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« Répondre #15 le: 17 Avril 2009 à 17:37:24 » |
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L'homme fit une accolade � Corey et plusieurs capitaines dont Jean et Nelson applaudirent devant tant de courgae, ou de stupidité aveuglé par le dogmatisme pensa Jean.
Le gouverneur montra � tous la carte de l'île.
- Votre objectif serait de provoquer un effet de surprise et un soutient � nos troupes dans l'île même. Car les espagnols perdraient leur avantage. - Pourquoi ne pas envoyer nos "espagnols" une fois sur l'île ouvrir l'autre chemin? demanda l'un des capitaines. - J'y ai réfléchit et cela représente trop de risque. dit le chef de la garnison coupant la parole à son gouverneur. - L'île est assez petite, si la garnison protégeant le boyau résiste trop nos hommes seront prit par les soldats du La Roche, ainsi on perdrait tout. L'effet de surprise du galion et des hommes. - Par contre pourquoi ne pas tenter le diable malgré tout? Suggéra Jean, un silence pesa. Bélénos observa l'homme se replacant sur son siège pour être plas � l'aise. - Pourquoi en pleine nuit ne pas voir si le chemin est surveillé, si oui les hommes ne tentent rien si non ils pourraient faire un signal de feu avec une lanterne dirigeant la lumière vers la mer. Nos navires s'ils voient le signal déposent leur hommes ar ce chemin et ainsi on bénéficiera de ne pas avoir � combattre les forts et si non ira avant le matin attaquer le port. - C'est au matin qu'on devra agir. dit Bélénos. C'est l� que les hommes sont le moins disposés � combattre, ils sont en forme mais ont faim et de plus s'attendent pas � combattre alors ,que le jour se lève... - Je suis pas sûr que ce soit une bonne idée... s'exclama Nelson.
Le discussion devint un enchainement rapide et bruyant où chacun discutaient avec l'autre sans prêter attention aux autres. Le gouverneur tapa � deux reprises sur la table pour obtenir le silence.
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Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã� dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
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Capitaine
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« Répondre #16 le: 18 Avril 2009 à 18:49:37 » |
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Sur le péron de la résidence du gouverneur, Agonie la Belle et Puolovsky attendaient en compagnie des autres marins qui avaient accompagné les capitaines � la réunion. Agonie réflechissait � plusieurs choses en même temps, faisant les 100 pas, et Pulovsky tirait sur un cigare, appuyé sur un muret, et lançait des ronds de fumée. -Tu veux pas arrêter de bouger, tu m'files le vertige! finit il par lancer à son aîné. Agonie le regarda et soupira: -Excuse-moi, je suis assez nerveux, expliqua t-il. -C'est le fait de t'être fait virer comme un malpropre de la réunion qui te met dans cet état ? -Carrément, répondit Agonie avec hargne. Enfin bon sang, je suis sûrement le plus vieux de tous ces capitaines, et je me retrouves � attendre � la porte comme un larbin! Ca, ça me fout les nerfs � vifs. -Du calme, papy, fit Pulovsky, qui éclata de rire quand le pirate se retrourna pour le fixer avec mérpris. Tire une bouffée de ça, et tu verras, ça ira tout de suite mieux. Il tendit son cigare à Agonie qui le considéra un instant avec hésitation. -Non merci, j'ai décidé d'arrêter tout ces petits trucs nocifs, même la boisson. -Oh allez, juste une fois! insista Pulovsky. Regarde moi, j'ai l'air mourrant ? Et ça fait longtemps que je m'empoisonne avec ces machins-l� ... -Bon, ok, céda Agonie. Il prit le cigare et le garda aux lèvres pendant 5secondes et le retira pour le rendre � son propriétaire. Il souffla une longue volupte bleue et retrouva le sourire. -Alors, à quoi tu pensais ? demanda Pulovsky. -A cette aventure dans laquelle je nous ai embarqué. A l'origine, c'était pour nous en mettre la main sur l'or de Francis Drake, et me réconcilier avec mon gendre, mais maintenant j'en prends conscience: je ne resterai vivant assez longtemps pour profiter de cet or, si on arrive � le trouver. Souviens-toi, je suis sous la menace d'une tâche noire, et on a jamais vu personne mourir de sa belle mort après avoir reçu cette sentence. -Comment tu peux prendre cette blague au sérieux ? contra Pulovsky. Tu ne sais même pas qui en est l'auteur... -Quand bien même, répliqua Agonie de plus en plus alarmé, avec tous les énergumènes que Barracuda a soi-disant sous contrôle, je vais vite me réveiller un beau matin avec la gorge tranchée ou pire. -J'aime pas t'entendre parler comme ça. Ecoute, t'as presque 50 ans, et tu as peur de quelques anglais un peu baraqués ?! Tu en as vu d'autres, je crois... -C'est pas une question de physique, Pulovsky ! tonna Agonie, ce qui leur attira les regards des autres seconds. C'est une question de réputation. Je connais de nom la moitié des gars du Barracuda, et c'est la plus mauvaise idée qu'il ai eu, de réunir quelques uns des plus plus grands criminels des caraïbes sur le même pont! Est-ce que tu sais pourquoi son maître cannonier, Boyd est surnomme "Brighton butcher" ? Rien que celui-l� est l'un des flibustiers les plus recherchés par la Royal Navy et la Compagnie des Indes Orientales! Ils seront bien sûr tous soudés pour libérer la Tortue, mais inutile de dire que dès qu'ils sentiront l'argent, ça tournera au carnage pur et simple! Pulovsky ne dit rien et contempla son mentor avec tristesse. -Tu te fais du mal, � penser des trucs comme ça. -...et puis, 'y a son cuisinier, Goldman, marmonna Agonie pour lui-même, complétement possédé. J'suis sûr de l'avoir déj� croisé, et un unijambiste qui sait se faire oublier, c'est un unijambiste qu'il vaut mieux ne jamais avoir dans son dos, tu peux m'en croire! Il se tut et reprit à voix haute, à l'attention de son compagnon: -En tout cas, Pulo, si au cours de l'attaque de la Tortue, je suis fait prisonnier par les anglais ou les espagnols, il faut que tu me fasse la promesse de ne rien tenter pour me sauver! Pulovsky resta bouche-bée un moment puis s'exclama: -Mais qu'est-ce qui te prend ? Il y a un instant tu avais les jetons de te faire coincer par des collègues, et tu serais prêt � te faire éxecuter par les anglais ? -Oui, admit Agonie. Puisqu'on doit tous mourir, autant que ce soit en payant pour ses crimes. Tant que je serais sous pavillon noir je vivrais en gentilhomme de fortune, mais une fois derrière les barreaux, je ne tenterais plus de m'évader. Comme ça, je serais sûr d'échapper � la condamnation probablement très douloureuse que me réservent ceux qui m'ont envoyer la tâche noire! Pulovsky retira son cigare de sa bouche et déclara posement: -Tu es d'une logique implacable. Agonie lui prit son cigare et gouta à nouveau. -J'entends encore Rackman me répeter, 4 ans auparavant:"10 contre un qu'on s'en sort pas!"
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« Répondre #17 le: 26 Avril 2009 à 17:10:38 » |
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hrp: bah alors on a pas continué le rp?? bon je vais dépêcher un peu le rp mais j'impose rien je propose juste un plan � vous de le choisir ou non.
Hyorg se présenta chez le gouverneur, en effet l'amnistie l'intéressé il pourrait enfin se laver de plusieurs crimes au yeux des francais. La réunion continua encore quelque temps, on ouvrit une bouteille de vin afin d'hydrater les gorges qui s'asséchaient en parlant.
Après un moment de discussion le gouverneur proposa son plan.
- Voila ce que je vous propose. Premièrement comme l'a accepté Corey ce dernier ira avec le galion et des hommes, au port, le navire sera armé mais devra garder son armement secret. - ne pas relever les sabords de l'entrepont... dit Bélénos. - En effet, il y aurait dans ses cales assez d'hommes pour armer les canons et attaquer le port de l'intérieure. Le navire devrait arriver dans la journée après midi. Le lendemain juste avant le lever du soleil on attaquera. La venu du dénommé Hyorg. ce dernier assit dans un fauteuil eut un sourire. Nous facilitera la tache, je suis obligé de vous le demander mais vous devrez entrer en premier dans le port. - Pourquoi? s'inquiéta Hyorg. - Votre navire est le seul qui pourrait supporter une bordée des deux ports, avec la galion et la frégate. évidemment nos navires vous suivront de très près, ils interviendront en même temps. Tout les canons seront chargés avant l'attaque. Les navires comme la frégate légère, le schonner, la flûte et le sloop auront pour but d'aller aux quais.
-Ce sont les seuls navires dont le tirant d'eau peut permet au navires d'accoster. dit Nelson en coupant la parole à Vaughan. - L'idée n'est pas bête ainsi nos hommes pourront débarquer plus rapidement et en s'exposant moins au tir ennemis.Ajouta Robert en se replacant dans son siège, un peu nerveux et excité.
Le gouverneur fut radieux que son plan fut approuvé par des pirates des hommes qui connaissent mieux le combat que lui. Le chef de la garnison montra sur la carte les possibles cibles. - Le navire de Hyorg devra contenir assez d'homme pour recharger la moitié des pièces pas plus. Le reste sera réparti dans les navires rapides. Il faudrait que les hommes se trouvant dans le galion sorte si possible un peu avant l'attaque pour s'enfoncer dans la ville et surprend les soldats qui tenteraient de nous affronter sur les quais.
Les deux hommes attendirent l'avis des capitaines, Nelson fut plutôt pour ainsi que de pas perdre de temps avec le chemin plus � l'ouest de l'île.
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« Répondre #18 le: 26 Avril 2009 à 17:57:55 » |
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Robert avait écouté le gouverneur exposer son camps. Devant l'attente du gouverneur, il répondit rapidement :
- La Vaillante, ma corvette de 30 canons et 200 hommes sera l� pour attaquer.
Cela était clair, Robert était partant pour ce plan.
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« Répondre #19 le: 26 Avril 2009 à 23:43:08 » |
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hyorg se leva de son fauteuil regarda l'assembler d'un air nostalgique puis déclara: -Je sens que cette petit escapade ne va pas me rajeunir mais bon, je pense que vous aurez besoin de gros navire pour aider a fournir vivre et munition suite a cette prise de contrôle alors pensez � moi. il fit un grand sourire, reprit sa canne et se dirigea vers la sortie . -je vais prévenir mes hommes sa va leur faire rudement plaisir de reprendre du service ha ha. puis sorti boitant et fredonnant un vieil air de marin
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« Dernière édition: 27 Avril 2009 à 18:05:00 par scar »
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« Répondre #20 le: 27 Avril 2009 à 13:30:23 » |
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Corey prit la parole
-Ma frégate suivra les autres navires. A terre, les soldats ne vont rien y comprendre.
Il semblait visiblement enthousiaste.
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Un des joueurs les plus anciens encore en activité !
Autoproclamé pire cauchemar des joueurs de la communauté : � MTS�
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« Répondre #21 le: 28 Avril 2009 à 15:16:36 » |
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Dans la salle tout le monde discutait fort. Les capitaines commentaient, suggérant des idées sur des détails du plan proposé. Bélénos, qui était resté plus ou moins discret jusqu’� présent, décida d’intervenir en s’adressant directement au gouverneur. _Dites-moi gouverneur, même si votre plan est approuvé par la majorité d’entre nous… _Pourquoi ? Vous êtes de ceux qui le désapprouvent ? _Je ne dirais pas ça, mais il y a quand même quelque chose qui me turlupine dans tout ça. _Quoi donc capitaine ? On est l� pour en discuter. Allez-y on vous écoute ! _Et bien chacun sait que le port de la Tortue est mal foutu, qu’il est toujours encombré de barcasses souvent abandonnées, que les quais sont toujours pleins et rongés par la vermine. Je me doute que les anglais et les espagnols aient fait le ménagent pour faire place � leurs navires. Mais nous ? Aurons-nous la place d’accoster ? Pourrons-nous débarquer nos hommes directement sur le quai sans se mettre � couple d’autres navires ? En plus des navires de guerre pleins de soldats, enfin je suppose ? Bref, comment savoir tout ça ? Car je me vois mal affronter des colosses, même par surprise, juste pour arriver sur le quai pour ensuite attaquer le port, puis la ville et tout le reste ! Il ne faut pas rêver, les garnisons sont dans leurs navires avec leurs vivres, leurs armes et munitions, pas dans la ville. Dans celle-ci il n’y a que les patrouilles ! Ca m’étonnerait qu’ils aient eut le temps d’en construire � terre. A mon avis il y aura un obstacle de taille � franchir avant d’arriver � quai… celui de leurs navires de guerre !
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Tant qu'à faire, que de faire, autant bien faire.
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« Répondre #22 le: 28 Avril 2009 à 17:51:09 » |
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- Hum votre réflexion est pas fausse mais pour ce qui est de l'emplacement de leur troupe elle est évidente: les forts. Pourquoi se risquer de mettre des hommes dans des navires l� où ils ne bénéficient pas de mur de pierre; l� où la ville elle même peut les vaincre... De plus si leur troupe sont sur des navires il s'agira alors d'un combat naval dans une baie et nos ennemis perdront un avantage celui de pouvoir manœuvrer. Mais d'après des guetteurs se trouvant � Port de paix, qui est le port le plus proche de la tortue � moins de trente milles, toute la flotte anglaise a quitté l'île et une majorité de l'espagnol.
-De toute manière elle n'avait pas la place de mouiller. dit un des pirates. La tortue est un port ancien qui peut accueillir des navires de taille moyenne ou plus petit. Leur énormes navires de guerre. - Des troisièmes rangs d'après les informations que j'ai eut d'un marchand qui a croisé la flotte anglaise quand elle faisait voile vers l'Europe. dit Nelson. - voila reprit l'homme. Une telle flotte ne peut pas stationner dans notre port. Notre flotte sera � coup sûr supérieure � la leur. - Mais n'oubliez pas le fort La Roche et le fort qui se trouve en face. dit Hyorg.
La salle resta silencieuse. Vaughan reprit. - Notre ami, Bélénos a soulevé un vrai problème l'encombrement du port car d'après nos guetteurs et un petit navire de pêcheur qui a réussit � fuir deux jours après la prise de la ville les espagnols, sont les seuls sur l'île mais ils ont immobilisés � quai tout les navires s'y trouvant. Monsieur vous avez raison ils nous sera impossible de pouvoir manoeuvrer jusqu'� quai. Pensez vous pouvoir vous mettre � couple sous les tirs ennemis?
Le gouverneur s'attaquait volontairement au courage des pirates, ce sont souvent des hommes téméraires qui refusent de s'admettre vaincu d'avance.
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« Répondre #23 le: 29 Avril 2009 à 16:16:09 » |
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Robert avait jusque l� écouté. La remarque de Bélénos était pour le moins juste et pouvait même aller jusqu'a faire rater l'opération. Devant la question du gouverneur, il pris les devant.
- Même si il y arrive les pertes serons énorme. Et si les espagnols tiraient � boulet rouge ? Nous n'y verions que du feu, sans vouloir faire de l'humour. Je suggère que l'on provoque un mouvement populaire. Des hommes habile vont sur la Tortue pour préparer une révolte sur l'île. La plupart des habitant sont français voir même pirates, ils devraient accepter. Cette révolte affaiblira les espagnols et avec un peu de chance, le fort sera plus dégarnis et on pourra débarquer plus tranquillement.
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« Répondre #24 le: 29 Avril 2009 à 19:06:26 » |
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Le gouverneur s'indigna de la proposition du pirate.
- Ler but n'est pas de massacrer notre peuple et de reconquérir que des ruines! hurla Vaughan.
L'idéaliste demanda la parole, il était de l'avis du gouverneur. - Je suis allé un mois avant la prise de l'île, la Tortue n'est plus ce qu'elle était elle est habitée principalement par des paysans, des commerçants quelque chasseurs et tête brulées qui rappellent ce qu'était l'île. - Mais il y a des frères de la côté � la Tortue qui ne peuvent pas quitter l'île.
- attendez dit le gouverneur. Je gère une ville, qui plus est le le nouveau port d'attache de gens comme vous depuis plusieurs décennies. Je sais comment réagis la population, surtout une aussi fier que vous! Si ils avaient l'occasion de se révolter ils l'auraient fait. - Les espagnols ont du les mettre au fer et faire des razzias pour piller or et armes. Je pense que c'est qu'une question de temps avant qu'ils ne peuplent l'île de leur compatriote et chasse ou extermine le sujet du roi de France. dit le chef de la garnison.
- On doit trouver un moyen de contourner la difficulté que Bélénos nous a informé. - Nos hommes qui viendront sur le galion pourront au lieu d'attaquer le fort prévenir la populace qui juste avant l'aube ou au moment que l'alerte est donnée préparera le terrain en manœuvrant les navires. Les espagnols ne sont sans doute pas assez nombreux pour lutter contre nous et dominer la population de l'île, notamment nos compagnons. suggéra un des pirates.
- Le soucis c'est est ce qu'ils ont la possibilité de manœuvrer répondit Bélénos. Ca m'étonnerais qu'une population de paysans et de commerçants et pêcheurs se risquent � manœuvrer si la menace de la mort plane sur eux. Les convaincre en une nuit sera pas facile...
hrp: le coup de la tortue île de paysan était vrai � cetet époque mais bien joué � taranis pour son rappel assez historique de la situation que connaitrait le port: encombré de petit navire
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« Répondre #25 le: 30 Avril 2009 à 14:09:15 » |
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_De toute façon poursuit Bélénos je ne compte pas sur eux dans un premier temps. Vous l’avez dis vous-même, ce ne sont que des paysans en majorité. Peut-être que s’ils voient la bataille tourner en notre faveur ils viendront, mais pas avant ça m’étonnerais. Donc nous devons compter que sur nous-mêmes pour cette bataille. En plus, préparer la populace � un combat c’est comme prévenir l’ennemi de ce qu’on va lui faire. Le risque d’une fuite est énorme ! _C’est malheureusement vrai ! Lance Nelson dans un profond soupir. _Moi je trouve qu’on n’a pas assez étudié la possibilité d’attaquer par la terre.Reprend Bélénos. _Et tu veux débarquer où ? Rétorque un pirate. _Au Nord par exemple. _Au Nord ? _Mais oui, au Nord de Basse-Terre ! Les plages sont étroites certes, mais facilement accessibles pour un débarquement en masse. Contrairement aux plages du sud avec leurs barrières de corail, celles du Nord n’en ont pas et le fond descend rapidement ce qui permettra de rapprocher les navires au plus près !
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« Répondre #26 le: 30 Avril 2009 à 18:19:11 » |
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Vaughan regarda étonné Bélénos.
- Mais on vous l'a dit, l'île de la Tortue ne contient que deux accès, l'un est le port même on ne pourrait y accéder qu'en entrant dans la baie et donc sous le feu des deux forts. Après libre � vous de trouver bonne emplacement pour débarquer. - le second reprit Nelson est un boyau dans la roche connu des espagnols pour l'avoir utilisé deux fois et avoir été chassé de l'île la première fois par le même chemin. Ils ne feront pas deux fois la même erreurs.
Francois expliqua avec une voix grave et un rythme lent les paroles du corsaire. - C'est un chemin extrêmement étroit où l'on ne peut combattre, une poignet d'hommes bien armés seront assez efficace pour exterminer nos hommes. attaquer un groupe bien placé en hauteur par ce chemin est encore plus risqué que d'attaquer fort La Roche. Car ce n'est pas des murs de pierres qu'ils font faire tomber mais emprunter un chemin étroit où manœuvrer se relevé impossible, cela sans aucune aide des navires.
- Rha! maudits soient des espagnols! par le diable ils ne resteront pas sur l'île jura Catan Bélénos a peut être raison prendre les plages du Sud ne serait pas insensé
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« Répondre #27 le: 01 Mai 2009 à 12:58:42 » |
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_Non pas les plages du Sud ! Je parle de celles du Nord, l� où les espagnols ne s'attendent pas � nous voir débarquer ! Corrige Bélénos. _Mais que faites-vous des falaises ? S'intérroge Vaughan. _Et alors on les escalade comme pour pil... euh attaquer les navires ! A cet endroit elles ne sont guères plus hautes qu'un trois ponts. On a tout ce qu'il faut, des grapins, des filets, on les adapte pour l'occasion, en plus cette zone n'est pas habitée et les falaises sont surplombées de forêts pour couvrir notre progression pratiquement jusqu'� la plaine de la baie au Sud. De nuit il nous faudra � peine trois heures pour y arriver. Les espagnols seront surpris de nous voir sur leurs arrières ! Et avec l'appui du reste de notre flotte au sud face � la baie, on devrait garder l'avantage de l'offensive au moins le temps de faire tomber Fort La Roche. Si celui-ci tombe rapidement, l'autre fort et le reste devraient tomber aussi rapidement. Enfin c'est ce que j'espère en tout cas.
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« Répondre #28 le: 01 Mai 2009 à 14:14:17 » |
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Tout le monde écouta Bélénos. Catan prit la parole.
- On pourrait attaquer le fort avec le matériel qui nous aura servit � monter les falaises. Les navires de guerres, les deux frégates, le deux ponts de Hyorg et le galion qui sera déj� sur place attaqueront le port. Quand on entendra les canons résonner les hommes qui auront débarquer. - Pas bête. De plus qu'ainsi on évite le désagrément que Bélénos a émis. L'encombrement du port nous gênera pas, et d'ailleurs nos navires auront plus de place pour manœuvrer Dit Nelson. - En effet! et par tout les saints on les bottera!
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« Répondre #29 le: 01 Mai 2009 à 20:59:59 » |
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hyorg revint dans la pièce ayant écouté de loin la discutions . -donc au petit matin lorsque les canons résonneront l'attaque débutera, mais combien de navire de guerre ennemis serons au mouillage? prit d'une toux il s'appuya contre un meuble serrant sa poitrine au niveau du cœur quelle que instant et reprit. -désolé pour ceci, car nous devrons attaquer le fort et le ou les navire ennemis restant alors je propose que les deux frégates s'occupent d'abord du fort et que mon navire et le galion mettons hors de combat la force maritime présente qi'en pensez vous ? a la fin de sa phrase il s'installa dans un fauteuil proche.
Les capitaines se regardèrent, étonné des moments de faiblesse du pirate. L'un hocha la tête.
- Le gouverneur a parlé de peu de navire � quai, selon des sources mais le plan me semble pas stupide. - Mais va falloir faire attention les espagnols ne sont pas des imbéciles ils n'auront sans doute pas la force de nous résister ils vont alors concentrer leur force sur les frégates ou sur votre navire. dit le chef de la garnison. - En effet je pense que les dégâts subits vont être concentré mais seul Dieu sait qui va devoir payer les frais... Dit Vaughan
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« Dernière édition: 02 Mai 2009 à 08:57:56 par scar »
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