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Auteur Fil de discussion: Pille… pille pas… mais ne restons pas là…  (Lu 22840 fois)
Penia
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« le: 25 Juillet 2007 à 19:03:46 »

Mais oui, cela étais trop faciles de prendre le rafiot d’un autre et de croire que tout irait comme sur une mer calme. J’ai eu plusieurs rebellions, les anciens du vieux sans couilles, sont soit mort, ou carrément partis. J’ai fais la gaffe de partager le butin une seule fois et malheureusement, les vas nues pieds de vauriens sont partis en me traitant de tous les noms. Après avoir reçu ma première lettre de… Tiens je me souviens plus, rien d’important de tenir dans mon coffre ce bout de parchemin tout jaunis, sauf que, ça parais bien.

Une petite sortie dans la taverne du coin, et j’apprends que le chantier aurait  un magnifique Galion, et renforcé en plus �  vendre. J’y cours sans plus attendre et je commence les négociations, entre deux refus, je replace ma généreuse poitrine et avec mon plus beau sourire, je lui redemande, naturellement coller comme une plaie d’Égypte �  lui, le forçant �  regarder dans le plus profond du décolleter.

Imaginons la scène, ce fut du grand art, tout comme les opéras qui parfois fendaient l’air le soir, des maisons de bourgeois, et que d’une oreille, j’écoutais, envieuse de ne pas pouvoir assister �  ces grands moments. Je délire, en regardant ce navire. Des heures passent et nous terminons par nous entendre sur la vente. Je demande donc �  mes hommes, en tout les cas, le peu qu’il me reste, de vider et de transborder d’un navire �  l’autre. Pour l’occasion, je passe par le marchand et je lui demande de me vendre le plus beau des pavillons de pirates, ma carrière commence sérieusement. Je reviens donc vers mon tout nouveau navire, et passant par la taverne, je me saoule joyeusement et recrute de la viande fraîche. Pas question de prendre le large sans un bon équipage.

Ration, rhum, vivre, toile et tout ce dont nous aurons besoin est maintenant dans les cales, je demande au second de mettre tout près du mat principale le drapeau. Je monte sur le bord du navire et dis  :

Marins, vauriens de la pires espèces, je suis capitaine de ce galion, nous avons 40 canons, des vivres et des munitions pour des mois, nous partons en mers, dites au revoirs et…. Advienne que pourra…

Au fond de moi, j’espère que nous deviendrons riche et que je pourrais avoir la vie des grandes dames. Je cache mon inquiétude. De jours en jours, je prends mon assurances et mes hommes sont �  mes ordres et moindre caprice, trop même. Je n’ai pas besoin de leur faveurs la nuit, je ne ressent pas le besoin de l’ivresse des jeux de l’amour. Celle des batailles et pillages me gave et je me sens forte, plus forte et plus téméraire. Tellement que, pendant un pillage d’un petit rafiot, un énorme manowar approchât. Nous pouvions le voir de loin. J’avoue que j’ai eu la frousse de ma misérable vie de pirate, surtout lorsqu’il hissa son pavillon noir.

J’ai eu LE réflexe  :

ONT DÉCAMPENT !!! HISSER LES VOILES ET DOS AU VENT… ONT DÉCAMPENT …

Nous étions trop lourds et l’avance…. Diminue… trop…

HEILLE BANDE DE SANS COUILLES… DOIS-JE LE POUSSER CE RAFIOT ?? DOS AU VENT… TOURNE LA BARRE ET NE DEMANDE PAS AU CIEL DE NOUS TENIR EN VIE… TOURNE !!!

J’avais l’air d’un chat prise sous une pluie torrentielle. Rien �  faire, ou presque. L’idée est de ne pas se faire massacré et encore moins voler par un autre voleur, la ruse reste le meilleur moyen que la fuite, car la fuite.. C’est cette bande d’incompétent qui la coller �  la peau. Je savais qu’il regardait par la lunette, je voyais le reflet du soleil.

Sortez la planche, restez ce que vous êtes, une bande de nulle. Et le premier qui ose faire le contraire de mes ordres, je lui arrache avec mes dents ce qu’il a entre les deux jambes !! C’est clair ??

Je monte sur la planche, et faite…

Je voyais dans leurs yeux que, rien ne passe, ils sont comme une coquille vide, et je n’ai pas le temps de leur expliquer en long et en large, je me décide donc..

Hol�  !! Y’a pas une once de cervelle ici ? Bon, écoutez bien, je monte sur la planche, je suis une femme et vous faites comme si vous alliez me balancer par dessus bord, j’attire ce pirate ici et … advienne que pourra…

J’ai presque le goût de rire, même de pleurer, sincèrement, ils sont nulles et je suis pas mieux qu’eux. Pendant que je me balance sur la planche, je crie tout les saints de la terre et des cieux aussi…

NON..PITIÉ.. JE NE VEUX PAS MOURIR.. LAISSEZ MOI PARTIR.. JE NE VEUX PAS MOURIR…

Et en une fraction de seconde, je me demande pourquoi je crie autant, il est encore trop loin pour entendre le peu de voix que j’ai. Pas grave, je ne prends plus aucune chance, je continue �  m’égosiller les poumons… Pour rien, car �  moins de tomber sur le plus con des cons, il verra que je ne suis pas tout �  fait mal prise, je suis habiller comme un vieux marin.

Qui ne risque rien n’a rien.. Je défais ma ceinture, et je la balance au dessus de ma tête, je ne me rends pas, j’essaie juste de sauver .. De sauver ma peau et mon rafiot. Espérons qu’il accepte de parlementer avant de me couler….je me suis mise toute la flotte anglaise sur le dos, un de moins ferais mon grand bonheur.




Edit: belle histoire mais elle �  rien �  faire ici... c'ets ta chronique pas une quête ca... ce genre de truc c'est pas le début d'une quête...
si tu veux je te la déplace dans chronique
et belle histoire encore, tu viendra dans les tavernes j'espère
Scar


 Triste  
« Dernière édition: 26 Juillet 2007 à 00:23:25 par Penia »
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totofqc
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« Répondre #1 le: 26 Juillet 2007 à 05:17:17 »

apres mainte soulerie dans les tavernes et entres les cuisses blanches des belles.je finis part me trouver un equipage de pouilleux mais valheureux marin, pour embarquer sur mon manowar gagner au jeux laveille ace vueu grippe sous sans cervelle de je ne sais plus qui.
pietre marin mais vayant de coeur je partis voguer sur les mers caraibeaines avec mes vayants pouilleux.
des jours et des jours de mer sans un rats flottant a ce mettre dans les cales,
mes pouilleux rallais et je santais la mutinerie a plein nez.
'voile a babard,voile a babord', voila ce soualons de vigie qui beugle pour la premiere fois depuis des jours.
'tribors toute' enfin de l'action mes pouilleuxen on l'ecume au levres.
que ne fut pas notre surprise de voir non une mes deux voiles.
un beau gallion charger jusqu'au pont et un vieu sloop a moitier couler.
nous eclations de rire le travail avait deja ete fait et il n'y avait plus qu'a raTTRAPER CE GALLION QUI AVANCAIS COMME UNE TORTUE GELEE.
arriver a qq encablure notre surprise fut tres grande de voir une belles donzelle habille de guenille de marin en trein de s'egossiler ' au secour au secour' comme une oie blanche,au bout de la planche des sacrifiers.
que faire piller ravager ou sauver la belle.............
et pourquoi pas les deux........


a toi Penia.premiere essai pour moi.j'espere que je me suis pas trop mal debrouille.
que va t,il arriver a la bele au seins si blancs.......
que va faire le jeune et beau capitaine.........


   
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Elisa
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« Répondre #2 le: 26 Juillet 2007 à 10:06:17 »

Au loin, sur la ligne d'horizon de l'immensité se l'océan ... Un vulgaire sloop, voile repliée... S'était mis en panne... Sur le pont, l'équipage dormais dans des hamac, �  terre ou l�  où ils purent, ils avais passé une longue nuit de fête sur le navire, les bouteilles de rhum, plus nombreuse encore que l'équipage, trônai un peu partout si se n'étais pas au fond de l'océan...

Mais une femme, aux cheveux blond dreadé semblai la seule �  ne pas dormir... Même �  ne pas s'être saoulée, armée de sa longue vue, elle regarda une bien drôle de mascarade au loin, cela l'amusait... Du moins, avant que une femme soit mise sur une planche prête �  sauté dans les profondeur abyssale...

- Que toute les putain de dieu voient ça! Bande de chien pouilleux! Comment ose t il faire cela!?

Rhéléna se retourna vers son équipage, shoota avec fureur dans le bosco qui lui gênai le passage... La jeune femme ne s'énervait jamais contre son équipage mais voire une femme se faire attaquer par des hommes... L�  s'en est de trop!

- Allez! Bande de fils de démon! Sodomite a barre! Il est temps de se mettre sur vos deux minable pattes! Allez! Tout le monde sur le pont et que sa saute! Merde... Déployer les voile! Jean! Au gouvernaille... Allez!

L'homme eu du mal �  se réveiller du �  l'alcool de la dernière nuit...

- Cap sur ce navire et que sa saute... Sauter! Nous bien sur mais pas cette demoiselle...

Elle passa sa longue vue au vigie se trouvant �  coté d'elle, ce dernier regarda le navire pointé du doigt par Rhéléna...

- Tu vois ce maudit spectacle putain!

- Oui mademoiselle... Effectivement c'est tout �  fait lâche de leur part...


"Lèche botte" pensa la jeune fille en le fixant dans ses yeux toujours noir de colère ... Avant que Christophe, le vigie se retourne vers son équipage...

- Allez! Allez!... Du nerf! nous allons tenter un abordage êtes vous prêt?

- Houai!!!!!!!!!!!!!!

S'écria en coeur l'équipage de la jeune fille... Mais le capitaine en question s'interposa ...

- Pauvre fou! Cela est la manoeuvre idéale pour exécuté cette magnifique créature maraud! Bon cap vers le navire...

Le vulgaire sloop avança très rapidement dans la direction, on pouvait voir une vulgaire plaque qui semblai pourrie et peu décoré �  la poupe du navire... "Ceinture d'Orion 2"...  
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Penia
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« Répondre #3 le: 26 Juillet 2007 à 10:58:43 »

Plus il approchait et plus je le voyait aussi gros que mon propre navire, j’étais certaine de me faire couler après pillage et il ne demanderait pas la permission. Mes craintes sont fortes et je regarde mes hommes avec l’envie de leur dire de fuires, quoique au beau milieu de la mer, il n’y a pas grand cachette. De plus, c’est clair qu’il prendrait tout ce que j’ai en cales, et plus encore. Je souhaite seulement qu’il ne prenne pas ce que j’ai de plus précieux, une boîte cacher dans ma cabine. Seulement moi, qui connaît ce qu’il y a dedans, même mes hommes en savent rien. Et je maudirais celui ou  celle qui m’enlèvera mon trésor.

Les canons du manowar restent en cales, bonne nouvelle, les hommes sont sur le coté du navire et �  voir leurs sales têtes, ils ont l’air content. Je me retire de la planche et rejoins ma troupe.

- On fait quoi Cap’taine ?

Me demande mon second qui est pas très futé, il a le profile d’un escargot et le cerveau d’une limace, mais au moins, il est loyale.

- J’sais pas. Laissons le nous abordés et nous verrons par la suite, nous ne sommes pas en mesure d’attaquer et de prendre la fuite. Fait passer le mot aux autres, restons calmes.

Rester calme, et quoi encore, mes entrailles ne demandes rien de plus que de sortir de mon corps. Je suis une belette sans cervelle, je me suis mise dans un pétrin pas possible. Ce tenant sur ma gauche, il est maintenant tout près. Il y a comme un air de fête sur le navire inconnu, nous voyons bien que tout l’équipage rie de bon cœur. Je me dis dans ma tête de moineau…

Bah oui, riez bande de truands, riez donc !!

Tout les dieux m’en veulent, il va finir par accoster, bordel de merde, de tout coté les câbles pleuvent, mais regarder lui son sourire de vainqueur. Accrocher nous le sommes. Pendant que nous étions ficeller comme un morceau de boeuf, un autre navire vient vers nous, un tout petit. Nous ne pouvions pas le savoir, le gros qui nous accoste, nous voile la vue... 
 
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Elisa
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« Répondre #4 le: 26 Juillet 2007 à 11:20:38 »

- Capitaine! Capitaine Rhéléna!

Aboya la vigie de toute sa grosse voix imposante, il tenait toujours la longue vue �  son oeil, regardant l'étrange comportement de l'équipage du galion...

- Oui! Quoi Christ! Que ce passe t il?... La fille est toujours là au moins chien!

Le vigie se tourna vers Rhéléna avec un grand sourire aux lèvres...

- La fille s'est retiré... Donc, elle n'a plus besoin de notre aide... Nous pouvons repartire...

La capitaine regarda l'homme droit dans les yeux... Rhéléna souria mais, il fut vite remplacé par son sérieux... La jeune femme regarda le galion et le navire acosté a celui-ci... La femme détourna des yeux l'homme en face d'elle... Elle entra dans ses profonde pensées...

"Mmmm... Cela ne me dit rien de bon... J'y vais ou j'y vais pas... Et si la fille découvrait mon secret... Car c'est une fille... Bon tan pis... Il arrivera ce qu'il arrivera et tan pis pour elle et tan pis pour moi si je fini sur le bûcher... Que l'esprit d'Elisa me protège, elle, au moins, elle a eu beaucoup de chance pour cela..."

La capitaine prit une longue bouffée d'air avant de reprendre la parole...

- Et ce manowar �  coté! Non! C'est un ami peut-être? Hum?... Moi je préférerai aller voir... Cette femme, je ne sais pas qui c'est... Mais elle me semble bien étrange... Je suis curieuse d'aller voir ça... 

- Heu... Avec notre sloop?...

- Oui! Avec notre sloop! Vous connaissiez la légende de la célèbre Elisa Novalis?! dite "la tribade"! Bien sur je n'ai jamais arrêté de vous le répété et je vous le répéteriez encore et encore... A bord de son vulgaire sloop, ressemblant fortement �  celui-ci, elle a sillonné les mer, pillé et tué des navire bien plus grand qu'elle! C'était une femme formidable...

- Mais...


Fit Christophe...

- Ce n'est qu'une légende... Inventé par de vieux loup de mer... Soit pour raconté une histoire pour enfant avant d'aller dormir... Ou pour faire fantasmer les hommes...

Rhéléna se tourna, fusillant du regard l'homme, tout en lui bottant les fesses ...

- Une légende! Ha oui! Ce n'est pas une légende, ni un conte pour enfant! Elle a bien et belle existé! Ca t'apprendra �  souiller la mémoire d'une grande pirate! Rhaaa!

Sur ce, la capitaine se mit �  la barre, bousculant avec colère le pilote qui, encore saoul, faillit trébucher...

Le navire arriva �  la hauteur du galion et du navire qui l'avait accosté...  
« Dernière édition: 26 Juillet 2007 à 11:33:16 par Elisa »
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« Répondre #5 le: 27 Juillet 2007 à 23:59:43 »

qu'elle etrange sutuation,
mon navire est bien ficeler a celui qui tangue tellement il est plein a craquer de son pillage.
bien etrange a peine avont nous accrocher ce gallion, que la fille sur la planche en desandit, et parlais avec les matelots...tres etranges ils n'avait pas l'air de lui faire tres peur au contraire.......
tres etranges.....
que fesons nous capitaine....( tiens quand ils ne savent pas quoi faire je suis le capitaine)mes geux puants de matelots on vraiments l'air deconteancer devant ce qui ce passe....
les matelots du gallions nous regardent, et nous les regardons aussi....
'par le feux de st elm, quesqu'il faut faire'pour une premiere rencontre en mer je ne sais aps trop quoi faire.
'aller gaillards pouyeux ,on aborde, pas de tuerie,pas de pillage,on va voir ce qu'il se passe on aviseras,de toute facon on est trois fois plus nombreux que ces gueux.'
............................  
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Penia
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« Répondre #6 le: 28 Juillet 2007 à 18:38:02 »

La situation ce corse un petit peu, et visiblement nous ne sommes pas seuls, un manowar et son  capitaine et un sloop avec un.. Une… enfin son capitaine, qui donne l’impression de vouloir tous nous pendre haut et cours.

- La boîte de pandore est ouverte ma foi !!

Dit sur un ton plus sarcastique, et de gauche �  droite, elle regarde. Elle et son navire son au chaud, d’une part, elle pourrait tiré sur le manowar et par le coup de recule, donnez un petit coup dans les flanc de l’autre navire. Sauf que, comment bouger sans faire de vague ?

- Hol�  du rafiot, tout en haut !!! Nous demandons �  parler �  votre capitaine, si un tant soit peu, il n’est pas ivre mort…

Je vois les hommes descendre le long des cordages, ils ne veulent pas attaquer et de toute façon, nous sommes cuits, j’avance vers le premier �  mettre le pied sur MON pont…

Je le regarde de haut en bas et


- Je suis le capitaine de ce magnifique galion que personne ne coulera, en tout les cas, pas tant que je suis a bord ! Vous êtes le capitaine de ce rafiot ? Je vous invite �  prendre un bain, l’odeur qui se dégage de vous risque de faire pourrir tout ce que j’ai en cale…
 
J’éclate de rire, pendant que l’homme me regarde d’un air en voulant dire qu’il est tomber sur un galion de fous �  faire enfermés.

Je réalise que je suis face seule contre eux, je ne peux pas vous dire combien ils sont en tout, mais assez pour nous couler et nous faire de la misère pendant un bon bout de temps.

- Alors, tu es le capitaine ou pas ?

Quoique �  son air de déluré en manque d’affection, je dirais plus le second que le vrai capitaine. Ce en quoi, il me répond que son maître, accepte de ne pas nous couler, ni encore de nous voler, et qu’il aimerait bien savoir ce que nous sommes en train de jouer.

- Jouer ? Qui ? Nous ? Bah non, nous ne jouons pas, mes matelots voulaient vraiment me passer par dessus bord. Bande de bon �  rien. Mais �  la vue de votre immense navire, ils ont décidés qu’ils avaient encore besoin de moi. Faite ce message �  votre capitaine et bien… �  la prochaine, nous allons reprendre notre chemin.

Capitaine voile en vue… voile en vue.. Un sloop…

Merveilleux je me dis..

Il approche rapidement ….

Encore une fois merveilleux….

Du haut du Manowar, nous pouvions entendre le branle bas de combat. Des ordres venant d’une voix des plus…. Minute.. Fait trop longtemps que je suis en mer, que je fantasme sur une voix.

- Bon, cher second de l’autre qui est rester au chaud sur sa pénatte..Je te dis adieu et advienne que pourra…Tu décroche tout les cordages, tu embarque les semblant d’hommes que tu as et nous partons. Sans faire de guerre �  personne.

Que je suis naïve parfois, que je suis bête ..

- Capitaine dit que tu dois rester l� , il va causer avec toi après te couler…

- Merveilleux, ont causent et ont coulent.. D’accord… causons et coulons..Mais avant, nous ne devrions pas connaître les intentions de l’autre navire ? Je fais hisser mon pavillon blanc.. Faite en de même…   

L’art de se faire des amis, et d’apprendre comment faire des prières.

Mon pavillon blanc est au sommet et je pense �  me recycler comme femme de ménage dans un bordel. Cette vie l�  n’est pas pour moi. Lorsque le soleil se couche dans l’horizon, j’ordonne que l’on ne fasse plus aucun bruit, je désire entendre que le son de l’océan, nous couvrant de son manteau. Et je souhaite au fond de moi, que la nuit me guide vers des endroits plus calme. Les dernières lueurs du jours caresse ma peau et mes rêves. Pour un temps, c’est comme si la vie venait �  peine de s’arrêter et que, je suis seule au monde. Personne ne pourra comprendre ma fascination pour ce moment entre chien et loup.

Du chant des sirènes, aux bêtes sorties tout droit des entrailles des océans, nous pauvres mortels, souffrant au fond de nos carcasses. Souhait éphémère, vais-je encore vivre aujourd’hui pour voir ce moment ? Entre le loup, le renard, je suis la belette. La lune dansera encore et encore, mais peut-être plus pour moi.  Tant qu’il reste de l’espoir, je le prends �  deux mains. Mes pensées sont confuses, pourquoi je laisse mon esprit vagabonder pendant que nous sommes pris ? La peur dans le ventre et l’instinct de continuer �  vivre. Oui, j’ai peur, peur de mourir et peur de voir mes hommes souffrir par mon manque d’expérience, la peur de perdre mon trésor, mon jardins secret.

- Monte dans ton navire et averti ton capitaine que je ne suis pas une menace. Je ne ferais rien….. Présentement …. Peut-être pas….J’attends de le recevoir ici même.
   
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Elisa
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« Répondre #7 le: 28 Juillet 2007 à 19:41:02 »

Le capitaine Rhéléna tenait toujours la barre, observant que, quelque chose de louche se tramai �  bord...

- Jean... Jean!

Fit elle en le désignant du doigt...

- Oui Capitaine!?... Madame, si vous le permettez, on ne pointe jamais du doigt une personne...

- Allons… allons! ça va Jean!.. Avant tout, je fais ce que je veux car, je suis le capitaine bien entendu...

La jeune femme descendit tout en prenant le pilote par la chair , le pauvre homme hurlant de douleur, étant torse nu, elle le plaqua contre la barre puis descendit les marche en direction du bosco...

- Mon cher... Très cher Jean... Ou John comme on vous appelais en Angleterre... Je suis ravie d'avoir travaillée avec vous... Vous étiez un de mes plus fidèles amis mais... Il est arrivé trop souvent que... Vous avez essayé de me passé dessus...

Un bruit de lame sonnante résonna contre la hanche de Rhéléna qui dégainais son cimeterre d'Arabie, sur un ton calme elle dit...

- Vous irez dire bonjour à la reine d'Angleterre qui repose en paix...

Avec hélant et grâce, la femme donna un coup de sabre mais s'arrêta net sous la gorge de son bosco, faisant une entaille, le sang commence �  couler tout doucement.

- Je pourrais vous égorgez maintenant si j'en avais envie ... Mais je tiens trop �  votre intelligence et c'est grâce �  cela que vous restez en vie, vous êtes graciez par vos talents... Nous sommes des pirates et non des guignols... Ok... Heum... Et encore une chose... Allez changer votre pantalon...

Une flaque jaunâtre s'étendit au pied de Jean, venant de sa culotte bleu foncé. Il regardais toujours la jeune femme, elle, le fusillant de regard... La fille rangea enfin son arme dans son fourreau tout en donnant un coup de pied dan le cul de "John"...

- Voulez vous subire le même sort?... Non ? Bon alors cap sur ce galion... Il n'y a pas eu de bastion jusqu'�  présent... Ce qui m'étonne fortement! Pillons ou pillons pas?... Pillons bien sur! Quelle question idiote... Mais vous ne TOU-CHEZ PAS A LA FI-LLE! ok.... Pilote Jack! Dirige toi vers le gouffre entre les deux navire... Nous allons prendre le galion par surprise... Heum... Et voila....  Putain de chien sans queue! Je t'ai dit d'allez changé ton pantalon! Merde quoi!...

Le sloop se fraya un étroit chemin entre les deux géants, au péril. qu'ils se percutent contre le petit bateau et qu'ils le fracasse comme un vulgaire jouet...  
« Dernière édition: 28 Juillet 2007 à 21:04:49 par Elisa »
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totofqc
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« Répondre #8 le: 29 Juillet 2007 à 19:39:29 »

mon second venait juste de mettre pied sur le pont, que je lui demande ce qui se passe sur le gallion.
-Alors couilles de loups,c'est quoi cette mascarade sur ce gallion....Et c'est qui cette fille.
Mon second couilles deloups,surnom donne suite a une mesaventuredans une taverne a catins ou la belle morgane, tenanciere du bordel, lui avait serrer les couilles jusqu'a le faire hurler comme un loup, depuis la politesse est de miseavec lesdames mais la peur aussi devant les jupons.
Il me repond a demi timide, pourtant ce n'est pas dans ses habitudes, mais je reste perplexe de le voir ainsi et j'ecoute.
-Ben capitaine,c'est elle qui commande,et les matelots ont l'air d'etre comme des chiots dvant elle.
Au terme de sa trop courte phrase, je penche la tete un peut et je me dit tout bas:
-Ah ben la maudite... Elle a bien jouee de la planche pour sauver sont rafiot de mes canons, ca doit etre quelque chose a voir cette fille la.
Mon second voyant que je reste bouche beante, et un peu septique, il ajoute d'un ton laconique:
-Elle est diablement mal foutu la gosse, elle a pas l'air commode, elle dit des mots que je comprend pas, comme : bain...odeur...
J'eclate de rire, et c'est pourtant vraie que nous ne sentons pas les gentilshommes, je lui replique:
-Ah oui ....comme des chiots,interessant,retourne sur ce gallion a jupon, et invite la a monter a mon bord dans ma cabine dans une heure, et fait apporter du vin de bourgogne et dit au cuistot de preparer autre chose de moins infame que ca soupe a la morue salee...aller va.
Mais qu'elle peut bien etre cette etrange ceature qui fait manger dans ca main des brigands de cette especes......Je me tourmantais l'esprit a me demander comment une fille qui paraissait si fragile et si jolie sur ca planche peut louer des tours pareilles.
-voile, voile en vue......on ce fait accoster,,,hum un sloop, plein centre CAPITAINE...PLEIN CENTRE LE SLOOP.....
Quoi mais qu,est-ce... C,est que cette histoire de fou.
Je regarde dans ma lunette et je voit arriver plein centre un sloop, je me demande si ce n'est pas moi le fou...Donc j'ordonne de lacher le galion.
COUPER LES CORDAGES'LEVERLA GRAND VOILE.......
Nous avont le vent du grand large et nous en profitins, au pire, le sloop ira valser entre les deux navires, nous courons aucun risque avec le manowar, mes craintes sont pour le gallion, je ne voudrais pas qu'elle prenne la poudre d'esquampette.......Mais j'entend la voix de la douce, sur son galion donnant et hurlant des ordres a ses hommes, nous devons etre le plus distant possible pour laisser passer le sloop sans faire de degats au quilles.  
« Dernière édition: 30 Juillet 2007 à 15:44:06 par totofqc »
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Elisa
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« Répondre #9 le: 31 Juillet 2007 à 00:24:09 »

- ok! les gars! on se met en panne!!! On va tenter de s'accrocher au galion, prépare les cordage ET!!! ne faite rien sans mon signale... Voila ce que je propose...

Rhéléna avait le pied posé sur le mat beauprés, son bras droit y reposa dessus, petit �  petit, l'ombre des deux monstre couvrir le petit sloop, petit mais... aussi dangereux qu'un parasite...
La jeune femme se retourna avec enthousiasme, son morale avait changé, comme ça... Comme si rien ne s'était passé...

- bon voila, quand vous auriez bien amarré "Le ceinture d'Orion 2" a ce magnifique galion, je monterai �  bord de celui-ci pour... Y faire un tour de reconnaissance, vous! vous restez ici et vous attendez... Moi pendant ce temps, je rendrai visite �  cette capitaine... Mmmmmm...

Rhéléna vit que le manowar coupa ses cordage, il hissa enfin sa grande voile, quelque corde tombèrent �  l'eau, d'autre sur le sloop...

- Parfais, récupérez ces morceaux de ficelles, elles pourraient nous être utille...

En observant le manowar manoeuvrer, La fille prit une grande bouffée d'air... Une bouffée d'air marin...

- Il a eu peur pour ses quilles... Parfais, ma ruse a marché... C'est ça en moins comme ennui, un homme en moins, c'est une conquête en plus...

Murmura la jeune femme...

- Bien... Je vais crier a la bien jolie sirène qui se trouve sur ce navire de me lancé une échelle... C'est partit les gars...

Quelque marin prit leur épée, cimeterre, sabre et bien d'autre armes de tout genre qu'ils cachèrent derrière eux ou sous leur pantalons... Tous, regardèrent Rhéléna sur le flanc tribord du navire, le pied sur la rampe, elle regardait vers le ciel...
Certain marins se demandèrent si c'était plus raisonnable de tuer la capitaine maintenant et ne pas avoir d'ennui, d'autre se murmurèrent si elle étai vraiment consciente d'elle... Serait elle folle?... Tandis que d'autre avait prévu depuis bien longtemps une mutinerie, il suffirait tout simplement de couper les cordage qui lie le bateau au galion telle un cordon ombilicale reliant son petit �  sa mère... Ils hisseraient les voile et partiraient, de plus, le vent est bon aujourd'hui... Mais quelque chose les en empêchait... quelque chose qui s'appelait "Respect", l'équipage avait énormément de respect pour son capitaine... Même si c'était... Une femme... Il fallu cinq! Cinq année entière pour pouvoir remplir son sloop complet avec un équipage, au prix d'insulte, de cracha et même parfois de coup! Tous, avait hésite au début... Mais, au fond, ils n'ont point regretté ce choix...  
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Penia
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« Répondre #10 le: 02 Août 2007 à 20:30:44 »

Les deux navires avaient réussis �  prendre assez de distance pour faire place au petit sloop. Encore les yeux grands ouvert, je regarde la manœuvre, que ce soit moi ou mes hommes et ceux du manowar, nous trouvons que le troisième arrive avec fracas. Il manque pas de culot.  Le capitaine du sloop, vie des moments pénibles pour agir de la sorte… en kamikaze..

- Sacré bon dieu !

- Soyons civilisé, nous pourrons toujours faire une bonne bagarre si les choses tournent mal, avons que, nous sommes les trois dans une drôle de situation, alors matelots, soyez civilisés.

- Ho du… tout petit en bas !! Je suis Penia Tavaril, capitaine, vous faites quoi l�  ? 

On me demande de lancer une échelle.

- Très bien, mais rien  ne me garantie que vous resterez calme une fois �  mon bord, faites monter que votre capitaine, je lui envoie mon second en guise de garantie.

Le second, pas très futé,  sera pas une grosse perte si il est pendu ou même tuer. Je lui donne une bonne tape dans le dos et le pousse vers l’échelle.

- Allez faite preuve de bravoure mon homme, et advienne que pourra.

En voyant la femelle mettre pied sur mon navire, je reste surprise et �  la fois heureuse de voir que je ne suis pas la seule dingue faisant vie de pirate.Je la regarde avec amusement et j’avance vers elle, tenant d’une main mon poignard, car si elle décide de se viré le cul �  la crèche, je ne veux pas que ce soit vis-� -vis moi.

- Salutation Capitaine ? Vous testez vos marins ? Ou vous trouvez que les océans ne sont pas assez grand pour nous tous ? Le capitaine du Manowar désire s’entretenir avec moi, nous pourrions le joindre en son bord, deux têtes valent mieux qu’une non ?

Va falloir un jour que je me prenne au sérieux .
 
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Elisa
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« Répondre #11 le: 03 Août 2007 à 01:27:43 »

La jeune femme lui souris en coin, un sourire charmeur, Rhéléna prit alors la main de Pénia et lui fit un baise main �  la grande surprise de celle-ci, suivit par un comportement de galanterie digne d'un gentilhomme... La jeune femme ôta son magnifique chapeau �  plume de paon et le descendit bien bas tout en exécutant une légère salutation de la tête qui se baissa comme par inclination...

- Madame, permettez moi de me présenter, Rhéléna von Hardenberg... Enchantée de faire votre connaissance madame, je suis particulièrement ravie, de plus, que vous soyez une femme capitaine d'une beauté aussi extraordinaire qu'une sirène, ou, non, les sirènes sont de vilaine méduse par rapport a votre doux et magnifique visage...

La jeune femme combla sa proie de mille compliment de toute sorte, des plus raffiner au plus sensuel ...

- Comme vous voyez, mon équipage n'a peur de rien, ils sont très bien capable de se frayer un passage entre deux navires... Au péril de leur vie... Ce n'est pas pour rien que c'est mon équipage... Mmmm... a oui, aussi une question sans importance mais... Qui a énormément de valeur �  mes yeux... Connaissez vous la célèbre Elisa Novalis... Dite "La tribade"?!...

Sur le dernier mot, Rhéléna avait sans hésitation, élevé bien haut sa voix, pour que tous l'entende bien... Mais pas assez pour que l'équipage de la jeune femme l'entende

- Je construit ma légende sur celle de cette grande dame... Même... Très belle femme... Mais pas aussi belle que vous...

Sur le vulgaire sloop, tout un équipage attendait avec impatience un éventuel signe de la tribade, l'ennui commençait �  se faire sentir, certain jouèrent avec leur armes, d'autre tentait de briser le temps en papotant...

- Ta vu ce qu'elle a fait �  Jean l� ... Elle est folle!...

- Bha... Tu sais... Je crois qu'elle �  un peu raison sur... Qu'il essaye de lui passer dessus, enfin... Je ne suis pas lèche botte... Mais...

- Mais assez stupide pour savoir qu'elle n'en n'a rien �  foutre des hommes...

- Moui... Possible... Hein! Quoi!?... Que dis tu?!...

- Hé hé... Tu n'as jamais remarqué? ... Pfff t'es con toi...

- Bha... ça va toi...


Des cale du navire, sorti enfin "John", abordant un pantalon �  ligne blanche et bleu marine, celui-ci, marmonna dans ses dents des mot incompréhensible au nom de Rhéléna ou même pire, des injures homophobe... mais pourquoi la traitait il de sale tribade? Bref, il fut profondément choqué de sa réaction envers lui... Il reste tout de même le bosco...

- Alors? ... Et la salope... Elle est passé où?...

- Ha... Heu... Elle est sur ce galion cap'tain...

- Tan mieux... Hissez les voiles, couper les cordage... Nous "levons l'ancre" ...

- Mais... Jean...


- Vos gueules!

- Non! Attendons un peu... On �  pas toujours la chance de... D'aller �  l'abordage d'un navire...

- Pffff... Vous me faite pitier, la salope n'est pas partie pour piller bande de sodomite!... Elle est partie séduire la jeune capitaine du galion... ça c'est moi qui vous le dit...


Sur ces paroles, les deux marin se regardait abêti ...

- Tu vois hein boufon?... Je te l'avait dit... qu'elle maudissait les hommes...

- ...


Mais, Sur le galion de miss Penia, Rhéléna, tenant toujours son chapeau �  belle plume en main attendais une réponse de la part de son interlocutrice, mais avant que la belle "sirène ne réponde...

- Par contre, ce ne sera point de refus d'embarquer sur ce manowar, j'accepte avec plaisir votre invitation...  
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Penia
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« Répondre #12 le: 03 Août 2007 à 17:13:42 »

De surprise en surprise.. Elle est bizarre, un brun choquante, je suis certaine que de vivre avec des hommes sans foi ni loi, l’ont doit finir par leur ressembler. Je ne pose pas de question, je la laisse faire sa triade, en restant calme, je me permet de l’observer. Elle me parle d’une légende, que je ne connais pas. Pendant ce temps, le capitaine du manowar avait fait amarré son bateau au petit sloop. Étrange tableau de voir trois navires attachés ensemble, du jamais vue dans les anales de la piraterie, en tout les cas, je l’espère, sinon, nous sommes tous fous.   

Mes hommes regardent la femme, elle n’a pas grand délicatesse de mouvement, mais elle a de bonne parole en bouche. Elle me complimente trop, je trouve cela un peu suspect, je reste sur mes gardes. Mais une amie de plus dans ma situation n’est pas négligeable. Mes cales sont pleines et je désire garder mon trésor.

- Bon trêve de compliment,  nous avons un problème sur le dos, vous êtes entre moi et le manowar, il a plus de 200 hommes �  son bord, vous et moi, nous ne pouvons pas faire le poids, alors, nous montons �  bord de son navire, nous restons un moment et nous essayons de voir comment faire pour se sortir de ce mauvais pas, sans trop de dégât.

Elle me fait signe que cela lui convient, par un sourire aussi bizarre qu’elle, �  moins que ce soit un lui, non, une elle, je me sens mal �  l’aise face �  sa gentillesse.

- Passez devant, je vous rejoints, je donne mes ordres.

La seule chose que j’ai a dire, est de restez sur leur garde, vue que je dois traverser le sloop, et monter �  bord du manowar. Au moindre mouvement, que l’on tire �  bout portant, tout ce qu’ils leur tombent sur la main, sauf la cargaison, mais coup de boulet, sans ménagement.

- Oui, mais les trappes sont fermés, si ont ouvrent, ils verront que nous allons tirés.

- Pas fou.. Pas fou… m’en fout, tirés.. Et ne faite pas attention �  moi…

Bien, nous sommes pris au piège, si ils tirent, je suis  sur le manowar, le sloop n’aura rien, mais l’autre aura les boulets et moi aussi, si nous ne faisons rien, nous allons tout perdre, nous faire piller.

- Attends mes ordres, un signe de moi, n’importe, je vous ferais signe. Mais restez calme et lieu de boire comme des éponges, gardez l’œil ouvert. Je vous fais confiance et vos couilles sont �  ma merci…

Je rejoins la capitaine et descend par l’échelle, je vois mon navire, avec ses couleurs bourgogne et rouge sang, il a vraiment de la gueule. Je passe sur le sloop et je me sens encore plus mal, les hommes me dévisage et leurs ricanements ne me donne pas confiance. Car il n’y a rien de drôle. Je demande aux hommes du manowar de nous lancés un échelle ou cordage. Je laisse la démone monter avant moi, il est encore temps de fuir, sur mon navire. Au pire, elle aura les coups avant moi. Je ne suis pas la plus stupide, mais pas la plus brave. Je retiens mon souffle et mes pieds touchent le pont. Éberluée, je le suis. Ce navire est d’une propreté, tout brille, c’est presque intimidant. Les cales sont �  moitiés, je pense trop. Par chance, j’avais demandée que l’on libère les esclaves, je ne suis pas très chaude �  les mettre sur le marché, après tout, ce sont des hommes, ils avaient décider de joindre mon équipages. Tant mieux, des hommes en plus, mais de la façon que ce manowar est tenu, j’ai bien peur que le capitaine soit plus efficace que moi.

Nous sommes l� , attendant le capitaine.

Je repense �  mon trésor dans ma cabine, si jamais je devais la perdre, j’en ferais une jaunisse. Y’a rien �  craindre de la fille, ce n’est pas son genre, mais pour de l’argent en plus, n’importe qui, ferais n’importe quoi.
 
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« Répondre #13 le: 03 Août 2007 à 20:38:19 »

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Au loin, �  l'horizon deux voiles tranchèrent le bleu immaculé du ciel. Deux navires se dirigèrent droit vers celui de Penia.
Un shooner et un deux ponts. Ces deux navires aroborés le drapeau francais, l'un venant du quart nord et l'autre de l'oueste venant sans doute du vieux continent. Il était évident que ces deux navries n'étaient pas allié masi pas ennemin, car ils avaient tout deux un même objectif, celui de ramener la voleuse.

Les deux batiments étaient loin mais en moins de deux heures, voire une heure pour le petit shonner large, ils seraient sur eux. L'écume ,soulevait par l'étrave �  chaque retombé des navires, retombait blanc, comme de la neige que l'on pousserait après une chute. Le bruit du vent claquait dans les voiles.

sur le batiment de guerre tout l'équipage se tenait pret.

Sur le shooner plus proche, els hommes étaient nerveux, chaque manoeuvre étaient importante.
Le bateau filait sur l'eau comme un sloop, son équipage se tenait pret �  un abordage car les negociations n'étaient que pretexe pour s'approcher.


- L'arabe tire pour tendre les focs!! va y!!  Cria le maitre d'équipage.

Seth leva la tête puis s'exécuta, tout en regardant leur proie qui grossisait �  vu d'oeil. Dans le greément les moucheures se préparaient.

Le deux pont du virer lof pour lof car il vit que le combat sera plus dur, nombreux navire seraient de la fête et pas des petits.


Le temps filait comme ces deux chasseurs s'approchant de la brebie déj�  occupée.
 
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Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã�  dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
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« Répondre #14 le: 04 Août 2007 à 04:28:25 »

les trois bateaux attaches avaient une allure bien singuliere, mon geant noir, fier et droit brillant sous le soleil, a cote de ce charmant gallion bicole,comme les jupons d'une donzelle,la tableau aurais ete de toute beauté sur la mer couleur turquoise,mais il y avait comme une petite verue entre les deux, un petit sloop ne payant pas de mine entre ces deux navires.
-capitaine, cordes attachées, ont est bien arrime au deux autres rafiots....ils sont vraiment trop petit capitaine,on les mangerais presque...ah,ah,ah.
- Ta gueule Couille de loup (il deteste quand on l'apelle comme ca,toujours de bon souvenir pour lui),ouvre l'oeil imbecile,tu voit pas que la situation est trop etrange.je n'aime pas ca etre coincer comme ca en pleine mer.
-bien capitaine ,excusez moi capitaine(qu'elle con pour qui il se prend ce jeunot)
- c'est bon ca va,je descend dans ma cabine envoi moi les deux emissaire de ces bateaux quand ils arriveront.
sans attendre je descend dans ma cabine avec une etrange sensation.je n'aime pas ca trop bizarre comme situation.
toc toc toc, on frappe a ma porte.
-Capitaine........c'est....heu.........femmes.......deux....
-Quoi ,quesque tu dit couille de loups, va s'y crache le morceau.
-oui voila......donc...le pont.......deux femmes......voila.
Alors lui de qu'il sagit de femmes il a encore envie de japper a la lune.
Je le pousse  pour monter sur le pont et me rendre compte de moi meme de ce que dit cette imbecile qui me ser de second.
A peine le pied pose sur le pont, le choc...deux femmes sont la , en tous cas on dirais car l,une des deux malgre sa longue chevelure rousse est habille comme un gentilhomme...
Mais l'autre pas de doute, une apparition....une vision....les yeux profond comme l'ocean, les cheveux noir comme la nuit...une taille fine et volontaire....
Jen e peut detacher mes yeuxde cette beaute terrifiante.
(merde un ange.putain je suis fait, quesqu'il m'arrive.)
me voyant mes deux visiteuse s'approche en me toissant du regard.
-Hummmm...euh...moi....donc....trystan de Notterrach....pour vous servir.
( ouf j'y suis arrive)
A ce rythme la, ma langue va pas tarder a toucher terre et mes yeux ce perdre de se corsage.
-Capitaine,capitaine,deux voiles a babord,deux voiles capitaine.
   
« Dernière édition: 04 Août 2007 à 12:55:49 par scar »
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