Mon précédent message était purement polémiste (j'aimes jouer les empêcheurs de s'endormir en rond!) mais il y a deux points de ta réponse sur lesquelles j'aimerais revenir:
1°) la liberté de pensée si elle existe théoriquement est de plus en plus mise � mal par une certaine presse et surtout par le type de divertissement et surtout le style de vie qui nous est de plus en plus imposé, c'est lent et insidieux c'est vrai mais tout dans notre société nous pousse petit � petit vers un modèle de plus en plus proche de "1984".
On dit pas plutôt " empêcheur de tourner en rond?"
Ben sinon, sans vouloir trop entrer dans votre débat, faut pas confondre liberté de pensée et d'expression. C'est pas la même chose. Et croire qu'on arrive � une époque � la Orwell c'est manquer de confiance en l'homme. D'ailleurs si tu as li 1984, tu vois bien que rien ne peut tout � fait empêcher un homme de penser librement.
Et puis, faut pas exagérer non plus, pour crier au scandale de la censure, faut aller voir ailleurs, ici y'a quand même pas ce problème.
Par contre, notre Président, si dictateur il est, c'est de l'image. Il fait bien attention � tout ce qui peut sortir sur lui. L'interdiction des poupées vaudou, la condamnation pour outrage au président de ce type � la pancarte "casse toi pauvre con" ( pas vu depuis la IIIème république hein), la mise en scène � Disneyland avec sa Bruni...et j'en passe.
Bref, il tente bien de tout maitriser ( jusqu'aux chaussures plates de Carla, pour pas qu'il paraisse misérable � ses côtés), et c'est fastoche quand ses petits copains sont des milliardaires propriétaires de certains médias populaires ( en plus des yatchs).
de plus comme tu l'as dit il y a eut choix du peuple.
Ha ha! Ben ça � chaque fois ça me fait marrer.
Tu as tout � fait raison, je remet pas en cause ta parole mais celle des élécteurs.
Parce que quand tu discutes avec les gens, PERSONNE n'a voté pour Sarko. Alors, je veux bien fréquenter des gens qui ne le portent pas dans leurs coeurs, mais bon.
Les mêmes qui pleuraient de joie le soir de son éléction, pleurent aujourd'hui de déséspoir, et je ris, car je l'avais prédit! Bien fait pour eux.
Fallait voter pour moi, z'auriez pas été déçus.