Histoire du capitaine Black le Libérateur

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EPISODE I : Un nouveau capitaine

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La naissance

Il y a maintenant 20 ans, dans la ville de Saint-Nazaire, dans les quartiers pauvre de la ville, une mère metta au monde un petit garçon. Le petit garçon en question était de taille et de poids normal, sans anomalies quelconque. Le garçon grandit avec son père, ouvrier au chantier naval. Le petit se nommait Alexandre Torik. Très jeune, il fut passionné par la mer et la marine. Le petit allait tous de même �  l'école. Ce fut un élève brillant. Il y resta jusqu'a l'âge de 15 ans. A ses 15 ans, Alexandre voulait travailler, sur un navire. Alors qu'il se promenait sur les quai, il vut un navire, un galion renforcé nommé le Neptune, portant un pancarte "Période de recrutement, pour s'engager, voir �  la tarverne du Cachalot Gras." Alex se retourna, vit la tarverne et y entra.  

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La taverne du cachalot gras

Alex entra dans la taverne. Une certaine agitassion y reignait. Il s'avança et aperçu une table avec des hommes recrutant. L'homme nottant les engagement était grand, roux avec une barbe. Il y avait devant lui une fil de persone. Alex se joigna �  la file. Quand se fut sont tour, l'homme lui dit :
- Et bien moussaillon ! Tu veux venir faire de la voile ?
- Oui monsieur !
- Sais-tu faire de la voile ?
- J'ai appris par un amis de mon père, un marchand sur brick.
- Quel âge as-tu ?
- 15 ans.
- Tes parent sont-ils d'accord ?
- Ma mère m'a dit que je pouvait travailler.
- Bien. Veux tu signer le registre, contrat pour 10 ans.
Alex prit la plume que l'homme lui tendit et signa.
- Mont à bord du Neptune. Départ ce soir à 18h.
Alex sortis de la taverne et monta sur le Neptune. Il fut acceilli par un grand homme mince, �  l'allure peu rassurante.
- Qu'est ce que tu vien faire ici gamin ?
- Je me suis engagé sur ce navire. C'est bien le Neptune ?
- Oui. Tu as était enrôlé ?
- Oui. A la taverne l� .
- Donc, tu doit savoir faire de la voile ?
- Oui.
- Voyons cela. Comment s'appel le mât avant du navire ?
- Le mât de misaine.
- Du milieu ?
- Grand mât.
- Et arrière ?
- Mât d'artimon.
- Combien de canon possède un manowar ?
- 100 canons.
- Et pour fini..., Que veux dire "bordée les voiles"?
- Tirer sur les cordage des voile pour tendre celles-ci et gagner ainsi en vitesse.
- Bien moucheron ! Dans ce cas, ta petite taille te poste �  la vigie. En bas tu seras bousculé.
- Vous êtes le capitaine ?
- Qui moi ? Oh non. Je suis le bosco du bord. Le capitaine est dans sa cabine. Et l'homme �  la taverne est le second. Bon, tu as 1h pour faire tes adieux et tes affaires, et revenir ici.
- Bien monsieur !
Alex descendit du bateau et fila chez lui. Il prit ses affaire, et ses parent n'êtant pas l� , il lassa un billet avant de retourner sur le navire.  

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Jéricho

Après avoir fait ses affaire, et dit adieu �  sa famille, Alex retourana sur le Neptune. En chemin, il recontra son amis Jéricho.
- Salut Alex.
- Salut Jéricho.
- Tu vas où avec cette air pressé ?
- Je me suis engagé sur un navire, comme mouse.
- Non, c'est vrai ?
- Ouais.
- Il est où ce navire ?
- Aux quais, tu veux t'engager au moin ?
- Entre l'orphelina et un navire, je choisi, le navire.
- Suis moi.
Alex conduisit son amis �  la taverne. L�  Jéricho entra. Jéricho était un garçon solide, ayant une âme de chef. Jeune homme du même âge que Alexandre, ils ont passé leur jeunesse ensemble. Tous comme son amis, Jéricho adore la mer. Quand Jéricho sortis, les 2 amis montèrent sur le navire.  

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Le Black Shark

Quelque temps après que Jéricho et moi soyons monté �  bord, le navire quitta le quai. Je fut posté �  la vigie et Jéricho servit comme matelot avec le rete de l'équipage. Le voyage dura 4 jours. Le navire faisait route vers les Caraïbes, plus précisément vers Barbade. Au matin du 5ème jour, le Neptune se trouvait dans la brume. J'était �  la vigie depuis minuit. Vers 6h, avant de quitter mon poste, je distingua une silouhaite dans la brume.
- NAVIRE PAR TRIBORD AVANT ! hurlais-je.
Le second sortis sa longue vu et scruta la zone.
- Faîtes sonner le branle bas. ordonna-t-il.
- BRANLE BAS DE COMBAT !
En quelque minutes tout l'équipage était sur le pont, ainsi que le capitaine.
- Qu'y a-t-il ?
- Un navire par avant-tribord �  3 encablures.
- Chargez les canons.
- Bien monsieur. CHARGEZ LES CANONS !
Le capitaine regarda le navire, vi une lueur rouge-orangé.
- A COUVERT !!!! cria-t-il en se jettant à terre.
L'équipage l'imita et plusieur boulets touchèrent le Neptune. Quand l'équipage se releva, le navire avança par avant tribord. Le navire vira sur babord et tira sur le navire.
- LE BLACK SHARK ! LE BLACK SHARK ! LUCAS SHARKS VIEN POUR NOUS TUER ! cria l'équipage en voyant le navire. Le Black Shark fut �  peine touché qu'il commenca �  virer sur tribord pour nous aborder. Du hant du mât je vis tous. Le Shark tira �  la mitraille sur le Neptune. Je vis plusieurs hommes tomber, en j'entendit :
- CAPITAINE ?! CAPITAINE ?! OH NON, CAPITAINE !? IL EST MORT !!!
C'était le second qui hurla cela. Les tir de mitraille continuèrent tuant le second et plusieur officiers. Il ne restait qu'une trentaine d'homme, dont Jéricho et moi, sur le navire. Les hommes s'affolèrent, tandis que les grappins accrochèrent le bastinguage. Devant la panique des hommes, je descendit du mât de misaine et hurla :
- CA SUFFIt !! VOUS N'ETES QU'UNE BANDE LE LÂCHE ! VOTRE CAPITAINE SERAI HEUREUX SI IL VOUS VOYAIT. PRENEZ VOS ARMES ET PREPAREZ VOUS A LES RECEVOIR !
A mes mot, l'équipage me regarda. Il devait me prendre pour un fou. Puis un homme cria :
- Il a raison ! Prenez vos armes et préparez-vous a vous battre !
L'équipage se rassembla, pris les armes et attendit.     

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A l'abordage !

Une fois nos hommes en place, les premier pirates du Black Shark montèrent �  l'abordage. Ils arrivèrent sur nous, mais personne de nos 30 hommes ne bougèrent. Avec Jéricho et l'homme qui ordonna que l'on se défende, je m'élança sur l'ennemi. Plusieur d'entre tombèrent et le rest de l'équipage fonça sur les pirates. Le Black Shark continua de massacrer le Neptune au boulet. Le navire commencant �  sombrer, j'ordonna que l'on monte sur le Shark. Il restait une vingtaine d'homme du Neptune, quand tous notre équipage était sur le Shark. Sur le Shark, un manowar, se trouvait 300 pirates. La bataille fut violent et sanglante. Je tranperça, décapita, et découpa une quinzaine d'ennemi. Soudain, la bataille stoppa, ne laissant retentir que les bruit de pas de Lucas Shark qui arriva sur le pont, afin de prendre part �  la bataille. C'était un homme imposant très impressionnant. Je ne sais porquoi, il vînt vers moi. Il leva sont sabre et tenta de me frapper. Je mis mon sabre ne travers du sien. Le choc fut terrible et j'eu beaucoup de mal �  parer son attaque. Il tenta ensuite de me frapper par la gauche. Je plonga sur ma droite et le sabre me passa au dessus. Avec mon sabre, je le blessa �  la jambe. Il tenta de me planter, mais j'esquiva. Je me trouvait alors presque sous lui, et sans hésitation, je lui planta mon sabre dans le ventre. Il poussa un hurlement de douleur, je sortis mon sabre de son ventre. Il fit un pas en arrière, et je me releva. Il dégaina son pistolet et je fit de même. Je fut le plus rapide. Je tira le premier. Il tomba sur les genoux et me regarda.
- Bien joué petit... tu m'a... eu...
Et il s'écroula. Ses hommes regardèrent leur chef mort. Leur second, désespéré, pris son pistolet, se mis sur le bastinguage et se tira une balle dans la tête. Il tomba �  l'eau, et une mare de sang arriva �  la surface. Les hommes du Black Shark, désespéré, déposa les armes. Je ne comprenait rien. Ils étaient plus nombreux que nous, et ils se rendaient. En tous cas, la bataille était gagné.  

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Capitaine Alexandre Torik

Afin d'éviter toutes embuscades, je demanda que l'on prennent les armes des ennemi. L'ancien équipage du Black Shark fut enfermé �  fond de cale, tandis que les marin du Neptune, maintenant une épave, prirent en main le Black Shark. C'était un fier manowar fait de chêne et repeirnt en noir. Les voilles aussi était noire. Sur le foc, était brodé en fibre d'or un sabre. Sur la brigantine, une tête de mort. La proue était une tête de requin et or massif, le plus beau trésor du Shark. Les cabines était luxieuse, vu de l'extérieur, et en suivant la règle du confort des manowars. Alors que je visita le navire evec Jéricho, une discution entre plusieur matelot s'engagea.
- Maintenant que notre capitaine est mort, il nous en faut un autre.
- On a plus un seul officier !
- Il nous faut un homme charismatique.
- Et courageux.
- Et bon marin.
Est-ce une générosité des Laos, l'équipage se tourna sur moi.
- Vous croyez vraiment que j'ai une âme de capitaine ? A 15 ans ?
- Sans toi nous serions mort. Ce sera pour nous l'occasion de te remercier.
- Si vous insistez, je ne vais pas refuser un tel honneur.
- Merci capitaine. Nous navigerons désormais sous vos ordres. Si vous désirez des habits plus approprié, la cabine du capitaine est �  vous.
- Merci.
- Au faites, il vous faut un second. Un homme de qualité et de confiance.
- Jéricho.
Voil�  comment je devînt capitaine. Et ben. Sous les honneur, je me dirigea vers la cabine du Lucas Shark et y entra.  

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La cabine de Lucas Shark

J'entra dans la cabine. La pièce mesurai 4m sur 6m. Deux fenêtre permettait de surveiller le côté tribord, et deux autre l'arrière. La pièce était orné de sculture en or. Le lit était en argent, et les drap et l'oreiller était noir avec des dessins en fil d'or, représentant la faune aquatique. Au dessus du lit, un tableau du Black Shark. Sous les fenêtres donnant sur tribord, un secrétaire en ébêne. Je m'assis sur la chaise et ouvrit la petite porte de vant le bureau. A l'interreieu, des papiers et des papiers. Entre la porte et le lit, Une armoire dans laquelle se tenait des vêtements et de l'argenterie. Sous les 2 autres fenêtre, un bar contenant des verres, du rhum, de la bière et quelque biscuit. Dans l'armoire, je pris un tricorne noir. Sur la gauche de la corne avant, une tête de mort était brodé en fil d'or, et sur le côté gauche, un requin. Je mis le tricorne qui m'alla presque. Ensuite, je mis par dessus mon pantalon rouge foncé et la chemise verte foncé, un grand manteau de couleur marron. Quoique un peu grand, je pu le mettre. Soudain, l'équipage frappa.
- Entrez ! répondis-je.
- Capitaine, nous avons récupérés sur le corp de Shark, ce sabre et ce pistolet. Ils vous reviennent de droit.
- Bien merci.
- De rien capitaine. Et il de retira.
Le sabre était très légé. La lame en acier feuilleté offrait un parfait équilibre. Le manche était recouvert d'or. Le pistolet, un double canons, était d'une grande beauté également. Je braqua les pistolet sur une cible situé au bout du lit, tira et marqua 75 points.
- Va falloir que je m'entraîne un peu.
Je m'arma du sabre et du pistolet et sortis sur le pont.  

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Premier voyage

Une fois sur le pont, je fut rejoind par Jéricho qui s'était lui aussi vêtu des habit du second. C'est-� -dire, un sabre, un pistolet, un manteau noir et un tricorne marron.
- Quels sont vos ordre capitaine ? me demanda l'équipage.
- Affalez et bordez les voiles.
- A vos ordres.
Je monta �  la barre avec Jéricho. L� , je lui demanda de la prendre. Pendant ce temps l� , je fit les poche de mon nouveau manteau. Je mi mes main dans les 2 poche exterrieurs. Rien. Je regarda les poches interrieurs. Sur le côté gauche, 2 poches. L'une contenant une petite bouteille en cuivre remplit de rhum. L'autre portait un petit pistolet. Sur le côté droit, 2 autre poches. L'une contenant 1 grenade, l'autre une carte. Je sortis la carte et l'inspercta. Je vit que nous étions un peu �  l'est de Guadeloupe.
- Je met quel cap, Alex ? me demanda Jéricho.
- Plein ouest.
- OK.
Le navire se dirigea alors vers l'ouest. En fin de journée, nous accostèrent �  Guadeloupe.  

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Guadeloupe

Débarqué �  Guadeloupe, j'alla voir le gouverneur avec Jéricho. Il accepta de me recevoir. Une fois dans son bureau, notre discution s'engagea.
- Ainsi vous êtes capitaine ? Vous semblez bien jeune. me dit-il.
- J'était sur un navire français quand nous fûmes attaqué par le Black Shark.
- Vous vous en êtes sortis ?!
- Oui. J'ai tué Lucas Shark. L'equipage de mon navire m'a élut capitaine.
- Original. Sinon, que désirais vous de cet entretien ?
- Je souhaiterai aquérir une lettre de marque.
- Pour devenire un corsair au service de la France ? Mais bien sûr. Cependant, vous devez un paiment.
- J'ai un paiment.
J'appella Jéricho et il apporta un coffre remplit d'or.
- Voici le paiment. Cela vous convient-il ?
- Vous aurez votre lettre de marque.
- Merci.
Il me tendit la lettre, et je me retira en le saluant. De retour sur le navire, je libéra les hommes de Shark. Les garder serait dangereux, les livrer aux français les turais. Je resenca un magot de 500po. Avec, je me refit un équipage. Quand mon navire fut près. Armé de boulet et d'homme, je pris le large vers l'aventure.  

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EPISODE II : Le mystère de la statut aztèque

Une bouteille bizarrement obtenu

Par un matin de juillet de fin du XVIIème siècle, le Black Shark, valereux manowar sous les ordre du capitaine Alexandre Torik, maintenant connu sous le nom de Black, voguait au large de côte la Nouvelle-Grenade (actuelle Vénézuela) dans s'exellentes conditions, le navire était pouchassé par 4 manowars anglais.
- PARE AUX CANONS DE POUPES !! hurlais-je. FEEUUU !!
Les 4 canons de poupe du Shark tirèrent.
- NAVIRE HOLLANDAIS PAR L'AVANT !!cria Jimmy, la vigie.
Jéricho qui était à côté de moi me demanda.
- Que fait-on ?
- On va rire ! CAP AU NORD, BARRE A TRIBORD 40° !
Le navire vira sur tribord pour un virage de 90°. Le Shark filait toutes voiles dehors, tandis que les hollandais et les anglais se tiraient dessus, suit �  la guerre qui les opposaient. Quelque tir tombèrent près du navire. L'un tomba �  tribord, formant une éclaboussure. L'éclaboussure fit voler un objet qui tomba sur la tête de Jack, le timonier.
- Capitaine, vous devriez venir voir ça !
J'alla le voir et il me tendit la bouteille. Je regarda �  l'interrieur et vit un papier.
- Jéricho, donne le repos aux hommes. Je vais dans ma cabine.
- Compris.
Dans mon bureau, je cassa la bouteille et ouvrit le papier. C'était une carte montrant les îles d'Auba, de Bonaire et de Curaçao. Sur Aruba, un trait montrait le nord, et un autre exprima une certaine direction. Je pris un compas, et constata que la direction était le cap 025. Et, a environ une journée d'Aruba, une tête de mort.  

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Le cap 0-2-5

Je sortis de ma cabine et allai voir Jéricho.
- Que montre ce papier ? me demanda-t-il.
- Une carte. Montrant de prendre le 025 �  Aruba.
- On y va ou pas ?
- On peut toujours y aller.
- CAP AU NORD ! JIMMY ! PREVIENS-NOUS A ARUBA !
Le navire fit voile vers Aruba, et en 2h, avait gagné l'île.
- CAP AU 0-2-5 ! criais-je au timonier.
Le navire vira de 25° sur tribord. Deux jours passèrent. A l'aube du troisième jour :
- TERRE ! TERRE EN VU !
Je me posta �  l'avant avec Jéricho et observa l'île �  la longue vu. C'était un atoll. Au entre, une île formé que par un volcan. Tous autour, séparé par la mer, une île remplit de jungle. Dans la muraille formé par l'île autour de volcan, un passage menant �  la mer. A quelques encablures du passage, je fit stopper le navire.
- Mettez en panne et mettez une chaloupe �  la mer. Jéricho, Hayes, Bill, Rolland, vous venez avec moi. Yann tu garde le navire. Achille et Enrique vous venez aussi.
La chaloupe fit mise à l'eau et tous le monde monta à bord.  

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L'Atoll de la Mort

Notre groupe débarqua sur la plage de l'île extérieur. Nous avançames dans la jungle. Jéricho marchait �  côté de moi.
- Dis Alex, j'ai regardé cette carte, regarde en bas. dit-il en me montrant un petit texte.
- Sur l'Atoll de la Mort, a l'opposé de l'entrée, dans les entrailles, descendre vous devez.
- Vu l'île je pense que c'est par l� -bas.
- Oui, je pense aussi. Allons-y les...
Je n'eu le temps de finir qu'un rugissement terrible me fit sursauter.
- C'est quoi ça ? demanda Hayes.
- Un fauve. répondis Rolland.
- Non. C'est beaucoup plus gros. dis-je.
Je m'éloigna un peu du groupe pour aller dans les fourré. Après quelque minutes, je resortis en courant.
- COUREZ !! hurlais-je.
Mes hommes me suivirent en courant, et derrière nous, un T-Rex. La couse poursuite dura plusieurs minutes. Quand les arbres se ressérèrent, le tyrannosaure abandonna la poursuite. Nous nous arretâmes afin de reprendre notre souffle.
- C'est machin ne sont pas sensé avoir disparu ? remarqua Bill.
- Si, mais ceux là on survécu. Comment je ne le sais pas. répondis-je.
- En tous cas, on peut le remercier. annonça Jéricho.
Il se tenait debout �  l'entrée d'une grotte. Semblant être ce que nous cherchions, nous entrèrent, après avoir fabriqué des torches.  

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Une grotte bien mystèrieuse

Notre groupe avança dans la grotte. L'unique tunnel était humide et froid. Nous avançames durant quelque minutes, quand nous entendîmes un grand bruit. Nous nous retournèrent en direction du bruit. Une gigantesque boule en pierre roulait vers nous.
- COURREZ !
Tous se mirent �  courrirent avec moi, quand nous tombâmes tous dans une trappe. Nous nous relevâmes avec quelques bleu. Un autre couloir s'ouvrait devant nous. Je regarda au bout du couloir, et apercu de la lumière.
- En avant les gars ! Il y a quelque chose là-bas.
Nous traversâmes le couloir en courant, pour déboucher dans une grande salle. Au centre, sur un rocher, une statut en or.
- C'est tout ? dit Bill d'un air déçu.
- On dirai répondis Hayes
Je tendit ma main pour la prendre mais je fut propulsé en arrière.
- Ca va capitaine ?
- Pas de mal cap' ?
Mes hommes vînrent vers moi pour m'aider à me relever.
- Jéricho ! Mon tricorne !
- Bien capitaine.
Il me tendit mon tricorne tombé à terre.
- Saleté de statut ! m'écriais-je.
Je pris mon pistolet et tira sur la statut. Celle-ci se déséquilibra et tomba au sol. Je tenta de la ramasser, et je le put.