évènement: la conquête de la Tortue.

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C'était par un matin, la mer ridée par un vent puissant, le ciel couvert par quelque nuages gris et lourd.

La tortue devenu île où la France avait tout son pouvoir, mais aussi comme le port de Petit-Goave, un refuge de "pirate" et de "corsaire" francais, se réveillait lentement.

Dans son port quelque navires, pour la plus part marchand ou de course, tel des sloops, des frégates senau ou des brigantin et goélette. Une bien petite flotte qui n'aurait put rien faire contre ce qui se pointait �  l'horizon.

venant de St Domingue, plus de huit navires sous pavillon espagnols et anglais, lourdement armés firent voile sur l'île. Il y avait deux flûtes espagnols ainsi qu'une corvette et la grande flotte anglaise, hormis le trois ponts qui comme le devait les opérations revernirent en manche après un dernier coup dur �  la piraterie.

Les navires espagnols quittèrent la flotte anglaises et déposèrent leur soldats, ainsi que les deux deux ponts anglais, ils y avaient plus de mille hommes qui débarquèrent sur l'une des plages alors que le soleil percait �  peine l'horizon. Les navires comme l'armée �  terre prirent la direction du port de la Tortue pour le prendre par surprise et de deux positions stratégique �  la fois: bloquant le prot et ainsi pouvant capturer tout les navires et de la terre pour offrir une force que le fort Roche aurait du mal �  attaquer.   

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L'armée progressa rapidement sous l'aurore colorée, projetant des ombres sur les environs, longues et silencieuses.

Les soldats marchèrent armes chargées, dans un silence, aucun instrument pour battre la marche, juste deux étendards anglais et espagnols, ainsi qu'un autre: une flamme rouge.

Sur la mer les navires s'approchaient lentement et dangereusement du port de la colonie.
La colonie se réveillait lentement, pour les terriens, un navire pirate un sloop partait déj�  en course. La vison fut horrible pour les pirates ils virent une flotte s'approchait du port. Le capitaine prit sa longue vue, il observa un moment la flotte avant que la longue vue lui tombe des mains et la lentille se brise sur le sol.

Il voyait une flotte hérissée de canon, lourdement armée, allant droit sur le port il y avait aucun doute. Il ordonna aux marins de gonfler la voilure et de partir le plus vite d'ici de ce "foutu merdié".  

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Au loin, les pirates virent leur île, foyer, conquisse par la puissance de deux couronnes.

Le capitaine, qui avait une tête d'enterrement, triste de voir s'écraser un foyer de piraterie. Il se tourna vers ses hommes.

- Changement de plan! On va �  la Petite Goage il faut prévenir le gouverneur de ce qui vient de se passer!

c'est ainsi que le gouverneur fut au courant.