l'inconnu de la mer

[scar]

william boll marchait rapidement sous le soleil des tropiques. Il marchait dans les rues d'un petit port. Il avait prit la mer pour la première fois. Boll était un esploitant de la Jamaîque que son cousin Jhon Sonider avait appelé sur cette île.

le voyage avait été épuisant il avait hâte de savoir pourquoi il avait été demandé loin de ses exploitations.

Pénétrant dans une taverne "La louve" il vit son cousin qui l'appela d'un rever de main. L'endroit était calme, presque vide juste quelque marin venu se désaltérer. Il regarda son cousin, un homme au crâne chauve aux épaules larges et bien bati, au regard bleu et franc.

Il s'assit avec son cousin �  une table de bois d'acajou. William Boll aurait voulu en finir avec ce voyage et ce mystère s'il ne l'avait pas vu dans une rue. Ce corps décomposé, dont il ne resté que les os, adossé �  un mur la face devant le détroit du port et le regard vide fixant l'horizon.

- Dit moi Jhon avant que tu me dise pourquoi je suis ici j'ai une question �  te poser. Tu habites ici depuis longtemps.
- Je t'écoutes mon gars.
- J'ai vu un squelette dans la rue! c'est quoi cette chôse macabre! Il n'a jamais été enterré! Son âme était elle aussi noire pour ne pas avoir un sépulture?
- Du calme William répondit son cousin. Dieu et le diable n'ont rien �  voir avec cela! Son âme est �  la mer!

- Par tout les saints que dis tu l� ? Cria horrifié william puis se penchant sur la table. Racontes moi cela tu sais que je suis friant de ce genre de chose.
- Bien sûr!

Vois tu je n'ai pas assisté au début mais j'ai vu la fin et je peux te dire que c'est la vérité et que je n'ai pas été abusé par l'alcool.
Moi même j'ai vu cet homme encore en vie et je me suis interessé �  lui, j'ai demandé une mègére, quelle repose en paix, celle qui possedait la maison au mur duquel notre inconnu s'adosse.

"Ca a commené il y a trois ans. Un jour, calme et au ciel bleu, deux hommes sont arrivs par bateaux, l'un d'eux n'avait plus ses jambes et avait perdu sa voix. Les deux hommes sont montés sur la colline en prenant le chemin que tu as pris pour arriver ici. Puis le cul de jate �  demander �  son compagnon de le déposer sur ce mur face �  la mer. L'homme lui acheta de quoi manger et boire et �  disparu! Personne n'a vu son visage et aucun capitaine ne dit l'avoir repris sur son navire. Il a disparu! mais le mystère n'est pas l� .

L'inconnu muet est resté devant la mer, sans bouger, ni même faire l'homone! Il regardait la mer comme s'il attendait quelleque chose. Certaine bonne âmes lui donnèrent de quoi manger et boire, ainsi qu'une couverture.
Il restait l�  sans rien faire, armé de deux pistolet et possèdant une bourse rempli de picèe d'or! il demandait �  certaine personne ne lui acheter un peu �  manger. la pitié humaine et la crainte, car dans ses yeux pouvait se lire la haine et un sentiment étrange comme si son regard était vide fixant l'autre monde, un regard de mort.
Un jour un tenta de lui prendre son or, il y laissa la vie. Les gardes de la ville sont venus l'arreter. J'étais présens lors de la scène, c'est ce moment qui a réveillé en moi un intêret pour cet inconnu. Devant l'entêtement de leur muet et devant son bon droit ils le laissèrent sur les lieux.
Je me souviens d'une chose, quand ils ont menacés de le tuer sur place, il a souri, d'un sourire franc et sincère comme si c'était ce qu'il voulait.
Le temps passa et le contenu de la bourse, dont l'origine nous ait inconnu, s'épuisa, il survécut des bonnes âmes. Il continuait �  regarder la mer et l'horizon. son visgae inexprésif et inpénétrable, refermé du monde. Il attendait quelque chose mais quoi! Des rumeurs naissèrent, comme quoi il attendait une attaque des francais ou  la venu de Bartelomé robert qui pillerait la ville. D'autre disait qu'il attendait juste une toile pour peindre ou encore des compagnons...
Et on a tous compris quand il a rendu l'âme. Et une nuit, il y a trois mois, durant la nuit sans que personne le sache il fit son dernier souffle. Un sourire sur ses lèvres, le deuxième en trois ans.

Le jour même est arrivé l'inconnu au manteau noir. Pur hasard? j'en sais rien. il nous expliqau �  tous cet étranges fin de vie pour un inconnu. ses mots furent: "Ici! ici même au meêm endroit et �  diffèrentes époques il a vu son père prendre la mer sur un navire pour disparaitre �  tout jamais, il a vu dans ce détroit sa mère se noyer. Et il a aussi vu la mer predre son coeur. C'est ici qu'il a décidé de monter sur un navire. C'est ici que la mer devait prendre son âme.
Laissez le contempler pour toujours l'endroit qui compta le plus dans sa vie"
Et il reparti sans rien dire il resta deux jours �  terre mais impossible de lui tirer quoique ce soit. un jeune prêtre offusqué devant une dépouille sans tombe avait entrepris d'enterrer le marin sur une falaise pour le laisser prêt de la mer. Jolie intention hein william?
- Oui pourquoi il ne l'a pas fait?
- Il en a pa seut le temps, quand il montait la colline devant lui se tenait une charrue tiré par une cheval, l'attelage �  craqué! la charrue �  déscendu le chemin écrasant sur son passage le prêtre.
Un autre homme y a laisser la vie, un ancien voisin géné par l'odeur de la chair pourrisante �  voulu dégager le corps, il a été tué par un chien enragé quand il toucha le corps. Des femme sont voulu cacher le corps, elle ont mis un voile blanc sur le corps.
Vingt minutes plus tard un fort coup de vent �  soulevé le voile qui poussait par les courants d'air est allée tomber sur le détroit où l'inconnu �  vu tant de chose. le voile avec l'eau �  coulé �  pic.
voila c'est tout! Pur hasard! je trouves cela trop gros!!

- en effet! on dirait de la sorcélerie.
- une chose m'échappes... Pourquoi un homme tant amoureux de la mer n'a pas voulu que la mer après avoir pris ses parents, son coeur son âme prenne son corps...

Voila je t'ai tout dis.

Les deux cousins se regardèrent. William compris qu'il avait été demandé par son cousin rien que pour cela.


ps: rp pour le concour