Une erreur de pirate:
Nous sommes arrivés pour annoncer notre victoire le 7 Mars. Après avoir mit le pied sur la terre ferme, le chef nous autorisa un temps libre lui se dirigea vers le maison de gouverneur. Il arriva en grand seigneur devant le gouverneur, sa cape déchirée, rouge et son chapeau � plume donné � sa démarche un air imposant. Il donna la preuve de notre victoire : Une lettre du gouverneur hollandais, que scar avait demandé par prudence. Puis il rajouta un cadeau. Une croix en or avec quelques diamants. -Tenez pour votre fille, sa lui ferra un souvenir d’un de mécréant des mers comme vous lui avez sans doute dit. Notre chef ne connaissez pas sa fille, ils ne s’étaient jamais vu, mais son honneur voulait qu’il donne de lui un coté chevalier. Mais heureusement Scar revint dans notre « monde », celui des prostitués, de l’alcool, la joie, les bagarres. Nous passâmes, vu qu’on a pu vendre notre cales, neufs jours de pur bonheur sur cette île. Comment une si petite terre comparée � l’Europe, une terre très chaude recouverte de jungle, une terre assez remplie de relief. Une seule ville, avec un grand quartier pauvre, sans route dallées, que deux églises, d’une pauvreté incomparable par rapport � celle de la Hollande, des maisons remplie d’humidité, dont une partie ont comme sol la terre battue, comment juste par le désir de richesse et le bonheur de vivre. Mais un accident vint briser ce paradis. Notre second défia, sous l’effet de l’alcool, un marin qui se moqué de lui. Le combat fut très fort et brutal, mais au bout de dix minutes devant la taverne, le marin fut tué, mais � se moment intervint une patrouille, dont leur but sont justement d’éviter les dérapages des corsaires, marins et pirates tolérés. Elle allait pour l’arrêter quand je suis intervenu : d’une balle dans la tête je tua le chef de la patrouille, puis une autre détonation de poudre et puis d’autres, tous l’équipage présent étaient sorti de la taverne et ont vidé leur armes sur les hommes de la surveillance de la colonie.
Il fut deux heures seulement pour que Scar en fut ai courant, il nous ordonna de retourner au navire. Il en fallu pas beaucoup plus pour que le Gouverneur le sache aussi. Il fit pointer les canons du fortin sur notre navire, car Siegfried ne voulu pas s’enfuir il voulait régler le problème avec le gouverneur en homme intellectuel comme il a dit. Se dernier se pointa sur « Le Rubis ». Après une longue conservation entre notre chef et celui de l’île, le gouverneur accepta le fait que François avait agi sous l’effet du rhum, et n’avait juste répondit � la provocation du marin, qu’il était un caporal de la flotte royale du Roi. Le bijou avait eut son influence, sa fille l’avait apprécié et avait donné son avis sur ce meurtre avant que son père monte sur le bateau. Il nous expliqua que si il ne nous coulait pas ou n’ordonnait pas que nous soyons mis � fer, en contre partie il nous interdisa de revenir sur cette île. Scar accepta les termes de ce « contrat », être exilé d’une île n’était pas si grave pour des pirates. Le gouverneur ne savait pas que si nous reviendrons ca serait l’arme aux poings et on reviendrait, c’était sur ! Nous commençâmes une longue période d’érrance…
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