire sous contrôle, mais en me voyant étriper mes propres marins (uniquement dans le but de survivre), ils se joignirent aux combattant, et la bagarre tourna �  mon désavantage. Pendant la tempête deux des prisonniers, un vieil indien et le dernier survivant d'un équipage créole que nous avions croisé auparavant, avaient réusi �  s'évader. Le prisonnier créole, connu seulement sous le surnom de Cayenne, profita de la confusion pour mettre une chaloupe �  la mer, et l'indien fit valser le reste de l'équipage �  coup de cannon. Je foncais rejoindre les deux évadés, et assurai �  Heinrich et Ulysse qu'ils payeraient pour leur trahison. Cayenne, moi et l'indien nous quittâmes donc l'Orgueilleuse, et nous la vîmes disparaitre au loin derrière les lames de fonds. Cela m'arrachait le coeur d'abandonner encore une fois mon navire, c'était la troisième fois qu'une telle malchance s'abattait sur ma tête. Mais reprenant mes esprits je souquais avec mes compagnons de fortune et et le lendemain matin l'indien et moi nous retrouvâmes échoués sur une plage. Aucune trace de Cayenne, mais en revanche en explorant la jungle nous sommes tombés sur Calico Rackman, dont la première réaction en me reconaissant fut d'essayer de me tuer. Mais je lui expliquais notre mésaventure, la tempête, le carnage �  bord de mon batiment, et notre arrivé sur cette ile. La chaloupe était toujours sur le rivage, Calico Jack vit donc en nous un signe de la divine providence malgrè qu'il ai toujours gardé une sévère rancune de ma mutinerie. Nous quittames donc l'atoll accompagné de Rackman, et au fur et �  mesure nous passames par diverses câles, geoles, l'indien disparut �  mon grand regret car il me tenait lieu de cartographe. Calico Jack et moi appriment �  faire table rasse du passé et �  compter l'un sur l'autre pour nous sortir de situations pour la plupart plutot risquées. En fin de compte, nous fumes recueilli par des pécheurs du côté de Carthagena où nous faillimes être lynchés après que les autorités nous aient reconnu pour avoir pratiqué l'"exploitation maritime" dans les eaux voisines. Finalement Calico Rackman réussi �  trouve run plan assez farfelu pour nosu faire évader, et après avoir "emprunter" une chaloupe nous avons quitté discretement Carthagena, pour arriver ici.
Agonie leva haut son verre de tafia pour marquer la fin du récit et en but une lampée. Rakcman ajouta poliment:
-Tu racontes remarquablement bien, Ambroise-Auguste (Agonie le foudroya du regard, ce qui l'amusa, Agonie n'appréciant pas de se faire appeler par son vrai prénom), mais tu omets plusieurs détails. Par expemple que si nous avions été reconnus en tant que pirates �  Carthagena, c'est parce que nous nous étions furtivement introduit dans le palais du gouverneur, car monsieur voulait rendre une petite visite de courtoisie �  Doña Isadora, apparement une vieille connaissance.
Agonie la Belle pouffa en tirant sur son cigare, et ses joues marquées se colorèrent.
-Cependant, continua Rackman sans tenir compte de sa réaction, notre galant gentilhomme de fortune a eu une surprise plutot agréable mais néanmoins innatendue, qui a entrainé notre arrestation...
-Ca suffit Calico, tu en as trop dit! coupa Agonie.
-Oui, bien sur, ca fait toujours drôle quand le passé nous rattrape. Enfin, pour conclure, nous dirons qu'après leur dernière rencontre d'il ya quelques années maintenant, Doña Isadora attendait un heureux évenement.
Agonie se rengorgea en souriant mais déclara:
-Hum!...je ne pense pas que cette partie de nos histoires n'interresse nos amis! Parlons maintenant de vous deux, fit-il à Guyde et Carol-Ann. Vous semblez plongé dans vos souvenirs, Guyde. Vous n'avez rien �  nous raconter, depuis notre lointaine  discussion sur la république pirate ?  
« Dernière édition: 03 Août 2007 à 22:11:16 par Capitaine »
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Guyde
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« Répondre #209 le: 04 Août 2007 à 01:09:10 »

Guyde sourit légèrement, but la dernière gorgée de vin blanc qui se trouvait dans son gobelet et éteignit sa pipe en commençant �  parler:
"Eh bien mon cher, je me souviens fort bien de cette discussion, les mois ont passé mais mon rêve demeure, je suis même sur un coup qui pourrait peut-être m'aider �  commencer �  le concrétiser. Mais entretemps j'ai écumé les mers. Mon sloop s'est transformé en un puissant manowar et j'ai du faire ami-ami avec de nombreux gouverneurs pour pouvoir mener tranquillement mes petites affaires dans l'ombre. Cette souillure me hante mais les dizaines de nuits passées dans les diverses geoles des caraïbes m'ont convaincu que pour réaliser un tel projet il faut éviter de trop attirer la haine des puissants, du moins pour l'instant."
Guyde sourit �  nouveau avec un air mauvais.
"Mais un jour mes frères, un jour ils comprendront que quelque chose s'est levé, une chose si puissante que même les colères de la Terre ne pourront la faire taire."
Guyde avait commencé �  s'échauffer et son visage blafard avait pris des couleurs. Se maîtrisant avec peine, la main tremblante, Guyde se rassit sur sa chaise et déboutonna son gilet de velour vert qui commençait �  être trop chaud.
"Enfin, d'ici �  ce que je puisse vous inviter �  unir vos forces �  celles d'une nation pirate libre et égale, nous pourrions continuer �  boire et �  fêter le fait d'être en vie, j'ai ouïe dire que le patron avait deux filles dont les amies savent se montrer acceuillantes.
Mais avant tout je dois vous avouer une chose un peu honteuse. Cette défaite est l'une des causes du fait que je me tienne tranquille en ce moment. J'avais eu un tuyau parfait sur un navire en provenance de Nantes sensé convoyer dans les Antilles une pleine cargaison de mousquets de Nantes et de canons de campagne. D'après mes informateurs, il s'agissait des premiers préparatifs visant �  mettre au point une force armée capable de rejetter les espagnols hors d'Hispagnola. Mes garçons et moi voguions en direction de la passe des vents où nous savions que notre proie devait passer et effectivement nous reussîmes �  la surprendre près des petites Antilles, mais notre chasse s'arrêta l� . Notre soi disant proie était un puissant vaisseau de ligne du Roi qui comptait �  peu près autant de canons que le notre et qui était manoeuvré par la fine fleur de la marine royale française de la flotte occidentale. Autant vous dire qu'après quelques bordées nous tentâmes de filer sans demander notre reste, mais c'était sans commpter sur la persévérance du capitaine De La Tour qui nous donna la chasse. Après avoir tiré des bords pendant deux heures nous dûmes défendre notre navire. Nombre de braves libertaires perdirent la vie ce jour-l� , et les survivant comme moi furent jettés en prison. Nous ne dûmes la vie et la liberté qu'�  la cupidité du gouverneur et des geoliers. Il nous fallut deux mois pour récupérer ce que nous avons du lacher ce jour-l� , mais je vous jure que le gouverneur de Léogane s'en mordra les doigts, ce chien avant de nous libérer nous fit tous fouetter pour son amusement!"
Guyde était maintenant rouge de colère et sa main jouait avec la garde de sa vieille rapière.  
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