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Auteur Fil de discussion: armes du XVIIe et XVIIIe siècle utilisées aux caraà¯bes.  (Lu 15822 fois)
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« le: 22 Février 2008 à 16:21:30 »

Ceci est un glossaires des armes utilisés �  cette époque, afin d'éclairer certain doute pour des joueurs.
Je tire ces informations de ma culture générale (donc venant de trop de sources pour être cité. d’ailleurs je les ai oubliées... mais vous les verrez dans ta de film réaliste sur cette époque et dans les livres)


Armes blanches
 
De nombreuses furent utilisés durant les ages. Au XVIIe et XVIIIe siècle une grande variété d’armes fut utilisés.
Aux caraïbes on utilisait surtout ces types d’armes.


Les épées : appelée reine des armes, l’épée est l’arme la plus diffusée dans tout le monde, Sous des formes les plus variées, le principe de l’épée a été reprit dans toutes les grandes armes blanches : katana au japon, cimeterre en orient, sabre caraïbes utilisé par les caraïbe…. L’épée du XVII et XVIIe siècle n’avait rien �  voir avec celle du moyen age ou du l’Antiquité. Elle avait les éléments qui font d’elles une épée : c'est-� -dire deux tranchants, une pointe et souvent une garde renforcée. Mais elles étaient beaucoup plus lègére et fine que celle du passée, car on été dans un âge au style de combat hybride, mi corps �  corps mi tir, où la vitesse surpassait la force. Certaine épée était plus des armes d’apparat que de combat, car trop fine et trop décoré.
Elles étaient utilisées en terre comme en mer.
(elle ne montre pas tout l'arme mais permet de voir les diffèrenes avec ses ancêtres)

Les sabres
: armes très diffusé dans le monde occidentale. Très redoutable, �  un seul tranchant et �  pointe. Cette arme s’inspirant des cimeterre arabe �  l’angle de coupe et au tranchant parfait. Elle ressemblait �  l’épée �  un détail : les sabres n’ont qu’un seul tranchant et leur lame se recourbe légèrement.  Les sabres des cavaliers étaient des armes au tranchant très courbé.
Sur les navires les sabres étaient légèrement diffèrent (pour une raison qui j’ignore), il était souvent plus épais et moins recourbé (plus épais pour mieux résister aux coups lors d’un combat naval aux corps �  corps (opposant parfois 600 �  600 hommes) la pluie de coup qu’un homme devait parer pouvait dépasser la centaine, et aussi pour résister au choc qu’il pourrait avoir lors d’une tempête…)
sabre d'abordage et sabre "classique"

Les fleurets : c’est un autre genre d’arme. Arme uniquement d’estoc, la lame n’était pas pourvu de tranchant et était extrêmement flexible. C’est l’arme des duellistes d’Europe car elle demande de l’habilité pour bien la manier. Mais dans les mélées de masse elle se relève plutôt inefficace comme arme. Aux caraïbes peu d’hommes l’utilisaient.
Sur les navires le fleuret n’était jamais utilisé car étant une arme d’estoc il faut la planter dans son ennemi et la retirer n’est pas toujours rapide et on était ainsi vulnérable face aux ennemis nombreux sur un tillac.


Les cimeterres : l’arme des musulmans, armes des ennemis de Dieu. Le cimeterre fut l’arme la plus dévastatrice des épées, avec un angle de coupe parfait, un tranchant redoutable et une solidité et une légèreté assez bonne. Cette arme fut le cauchemar des chevaliers qui utilisaient des armes plus lourdes.
Aux caraïbes cette arme n’était pas répandue, seuls certains hommes en avaient, des espagnols connaissant un forgeron initié dans ce type d’arme ou autre; venant du fait que le sud de l'espagne resta très longtemps sous influence orientale.
(un peu laid mais bon)

les rapières Fines épées �  double tranchant et pointe, grande différence avec les épées, finesse et avec une garde. Arme de duelliste et d'apparat.
Peu utilisé sur les navires car trop fine peu se briser et ne fait pas reculer les corps morts sous le choc de l'arme.


Les coutelas : �  ne pas confondre avec la dague ou le couteau. Il s’agit d’une arme grossière �  lame lourde et unique tranchant elle pouvait servir dans la vie de tout les jours. Sans gardes, souvent c’était une lame plantée dans un manche de bois cerclé de fer.
Arme très répandue sur les navires, car légère, petite et pouvant servir pour couper un cordage ou manger. Beaucoup de marin en avait un.


Les dagues : cela était une épée un plus courte, une épée en miniature, avec une pointe et deux tranchants et une garde.
Armes peu courante sur les navires, car plus signe de richesse que de force, seul les assassin et les combattants du modèle de l’école florentine (deux armes) les utilisés couramment.


Les haches : de toute sorte servant tant �  couper et tailler le bois que la chair. La hache de guerre, utilisé au moye age, �  disparu, seul les bourreaux ou quelque marginaux en avaient afin d’impressionner souvent. Les haches �  double tranchant telles les francisques avaient totalement disparu. Ce type d’arme de taille variée, parfois nécessitant les deux mains, ou faits vraiment pour la guerre, était utilisé par le peuple, puisqu’il pouvait y avoir axé facilement.
Assez utilisés sur les navires, moins que les sabres d’abordage ou les coutelas ou les piques, car on en avait sur les navires pour des but autre que les combats mais en combat on prend ce qu’on a sous la main.


Les piques : petite lance de souvent un mètre cinquante étaient très utilisés par l’armée, autant pour repousser sans tuer les gens que pour mener une guerre. Ce sont souvent des long bout de bois avec au bout une lance de fer planté �  même le bois avec une bague de fer pour solidifier le tout ou d’une pointe de fer avec une « robe » de métal qui est clouée au manche.
Sur les navires de guerre cette arme était très répandu car bon marché pouvant permettre de faire un mur d’homme et de tenir une position, comme était la stratégie des navires de guerre en cas d’abordage.

Les hallebardes : moins répandu, souvent très décorée servant �  montrer la richesse des hommes que les gardes protègent. Cette arme longue avec une lame au bout comme une hache �  grand manche était idéal pour protéger sans tuer une rue ou même pour mater une révolte.
Sur les navires cette arme n’était jamais utilisé car trop longue et demandant de grand mouvement, et donc espace, pour être manié correctement. Or sur les navires les abordages étaient de véritable mêlée sans espace.


Les massues : au XVIIe siècle, il y avait encore des massues mais elle n’avait rien avoir avec les armes du moyen age pour la simple raison qu’elle n’était pas faite pour tuer mais assommé et calmer des personnes, donc n’étant plus en fer et sans pointes. Elles étaient faites souvent d’un bois solide ou d’un nerf de bœuf (qui a donné son nom �  ce type de matraque) qui avait été trempé puis refroidi, cela donné quelque chose de souple et solide. Il y avait aussi les maillets marteaux et masse de forgeron. Mais les massues n’étaient plus de véritable armes, seulement utilisé par des hommes en manquent d’arme ou dans le but de maîtriser un homme.
voila un nerf de boeuf (et je plaisante pas) (pour les marteaux et maillet tout le monde sait �  quoi as ressemble je suppose)

Les armes qui n’eurent plus du tout aux caraïbes �  l’époque du XVII et XVIIe siècle furent les fléaux d’armes, les marteaux de guerre, les katanas et autres armes asiatiques, les poignards arabes, les glaives, les haches de bataille et quelque autres armes très vieille
   
« Dernière édition: 04 Septembre 2011 à 22:33:20 par scar »
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« Répondre #1 le: 22 Février 2008 à 16:50:41 »

Armes de jets et de projections.

     Aux caraïbes comme partout ailleurs, les armes de jet et �  projection furent utilisées. Surtout par les esclaves et les indigènes des caraïbes, car leur courte portée, leur faible puissance et leur manque de précision (surtout pour un novice) les rendaient  impuissante face aux armes �  poudre. Mais leur petite taille (pour certaine) leur permettaient d’être caché et ne gêné pas les mouvements de son porteur. La cadence que ce genre d’arme peut offrir et la discrétion d’un tir les rendirent assez populaire fait les assassins et cela depuis l’Antiquité.

Dague et couteau de jet : plus petites que des dagues ou des couteaux, sans tranchant mais juste une pointe très acérée, ces armes étaient équilibrées pour être lancé les utiliser au combat était ridicule. La discrétion qu’offre ces armes, autant au transport qu’au lancé, en font des armes d’assassin toute choisie. Certaine armes n’étaient qu’une lame avec de chaque coté une pointe.
Utilisé sur les navires mais sans grand intérêt dans un abordage.


Hache de jet : moins utilisées �  cette époque qu’au moyen age, car plutôt lourde et encombrante, elles étaient plus fine et légère que les haches. Pouvant être apparenté �  des hachettes ce qui étaient souvent le cas �  cette période. Elles avaient tout de même un tranchant.
Utilisé dans tout milieu populaire, où une hache devenait une hache de jet pour quelque talentueux �  la recherche de projectile.



Javelot : utilisé uniquement par les indiens, car dur �  manier, un peu lourd encombrant et pas très puissant. Contrairement aux javelots de l’Antiquité ce sont des javelots simple et facile de construction sans pointe de fer ni équilibrage. Il y en avait un fait lors de la fabrication ainsi l’arme était naturellement équilibré.
Inutilisé sur un bateau

Arc : rien �  voir avec les arcs composites ou long du moyen age et du Japon, les arcs utilisés aux caraïbes étaient rudimentaire moins travaillés donc moins précis et avec moins de portée que les homologues occidentaux, inutilisé depuis plus de deux siècle, et japonais. Ils offraient cependant une cadence de tir et une grande précision pour qui sait les utiliser. L’arc était fait comme ceux du moyen age mais en moins travaillé et la corde en nerf animal ou fibre végétale. Les flèches enduisent de poison  étaient des armes redoutables car même partiellement touché la blessure pouvait être mortel. On pouvait aussi les enduitr de poix et enflammer la flêche.
Sans doute quelque indien s'en servir �  bord de navire.


Sarbacane : fait d’un bambou, ou autre tige, creusé, avec un souffle puissant la flèche pouvait aller assez loin et était précise.  Silencieux de taille variée, certaine faisait plus d’un mètre, leur efficacité dépendait uniquement du souffleur. Les projectiles étaient toujours trempée dans du poison, curare pour els indiens caraïbes, car sinon ils étaient quasi inefficace. 
Pas de tels truc sur un bateau!
Vous pouvez remarquer la taille des sarbacanes...


Voila j’ai fait le tour. Il n’y a eut aucun shuriken ou masse ou étoile de la mort qui a volé dans les airs des caraïbes. Les arbalètes furent abandonné très vite car elles offraient les défauts des mousquet, lourdeur cadence de tir faible, sans égaler leur puissance et étaient très dur �  confectionner.

pour les autres images je rien trouvais, aucune image montrant des armes de l'époque (juste les nouveaux couteaux de lancés...)
   
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« Répondre #2 le: 22 Février 2008 à 17:07:17 »

Arme à feu

Durant toutes l’épopée des flibustiers aux caraïbes, les armes �  feux on été parmi leur plus grand allié avec leur sabre, les premiers flibustiers, entraîné par les boucaniers, firent des massacre avec leur mousquet.

Les pistolet à silex : Arme de poing de taille variée, certain était de la taille de vingt centimètre d’autre de quarante voire cinquante avec une crosse allongée. Il y avait deux styles de crosse, les allongés qui épousait la forme d’une paume reposait sur l’arme et demandait pour être porté �  bout de bras plus d’énergie que les pistolets avec des crosses recourbés ; et les courbés (comme celle des révolvers). L’arme en bois ou parfois en fer avait toujours un canon en fer, parfois décoré comme le pouvait être la crosse, souvent renforcé de quelque barre de fer assez fine. On appelait cela pistolet �  silex, car �  une époque l’étincelle qui mettait le feu au poudre et projetait la balle hors du canon était faite par le choc de deux silex. L’un venant du chien quand on appuyé sur la gâchette, celle-ci retombait sur une petit partie en silex ce qui provoquait une étincelle. Lors du rechargement l’homme mettait la balle par le canon ainsi que de la poudre et il en mettait aussi dans le bassinet (petite ouverture donnant sur le canon et recouverte par la batterie.). On rabattait le chien en cran armé (donc on le relevait) et une fois la détente tirée, le chien retombe sur le bassinet (donc avec un morceau de silex) et provoque une étincelle juste au dessus du bassinet qui est rempli de poudre et communique avec le canon. L’explosion projetée la balle.
L’eau qui pouvait s’infiltrer et ainsi humidifier le bassinet et donc la poudre qui n’explosait pas au contact du feu.
(source de http://site.voila.fr/collectionarme/silex.htm  avec quelque explication plus clair) excusez moi des termes employés pour désigner les crosses car ils ne sont pas technique.

un modèle plus petit
( http://www.pirates-corsaires.com/)


le mousquet arme issu de l'arquebuse en plus dévellopée. Elle utilisait le meêm système que le pistolet �  silex, puisque la projection de la balle était issu de l'explosion de la poudre �  cause d'une étincelle. avec une corsse longue et un canon assez long, certain mousquet nécessité comme l'arquebuse d'un trèpied.


le fusil Il n'y avait aucune diffèrence apparente avec le mousquet (comme la rapière et l'épée) contrairement avec l'arquebuse. Mais sa plus grande portée et précision était dû �  la fabrication du canon. Et aussi �  un bassinet protégé de l'eau car la batterie le recouvret totalement, cran armé ou non.


pistolet à deux coups Ce n'est pas un mythe, certain pistolet était capable de tirer deux coups cela par un fonctionnement simple: Ils avaient deux canons, deus bassinet, deux chiens et parfois deux gâchette. C'étaient des lourdes et plus encombrante que deux arme de poing diffèrente mais pouvait être rechargée plus rapidement, pusique les deux bassinets et les deux canons étaient cote �  cote. Mais cela prenait plus de temps qu'avec un pistolet �  silex simple. Certrain plus complex n'avait qu'une gâchette. Le possèsseur pouvait dans les deux cas tirer les deux coups �  la fois en armant les deux chiens et appuyant sur les ou la gâchette en meême temps.



pour ceux qui est des pistolets �  quatre ou plus de coups j'ai fait de courte recherche et j'ai trouvé aucune preuve de l'existence de telles armes �  cette époque.  
« Dernière édition: 22 Février 2008 à 17:19:56 par scar »
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« Répondre #3 le: 13 Mars 2011 à 20:11:51 »

Dans les armes blanches, même si ce ne fut pas beaucoup répandu, il y avait aussi le Tomahawk, petites haches indiennes. Certains français, qui fraternisaient beaucoup plus avec les indiens que les anglais, en reçurent en cadeau. Je suppose qu'ils avaient appris �  s'en servir.  
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Une nation qui ne maîtrise pas les Mers ne peut gagner sur terre. Richelieu
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