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Auteur Fil de discussion: Quête : La reconquête de l'à®le.  (Lu 63536 fois)
kevin26703
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« Répondre #45 le: 25 Novembre 2009 à 17:04:30 »

Les deux groupes se rencontrèrent dans un horrible fracas,se battant pour survivre et atteindre son objectif.

- On doit débarrasser des espagnols et sécuriser notre zone pour tenter une aproche du fort . Allez les gars dit le bosco en achevant un espagnol d'un coup de sabre dans le ventre après l'avoir désarmer.

Certains espagnols purent tse mettre en joug et abbatre sans laisser aucun espoir aux pirates tombés sous les balles.
Un jeune mousse qui fit son premier mort se prit un coup de baillonette dans la gorge,le sang gicla de sa jugulaire et aspergea de sang son tueur,celui-ci fut vengés par un de ses frères d'armes qui fit rouler la tête de tueur espagnol sur un morbide tapis de sang.
Le groupe d'espagnols qui fut bien réduit en nombre dut battre en retraire mais ce fut une terrible erreur pour eux,les pirates prirent leurs pistolets et abbatèrent les espagnols.Bien que hors de portée du fort les pirates devaient afffronter les maigres renforts espagnols lancés sur eux.

- On ne peut plus tirer pour le moment on perdrait trop de temps!

- Bien combattons avec nos sabres, faites le moins de survivants possibles et tuez les en donnant le moins de coup que vous pouvez. Regardez l�  bas les renforts vont surement arriver,il faut tenir une zone pour les renforts.

Et voila que la bataille refit rage,les espgnols et les pirates poussèrent d'horribles cris de guerres, des têtes allaient tombés.  
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« Répondre #46 le: 25 Novembre 2009 à 18:15:08 »

Les coups s'enchainent, l'ennemi de Seth avait une défense dure �  percer. Ses attaques étaient quasiment tout le temps dans le vide, seth préférait esquiver que le parer, espérant garder son arme libre pour l'atteindre.

Mais l'espagnol se tenait droit et loin, profitant de toute la longueur de son bras et de sa rapière en rallonge. Les deux hommes s'avancaient et reculaient dans un balet infernal.
autour d'eux une mêlée, des tirs de mousquet, mais personne n'osait s'interposer. Ignorant les deux combats qui eux ignoraient le reste du monde, dans la ronde de leur combat.

Seth esquiva un coup et frappa, la lame de son cimeterre claqua sur le plat de la rapière. Il la fit glisser profitant de cette ouverture pour s'avancer, mais son ennemi fit tourner son poignet et dirigea l'arme de l'arabe vers le sol. Seth alors sans perdre un instant, lui envoya en plein nez un coup de poing. Le bruit sourd et sec d'un os se cassant retentit. Le visage en sang l'espagnol recula, portant une de ses mains �  son nez il attaqua. Son jeu de jambe était impeccable.

Soudain Seth entendit un cri, l'un des soldats qu'il avait affronté foncait sur lui. Une parade et Seth en un pas de côté se trouva dans son dos, il donna un coup horizontal déchirant la chair avant de prendre l'homme par l'épaule et de le placer entre la pointe du chef et lui même. Le soldat arrêta de crier quand il reçu un plein dans le front la pointe qui s'enfonça.
Les deux hommes observèrent un moment autour d'eux, seulement deux minutes avaient du s'écouler. Le combat de la place était comme leur duel, loin d'être achevé, aucun des camps n'abandonnait, les espagnols tombaient petit �  petit mais les pirates n'étaient pas bien nombreux et maintenant les groupes qu'ils devaient affronter étaient face �  eux de l'autre côté.
une fusillade commença avec au milieu s'affrontant deux duellistes de haut niveau.

Seth n'avait pas croisé d'ennemi �  sa hauteur depuis longtemps et s'il le pouvait il l'épargnera quand il sera défait. Un sourire de vainqueur cruel se forma lentement sur Seth qui attaqua, prenant son arme �  deux mains il frappa de toutes ses forces, repoussant sans ennemi qui perdait l'équilibre �  chaque coup. l'espagnol sauta et se retourna fuyant Seth qui prit appuie sur le rebord de la fontaine et sauta en avant. L'espagnol se retourna il lui était impossible de tuer son ennemi et de se sauver la vie, mais il prit son manteau et le jeta sur Seth alors qu'il fit un bond en arrière pour éviter l'épaisse et redoutable lame arabe. seth aveuglé tomba et s'écroula par terre.

Il voulut prendre son arme mais trop tard un coup de pied la fit glisser �  deux mètres. Il se retourna pour voir son ennemi, celui qui allait le tuer. Un mélange de respect et de peur, peur de la mort, respect de son ennemi. Un cri retentit, le chef se tourna et sans que les deux duellistes ne put comprendre, un homme s'abattit sur l'espagnol lui plantant un sabre dans le ventre et un coutelas lui coupant la chair jusqu'au os du bras tenant la rapière. 


- Non! Hurla Seth, indigné de voir si bon combattant mourir ainsi, comme un vulgaire pion dans la mêlée. Il rampa jusqu'�  la fontaine pour se protéger des possibles tirs, maintenant que le duel était fini.
Un de ses compagnons du jaguar le rejoignit, son sauveur, le sabre d'abordage couvert de sang qui s'égouttait sur les pavés de la place maculé déj�  de sang.
 
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« Répondre #47 le: 25 Novembre 2009 à 19:08:50 »

John n'avait rien pu faire pour sauver Charles. Ce dernier était tombé sous ses yeux sans un bruit.  Après un dernier regard sur le corps sans vie de son capitaine  John sauta dans la rue. Les lames s'entrechoquaient, les balles fusaient, le combat qui s'y tenait était d'une intensité incroyable. John se rua dans la mêlée, il tua plusieurs espagnols avec une grande facilité quand soudain il fut touché �  l'épaule, l'arme par chance n'avait pas pénétré la chair, John se retourna immédiatement faisant face �  son adversaire. Il avait maintenant devant lui un espagnol imposant, l'homme abattit son sabre sur John de toutes ses forces. Bien qu'il eut mis son sabre en contre John fut projeté au sol sous la violence du coup, �  peine eut-il touché le sol qu'il roula sur la gauche et tout se relevant frappa son adversaire. Le géant hurla de douleur, John venait de lui trancher la main. L'espagnol n'eut guère de temps pour se rendre compte de son malheur, John se rua sur lui et lui planta sa dague en pleine poitrine. Il n'eut pas un regard pour ce corps sans vie qui s'écroula sur les pavés et continua sa course en direction d'un groupe de pirates aux prises avec des espagnols. Les balles fusaient, les pirates étaient peu nombreux mais se battaient avec acharnement. John était maintenant face �  deux espagnols, il fit tomber le premier sous la violence de ses coups. En revanche le second résistait et paraît tous les coups de sabre, John fit alors un bond en avant en tournant sur lui même, son sabre en avant. Son adversaire fût surpris et recula d'un bon mètre, John une fois retombé sur ses deux pieds balança sa dague de toutes ses forces en direction du crâne de l'espagnol. Le coup fit mouche. Sans attendre un instant John récupéra sa dague. Il fut contraint de reculer sous la poussée espagnole. Ces derniers tentaient de repousser les pirates vers le centre de la place, près de la fontaine afin de mettre leurs adversaires �  portée des fusils. Voyant qu'ils ne pourraient résister le petit groupe de pirates se scinda en deux. John se réfugia au pied de la fontaine. C'est alors qu'il aperçu deux hommes, il reconnut immédiatement l'un deux. Un guerrier farouche qu'il avait vu sur la plage et ensuite en compagnie des dirigeants lors de la marche. Il s'approcha des deux hommes.

Un groupe d'une dizaine d'espagnols se dirigent vers nous!

Les deux autres, le regardaient, comprenaient-ils l'anglais? Le prenaient-ils pour un espagnol? John n'avait pas le temps de se faire comprendre, il fallait agir et vite.  
« Dernière édition: 25 Novembre 2009 à 19:11:41 par mortebus »
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« Répondre #48 le: 26 Novembre 2009 à 16:38:58 »

   De son côté, Bélénos était toujours stoppé dans sa progression vers le fort. Il était conscient qu’il ne fallait pas laisser d’ennemis derrière lui.  Il était obligé de neutraliser ces soldats pour continuer et il cherchait une solution pour se sortir de cette situation délicate. Il avait perdu beaucoup d’hommes dans cette embuscade tendue par les espagnols et il restait encore le fort d’Oregon �  prendre. Belford était avec lui et tout deux ne trouvaient pas de solution évidente pour investir les maisons tenues par leur adversaire, sans risquer encore de lourde perte.

_On est l�  pour un bout de temps. Ils se sont barricadés �  l’intérieur, c’est une vraie forteresse ! Constate Belford.
_Oui et nos tireurs ne peuvent plus les atteindre, même par les fenêtres. On est bloqué pour de bon. C’est nous qui les encerclons mais finalement c’est eux qui tirent les ficelles !
_On ne peut pas les laisser derrière, même en mettant des hommes pour les contenir. On a besoin de tout le monde pour investir le fort, on en a déj�  perdu suffisamment comme ça !
_Il faut trouver quelque chose et vite… mais quoi ?
A ce moment, un homme arrive essoufflé vers Bélénos et Belford.
_Capitaine ! Ca y est on est arrivé !
_Arrivé où ? lui demande Bélénos étonné.
_Au fort parbleu !
_Tu es avec qui ? Lui demande à son tour Belford.
_Avec Pierre Cantasbois, c’est lui qui m’envoie, il attend de nouvelles instructions.
_Vous avez fait vite ! Et comment c’est l� -bas ? Interroge Bélénos.
_C’est apparemment calme. On ne voit aucun soldat, ni sur les murs d’enceintes, ni autour. Le fort est dans un piteux état et ça flambe �  l’intérieur on dirait, on voit beaucoup de fumée s’élever. P’être qu’ils en avaient marre de la respirer et qu’ils sont tous partis, Ha ! Ha ! Ha ! S’exclame le pirate en rigolant de toutes ses dents jaunes.
_C’est peut-être un piège aussi suppose Belford tout en réfléchissant à autre chose … Il me vient une idée avec la fumée justement… Si on les enfumait ? En indiquant de la tête les espagnols. Enfermés comme ils sont, ils ne tiendraient pas longtemps !
_Mais oui bien sûr ! Puis Bélénos se tourne vers l’homme en souriant. … Compagnon, tu viens de nous sortir d’une sacrée mauvaise situation !
_Moi ?
_Mais oui toi !... Bon, maintenant tu vas rejoindre Pierre et lui dire de nous attendre. On ne devrait pas en avoir encore pour très longtemps.
_Tout de suite capitaine !

   De ce pas, le pirate reparti en courant vers l�  où il était venu. Il était heureux d’avoir rendu service �  ses supérieurs, mais se demandait de quelle façon il avait bien pu le faire !

_A nous maintenant ! Lance Bélénos rassuré d’avoir trouvé une solution. Allons enfumer ces salopards !
   
« Dernière édition: 26 Novembre 2009 à 16:48:10 par Taranis »
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« Répondre #49 le: 03 Décembre 2009 à 18:01:06 »

La troupe fonça, il fallait agir vite.

Les espagnols tirèrent, les balles éclatèrent sur les pavés mais deux firent mouche, deux pirates tombant en avant, stoppés dans leur course.

Le riposte fut plus énergique.
Les pirates vidant tout leur mousquet sur ceux qui se tenaient au balcon. Ce dernier éclata, la poussière se leva �  chaque impact, tandis que les quatre espagnols rendirent l'âme.

�  ce moment seth se leva �  son tour et courut, le batiment était en face d'eux. Il ne devait pas y avoir encore beaucoup de défense, les canons des fusils quittaient les trous faits dans les volets, pour être rechargé.

Les pirates �  coup de hache firent tomber la porte tandis que plusieurs tiraient �  coup de révolver ou même ne pointait �  l'aveuglette leur fusil pour accentuer la pression sur les soldats restant. La porte tombant entrainant ses gonds avec elle dans un vacarme, elle laissa alors entrer les pirates.

Les soldats devant eux se résistèrent pas longtemps. Il n'était pas plus nombreux que les pirates mais fatigués pour beaucoup et blessé.
dans la grande salle de ce qui était avant la salle d'accueil et de réunion d'une société de commerce qui entretenait ses relations avec Hispaniola, le combat commença.
Les sabres s'entrechoquèrent, les cris de rage et les menaces fusaient des deux camps. C'était mourir ou vaincre pas de reddition! Seth quoi que blessé prit par au combat. Frappant parant et esquivant, il finit par défaire son ennemi le tranchant net, tandis qu'il voyait un autre espagnol se faire embrocher sur un mur. Son sang laissa une trainée épaisse sur le mur avant de couler sur le sol.

Les survivants se rendirent; les pirates en crièrent pourtant pas victoire.

- On n'est même pas une dizaine encore indemne et pas plus d'une vingtaine... constata un des pirates.
- Trainons ses espagnols jusqu'aux quais là on pourra demander du renfort... proposa le seconde Francois.

Plus loin les hommes de kevin reçurent des renforts, venant de la forêt fransesca arriva enfin dans la ville, ils virent un aperçu de l'enfer. Une ville totalement prit dans la folie du combat, les flammes grandissaient et se propageaient. Les navires continuaient leur bombardement tandis que le Fort d'Oregon s'était tue celui de La roche narguait les navires de ses remparts épais de pierre.

Les aventurieux descendirent vers la ville et le fort. 
 
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« Répondre #50 le: 08 Décembre 2009 à 15:32:24 »

   Les hommes de Bélénos de leur côté, avaient commencé �  enfumer les espagnols retranchés �  l’intérieur des maisons. Ils avaient mis le feu �  des chiffons et �  des tissus imbibés de goudron dans des tonneaux qu’ils avaient récupérés ça et l�  dans des échoppes abandonnées. Une épaisse fumée noire et grise, avec une forte odeur d’huile et de graisse chaude, commençait �  envahir les étages, montant dans les cages d’escalier, passant sous les portes ou s’infiltrant dans les interstices des vielles cloisons en bois. L’air devenait de plus en plus irespirable.

   Bélénos attendait avec Belford et les autres que leur fumigène improvisé face son effet. Ils s’impatientaient d’en finir. Ils n’avaient aucune nouvelle des autres groupes et des batailles qui faisaient rage dans le reste de la ville, dont les incendies progressaient inexorablement vers eux.

_Qu’est-ce qu’ils attendent ces imbéciles ? Ils ne voient pas qu’ils n’ont aucune chance ? S’interroge Bélénos.
_Avec toute cette fumée ils ne risque pas de voir grand-chose en effet ! Rétorque Belford amusé.
Les deux hommes se mirent �  rire, puis immédiatement suivi de leurs confrères �  côté d’eux. Ils avaient entendu la réplique et ils étaient tous partis dans un fou rire communicatif.

_Bon ! Fait Belford encore tout rouge d’avoir bien rit. Si on les motivait un peu !
_Tu as raison lui répond Bélénos.
Puis il se tourne vers ses hommes et leur demande :

_Est-ce que quelqu’un parmi vous sait parler espagnol ?
_Si seignor capitane, moi ! Yé souis dé Valancia ! Répond un pirate un peu plus loin.
_Parfait ! Demande leur de se rendre et ils auront la vie sauve, on n’a pas que ça �  faire !
_Bien capitane !... Hi los soldados! Mi maestro te pide que vayas! Se le salvó! ¡Date prisa o te asados como los cerdos y el capitán no me gusta demasiado cocida la carne! *
_ Tout ça ? S’étonne Belford devant ce long phrasé. Qu’est-ce que tu leur a dit ?
_Yé lor ai dit qué s’ils né sé rendaient pas pronto, mon capitane n’aimait pas la viande trop cuite.
Il y eu un très court moment de réflexion, puis soudain tout le monde se prit de nouveau d’un fou rire dont les échos rebondissaient dans toute la rue, allant jusqu’aux oreilles des espagnols qui n’en menaient pas large, faute de savoir quoi penser de cet appel pour le moins ambigu.

   La panique s’emparait des soldats pris au piège. On pouvait entendre de l’extérieur comme des cris de dispute dévoilant une confusion parmi eux. Visiblement certains voulaient se rendre contre l’avis de leurs chefs. Puis soudain il y eut des coups de feu, on aurait dit une courte fusillade…

   Quelques minutes plus tard, un tissu blanc s’agitait �  une fenêtre. Les espagnols se rendaient enfin, tandis que la fumée sortait de presque toutes les fenêtres cassées du bâtiment. On ne savait pas réellement ce qui s’était passé �  l’intérieur, mais une chose est sûr c’est que la troupe de Bélénos allait enfin repartir et s’occuper du fort d’Oregon, dernière étape avant la prise du port.


 * Salut la soldatesque ! Mon capitaine vous demande de vous rendre ! Vous aurez la vie sauve ! Dépêchez-vous sinon vous serez grillés comme des porcs et mon capitaine n’aime pas la viande trop cuite !  
   
« Dernière édition: 17 Décembre 2009 à 11:32:12 par Taranis »
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« Répondre #51 le: 08 Décembre 2009 à 21:13:43 »

Seth et ses compagnons s'avancèrent dans les rues quasi désertes, guidés par un pirate qui avaient déj�  posé pied sur l'île.

Ils marchaient dans les maisons, la fumé commençait �  couvrir le ciel, déj�  couvert de nuage teintés de bleu marin sombre et de nuance clair, que le soleil se levant éclairé légèrement. Un nuage gris, noir lourd et puant la cendre se dressait au dessus de la ville. Plusieurs quartiers avaient disparu dans les flammes, léchant le bois et s'éparpillant au vent.

Les pirates exténués par la chaleur et les combats trainèrent leur blessés et les prisonniers sur le quai.
Contre toute attente il virent que le navire du corsaire Monfort avait mouillé le plus proche que son tirant d'eau l'eut permis.
Les corsaires montaient �  quai, quittant dans les esquifs un navire salement amoché, le mat de misaine, au niveau de perroquet de fougue était brisé, de nombreuses bordées étaient en miette.
Dans la baie les navries encore présent continuaient de manière sporadique �  canarder le fort la Roche, celui d'Oregon s'était tu.

Les corsaires armés et tous intact virent arriver �  eux un groupe couvert de sang, avec plusieurs boiteux et des espagnols sous leur ordres.


- Qu'est ce que vous faites? Par le diable vous tuez pas ceux qui se rendent? fit un quartier maitre, avec une pointe de sarcasme, se moquant des manières de ces brigands des mer. Ce dernier sortant son pistolet fit mine d'abattre tout les espagnols.
- On leur a donné notre parole contre leur reddition! répondit le second de Francois
- Et ca on la tiendra! rajouta un pirate, boitant se servant de son fusil comme d'une béquille.

On placa les prisonniers dans un petit bateau, un chassé marée de pêcheur encore �  quai. On en profita pour soigner le plus vite possible les blessés.


- Va falloir faire tomber le fort et la ville est à nous. Déclara le quartier maitre.
- que dieu nous garde si nous échouons, Nicolas.

les marins regardèrent la Baie, avec un navire coulé dont le mat dépassé, s'étant posé sur un haut fond, voyant un navire avec le mat qui s'écroulait dans un grincement de corde et un claquement sec des haubans lachant et du mat touchant l'eau.
Par moment la fumée apparaissait �  un sabord, et la détonation se faisait entendre.

seth regarda la baie cherchant leur navire.
il s'en sortait bien, mais les voiles presque toute déchirées il avait fait mise �  la cap sous le fort d'Oregon pour changer les focs et le grand hunier.

- un miracle qu'on reçoit pas un boulet!
- Ouai Yoan, une étoile veille sur nous!
- Tu veux parler de la tienne Seth? répondit yoan en riant; un rire crispé car la douleur au ventre et aux côtés se fit ressentir.
Seth lentement lui retira la main pour voir l'état de la blessure.
Les deux balles avaient déchiré la chair et même cassé un os, vu le sang qui coulait de la plaie et de sa bouche, un poumon avait du être touché.
Seth fit une tête gênée ne sachant quoi dire, il se releva et quitta le navire, la jambe bandée.

Les corsaires et le reste des pirates étaient prêt �  laisser les espagnols attachés sous la sécurité de l'aide de soin et des blessés pour partir combattre fort la roche et le faire taire avant qu'il ne coule un autre navire.
 
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« Répondre #52 le: 10 Décembre 2009 à 16:01:56 »

   Au fort d'Oregon tout semblait calme, comparé au bruit des batailles qui se poursuivaient plus loin dans les autres quartiers. Le fort en lui-même était posé en haut d’une petite colline, si petite qu’il dépassait de très peu les toits des maisons aux alentours. Celles-ci étaient réparties en arc d’un demi-cercle, faisant face �  la grande porte principale dont les plus proches n’étaient qu’�  une cinquantaine de mètres des murailles, elles aussi avaient malheureusement subit le tir d’artillerie de la flotte.

   On était arrivé �  la limite Ouest de la cité. Au sol, entre le portail et les premières ruelles, la terre noirâtre de l’île, mélangée au sable que les habitants avaient apporté des plages environnantes pour tenter de limiter le ruissellement des eaux de pluie, s’était transformée en une boue épaisse qui par moment s’enfonçait jusqu’aux chevilles. Sur les terre-pleins aux côtés du fort poussaient des herbes folles et des petits buissons que personne ne prenait la peine de couper. Derrière commençaient quelques cultures de canne �  sucre qui se poursuivaient jusqu’�  la forêt quelques centaines de mètres plus loin.

   Apparemment le fort avait été sérieusement touché. Par-dessus les murailles en pierre s’élevaient de grosses colonnes de fumée. Ces murailles étaient partiellement détruites sur les hauteurs mais laissaient encore apercevoir les bouches béantes de quelques canons de 24 qui dépassaient des meurtrières. Ils étaient devenus silencieux, contrairement �  ceux du fort Laroche qui tiraient toujours malgré les assauts répétés des pirates.

   Bélénos, accompagné de Belford, avait rejoint Pierre Cantasbois devant le fort, tout en restant �  couvert dans les ruelles adjacentes.

_Alors où ça en est ?
_Toujours aucun mouvement répond Pierre à Bélénos.
_Et aux alentours ?
_J’ai sécurisé le secteur. On a fouillé, aucun signe de soldat. J’ai placé des sentinelles sur les toits. Ils sont peut-être bel et bien partis, mais j’ai quand même un doute. Ils ont peut-être laissé des gardes �  l’intérieur, que ça ne m’étonnerait pas !
_Qu’est-ce qu’il te fait penser ça ? Demande à son tour Belford à Pierre.
_Si j’avais dû fuir sous les tirs d’artillerie, je n’aurai pas perdu du temps �  refermer convenablement la porte derrière moi au risque de me prendre un boulet. Voila pourquoi je trouve cela suspect.
_On a des nouvelles de l’équipe qui se charge de notre matériel et de nos munitions ? Se demande Bélénos.
_Aucune. On les a perdus dès le début de l’assaut. Ils n’ont pas suivis et ont dut se perdre en ville. Pour les munitions les hommes en ont encore, mais pour le reste…
_Donc on est obligé de passer par la porte. Il faudra trouver le moyen de la faire sauter, mais avec quoi ? S’interroge Bélénos.
_Si Manu était avec nous, il saurait quoi faire lui ! Lance Pierre dans un soupir de déception.
_Oui, mais il n’est pas avec nous répond Belford avec un soupçon de lassitude. On est de nouveau bloqué devant un fort silencieux qui a ses portes bien fermées. On n’a pas le matériel d’assaut, qui lui doit se promener �  notre recherche quelque part en ville, peut-être même qu’ils se sont fait tuer. Ailleurs la ville est �  feu et �  sang et on est l�  �  chercher le moyen de renter dans une bâtisse �  moitié détruite, sans aucun signe de vie de l’ennemi. Franchement je souhaite que tout ça finisse vite parce que moi je commence �  en avoir assez de cette bataille !
_Allons, ne t’en fait pas rassure Bélénos. On n’a pas beaucoup de nouvelle des autres, mais s’ils étaient en déroute nous le saurions déj� . Je pense qu’on progresse bien dans l’ensemble. Il y a même quelques navires qui ont réussis �  débarquer des renforts vers l’Est de la ville. On va trouver une solution pour prendre ce fort et après la route sera libre vers le port.
_Alors trouvons cette solution et au diable les espagnols ! S’exclame Pierre.
_C’est ça ! Au diable les espagnols ! Répète Belford.
Puis soudain, d’une seule voix les hommes �  côté d’eux renchérissent de plus belle.

_Au diable les espagnols !
_Au diable les espagnols !
   
« Dernière édition: 20 Décembre 2009 à 13:42:58 par scar »
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« Répondre #53 le: 16 Décembre 2009 à 16:20:47 »

   Tandis que le groupe de Bélénos et Belford cherchait le moyen d’investir le fort d’Oregon qui ne donnait aucun signe d’activité apparente, au fort Laroche au contraire la bataille faisait rage et des canons tiraient toujours sur la flotte.

   Malgré les dégâts importants du tir d’artillerie, suivis des assauts répétés des pirates, le fort tenait bon et l’adversaire résistait de façon héroïque. La violence des combats était proportionnelle �  la détermination des deux camps d’en finir au plus vite avec l’autre. Les morts s’accumulaient des deux côtés et les blessés n’étaient même plus ramenés en arrière tellement il y en avait.

   Chez les pirates plus du tiers de l’effectif avait été décimé. Sur les six cents combattants engagés dans la bataille du fort, il en restait moins de quatre cents. On suppose que les espagnols ont eux aussi eut beaucoup de perte. Deux fois déj�  les pirates avaient réussi �  franchir les murailles et investir la place, mais ils furent repoussés avec toute la rage d’une bête acculée au mur, lutant de toute ses forces pour sa survie.

   Pour la troisième tentative, Francesca qui était �  la tête de l’arrière garde fut appelé en renfort avec ses cent cinquante hommes frais et dispos. Ils allaient cette fois-ci attaquer sur deux fronts et non comme les autres fois sur un seul. De cette façon ils espèrent désorganiser l’adversaire en divisant ses forces.

   
« Dernière édition: 16 Décembre 2009 à 16:48:20 par Taranis »
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« Répondre #54 le: 19 Décembre 2009 à 14:34:07 »

Seth marchait dans la troupe de pirate et surtout de corsaire, eux frai et pour la plus part indemne alors que les pirates qui sortaient de plusieurs combats étaient bien souvent couvert de sang et exténué, espèrant que le combat se finisse vite.

Ils rejoignirent les troupes qui s'attaquaient au fort de La Roche, devant les épais mur de pierre de nombreux corps gisaient sans âme, un décor de champs de bataille digne de ceux des immenses armées. De la fumée montait de certains bâtiments et la porte était éventrée, l'un des battants, lourd en fer reposait par terre.

Le jour se levait lentement mais les nuages recouvraient le ciel et la pluie se remettait �  tomber.


- Enfin encore du renfort! s'écria un pirate en voyant la troupe arriver. Jaguar courant se retourna �  son tour et les vit, un léger sourire apparu sur son visage.
- Voila de quoi donner victoire!
- Bien le bonjour les gars fit un pirate à la voix rauque. On a réussit �  prendre les remparts et �  forcer la porte mais les espagnols ont tournés les canons vers les murs, et se sont en parti réfugié vers leur bâtiment de l'autre côté de la cour.

en effet les francais retirés les corps des blessés sous les remparts et les soignés un peu �  l'arbi, si un espagnol montrait sa tête une ou deux balles venaient alors percuter la pierre voir parfois le crâne du soldat.
- une attaque de front serait fatale commenta l'officier corsaire qui compris la situation.
- Pourquoi ne pas faire plusieurs attaques en plusieurs lieux comme on a fait pour la ville? suggéra Seth. de plus cela pourrait faire diversion.
- Diversion pour quoi? demanda l'officier se tournant vers l'arabe. La situation en faisait oublier chez tous racisme xenophobie ou autre sentiment de rejet de leur compagnons d'armes.
- Avec un petit groupe je pourrais tenter de passer par l'arrière du fort si on l'attaque de face, alors si on arrive assez vite dans la mélée vous pourrez profiter de la surprise pour avancer.
- Non! c'est trop risqué, ceux qui vont y aller vont y rester.  déclara angmar, entendant l'étranger parler. Il est de mon devoir de m'assurer des chances de survie égales pour tous! De plus ces diables d'espagnols vous tueront avant!
Tout était calme pour l'instant, par moment la poudre parlait, le sifflement d'une balle qui bien souvent se finissait sur le bruit aigu qu'elles faisaient en percutant la pierre ou le fer.

L'idée des charrues pour se protéger fut aussi amenée mais il fallait des hommes pour aller en chercher et surtout garder la pression pour que les remparts restent un no man's land et que les espagnols ne s'établissent pas de nouveau dessus.

-après continua l'officier corsaire. Quelques hommes pénétront en poussant les charrues, les espagnols useront sans doute de leur charge de canon pour les détruite et s'ils focalisent leur attention dessus on pourra mieux s'établir sur les remparts.
- Allons en chercher! Seth tu n'es d'aucun secours ici comme jag' allez avec les autres chercher des charrues. Manu vient avec moi!Dit Angmar prenant son fusil �  plein main.
On relanca un petit assaut sans but de passer les remparts mais afin d'empêcher les espagnols de s'organiser.

Ces derniers se barricadant dans le fort, le grand batiment, ripostèrent les échanges étaient sans effet, il fallait que les pirates prennent entièrement le rempart, de l�  ils tourneront les canons sur le fort et passeront par les couloirs du rempart pour pénétrer le batiment.
 
« Dernière édition: 20 Décembre 2009 à 13:48:18 par scar »
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« Répondre #55 le: 19 Décembre 2009 à 15:14:09 »

Le combat fut interrompu, les espagnols battèrent en retraite marchant �  reculons voyant les renforts arriver,fusils aux mains les espagnls étaient prets �  se défendrent, les hommes du bosco était pret eux aussi �  se défendre malgré le peu de pistolets et fusils qu'ils avaient.Les espagnols se rapprochèrent du fort suivit des corsaires qui s'arretèrent net car ils étaient trop pret du fort,de peur de se faire tirer dessus par l'artillerie ou les soldats cachés derrière les remparts.

- Pourquoi on les a pas tuer ? demanda un pirate au bosoc Twigerfield .

- Pas la peine , renvoyons les blessés sur "Le Monstre des Mers" il y a des hommes qui arrivent de la forêt en renforts.

Les blessés furent trainés jusqu'aux chaloupes, puis rapatriés sur le navire.
Kévin regarda la scene et vit les blessés monter �  bord,il demanda des nouvelles du combat mais il ne sut rien de précis.


- Envoyez 50 marins en plus, Luis vous qui êtes d'origine espagnol allez avec eux ça pourrait les aider.

Les renforts s'exécutèrent, les chaloupes partirent avec des renforts et un peu de matériel comme des munitions, armes ou explosifs.Arrivés �  terre le second prit la relève pour le commandement des troupes.


-Vous êtes les renforts ? demanda le second à l'homme qui semblait être leur chef.
- Si c'est le cas vous tombez bien ajouta le bosco.

Deux soldats regardèrent les renforts et se demandèrent combien ils étaient .
- Ils sont aux moins  100 chuchota un marin
- Voir plus de 150 répondit tout bas son camarade.  
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« Répondre #56 le: 04 Janvier 2010 à 21:55:27 »

c'était les pirates étaient assez nombreux, presque tout les hommes de la ville, hormis ceux que bélénos et ceux qui venaient de mettre peid �  terre, étaient devant le fort.

on avait apporter trois charrue, et des chevaux pour les tracter, deux étaient remplies d'objet solide afin d'en faire un mur et l'autre non. Sous une pluie battante de plus en plus forte on lanca l'assaut, il fallait agir avant que la terre ne devint boue et qu'il fut impossible de lancer les charrues.

Celle ci foncèrent �  toute vitesse vers le bâtiment, les espagnols craignant �  un brûlot, un chariot plein de poudre, ouvrir le feu abattant les chevaux.
Les pirates montaient sur les remparts, tentant pour certain de retourner (mais sans espoir) les canons vers le fortin, bastion du fort, d'autre �  s'avancer.

Les pirates couraient se mettant �  couvert de la pluie de plomb meurtrière qui en faucha plus d'un, qui tombait face dans la boue. Un des canons fit sauter l'un des chariot avant de ne voir le dernier s'avancer, avec de nombreux hommes armés de mousquets qui allaient se réfugier derrière les premiers, assez épais pour ouvrir un mur aux balles.

Les pirates du rempart, dont Seth, allèrent pour beaucoup vers la tour qui donnait axé au couloir du rempart, menant en toute sécurité �  l'intèrieure du bastion. la tour était protégé par peu d'hommes mais bien �  couvert, on avanca en tirant coup sur coup que lorsqu'un soldats tentait de se montrer.

La porte était �  moins de quelque ètres et aucun mort, juste des blessés.
Soudain un choc, venant déchirant la porte de la mitraille coupa net les premiers leur ouvrant le ventre. Seth et les autres pirates virent les dix premiers s'écrouler, certains tombèrent même se briser les os dans la cour; c'était un rud coup mais qui leur ouvrait un moyen d'entrer ou du moins de prendre la tour.

Manu sortit de sa besace deux bouteilles contenant de la poudre. 


attention ca va exploser! hurla t il après les avoir allumées et jetées dans la porte. La double déflagration fit voler les morceaux de la porte comme des bordées sous la pression d'un boulet en fer. On entendit le canon s'écrouler et des cris de douleurs.

alors que la troupe, composé surtout de corsaire de Nelson, avançaient �  vive allure, tirant toujours leur coup sur le toit afin de tuer ou blesser juste ceux qui osent se montrer. De petites choses volèrent de par dessus le rempart de la tour et virent s'éclater au sol, au pied, et l'un sur le dos, des marins. Le feu s'embrassa, la chaleur monta et les flammes caressèrent les hommes dont un fut consommé courant et hurlant avant de tomber �  son tour dans le vide.

seth abasourdi de voir en si peu de temps autant de violence et d'art chez l'homme pour tuer, regarda le marin demandant pitié s'écraser au sol, il crut presque entendre les os se casser; mais c'était qu'illusion. Car il prit conscience du combat qui se déroulait dans la cour, des coups de feu de deux côtés, marqués par de petit nuage de fumée blanche, voire noire. Le choc des deux camps, les corsaires et pirates en tirailleur démontrant tout leur talent d'escrimeur, et en face les espagnols en range tassé, pique, épée et mousquet, montrant leur discipline dont on ne pouvait espérer un faux pas qui laisserait un blanc dans leur défense, seul moyen était presque de tuer au fusil. Car les cuirasses, les épais gant au cuir et les casques les rendaient plus lent mais plus résistant.

Par endroit la mélée était belle et bien l� , les pirates en surnombre prenant �  plusieurs les soldats et les taillant en pièce, ceux qui pensait pouvoir s'en sortir sans les autres soldats. Les pirates rencontraient la mort quand ils tombaient sur plus nombreux qu'eux voire simplement quand ils sous-estimaient leur adversaire. Etant percé de part en part par une lance, et versant sur le sol leur sang puis leur tripe quand la pique �  la lame aiguisée ressortait.

Seth comprit qu'il fallait agir vite, sautant par dessus les flammes sans s'en rendre compte un corsaire, tenant deux pistolets �  silex, et un autre �  sa ceinture en cuir, hurla �  la mort et courut, ses bottes lui permirent s'écraser la flamme, alors que seth pied nu sauta, le bout de sa ceinture en tissus qui pendait prit légèrement feu. Les deux hommes furent un exemple, l'indien imposant montra qu'il ne craignait pas la nature et avança en marchant avant que tout les pirates coururent; rien ni même les flammes de l'enfer arrêteront des pirates! 

Pénétrant dans la tour encore enfumée par les explosions, les murs sacrément déformé �  cause du barillet de poudre qui avait aussi sauté, des membres des servant de pièces déchiquetées, éparpillées dans la salle ronde. Le corsaire tira ses deux coups, tuant sur le coup un soldats, ces derniers viretn arriver après le démon arabe et le corsaire le colosse indien. Mais entendirent les cris des autres qui une second après firetn irripution.

C'était un combat où le nombre comptait peu, le peu de place forcerait �  se battre en rang. Seth et Jaguar foncèrent, la vitesse et la force, la lame et la masse forcèrent le rang, tranchant écrasant, repoussant et esquivant chaque coups.
L�  aussi le combat commença, avec trois morts et des blessés, qui se refusèrent �  lacher leur armes, chez les espagnols. Les lanceurs de molotov prirent leur armes et descendirent dans la bataille, leur venue surpris et causa la mort de deux hommes, avant de faire que le premier petit groupe était encerclé, seulement par quatre hommes �  l'arrière. Mais d'autre spirates s'aventuraient vers la tour. 
 
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« Répondre #57 le: 05 Janvier 2010 à 16:14:55 »

Shadow courait maintenant en direction de la tour en feu. Les combats faisaient rage aux alentours. Au bruit des lames qui s'entrechoquent se joignait les cris déchirant des pirates blessés, touchés par une balle. Après ce rapide coup d'oeil John se reconcentra sur son objectif. Il se rua en direction de la tour avec sa petite troupe de fortune. Les hommes sautèrent par dessus les flammes et rejoignirent la troupe de l'étranger. Tous les regards étaient posés sur cet homme impressionnant dans l'attente d'un hochement de tête comme pour dire �  tous en avant!  
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« Répondre #58 le: 05 Janvier 2010 à 17:05:04 »

La venue des autres pirates fit fuir les derniers resistance qui se tenaient devant Mitclantecuhtli.

- Par ma foi je m'appelles pas George Bucheron si ces salauds ne rendent pas les armes ou la vie ce soir! hurla un des corsaires pointant son arme vers les espagnols. Il appuya sur la détente, le chien percuta l'auget mais aucun coup ne partit. Il maudit les dieux tandis que Seth prenait calmement la manche d'un espagnol pour essuyer son arme

Le champs de bataille était sa maison, le combat son passe temps, et le sang la boisson de son cimeterre. Il observa John arriver, cet homme ammenait avec lui ceux qui avait fait fuir les espagnols.


- On y va! ordonna le seul officier présent, un corsaire. Marchant par dessus le corps d'un des hommes du "jaguar" et passant entre deux espagnols mort, répandant leur sang sur la pierre il courut suivit par ses hommes puis les pirates qui continuaient juste �  marcher, rechargeant leur arme �  poudre, seth et jaguar eux courraient. Les armes �  feu étaient pas leurs amies et il ne fallait laisser aucun répit aux ennemis, ce qu'avait compris l'officier, prenant un sabre par terre tout en contiuant sa course

Le couloir était creusé dans le mur même, étroit, de petite meurtrière en lucarne laissaient passer un peu de lumière de dehors, mais en cette période seule le bruit de la pluie battante et de la bataille venaient de ces ouverture..
 
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« Répondre #59 le: 07 Janvier 2010 à 15:19:31 »

   Pendant ce temps au fort d’Oregon, on avait enfin trouvé le moyen d’investir celui-ci. Les pirates avaient récupérés des barils de poudre de la réserve des espagnols qu’ils avaient fait prisonnier peu de temps avant. Ne pouvant rentrer que par la grande porte faute de matériels adéquates pour escalader les murailles, ils l’avaient tout simplement fait sauter.

   L’explosion fut violente. Elle ébranla la voute, déj�  fragilisée par le tir d’artillerie, qui finit par se fendre jusqu’au chemin de ronde la surplombant. Puis dans un bruit sourd elle s’effondra, obstruant le passage de ses débris encore masqués par un nuage de poussière impressionnant malgré la pluie qui s’intensifiait de nouveau.

  A peine celui-ci fut-il dissipé que les hommes de Bélénos, de Belfort et de Pierre Cantasbois s’engouffrèrent dans la brèche ainsi crée, hurlant �  plein poumon leur rage de vaincre en escaladant le monticule de gravas sans se soucier d’une riposte de l’ennemi. Car jusque-l�  on ne savait toujours pas s’il restait des soldats dans ce fort. Le silence de l’adversaire donnait l’impression qu’il avait été abandonné.

   Les premiers hommes accompagnés de Bélénos arrivèrent dans la cour. Ceux de Belfort se déployèrent sur la droite et ceux de Pierre sur la gauche. En face se trouvait un large bâtiment en bois dont le toit était effondré mais que le feu avait épargné. Sur la gauche comme �  droite d’autres bâtiments en bois mais plus petits étaient disposés en rangées dans un alignement parfait. La plupart brulait dégageant une fumée épaisse qui s’élevait verticalement au-dessus du fort avant de prendre une légère inclinaison vers l’Ouest dû au vent en altitude.

  Voyant le fort désert les pirates crièrent victoire. Tout le monde n’était pas encore rentré et un flot incessant de pirate franchissait toujours la montagne de débris. On commençait �  se dire que l’on avait de la chance de n’avoir pas combattu cette fois-ci quand soudain …

   
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Tant qu'à faire, que de faire, autant bien faire.
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