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Auteur Fil de discussion: Taverne de l'Indomptable Neptune  (Lu 174190 fois)
leboboss
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« Répondre #360 le: 20 Juillet 2007 à 18:08:47 »

Kévin leva sa bouteille et trinqua a son tour .
-Oui , a notre départ !  
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-Cap'tain ?
-Oui moussaillon ?
-Non rien.
sanguinius
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« Répondre #361 le: 20 Juillet 2007 à 20:20:28 »

A ce moment , un grand homme entra entra . Il était habihé de rouge et de noir . Il porté un bicorne sur sa tête . Il repéra Marie et se dirigea vers elle .
-Ha , as tu fait ce que je te demandé ?
-Oui capitaine sanguinius  .
-Bien ,il se tourna ensuite vers Kévin et Aline ,tien , il ne me semble pas vous conaitre ? Permettez , je suis le capitaine sanguinius , capitaine du Silver Tiger . Et vous ?    
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Talisca
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« Répondre #362 le: 21 Juillet 2007 à 09:21:16 »

Blow regarda le nouveau venu d'un air anxieux... Il passa ses main sur sa barbe brune et disparu sur son navire. Une fois sur le pont, le front écumant de sueur, il annonca �  son équipage le voyage qui les mènerait �  Nathaneil...

(ps : Je pars en vacances pour deux semaines. Ne vous étonnez donc pas si John Blow est inactif durant ce laps de temps. Bon jeu �  tous Sourire !)  
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La mort est le commencement de l'immortalité...
scar
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« Répondre #363 le: 04 Août 2007 à 14:37:23 »

La taverne s'endormi petit �  petit. les soulards furent jeté en dehors du bâtiment. Le tavernier passa un coup de torchon sur les tables avant d'aller se coucher.
La taverne était morte, plus un bruit.
Le lendemain, dès le levé du soleil, au chant du coq, le tavernier alluma le feu de son fourneau et ouvrit la porte de sa taverne.
Plusieur marins descendirent des chambres et d'autre entrèrent par la porte. La taverne commenca �  reprednre vie
 
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Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã�  dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
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« Répondre #364 le: 02 Septembre 2007 à 00:22:10 »

La porte s'ouvrit, laissant des rayons de soleil matinaux éclairer l'intérieur de la taverne, et découpant la silhouette de trois hommes. Deux d'entre eux portaient de long manteaux tombant jusqu'aux chevilles, et tenaient d'une main les poignées d'une grosse malle de marin. Le troisième, qui semblait être le plus agé, avait les mains passées dans sa ceinture. Les cheveux courts grisonnants, le front fortement dégarni, le visage très noble malgrè les marques naissantes de la vieillesses, ses épaules arboraient encore les insignes d'officier de la marine britannique. Suivi de ses compagnons il s'assit �  une table �  proximité du comptoir et commanda un wisky. les deux autres s'assirent en posant lourdement la malle sur le sol, et commandèrent chacun un wisky. Le moins grand ota son grand chapeau �  plumes et se passa la main sur son visage parcouru de nombreuses balafres. Son voisin lui garda son tricorne. Il ressemblait �  un chien avec sa peau atnnée, ses favoris gris et ses grosses moustaches. Deux crosses de pistolets dépassaient des plis de son long pardessus.
-Cela faisait une éternité que je n'avais mis les pieds à Antigua, fit-il en français.
-Et moi j'aurai bien voulu qu'il se passe une éternité avant que j'y retourne, ajouta celui qui s'était découvert, français lui aussi. J'ai passé un petit séjour dans ses geoles après avoir causé une bagarre dans un troquet. J'avais perdu pas mal de pognon, et c'était la seule option que j'avais trouvé pour sortir de cette situation.
-Tu collectionnes les visites en prison, Agonie! s'exclama le plus vieux, avec un fort accent anglais.
-Et les évasions, répliqua Agonie en souriant.
-Espérons que personne ne vous reconnaitra tout les deux, grogna le moustachu. On a besoin de se reposer un peu, alors évitons les ennuis!
-C'est toi qui dit ca, Cayenne ? fit l'angais d'un air surpris. Tu t'es quand même mis �  dos la garnison espagnoles �  La vega, je te rappelle, et sans l'aide d'Agonie!
-J'avais une bonne raison, Calico, répliqua Cayenne en allumant un cigare qui dégagea une odeur nauséabonde.
-File moi une taffe, fit Agonie à son voisin qui lui fila le cigare.
Bientot un nuage de fumée enveloppa les deux français qui s'arretaient de fumer pour boire leur wisky.  
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« Répondre #365 le: 02 Septembre 2007 à 12:40:11 »

L'arrivé des trois hommes se fit remarquer. Mais peu de gens y attachèrent leur attention sauf deux jeunes adolescents qui ne quittèrent pas des yeux les trois marins.
 
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« Répondre #366 le: 02 Septembre 2007 à 20:36:29 »

Pendant que Rackman et Cayenne parlaient de passer prochaienment �  la Tortue afin de recruter des gars et de trouver un bateau d'occasion, Agonie avait remarqué l'interet que leur portaient deux jeunes hommes. Ses yeux sombres et hallucinés les fixaient également �  travers le rideau de fumée grise.
-A la Tortue nous pourrons aller voir Trinita, une vieille connaissance, fit Cayenne. On a fait les 400 coups ensemble, et c'était un des meilleurs cannoniers de la marine anglaise.
-Je le sais bien, il a servi sous mes ordres quand j'étais amiral, répliqua froidement Rackman. Et je ne suis pas sur qu'on puisse lui faire confiance, il est �  moitié fou, et tient le bar le plus mal famé de la Tortue, c'est pour dire le niveau!
-Justement, il doit s'emmerder! Et je ne crois pas qu'il soit vraiment fou, il est juste un peu usé...
-Il a �  peine 30 ans! pesta Rackman. A peien 30 ans et il est presque sourd. Il a envoyé par le fond un sloop qui contenait un équipage épargné par Barracuda. Tu te rend compte ? Une trentaine d'hommes blessés qui croyaient s'en être sortis...

Le vieil anglais frisonna, ce qui était étonnant �  voir chez ce pirate qui laissait rarement transparaitre ses émotions.
-Et il n'y pas que cela, poursuivit-il en se penchant sur la table, il a aussi incendié le palais du gouverneur de St-Martin. On a jamais pu prouver que c'était lui, mais c'est évident qu'il est dérangé.
-Pourtant t'as voyagé avec Agonie, remarqua Cayenne en pouffant. Tu devrais t'être accoutum! Tiens en parlant d'Agonie, qu'est-ce qu'il a �  regarder ces deux garçons, l� -bas ?
-Tu n'es pas un exemple pour ces gosses, fit Rackman en souriant. Si ils savaient ton age, il ne te regarderaient pas comme ca!

Agonie la belle ne preta pas attention �  ses compères, et fit signe �  un serveur d'apporter deux verres de lait de coco aux adolescents de sa part. Il les regarda avec un large sourire, comme il avait quand il cherchait la merde.  
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« Répondre #367 le: 03 Septembre 2007 à 08:50:34 »

les deux jeunes adolescents remercièrent Agonie de tout coeur.
On dit plein de chose sur les marins! on dit qu'il voyage sans répit!! est ce vrai,
demanda le plus jeune d'une voix lègére alros que son camarade fixé son gobelete sans osser lever les yeux.
il était blond, les yeux vert clair et le genre de sourire dont on ne sait aps si c'est de la tristesse de la cruauté ou sincèrement de la joix. il leva la t^te en coupant la parole de son ami.

- Tais toi "rognieux"! une question vous êets de se shommes qui ont vendu leur âmes au diable pour pouvoir se battre comme des démons? car j'ai entendu qu'un homme venu d'autre monde, d'une terre sans Dieu! un être que seule le diable aurait put en être le créateur, personne ne la battue au combat au corps �  corps?
vous êtes de ses gens la, ou de ceux qui voyage pour raconter leur histoire au coin de staverne comme le vieux loup de mer Boxsee?  
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« Répondre #368 le: 04 Septembre 2007 à 21:51:25 »

Amusé par ces jeunes gens, Agonie voulu les mettre �  l'aise, et remplit son verre de wisky. Il leur tendit, et tandis qu'il goûtaient avidement au breuvage, il commenca ainsi:
-Je me souviens quand j'avais votre age, moi aussi j'admirais les marins. J'ai quitté mon foyer et attiré par l'océan, l'aventure, les tempêtes, l'exotisme, je me suis enrôlé dans la marine marchande. Mais sur ma route j'ai croisé des marins différents de votre vieux Boxsee. Des canailles, des brigands qui trahissent leur patrie pour servir dans un équipage de barbares sans foi ni loi, qui seraient effectivement prets �  vendre leur âme et �  être condamnés �  l'Enfer si on leur promettait de l'or! Ces hommes, dont on dit qu'ils se battent comme des démons,, sont faits de chair et d'os, mais se sont laissés corrompre par la soif de sang et de batailles, ils ont trop écouté les légendes. Ils sont mortels, il suffit pour les vaincre de ne pas croire �  ces histoires d'invincibilité. Car ce qui fait la vraie force de ces pirates, c'est qu'ils inspirent la peur même en leur abscence. Si tu regardes l'un de ces légendaires forbans dans les yeux, tu verras que comme toi et moi il a peur, qu'il tremble, qu'il prie pour qu'on le poignarde pas dans le dos la nuit prochaine.
Moi et mes amis, on est juste de passage, on ne s'arrête pas dans les taverne pour rabbacher notre curriculum vitae. D'ailleurs, je suis le seul qui le ferait volontier. Le vieux Rackman, le grand dégarni derrière moi, n'aime pas parler de ses faits d'armes. Il a servi dans la marine anglaise, et a abandonné sa carrière d'officier �  la site d'un facheux accident. Quand au chien galeux de creole assis �  sa droite, il se méfie de tout et de tout le monde. Tous les trois on cherche �  reformer un équipage, et surtout �  acquérir un navire. Le mauvais sort n'a pas arreté de s'acharner sur nous depuis quelques temps!
Le français empoigna la bouteille et but au goulot, assoiffé qu'il était par sa bavardise habituelle. Quand la porte s'ouvrit viollement, découvrant une grande et appoline jeune fille �  la longue chevelure noire et aux grands yeux noirs spécifiques aux latines. Elle était maladroitement habillée en homme, portant un pantalon de toile et un chemisier ceintré, et un sabre pendait �  son coté. Son visage brun afifchait une expression farouche et elle fixait intensement le trio de forbans. Agonie la belle déglutit avec difficulté et devint livide, se cachant derrière son chapeau �  plumes.  
« Dernière édition: 05 Septembre 2007 à 19:05:16 par scar »
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« Répondre #369 le: 05 Septembre 2007 à 19:13:02 »

les enfants étaient ravis par le discour d'Agonie, et l'un deux allé lui demander de me prendre comme mousse quand la porte s'ouvrit avec violence.
le froid de ce début de nuit rentra dans la taverne mais aussi un homme, avec un grande cape �  capuchon marron, recouverte de boue �  son bas. Il marcha d'un pas sur. tenant de manière étranger le long de son avant bras, un cimeterre, mais aussi une hachette de bucheron. La porte fut refermée par un paysan qui regarda l'inconnu de manière haineuse. Ce dernier s'arreta au milieu de la taverne, dans la zone la moins éclairées avec les coins, des dizaines d'ombre de lui même autour de lui provenant des bougies un peu partout sur les poutres mais pas trop sur le stables, le rique de la voir se renverser et que la bougien mette le feu �  l'établissement. Les enfants le voyant, comprirent que du sang pourrait être versé se sori et s'écartèrent des marins.
L'inconnu écarta ses jambes et se tint droit en tournant sur lui même puis il parla d'une voie forte.


- Vous savez pourquoi je suis venu ce soir! pas de réponse, certain hommes commencaient �  recharger leur arme le plus discretement possible. Il hurla de nouveau.

Vous savez pourquoi je suis venu ce soir! Où est-il? articula l'inconnu lentement.


ps: capitaine si tu veux parler au type contactement par mp.  
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« Répondre #370 le: 15 Septembre 2007 à 16:27:39 »

L'inconnu marcha vers un homme et l'attrapa par la gorge.
-Où est-il? Grogna t il.

L'homme haussa les yeux au plafond, l'inconnu le reposa et remercia le marin, qui désérrait son foulard et caraissant sa gorge rouge. L'homme monta dans la chambre. Deux hommes le suivirent en faisant mine d'aller dormir, l'un deux arma son pistolet.
Une courte dispute se fit entendre, puis un cris et le bruit sourd d'une personne s'écroulant par terre. Quatre hommes sortirent leur armes et montèrent. Le bruit d'un coup de feu retentit, puis des cris les autres hommes redescendirent de l'ecalier en trombe, les planches de bois tremblèrent sous leur charge.
Tous quittèrent la taverne
 
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Elisa
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« Répondre #371 le: 15 Septembre 2007 à 19:56:31 »

La porte souvrit... Laissant apparaître une bien gracieuse silhouette ... Une femme nommé... Carole-Anne venait de franchir le seuil de la porte, elle remarqua a son passage "Agonie" qu'elle salua de la tête accompagné d'un chaleureux sourire.

- Bien le bonjour l'ami... Cela fessai si longtemps que je ne vous avais point vu mais le travail �  la ferme et mon rôle de mère n'est guerre facile, mais je ne renonce pas pour autant ma carrière de piraterie ha ha... Alors quoi de neuf quoi de vieux?...

La femme prit alors une chaise, les deux hommes avaient stoppé leurs conversation pour regarder d'un oeil bienveillant la jeune Carole-Anne.

"Quel impoli personnage cet... Homme ou femme ou je ne sais quoi qui ma bousculé dans la rue... Rhaaaa il y a vraiment des... Des... Con tout simplement... Enfin, ce n'est pas encore grave"... Pensa avec fureure "Mad ethel"...

- Tavernier! Un rhum me ferai le plus grand bien!!!  
« Dernière édition: 16 Septembre 2007 à 22:06:24 par Elisa »
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« Répondre #372 le: 15 Septembre 2007 à 21:15:12 »

-Caroll-Ann, ma chère!fit Agonie, soulagé que l'étrange individu se soit eclipsé. Comment ca va depuis le temps ma vieille ?
Il s'élanca les bras grands ouverts et l'enlaca affectueusement, lui collant son haleine putride dans le cou. Il lui montra du doigt Rackman et Cayenne:
-Permet-moi de te présenter l' "amiral" Jack Rackman et Cayenne, avec qui je bourlingue depuis cette humiliante mutinerie d'il y a quelques mois.
L'anglais et le créole portèrent la main �  leur front comme les marins faisaient pour saluer une dame. Tous deux avaient ouï parler de Caroll-Ann DelPiero, dit "Mad ethel", aventurière, pirate et proche amie de la non-moins légendaire Elisa Novalis. Mais pour Calico Rackman c'était plus évident vu son ancienneté, il avait rencontré nombre des grandzes figures de la piraterie. En revanche il ne connaissait pas l'oriental nommé Seth. Son nom ne lui évocait rien, mais son expression, l'aura charismatique et l'assurance qui émanaient de lui étaient caractéristiques des hommes qui savent qu'ils sont destinés �  un grand destin, dont ils ont eux-mêmes tracés les lignes.
Quand �  Cayenne, il ne cessait d'oserver la jeune fille qui était parue avant l'espèce de barbare qui avait d'ailleurs provoqué un sacré barouf. Il irait peut-être jeter un coup d'oeil �  l'étage, histoire de discuter avec lui. Mais pour le moment c'était l'adolescente qui l'interressait. Derrière le rideau de fumée produit par son cigare, il tachait de capturer chacuns des traits de son visage, qui ne lui était légerement familier. Les yeux surtout le frappaient.
-Alors comme ça tu es mère, Mad Ethel ?!reprit le français. Mais, depuis quand et de qui si je puis être indiscret ? Cela fait un sacré bail que l'on ne s'est pas vus, il faut absolument que tu me racontes. Laissez-moi vous inviter �  ma table toi et Seth. Jack, Cayenne faites-leur une place bande de malotrus!
Agonie empoigna deux chaises et les calla entre celles de Rackman et Cayenne. Il s'assit et leva le bras afin d'alerter le serveur qui était �  nouveau libre du fait que 80 % des clients avaient fui.
-Moi je ne pense pas être fait pour élever un enfant, déclara Agonie en portant sa chope à ses lèvres ridées et élastiques.
-Quelqu'un d'autre s'en est chargé à ta place, Agonie, fit Rackman d'un air absent avec un sourire en coin. Ou plutot quelq'une!
La dernière syllabe que l'anglais accentua eut l'effet esconté chez son compagnon français, qui se tortilla sur sa chaise, jetta un regard furtif en direction de la jeune cliente postée au bar. Il foudroya du regard le pirate britannique et lui siffla:
-T'es pas fou Rackman ?! Cette histoire devait rester secrete!
-C'est peut-être Elle au comptoir, continua Rackman indifférement. Pourquoi en as-tu honte Agonie ? Lorsqu'elle t'a revue ton ex n'était pas aussi génée que toi! Toi qui est physionomiste, qu'en dis-tu Cayenne ?
-Hum, revenons-en �  Caroll-Ann, coupa Agonie au moment où le créole barbu allait répondre à Jack. C'est un garçon ou une fille ?  
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« Répondre #373 le: 16 Septembre 2007 à 13:03:37 »

hrp: je sais que je ne devrais pas poster dans la taverne vu que la scène se passe en dehors mais bon... elle est courte.
et aussi Seth est dehors personne ne savait sa précense.

dans les rues clairs et large, ensoleillées par le brulant et clair astre des tropiques, Seth courait.
Poursuivit par cinq hommes bien décidaient �  faire la peau �  celui qui a tué leur capitaine. Seth couru �  toute vitesse, sa légèreté et son agilité lui permirent de les devancer.
Il couru et arriva dans un grande rue, encombré de personne, c'était le marché. Fait de nombreuse trétaux où chaque "marchand" déposés leur marchandises sous une toile de couleur varié afin de les protèger du soleil, et aussi de proteger leur crane des rayons. Des femmes hommes des terres, marins ou citadins se promenaient en trocant des objets, la rue pavée était bouché. La progression de seth fit retardé mais il se baissa pour se cacher dans la foule, l�  il devint invisible et ses poursuivants étaient perdu.
seth sorti de la foule et commenca �  entrer dans une rue perpendiculaire quand sortant de la maison de terre cuite, une femme percuta de plein foie l'arabe et tomba.
Elle était vieille et commenca �  hurler.


- Dis donc espèce d'assassin encapuchonné!! meurtrier vous voulez me tuer!
Seth lui ordonna de se taire, comme elle continait ses cris il la calma d'un coup de poingt. Mais les termes employés et la force de voix utilisé attirèrent les cinq hommes armés. Qui brandirent leur armes pour se faire un chemin.
Seth coura �  toute allure dans le dédal de maison, de vbois de pierre et de chaume. Il courait dans les ruelles poussièreuse et encombrés de diverse chose, dont des fois le corps d'un ivrogne dormant.

Cela le forcait �  sauter, s'appuyant sur els murs, s'aggripant par moment �  des poutres misent entre deux maisons pour éviter quelles ne s'écroulent. A chaque fois qu'il retombait il soulevait un léger nuage de poussière. Ce dernier, par la faible présence de vente retombait lentement laissant derrirèe Seth un chemin tout tracé. Seth couru encore et encore.
Puis d'un coup il arriva dans une petite place, pavé mais très poussièreuse. trois chemins, qui menaient aux murailles: de sculs de sacs sauf un lequel. Seth observa la place.
Il voyait une jeune femme, brune avec le visag etrès beau, dans une robe miteuse mais large. Seth s'hésita que peu de temps il entendait derrière lui la voix des poursuivants et le bruit du fer.
Il couru.



   
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« Répondre #374 le: 16 Septembre 2007 à 13:38:23 »

Durant ce temps dans la taverne, les deux jeunes adolescents furent emerveillés par la présence de Mad ethel, autant par sa beautée que sur les lègendes des femmes marins.
Ils tremblaient toujours un peu d'avoir vu cet assassin, leur rappellant que le monde n'est que violence.

ils s'assirent �  la table, reprirent leur place sans en avoir été invité puis posèrent des questions sur la mer, les voyages les bateaux.



Edit: pour toute logique rp vu les esclipes temporels de l'invasion, on va dire que cette scène se déroule durant environ 8 heures avant l'attaque  
« Dernière édition: 16 Septembre 2007 à 18:49:16 par scar »
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