Trembez, Anglais! Les Gallois se réveillent...

[Thot]

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-Il faisait nuit, mais la douce chaleur de la mer des caraïbes n'était pas tombait. Cormac était encore sur le pont a regarder l'horizon quand le Plus jeune des Gallois, Cynyr, vint s’asseoir a cotés de lui. Cynyr était torse nue, il avait un pantalon de laine blanche déchirés au bas, et il était pieds nue.

-Tu dort pas encore, petits? demanda Cormac

-Dim(non), j'arrive pas... J'peut t'dire quelque chose que tu repaitra pas au autres?

-Ie

-Bah enfaite, j'ai un peu peur...pour les combats...

-T'en fais pas, Bach(petit), s'tu veut, j'pourrait demander a quelqu’un d'veiller sur toi. Tu sais, je sais pas si t'as vue, Bach, mais y'as un jeune d'a peu près ton âge avec eux, et sa t'ferais du bien d'avoir un ami de ton age

-Mouais, j'sais pas si y sont sûr. En plus, le p'tit a une tête d'anglais...

-Il n'ont pas l'aire de les appréciés plus que nous... Aller, va dormir, la journée de demain s'ra dur.

-Ie, merci et bonne nuit Cap'taine!

Cormac rigola devant l'entrain du petit, et pensa qu'il ne fallait pas qu'il meurt, pas si jeune. Mais il savait que Cynyr pouvait être très utile en combat, car ils se battait bien et qu'il était très agile, mais aussi car il se déplacer dans les voiles et les cordage aussi facilement qu'un singe dans un arbre. Il décida qu'il devait aller se coucher, pour ce préparer a la rude journée de demain. Il leva la tête vers le haut du mât.

-A demain, Olmo.

-Buonanotte, Capitano! répondit Olmo

Le capitaine entra dans sa cabine, puis il s’allongea sur son lit. Il poussa un long soupir, maintenant il fallait dormir. Sais pensées s'embrumèrent, et il sombra peu a peu dans un sommeil profond...

-Capitano! Capitano!

Cormac se réveilla en sursaut, car il avait cru entendre quelqu'un l'appelait. Encore un cauchemar... Il se rallongea sur son lit.

-Capitano!

Cette fois, il était sur qu'on l'appelait. Il sortit de sa cabine. Le jour se levait petit a petit. Ank s’avancait a grand pas vers lui.

-Ank! dit-il en montrant le mât.

Olmo lui faisait des signes.

-Qu'est-ce qui ce passe?! demanda Cormac

-Voilé a Tribordé Capitano!

Le cœur de Cormac fit un bond dans sa poitrine.

-Tous le monde sur le pont! allez dépêchez vous! Cyflymder!

L’équipage se mit en branle, les pirates couraient en tous sens.

-Y s'passe quoi? demanda Simon, le cuistot.

-Y'as un navire marchand a bâbord! répondit Olmo en français

-Adda, Macsen et Vincent, dans ma cabine vite!

Les trois concernés se mirent a courir a la cabine. Une fois a l'intérieur, ils se mirent autour de la table.

-Mes amis, aujourd'hui, les anglais vont pleurer!







   

[scar]

avec la participation de thot

Vincent resta debout. Le navire avait été repéré vers la fin du dernier quart de la nuit, alors qu'il devait prendre le sien. ainsi il était en pleine forme, malgré le fait qu'il n'avait pas mangé.

- Je pense qu'on doit faire preuve de prudence. On en sait rien sur le navire mise �  part qu'il n'a qu'un seul mat. Il peut s'agir d'un sloop, d'une hourque. dit il dans un anglais un peu pâteux.
Je suggères la prudence pour l'instant

Après moulte conversation engagée entre les membres importants de l'equipage, Cormac prit la parole.

-J'ai un drapeau anglais que je garde dans la cale, et, quand j'était encore au Pays de Galles, j'ai entendu parler d'une histoire, une lègende? Je ne serais le dire, tous ce que je sais, c'est que cela a marcher...

-On t'écouté dit Macsen

-Très bien, et, de toute façon, qui ne tente rien n'as rien! Bon, comme le navire ennemis ne nous a pas vue, il suffit que l'on mette des matériaux combustible sur le feu, on l'allume, puis une maigre partit de l’équipage simule des blessures, on met quelque marque de coups sur le pont, puis on hisse le drapeau anglais en même temps que le drapeau de détresse. Ils viennent �  notre rencontre, puis, une fois qu'ils sont sur le pont, l’équipage sort des cales et nous les massacrons... Je ne vous cache pas que cette méthode est très très risquée... a vous de voir...

- Hum ca me semble bien! it's good! déclara vincent après une petite réflexion.
- Le navire n'est sans doute pas assez bien armé pour nous exterminer si on le prend par surprise. Il perdra l'avantage du nombre d'homme qu'il peut avoir et de la vitesse. s'il a prit il soin de rajouter pour ne pas blesser les gallois dans leur orgueil, et parce qu'en enfait il n'en savait rien.

- On pourrait armer les canons �  la mitraille. Ainsi lorsque nous sortirons des cales, ceux sur les ponts pourraient mettre le feu aux poudres. Les deux navires seront bord contre bord ca sera un effet dévastateur!
Mais il faut être discret dans la préparation et oublier les flammes. Trop dangereux pour nous et surtout ca donne l'idée que l'attaque a eut lieu il n'y a pas longtemps. Le vent s'est bien calmé, même s'il reste frai, ils auraient du normalement entendre des coups de canons ca peut les mettre sur la piste...  

[Thot]

Les pirates débattirent pendant un long moment, puis ils arrivèrent a la conclusion, grâce a Vincent, qu'ils allez utilisez la technique du capitaine. Ils repartirent sur le pont.

-Ils ressortent... dit Simon a Jean

-Ouais, j'me d'mande bien s'qui

-Chut! Le capitaine va parler!

Les deux cuistots se tournérent vers le piedestale sur le pont supérieur. Jean, le commis, n'était pas très grand, il était aussi assez mince, et il avait a peu près 25ans. Simon lui, n'était pas très grand non plus, mais il était assez robuste, et avez un ventre assez gonflé. Il possédait le physique type du cuistot, avec ses moustache de français, et son embompoint. On voyait qu'il aimait goûter sa cuisine.

-Ecoutez moi! Nous devons faire vite! cria Cormac -On va simuler que nous sommes en détresse, puis on va les attaquer par surprise. C'est très risqué, c'est pour cela que je vous demanderais d'être très serieux. Je vais rester sur le pont avec Cadogan,Timothé, Macsen, Arnold, Thomas et Vincent. Adda, tu t'occupera de préparer l'attaque. Vas te cacher avec les autres dans les cales. Bon, déchirer vos vêtement et prenait l'air de ceux qui viennent de voir passez la mort de près. Cadogan et Timothé, rechargez les canons de mitrailles, puis soyez prêt a faire tiré la bordée tribord. préparez vous. Je vais agitez le drapeau blanc, arnold thomas, montez la bannière anglaise. Allez, au boulot! Adda! tu sortiras quand je dirais que les pirates nous ont prit par surprise, Iawn?

-Ie, Capitaine!

-Allez, j'agite le drapeau blanc!  

[scar]

- Non intervint Vincent. le drapeau blanc est une mauvaise idée! Si on le hisse c'est que celui qui nous a attaqué n'est pas loin. Notre proie peut prendre peur et partir!! Mieux vaut le drapeau de circonstance...

Pendant que le capitaine avait expliqué son plan, Thibaut et William le traduisait, le groupe l'approuvait en acquiesçant de la tête �  chaque fin de phrase. Arnold regarda Thomas avec un air vide et ahurit, ce dernier sursauta en le voyant.
- Mon dieu tu as l'air tu as vu la mort!
- Bof je verrais pas pourquoi je devrais avoir peur.
- soldat la mort est notre compagne, vous avons celé notre mariage sur le champs de bataille se prit à dire Thomas d'un air inspiré tel un général motivant ses troupes.  Nos luttons pour la satisfaire et un jour nous nous reposerons dans son lit et...
- La ferme. coupa Jean d'un air blasé rappelant �  la réalité l'ancien soldat qui s'entendait parler avec un fond de violon héroïque �  moins que ses oreilles sifflaient de nouveau. Il constata que Thimothé, La torche et Hanz étaient parti se joindre �  l'équipage. Seul le mousse, thibaut et arnold l'écoutaient, ce dernier d'un air encore plus stupide, avant de déchirer son haut d'un coup de coutelas. Thibault applaudi son ami d'un air moqueur.

Franck discutait avec William.
- Il serait bon de proposer au cap' de me laisser �  mon boulot habituel. Faut que je trouve un endroit où me cacher. Vous n'aurez qu'�  me recouvrir sur la grande hune d'un reste de toile déchiré pour que je puisse voir le pont ennemi et tirer... Edison fit un signe de tête et alla vers le capitaine.

Un peu intimidé par le gallois il lui fit part des propos de son ami alors que les officiers donnaient autour d'eux les ordres, ordonnant d'agir dans le calme et le silence le plus absolut.  

[Thot]

L’équipage appliqués les consigne a la lettre. Tous le monde bougez discrètement et sans bruit pour se mettre a son poste. Un des hommes de Vincent, un anglais appelé William, vint lui faire part d'une requête. Il demandez si Franck, l'ex Boucanier, pouvait se mettre a son aise sur le bateau pour exercer sa manière de tuer, très particulière.

-Vous en faites pas! dit lui qu'il peut, tant qu'il tue les autre. Il faut juste qu'il se cache pour ne pas se faire remarquée par les autres.

Cormac se remit sur le pont supérieur, puis il prit le drapeau de détresse et l'agita en regardant le navire ennemis. Le Navire, qui semblait être un sloop, changea de direction et fila vers The Cry of the Walsh.

-Ils arrivent...dit Simon

La tension était a son comble sur le navire, on pouvez entendre la respiration haletante des moins expérimentés, tous le monde était a son poste, en train d'attendre le signal du Capitaine pour y aller. Le navire n'était plus qu'as 20 mètre d'eux, puis a une dizaine de mètre, ils s’arrêtèrent.

-Qui êtes vous, et pourquoi avez vous agitez le drapeau de détresse?! hurla l'homme qui semblait être le capitaine anglais.

-Nous sommes des représentant commerciales Anglais. Nous partions pour Boston quand nous nous somme faits attaquez par des pirates, qui doivent être deja loin depuis! S'il vous plaît, aidez nous! dit Cormac dans un anglais irréprochable.

Leurs Captaine discuta avec un homme a cotés de lui, coiffés d'un chapeau triangulaire avec une plume bleu.

-Vous n'arborez pas l'uniforme des marins anglais.

-Mais aidez nous! Mon équipage est en train de mourir, bon sang!

-Très bien, on arrive...

Le pilote anglais manœuvra pour ce coller a navire des pirate, puis les marins ennemis vinrent nous rejoindre sur notre pont.

-Expliquez moi tout ce qu'il c'est passez.

-Et bien voila, nous partons du port de trinité, chargés de quelque lingots, mais principalement de coton et de fourrures, pour Boston. Le trajet ce passait bien quand nous nous sommes fait attaqués par les pirates. Ils était trop nombreux et surtout...

Un horrible sourire déforma le visage de Cormac.

-Les pirates nous on prit par surprise! cria Cormac.

En quelque seconde, ce fut le Chaos total sur le navire, Car Adda et les autres venaient de sortir en hurlant des cales. Les pirates tranchée les chairs sans que les marins n'ait put se défendre. Cadogan, Timothée et d'autre pirates firent crachés les canons. Cormac se battait au sabre mais n'hésitait pas a se servir de ses poings, son point fort. Safa, sa chienne, était a cotés de lui et bondissait sur les ennemis, les égorgeant d'un coup de dent. Ank combattait seul au milieu des ennemis avec sa hache, tandis que Simon et Jean se défendaient mutuellement. Le groupe de Vincent s'était regroupés et avançaient vaillamment. Les marins se ressaisirent et sortirent leurs arme, en tranchant des bras, mais ils avait déj�  perdu. Ils ne restait plus qu'une dizaine de marins et le capitaine quand ceux ci se rendit.

-Victoire! cria Adda

-Victoire! reprirent les autre en cœur

-Capitabo! appela Macsen -One fait quoi dé eux? One les laisse ou one les toue? Ank pé sans occupé... dit-il en regardant avec un sourire les survivants adverse.



   

[scar]

Le plan avait marché �  la perfection. La tête du second avait était percé d'une balle de la part de Franck quand Cormac donna le signal.

La surprise fut-elle que peu se défendirent et beaucoup se rendirent quand les pirates furent sur eux. Il y avait presque aucun blessé �  déplorer chez les pirates et peu de mort chez les anglais; les canons avaient été la cause principale de mortalité. Les marins gisaient blessés part de simple coupure ou plus grave, percé par une balle ou une lame, un bras cassé, une coupure profonde.

Les français durent admiratif de l'efficacité du plan et surpris de la combativité des gallois.

Quand les hommes se rendirent Thibault entendu la question et vit le sourire assez sadique de Mascen. Il crut bon d'intervenir.

- Si je peux me permettre. La victoire a été facile et on devrait remercier le capitaine ennemi de nous avoir facilité la chose. une partie de l'équipage se mit �  rire doucement, pendant qu'on désarmait les anglais et on descendait dans l'entrepont les blessés, au nombre de cinq du navire. Pour le remercier et vu que prendre la cargaison peut prendre du temps, beaucoup d'anglais ne souffrent que légèrement. Leur douleur pourra il marqua une pause cherchant le mot en anglais.heu... être pire avec le temps. Hanz serait ravi de les soigner.
Vous savez cet homme est le pire boucher qu'il y a sur notre navire. Il aime être couvert de sang et les mains dans le ventre des gens �  leur sauver la vie...  

[Thot]

Un des français venait de proposer de laisser les blesser au chirurgien Allemand, un homme assez grand et tous maigre, avec des cheveux cours gris et des lunettes, qui se nommait Hanz Von Rüber.

-Toue en dit quoi, capitano? demanda Macsen

-C'est bon, qu'ils aillent voir l'Allemand... répondit Cormac

-Ouais, vaut mieux, j'ai pas envie qu'est du sang partout sur l'pont! rajouta Cadogan

On conduisit le reste des ennemis près de la cabine de l'Allemand.

-Bon vincent, j'ai confiance en toi, alors tu va prendre le bateau ennemis avec tes compagnon. Par contre, la cargaison va dans ma cale... dit Cormac en riant

Le soir commençait a tomber et Cormac décida qu'il serait bon pour son équipage de Faire la fête

-Allez, sortaient l'Whisky! cria-t-il

L'équipage hurla de joie, et, pendant toute la nuit durant, l’équipage se saoula et dansa au rythme des membres qui possédait un instrument.

Cormac se réveilla, il sortit de sa cabine. Le chaos total régnait sur le pont. Des verre brisées, des pirate qui dormait éparpillés sur le pont. Le capitaine décida qu'il fallait remettre de l'ordre.

-Allez, debout bandes d'alcoolique, nettoyer moi tous sa et on y va!

   

[scar]

Le français fut soulagé de voir le bain de sang évité. Mais l'allemand vu son travail triplé, l'entrepont fut envahit d'une odeur de la mort, baignant de sang, les deux mousses épongeaient les énormes flasques qui s'écoulaient de la table de travail. Malgré deux morts le reste des blessés fut sauver, enfin pour certain juste rallonger leur espérance de vie de quelque jour mais les microbes qui se proliféraient dans l'humidité ambiante auront vite fait d'eux. Mais pendant qu'il s'agitait �  sauver des vies autant ceux qu'il y a quelques temps il combattait que ses alliés, sur le pont l'équipage prenait possession du navire.

il était faiblement armer, quatre canon de calibre 8 et quatre pierrettes au niveau de la dunette et deux �  l'avant. Un  navire taillé pour courir le poursuivre aurait été perte de temps.

Après un chargement pénible des ressources, mettant �  contribution les marins anglais le peu de marchandise et la caisse de bord furent transvasées sur le navire pirate, quelques guinées mais pas mal de shilling, plusieurs centaines mis dans un coffre de bronze qui reposait dans le petit carré des officiers sous la table �  carte.

Le capitaine informa vincent qu'il serait responsable du nouveau navire. Ce dernier ne put s'empêcher de sourire, mais se demanda comment le second allait aimer se voir voler la vedette pour un nouveau. Puis ce dernier dissipa sa question par l'annonce d'alcool!

Les pirates furent la fête, l'équipage emprisonnés dans leur propre cales, ils pouvaient entendre la musique d'un violon et de tambour battre leur plein et des cris de joie.

Thimothé fut bien apprécier de l'équipage surtout avec son étonnant accent irlandais, qui amusait les gens de ce peuple et son amour de la boisson, malgré qu'il ne parlait pas un mot ou presque d'anglais l'équipage aimait �  discuter avec lui, se moquant aussi de lui. Vincent restait un peu �  l'écart avec Franck, rejoint plus tard par thomas qui malgré l'alcool comprenait que son ami se posait des question.

Au petit matin vincent et sa troupe se voyait bientôt maitre d'un navire...  

[Thot]

Cormac se réveilla. Il venait de passé une folle soirée avec son équipage, prenant par a la fête, comme tout bon Gallois. Il s'observa devant un miroir qu'il avait ramené d'Irlande, quand il faisait du "commerce", légerment illégal, au bord des cotes du Royaume Uni. Il sortit de sa cabine pour aller respirer les bonne air frais matinal des caraïbes sur le pont supérieur. Il observa l'horizon. Le soleil se levait et illuminés la mer d'une douce clartée, rendant ce paysage magique. Une voix le sortit de sa rêverie.

-S'lut Cap'tain! Vous allez bien?

-Bonjour Cynyr, alors, cette fête, elle t'as plus?

-OH IE! J'risque pas d'oubliés ma première fête sur un bateau. Et le Black avec l'accent Irlandais, Timothé, il est génial!

-Ha ha! Et bien ça ta plus alors! Bon, assez parlez, va t'occuper des voiles, Bach!

Cormac parcourra le pont pour voir un peu l'étendue des dégâts. A son grand étonnement, a part quelque lampe brisés et des bouts de verre, aucun gros dégâts n'était a constaté. Il traversa le navire pour rejoindre les cales, croisant Simon au passage.

-Simon! Alors,  cette soirée?!

-Super! La musique, l'ambiance, tout était la pour célébrer notre victoire! Mais le plus marrant reste sans conteste Timothé!

-Et bien il a du succès! répondit Cormac

Il arriva dans la foret de hamac et de matelas ou dormaient tranquillement son équipage. Il se fit un plaisir de les réveiller.

- Debout, band o gregyn gleision!(bande de moules)

L’équipage se mit en branle et répéta machinalement, comme tous les matins, les même actions. Puis ils partirent tous a leurs postes sur le pont, et Cormac s'installa sur le pont supérieur. Il restait la a regarder tous ces pirates a leurs tache dans un brouhaha non possible quand Vincent et Mr.Edison vinrent lui parler. Ils voulaient connaître leurs destination.

-J'aimerais bien vous la dire, mais je suis le seul a la connaître, alors promettez moi que même si nous venions a nous séparer, vous ne révélerez pas cette emplacement. La bas ce trouve des femmes et des enfants des membres de l’équipage, et je ne voudrais pas qu'ils soient pendus...

Les 2 hommes acquiescèrent.

-Très bien, alors je n’ai toujours pas donnés de nom a cette endroits, mais cela ne serait tardé. Il s'agit d'une grotte au Sud Ouest des îles Vierges. Vous la reconnaitrait par la teinte particulière de la roche qui lui donne des reflets orangés. Pénétrez avec votre navire a l'intérieur, il y a un ponton ou il vous sera possible de l’amarré. Ensuite, prenait le sentier que vous verrez devant vous, il vous mènera dans la forêt, puis au bout de cinq petite minute, vous serez arrivez au "village"
   

[scar]

La fête avait été source de rapprochement avec l'équipage mais aussi source de corvée.

Pendant que les matelots et canonniers mettaient en état de route les deux navires Vincent écoutait attentivement son capitaine.

- Donc nous avons un point de ralliement. Combien de temps nous nous attendrons mutuellement? Je vous avoue que passer une mois dans une petite île ne m'enchante guère mais on ne peut rien espérer en moins de deux semaines.

Dehors sur le très british "Royal wind" quelques anglais qui faisaient parti de l'équipage de Cormac rejoignait le sloop ainsi que des anciens du navire, heureux d'avoir eu grâce aux yeux des nouveaux chefs du navire, les uns fuyaient les gallois, grand amis mais vivant avec une épée de damoclés au dessus de leur tête ils préféraient mettre un peu de distance tout en continuant �  piller avec eux.
Le navire se vit armer d'une vingtaine d'homme. Peu mais assez pour le manoeuvrer et soutenir le navire amiral.  

[Thot]

Cormac était encore entrain de parlait avec Vincent et William.

-deux semaines, disons deux semaines. Cela peut paraître court, mais on y arrivera. De toute façon, il n'est pas dit que nous soyons séparés! Sinon, vous passerez entre anguilla et Saint-Thomas, et nous, nous ferons le tour de Porto Rico, pour plus de sûreté. Bon, on y va!

Cormac se retourna et ordonna de faire cap vers leurs repaire. Le navire changea peu a peu de direction, les hommes criaient des ordres partout sur le pont, tout le monde faisait son travail, ce qui produisait une cacophonie incessante. Le soleil était caché par un amas de nuages qui noircissaient de seconde en seconde, et la pluie commençait a tombait. Cormac rejoigna sa cabine.  

[scar]

Les deux navires étaient prêt �  appareiller. Les vingts marins sur le sloop s'organisèrent. Vincent mit �  chaque poste ses amis, ainsi thomas Piance devint maitre d'équipage. il accueillit cette nouvelle en hurlant comme un dément dans tout les sens avant de donner un coup de tête dans le mat. Il se retourna souriant.

- tu connais mon talent pour botter les feignants et les navets je mettrais ce navire au pas!

Il choisit la torche pour maitre d'équipage, il était homme �  reconnaitre et connaitre les hommes rapidement, mais les anglais protestèrent et il nomma l'un d’entre eux, tandis que thimothé seul homme compétent au canon eut le poste naturel de maitre canonnier.

Vu l'horizon sombre qui gagnait sur eux, Vincent �  la barre donna sur le tribord pour s'écarter du gallois, et ordonna de réduire la voilure. il craignait un grain et si les deux navires venaient �  s'aborder en pleine mer déchainée le choc serait couteux en vie. Ainsi lentement le sloop, dont le gréement fourmillé d'homme s'écarta du brick. il ordonna ensuite �  la torche de barrer.

Il alla �  la couronne, regardant le grain qui arrivait derrière eux. 
- tu doutes n'est ce pas?
Il se retourna et vit Thomas droit qui s’avançait vers lui. il retourna s’accouder �  la couronne.
- Oui.
- Des remords?
- tu me connais trop bien! J'ai pas envie de le trahir comme ça. On lui doit un navire et sa confiance.
- Je te suivrais partout si je juges que ta décision peut nous aider. On aurait un navire, quelques hommes, dont on pourra avoir la fidélité. Mais on peut avoir plus avec ce gallois.
- Avec ou sans lui on a déj�  eu mieux et on peut le refaire Thomas. répondit vincent d'un ton sec plein d'orgueil. Mais il a confiance en nous et le trahir si vite sans montrer la moindre reconnaissance me tue. le vent s'était levé comme ils l'avaient prévus, devenant plus frai et sifflant dans les cordages des gréements, des montons sur la mer se formaient tandis que la mer se noircissant formait de plus en plus de grosse vague soulevant le cul du navire.

- faut changer de cap! A cette allure la tempête nous sera un vrai calvaire. JEAN!!! on va se mettre au près!! La torche attend que l'équipage soit prêt pour les réglage et met de la barre �  tribord �  fond. Vincent vint �  côté de son ami pour tenir la roue et l'aider dans l'effort alors que sur le sloop on prenait un ris.

Thibaut monta �  toute vitesse dans le gréement avec deux anglais, Franck restait �  rien faire avec son fusil tout au bout du navire cherchant �  s'assurer qu'aucun acte mauvais envers l'équipage ou le navire. Thomas parcourait le tillac beuglant les ordres.

- bordez de l'ecoute allez! allez! Arnold plus vite. il prit à son tour l'écoute et se mit à jouer des muscles pour border la voile.
- Brasser la grande vergue! hurla Vincent dont le vent portait sa voix sur tout le long du navire.

La manœuvre se faisait, et vincent se prêta pas attention au gallois, est ce que Cormac comprenait ses intentions, qui étaient de pouvoir faire face au grain, ou ne faisait il rien?  

[Thot]

La tempête était de plus en plus forte, et Cormac entendait me chaos sur le pont. Le navire bringuebalait en tous sens et le capitaine dut ranger ses outils pour ne pas voir tous volé dans la pièces. A travers le vacarme, il entendit quelqu’un toqué a la porte, puis Macsen entra dans la cabine.

-Macsen! Tu veut me parler j'présume?

-Si, capitano... Yé viens par rapport aux Francés.

Cormac soupira. Peut-être c'est conversation l'exaspérer, mais il savait que lui aussi avait un doute.

-C'est youste qué nous avons une pétit peu peur, peur qu'ils partent avec, et qu'ils ne reviennent plous...

-Macsen, si ils fuient et que nous sommes a porté, j'ai donné l'ordre aux Gallois de quittés le navire et, foi de Saint Alan, j'hésiterait pas a crié feu!

Soudain, un cri retentit. Macsen et Cormac sortirent de la cabine et virent petit attroupement prés d'un cotés du navire. Le chaos régnait, des hommes criaient. Adda et Ank se rapprochèrent de l'attroupement.

-Qu'est-ce qui s'passe içi?!cria Adda

-Un homme est tombés a l'eau. Il est tombés a la dernière secousse et a roulé jusqu’�  l'eau! répondit un marin. -En plus, il était affaiblie, ses dents étaient bizarre et il saignait souvent de la bouche!

-Hein! Il saignait de la bouche?! Avait il les dents qui tombent et les gencives en sangs?

-Oui, c'est ça! pourquoi?

Adda se retourna et regarda Cormac. Les yeux de la jeune femme était emplie de terreur. Elle monta sur le pont et rejoigna Cormac et Macsen.

-Vous avait entendu?! Les symptômes ress...

-Le scorbut... coupa Macsen en regardant tour a tour Adda et Cormac.

-Venait a l'intérieur, nous y seront mieux pour parlait...

Ils entrèrent a l'intérieur. La chaleur était plus présente dans cette pièce, ce qui leurs fit plaisir. Ils était dégoulinant et choqué. Cormac sorti une bouteille de Whisky, mais même cela n'aurait put les apaisaient.

-Macsen, va me chercher le chirurgien, il faut lui parler.

-Mais capitano, el Doctor est avec les Francés. répondit Macsen en faisant les gros yeux

-Alors allons le chercher tout de suite!

-Personne n'osera y aller avec cette temp...

-J'irais, moi! et je suis sur que Ank viendra aussi. Adda, dirige le bateau jusqu’�  mon retour.

Le capitaine se leva et quitta la pièce. Il ne l'avouait pas, mais il avait peur. Il alla voir Ank et lui demanda. Celui-ci lui répondit par un hochement de tête.

-Envoyait une barque a la mer!

Les hommes le regardèrent comme si il était fou.

-Mais allez-y, bon sang! C'est une question de vie ou de mort, et pour tous!

les pirates s’affairèrent a descendre la barque, et, une fois qu'elle fut descendue, Ank et Cormac la rejoignirent.

-Regarde, Ank! leurs navires est assez proche, nous l'auront atteint en moins de 10 minutes. Mais ils faut faire attention a ne pas se retrouver broyer sous le navire!

Le mastoc approuva par un hochement de tête, et ils commencèrent a ramer. Malgré la tempête, il avançaient a bonne allure, et ils arrivèrent bientôt au sloop des Français. Soudain, le navire fut projeté en l'air par une vague, et il manqua de peu d'écraser la barque en retombant. Cormac hurla. Aucune réaction. Il se remit a crié mais rien ne se passa. Il commençait a perdre patience quand une tête apparut en haut du navire, c'était Mr.Edison. Il fut soulagé de le voir. William leurs balança une échelle que Cormac empoigna fermement pour grimper, suivit de près par Ank. Il salua William.

-Je doit voir Vincent.

William lui fit traverser le pont pour aller vers la barre, ou Vincent donner des ordres.

-Bonjour, Vincent, je vies te voir pour une chose grave... Le scorbut a frappé un homme de mon navire, et je pense que, vue le nombre de fruits que nous mangeons, nous finissons par tous l'attrapez...  

[scar]

vincent avait vu la manoeuvre étrange qu'entreprenait les Gallois. il avait ordonné, barrant, car La Troche n'était pas un excellent timonier par manque de pratique, de manœuvrer, étouffant les voiles pour perdre un peu de vitesse et permettre aux rameurs de ne pas avoir �  trop parcourir.

- ils sont fou! hurla Franck qui était dans le gréement �  fixer avec  un gabier anglais le grand hunier dont les rabans s'étaient défaits. Les deux hommes trempés jusqu'aux os continuèrent leur travail, les pieds sur les marches pieds écartés par le vent de la vergue de hunier.

Arnold courut avec une aussière et la jeta �  la mer après qu'elle fut frapper au grand mat, mais ce fut inutile le canot se souleva avec une imposante masse d'eau sombre et disparu derrière le rideau. Ce fut William qui réussit �  créer le lien entre l'embarcation et eux.

cormac fonça, dégoulinant d'eau, vers vincent. Ce dernier lacha la barre quand il entendit parler de scorbut.

- Pas mes compétences! hurla t-il en anglais, autant pour se faire entendre dans le vent que par la colère d'une telle nouvelle. il appela Hanz qui invita le capitaine gallois �  descendre dans l'entrepont où l'air y été irrespirable, humide et donnait la nausée.
Les deux hommes restèrent �  côté d'une lumière d'où venait de l'air frai mais aussi des paquets de mer s'écrasant en écume sur le pont, william était avec eux pour la traduction.

- Der Skorbut! s'étonna le medecin. il essuya avec le bas de son vêtement ses lunettes couverte de goutelette d'eau et les reposa sur son nez. Kennt die Besatzung sie? Ja il se mit à parler en francais. william fit la traduction
- l'équipage le sait la réponse fut affirmative et au signe de tête de William Hanz avait compris le sens du mot yes.
- Il dit que c'est agacant. expliqua William. La maladie semble venir d'un manque d'aliment frai. Mais frappe en premier les gens faibles. Tout le monde risque de penser l'avoir. Ca va être un effet dévastateur sur le moral! Vous vous en doutez.

Sans attendre de réponse l'allemand alla dans la cuisine où une boite était entreposée. il prit plusieurs flacons et revint. il parla et william fit la traduction.
- Ca contient du jus de citron. Peut être que ca peut ralentir les effets de la maladie en mettant des goutes sur les gencives. Mais ce n'est qu'expérimentale, mais beaucoup d'expériences mènent �  penser que cette maladie est du �  un manque de fruit. il faut toucher terre le plus vite possible.

Vincent était trop occupé �  lutter contre la tempête mais surtout �  veiller que l'embarcation ne vienne pas frapper les bordées pour penser au scorbut. Mais ils avaient quitté la terre ferme depuis seulement une semaine, il ne craignait pas pour leur vie.

ps: �  l'époque du rp le lien manque vitamine c, des fruits et légume et scorbut n'est pas encore fait. Comme j'ai écrit des constats sont fait mais faut attendre 1747 pour que le lien soit totalement établit.  

[Thot]

Cormac prit quelque fiole du jus de citron pour son navire, puis se retourna vers Ank.

-Pense-tu que l'on peut repartir et encore risquer nos vies ou on attend que la tempête se calme?

-ANK! répondit-t-il en montrant le pont du navire des français.

-Très bien. William, dit a ton capitaine qu'on va rester sur votre navire...Non, sur NOTRE navire! HA HA! La tempête nous ferais chavirais et mon navire c'est éloigné! Sur ce! dit Cormac en faisant une révérence plus qu’exagérer avec son chapeau.

Ank et Cormac partirent en direction des cales pour ce mettre a l'abri du vent et de la pluie. Le bateau tanguait comme une noix dans un caniveau. Les Gallois étaient obligés de s'accrocher a tous ce qu'il pouvait pour avancer. Une fois dans la cale, ils s'assirent.

-J'espère qu'il ne se passe rien de grave la bas...

Sur le bateau Gallois, Adda avait une impression bizarre. Elle sentait l’équipage tendu, les pirates ne faisait presque plus rien, et beaucoup la regarder intensément. Elle ressentit un véritable malaise quand elle vit qu'un cercle c'était formé autour d'elle. Les hommes approchés doucement mais sûrement, et elle vit que certains c'était armée d'epissoires. elle sortit son sabre et s'approcha de l'homme qui semblait être le chef de la bande. Elle l'avait déj�  aperçu. Il était grand et costaud et râlé souvent aux ordres du capitaines. Tous les hommes était de simples matelots. Il la regarda avec un regard horrible.

-Que crois tu faire?! tu est toute seule, nous somme plus de 30! HA HA! ton capitaine ne viendra pas te sauver cette fois-ci!

soudain, quelque chose tomba des gréements dans un bruit sourd. Les hommes ne réagirent d'abord pas, mais quand ils comprirent que c'était quelqu’un, ils se retournèrent et convergèrent vers l'assaillant. Adda regarda plus précisément, sa petite taille frappa Adda, puis elle eut un haut le cœur en voyant que c'était Cynyr. Ces hommes s’attaquaient a un enfant de 15 ans! elle ne réfléchit plus et laissa la colère l'envahir. Elle se jeta dans la mêlée et trancha tous ce qu'elle pouvait, en allant vers Cynyr pour le sauver. Elle entendit Cadogan crié puis balançait une grenade. Elle vit aussi Macsen, Simon, Olmo et Jean venir a la rescousse de leurs amis. Même si les adversaires était beaucoup plus nombreux, les meilleurs combattant du navire était dans le camps d'Adda, et les mutins commencèrent bientôt a reculés. A bout de 25mn, les traîtres se rendirent, réduit au nombre de 8. Le sang ruisselait sur le pont, et le groupe d'Adda entourèrent Cynyr, qui était recroquevillé par terre.

-Cynyr! sa va petit?!

Le petit tourna sa tête vers Adda et la regarda. Il avait les yeux injectés de sang, et de sa bouche sortait se liquide rouge. Macsen entama une sorte de prière Italienne.

-Ta gueule Macsen! Il est pas mort! Il peut pas, il est trop jeune!

Adda éclata en sanglot, et Jean vint la consoler. Simon se retourna et regarda les huit survivants, il pointa vers eux un doigt accusateur.

-C'est leurs faute, a ces ordures! dit-t-il en sortant son Hachoir

Les hommes le regardèrent avec des yeux emplis de terreur.

-Normalement, j’aurais dit non, mais Cynyr mérite d'être venger.

-Ie! dit Cadogan

-Coupez leurs les jambes aux niveau des genoux, les avants bras, puis balançaient les a l'eau... dit Adda les yeux emplit de larmes...