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Auteur Fil de discussion: Boire sur un faux-rhum (suite)  (Lu 60229 fois)
hobbes
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« Répondre #75 le: 26 Janvier 2006 à 21:25:02 »

 De Genève sortit de sa manche un bout de parchemin taché de sang. Le capitaine Chocolate le reconnu de suite, il s"agissait de son écriture... ce parchemin était celui qu"il avait remis plutôt �  son jeune ami. Le gouverneur n"avais donc pas connaissance de ce qui se passait en ces murs.  
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calvin
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« Répondre #76 le: 26 Janvier 2006 à 21:41:26 »

 Le capitaine De Chollet regarda De Genève dans les yeux et lui dit de manière forte : " Vas-tu nous dire enfin ce que tu sais ! parle, je suis impatient de savoir comment nous allons nous sortir de ce traquenard !"  
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hobbes
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« Répondre #77 le: 26 Janvier 2006 à 21:54:51 »

 Le capitaine De genève se pencha vers De Chollet :" Mon ami, ces dernières paroles furent les suivantes.. l"Albatros.. ils vont prendre l"Albatros..."
Le capitaine De Chollet resta bouche bée, les yeux injectés de sang, il se leva avec fracas, soulevant la table et renversant sa chaise.  
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chocolate
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« Répondre #78 le: 27 Janvier 2006 à 19:12:38 »

 Le capitaine chocolate contenant son émotion sortit dehors pour lacher ses sentiments �  l"abri des regards des capitaines!Et ne pouvant se contenir il partit �  la recherche du corps de son jeune ami !Trois quarts d"heure  plus tard il revint �  la taverne tenant dans ses bras le corps de son ami !Le  jeune chocolat était couvert de sang de la tete aux pieds une longue estiflade lui barrait la joue et ses vetements étaient semblables �  des loques !Il s"évanouit alors et se réveilla deux minutes après grace au seau d"eau que le capitaine rutabagua lui avait jeté �  la figure!J"ai rencontré 5 soldats qui se sont rués vers moi j"en ai assommé 2 et tué 3 demain je trouverai le moyen de reprendre mon bateau et je quitterai les caraibes pour quelques jours le temps de ramener mon jeune ami en france ou il aura une tombe digne de son nom!  
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calvin
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« Répondre #79 le: 27 Janvier 2006 à 23:28:55 »

 "Si Dieu te prète vie assez longtemps Chocolate ! Pendant ton abscence certaines langues ce sont déliées..." Le capitaine De Chollet parcouru du regard la salle, il ajouta :" Des hommes de la garde �  la solde du sergent sont postés devant nos batiments...je pense qu"ils nous y attendent....Corne du Diable, je m"en vais mettre le feu dans cette ville ! Il faut trouver un moyen de remonter �  bord.." Le capitaine De Chollet alla directement se servir derrière le comptoir, le tenancier était toujours en proie �  la douleur de la perte de sa fille. Il releva la tête et �  la vue du capitaine De Chollet il s"agrippa �  son bras, des larmes plein les yeux :" Vengez ma fille é yé vous donne la main dé sa seur, Puta Madre, yé dé l"or por ceux qui mé donne la tête dou sergent, 500 pièces !" De Chollet repoussa le vieil homme, l"odeur était insoutenable et lui dit ." Ne t"inquiète pas futur beau-papa mais reste �  distance, j"ai peur que ton parfum nous fasse repérer!".Il ramena deux bouteilles de rhum �  la table des capitaines francais et leur adressa solennellement : " Mes Amis ! l"heure est grave, je n"ai pas l"intention de mourir dans cette taverne pourrie et dans ce coin de la Caraïbe...Je compte bien repartir avec  l"or du tenancier et sa fille en prime ! Qui est avec moi ?"  
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chocolate
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« Répondre #80 le: 28 Janvier 2006 à 20:02:46 »

 Vous avez mon soutien et ceux de tous mes hommes c"est à dire  81 bonnes ames!  
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hobbes
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« Répondre #81 le: 28 Janvier 2006 à 21:43:04 »

 A la suite du capitaine Chocolate, De Genève ajouta :" Mon sabre est �  votre service !". Les capitaines se tournèrent vers Rutabaga...  
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calvin
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« Répondre #82 le: 28 Janvier 2006 à 22:10:18 »

 Le capitaine De Chollet posa sa main sur l"épaule de Rutabaga :" Ami je connais ta valeur au combat ! Je serai rassuré de te savoir �  mes cotés !"  
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chocolate
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« Répondre #83 le: 29 Janvier 2006 à 13:13:54 »

 il sera à nos cotés!!!!!!!!!!  
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Simon
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« Répondre #84 le: 29 Janvier 2006 à 20:25:53 »

 Le Capitaine Rutabaga fixa les trois hommes...

"Je Vo¨)s Remercie par tant De °°µ*=Hardiesse°°"

 "ma Mödeste Frég@te est �  votre disposition.."

J"ai remplis mes cales,Vian¨des Sèchées;;
                             Du riz, des poules,
                             4 .T de Salpêtre.
                             Du Matos de l"Amidon,
                            Des faucons pour
                           chasser Les poïssöns völänts]°
                          17 Mousquets tout neufs
                         Bariques d"eaux et De Boutanches.
                       8 chauves souris Voyageuses...POur
                     Un contact hebdomadaire des nouvelles
                    De la côte....
                  J"ai également prévu un rationnement plus
                 Drastique sur mes troupes (Triste) car la dernière
                Avarie nous a causé bien des surprises..."

Et il se retournant vers ses matelots...  

les matelots gromellèrent  -"ET méfiions nous des récifs!!"
*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*°*..*.*.*.*.*°*..*...
_____¨£____£____________________ _ .. °    ..°
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µMais tous finirent de Grémir
¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨

......................................
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

de L"or.. bien sûr, mais aussi des sensations fortes...



Ou des désirs exquis....

..

un sourire s"était illuminé sur la face du capitaine Rutabaga.....Belle aventure en effet!.....
Chocolate adonna un coude dans ses côtes..

Le capitaine Rutabaga se repris et
Se Retourant vers ses compères :

 " Alors où Allons nous ? "
 

Modifié par simon le 29/01/2006 20:27:02  
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calvin
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« Répondre #85 le: 29 Janvier 2006 à 22:10:55 »

 Le capitaine De Chollet , et ce malgré la fatigue d"une nuit fort agitée, eu comme une bouffée d"ivresse, ces frêres d"armes l"entouraient, il déclara : " Mes Amis, le jour vas bientôt se lever...peut-être sera-t-il le dernier...sachez que je suis heureux et fier d"avoir fais votre connaisance.." le verre de rhum levé, le capitaine De Chollet versa quelques larmes.
Tout �  coup, la porte de la taverne vola en éclats et des hommes en armes firent irruption. Ils n"avaient rien de soldats, leur tenue et leur aspect faisaient penser �  quelques mercenaires...les marins présents au comptoir se massèrent derrière la table occupée par les capitaines francais, d"autres aux quatres coins de la taverne se tenaient prêt �  intervenir. La tension était palpable. Des agresseurs, trois hommes s"avancèrent de front, sabre et rapières �  la main...le sang allait couler !

Modifié par calvin le 29/01/2006 22:11:43  
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hobbes
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« Répondre #86 le: 30 Janvier 2006 à 21:46:11 »

 Le capitaine De Genève leva son pisolet �  silex vers le plus proche des bandits. Le coup retentit, l"homme s"écroula sur place, De Genève lacha son arme, puis dans un geste ample il sortit de son dos deux pistolets identiques aux premier. Il fit �  nouveau feu en direction des assaillant, maintenant sur eux. A bout portant l"un des hommes eu la machoire arrachée, le second, touché au bas ventre, se vidait de son sang. Les envahisseurs semblaient supérieur en nombre, l"un d"entre eux dépassait de plusieurs têtes, ils portaient tous des armes blanches. Le corps-� -corps semblaient inévitable...ces hommes étaient l�  pour tuer.

Modifié par hobbes le 30/01/2006 21:47:17  
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calvin
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« Répondre #87 le: 30 Janvier 2006 à 23:35:20 »

 Les capitaines francais s"écartèrent pour faire face. De Chollet hurla : " Goutez �  mon sabre ! Bande de macaques ! Ha Ha Ha !" . Devant lui se dressait le géant et �  ses coté un homme au visage balafré. D"un mouvement  De Chollet évita le sabre du petit qui vint se planter dans le comptoir, De Chollet en profita pour botter le cul de son adversaire et celu-ci alla se vautrer dans les tabourets... Le géant bénéficiant de l"inatention du capitaine se jeta sur lui. De Chollet para le coup, mais ce dernier fut d"une telle violence qu"il recula de trois pas. Le géant donna de haut en bas. Le capitaine De Chollet brisa son arme et se retrouvait mains nues. l"homme avança, De Chollet était dos au mur, il ferma les yeux. Rien, uniquement le bruit des armes qui s"entrechoquaient, les râles des hommes blessés ou mourrants...il ouvrit un, puis deux yeux. Le géant était couché �  ses pieds, face contre terre. levant la tête il découvrit Eléonor d"Absynthie (voir pages précédentes), la fille du tenancier, une dague éfilée �  la main. Le sang coulait de sa pointe. De l"autre main elle lança au capitaine une rapière en lui disant dans un sourire : " Vous en aurez encore besoin !". Autour de lui la bataille faisait rage, l"issue restait incertaine. Au milieu de la cohue, il vit le capitaine Chocolate faire démonstration �  deux gueux de l"art de l"escrime. L"un fini la gorge tranchée, d"ou sortait du sang �  gros bouillon, et l"autre transpercé de part en part. De l"autre coté, le capitaine Rutabaga avait fort �  faire, trois hommes tournoyaient autour de lui, mais son expérience lui permettait d"esquiver et parer chaque attaque des adversaires. De Chollet se porta �  son secours, la belle Eleonor se réfugia derrière le comptoir. Si il eu un moment dans la vie du capitaine De Chollet aussi intense, il ne s"en souvenait pas. Pas de doute... il était né pour cela, ses yeux brillaient. Il attrapa l"un des hommes et par derrière le saigna...l"odeur qui régnait �  présent les rendaient furieux. Leur forces décuplaient. Ils tranchaient et découpaient les corps. D"autres hommes entraient dans la taverne découvrant avec effroi ce qui semblait être l"antichambre de l"enfer...tel les Chevaliers de l"Apocalypse, nos capitaines pourfendaient leur ennemis, massacrant  les nouveaux arrivants... Puis se fut le silence. Au milieu des corps enchevêtrés, quatre hommes se tenaient debout. Le capitaine De Chollet s"inclina devant ses frères d"armes. Mais la bataille n"étais pas finie, comme les vagues, quelques hommes firent irruption...�  nouveau...  
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hobbes
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« Répondre #88 le: 31 Janvier 2006 à 15:38:02 »

 Le capitaine De Genève salua �  son tour et se tournant vers les assaillants déclara :" Voila encore de quoi nous amuser !". Les hommes semblaient hésiter, les plus téméraires d"entre eux approchèrent. En tout une dizaine, de constitution robuste, et savant mieux manier les armes que les prcécédents. Quelques hommes sortaient des blessés par les cuisines, d"autres rampaient vers la sortie laissant derrière eux une trainée de sang. "Voyez ces pleutres, le nombre ne suffit pas ! faut-il encore savoir se battre ! Allez donc retrouver votre commanditaire et dites lui de trembler, car son heure �  sonné!" ajoutant le geste �  la parole, De Genève bondit en avant et prenant appui sur une chaise, puis une table, sauta par dessus les hommes du sergent, pour leur couper la retraite. De Chollet et Rutabaga contournèrent chacun le groupe d"hommes. La situation était surprenante...quatre hommes encerclant dix individus.    
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benjamin
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« Répondre #89 le: 01 Février 2006 à 13:25:22 »

  aprés avoir entendu des bruits de combats richard wagner entre dans le bar!!!et sous la vue de la bataille qui rage devant lui il sort son épées prés �  bondir sur le moin dre individu qui s"approcherais avec des pulsions un peu trop meurtriéres!!mais voyant 5 personnes malmener 10 marouffle il s"exclama:"ha ha ha!c"est bien triste de ce f  
Journalisée
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