Ceci est un glossaires des armes utilisés � cette époque, afin d'éclairer certain doute pour des joueurs.
Je tire ces informations de ma culture générale (donc venant de trop de sources pour être cité. d’ailleurs je les ai oubliées... mais vous les verrez dans ta de film réaliste sur cette époque et dans les livres)
Armes blanches
De nombreuses furent utilisés durant les ages. Au XVIIe et XVIIIe siècle une grande variété d’armes fut utilisés.
Aux caraïbes on utilisait surtout ces types d’armes.
Les épées : appelée reine des armes, l’épée est l’arme la plus diffusée dans tout le monde, Sous des formes les plus variées, le principe de l’épée a été reprit dans toutes les grandes armes blanches : katana au japon, cimeterre en orient, sabre caraïbes utilisé par les caraïbe…. L’épée du XVII et XVIIe siècle n’avait rien � voir avec celle du moyen age ou du l’Antiquité. Elle avait les éléments qui font d’elles une épée : c'est-� -dire deux tranchants, une pointe et souvent une garde renforcée. Mais elles étaient beaucoup plus lègére et fine que celle du passée, car on été dans un âge au style de combat hybride, mi corps � corps mi tir, où la vitesse surpassait la force. Certaine épée était plus des armes d’apparat que de combat, car trop fine et trop décoré.
Elles étaient utilisées en terre comme en mer.
(elle ne montre pas tout l'arme mais permet de voir les diffèrenes avec ses ancêtres)
Les sabres : armes très diffusé dans le monde occidentale. Très redoutable, � un seul tranchant et � pointe. Cette arme s’inspirant des cimeterre arabe � l’angle de coupe et au tranchant parfait. Elle ressemblait � l’épée � un détail : les sabres n’ont qu’un seul tranchant et leur lame se recourbe légèrement. Les sabres des cavaliers étaient des armes au tranchant très courbé.
Sur les navires les sabres étaient légèrement diffèrent (pour une raison qui j’ignore), il était souvent plus épais et moins recourbé (plus épais pour mieux résister aux coups lors d’un combat naval aux corps � corps (opposant parfois 600 � 600 hommes) la pluie de coup qu’un homme devait parer pouvait dépasser la centaine, et aussi pour résister au choc qu’il pourrait avoir lors d’une tempête…)
sabre d'abordage
et sabre "classique"
Les fleurets : c’est un autre genre d’arme. Arme uniquement d’estoc, la lame n’était pas pourvu de tranchant et était extrêmement flexible. C’est l’arme des duellistes d’Europe car elle demande de l’habilité pour bien la manier. Mais dans les mélées de masse elle se relève plutôt inefficace comme arme. Aux caraïbes peu d’hommes l’utilisaient.
Sur les navires le fleuret n’était jamais utilisé car étant une arme d’estoc il faut la planter dans son ennemi et la retirer n’est pas toujours rapide et on était ainsi vulnérable face aux ennemis nombreux sur un tillac.
Les cimeterres : l’arme des musulmans, armes des ennemis de Dieu. Le cimeterre fut l’arme la plus dévastatrice des épées, avec un angle de coupe parfait, un tranchant redoutable et une solidité et une légèreté assez bonne. Cette arme fut le cauchemar des chevaliers qui utilisaient des armes plus lourdes.
Aux caraïbes cette arme n’était pas répandue, seuls certains hommes en avaient, des espagnols connaissant un forgeron initié dans ce type d’arme ou autre; venant du fait que le sud de l'espagne resta très longtemps sous influence orientale.
(un peu laid mais bon)
les rapières Fines épées � double tranchant et pointe, grande différence avec les épées, finesse et avec une garde. Arme de duelliste et d'apparat.
Peu utilisé sur les navires car trop fine peu se briser et ne fait pas reculer les corps morts sous le choc de l'arme.
Les coutelas : � ne pas confondre avec la dague ou le couteau. Il s’agit d’une arme grossière � lame lourde et unique tranchant elle pouvait servir dans la vie de tout les jours. Sans gardes, souvent c’était une lame plantée dans un manche de bois cerclé de fer.
Arme très répandue sur les navires, car légère, petite et pouvant servir pour couper un cordage ou manger. Beaucoup de marin en avait un.
Les dagues : cela était une épée un plus courte, une épée en miniature, avec une pointe et deux tranchants et une garde.
Armes peu courante sur les navires, car plus signe de richesse que de force, seul les assassin et les combattants du modèle de l’école florentine (deux armes) les utilisés couramment.
Les haches : de toute sorte servant tant � couper et tailler le bois que la chair. La hache de guerre, utilisé au moye age, � disparu, seul les bourreaux ou quelque marginaux en avaient afin d’impressionner souvent. Les haches � double tranchant telles les francisques avaient totalement disparu. Ce type d’arme de taille variée, parfois nécessitant les deux mains, ou faits vraiment pour la guerre, était utilisé par le peuple, puisqu’il pouvait y avoir axé facilement.
Assez utilisés sur les navires, moins que les sabres d’abordage ou les coutelas ou les piques, car on en avait sur les navires pour des but autre que les combats mais en combat on prend ce qu’on a sous la main.
Les piques : petite lance de souvent un mètre cinquante étaient très utilisés par l’armée, autant pour repousser sans tuer les gens que pour mener une guerre. Ce sont souvent des long bout de bois avec au bout une lance de fer planté � même le bois avec une bague de fer pour solidifier le tout ou d’une pointe de fer avec une « robe » de métal qui est clouée au manche.
Sur les navires de guerre cette arme était très répandu car bon marché pouvant permettre de faire un mur d’homme et de tenir une position, comme était la stratégie des navires de guerre en cas d’abordage.
Les hallebardes : moins répandu, souvent très décorée servant � montrer la richesse des hommes que les gardes protègent. Cette arme longue avec une lame au bout comme une hache � grand manche était idéal pour protéger sans tuer une rue ou même pour mater une révolte.
Sur les navires cette arme n’était jamais utilisé car trop longue et demandant de grand mouvement, et donc espace, pour être manié correctement. Or sur les navires les abordages étaient de véritable mêlée sans espace.
Les massues : au XVIIe siècle, il y avait encore des massues mais elle n’avait rien avoir avec les armes du moyen age pour la simple raison qu’elle n’était pas faite pour tuer mais assommé et calmer des personnes, donc n’étant plus en fer et sans pointes. Elles étaient faites souvent d’un bois solide ou d’un nerf de bœuf (qui a donné son nom � ce type de matraque) qui avait été trempé puis refroidi, cela donné quelque chose de souple et solide. Il y avait aussi les maillets marteaux et masse de forgeron. Mais les massues n’étaient plus de véritable armes, seulement utilisé par des hommes en manquent d’arme ou dans le but de maîtriser un homme.
voila un nerf de boeuf (et je plaisante pas)
(pour les marteaux et maillet tout le monde sait � quoi as ressemble je suppose)
Les armes qui n’eurent plus du tout aux caraïbes � l’époque du XVII et XVIIe siècle furent les fléaux d’armes, les marteaux de guerre, les katanas et autres armes asiatiques, les poignards arabes, les glaives, les haches de bataille et quelque autres armes très vieille